Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Ryuu

Quand des ninjas perdent la guerre, toutes les aides sont les bienvenues. MAis quand l'aide fait preuve d'un pouvoir surprenant, tout devient possible.
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oiseauencage! (Masculin), le 23/02/2007
Bon, allez deuxième post du chhapitre, le premier était trop court... J'ai persque 1500 mots, là, c'est bon?? ^^"



Chapitre 4: Uroko no kuni



La vie a reprit, à Konoha. Shikamaru passe son temps à regarder les nuages, Chôji mange, Saï s’entraîne pendant qu’Ino et Sakura font du shopping en se tapant dessus. Neji veille sur sa cousine, dardant un regard furieux sur Naruto qui passe ses journées à expliquer au chef du clan qu’il ne l’a pas fait exprès, mais qu’il aime sincèrement Hinata, et que l’épouser n’est PAS une mauvaise idée.

En parlant de mauvaise idée, Tsunade regrette presque que Jiraiya ne soit pas derrière la porte à mater. Presque.

La vie est donc devenue presque normale. Le « presque » se résume en trois mots : uroko no kuni 1. Siya a proposé son aide à l’Hokage pour la suite de la guerre, et ce genre d’offre ne se refuse pas. Toutes les troupes se sont installées tant bien que mal à Konoha, logées dans les quartiers des grandes familles. La plupart dorment dans les bâtiments délaissés des Uchiwas. Mais la Ryuukage et ses proches dorment dans un bâtiment de la demeure Hyuuga. Et comme « proches » signifie Si’shui et Sora, Neji est bien malheureux.
Sora passe son temps à lui courir après, en lui hurlant qu’il est méchant et moche. Et quand Neji l’ignore, elle fait des sceaux, sachant pertinemment que le Hyuuga l’empêche à chaque fois de réaliser sa technique, lui donnant un prétexte pour lui hurler dessus de plus belle.
Elle aime aussi martyriser le pauvre Naruto, dès qu’il s’approche de sa petite amie, en criant OH LES ZAMOUREUX. Et ainsi, elle énerve aussi Neji.
La seule à avoir gagné un peu de paix, c’est Sakura. Elle est la seule à qui Sora daigne obéir un peu. Sympathie entre roses, peut-être. Quand Sora ne trouve personne à embêter, elle court chez l'élève de Tsunade.
Sakura à déjà reçu une dizaine de lettres, de différentes personnes, d'Uroko parfois, la remerciant vivement d'occuper la tornade rose.

La venue des ninjas d’Uroko n’est pas une mauvaise chose pour les shinobis de la feuille. C’est même un atout. Surtout pour les med-nins. La technique des dragons de soin demande une excellente maîtrise du chakra, mais lorsqu’elle est obtenue, le résultat est très satisfaisant, bien qu’un peu plus épuisant qu’une technique de soin habituelle, et bien plus efficace. Et les ninjas étrangers s’adaptent très bien, étant de nature très amicale.
Le seul qui soit un peu à l’écart, c’est Si’shui. Restant souvent posté près de son Kage, il ne paraît parler qu'en sa présence. Bref, il semble légèrement froid et asocial.
En réalité, il doit un peu l’être, puisqu’à Konoha, les shinobis froids et asociaux se retrouvent vite avec un fan club, et qu’une poignée de groupies tournent déjà autour du jeune homme. Mais généralement, il suffit qu’il aille chercher sa sœur pour que les jeunes femmes s’enfuient en courant.

La Ryuukage rentra alors dans le bureau de Tsunade, la sortant de ses pensées. Depuis qu’elles sont rentrées à Konoha, les regards des deux dirigeantes se tournent souvent vers l’Est, vers Kiri. S’ils ont gagné une bataille importante, les deux villages n’ont pas gagné la guerre. Et les derniers rapports portent à croire que les forces restantes du village de la brume sont plus importantes que prévues. Il faudrait un miracle pour que Kiri adopte une stratégie suicidaire, visant à raser Konoha en un seul coup, sortant toutes ses forces d'un coup. Mais Tsunade connaît le Mizukage. Sûr de ses forces, il restera tranquillement chez lui, envoyant ses troupes à l'abattoir, pour affaiblir le village de la feuille.


==A Kiri==
Assis à son bureau, le Mizukage a un sourire mauvais. Konoha a remporté une importante victoire sur eux, décimant ses troupes. Mais il est encore puissant. Des Sept Seigneurs Ninjas, deux sont morts2. Kisame a déserté, mais il a été efficacement… remplacé, par la découverte d'une épéiste hors pair. Ainsi lui, et les quatre autres sous ses ordres, sont assez forts pour écraser ce village minable. Il a le temps et la force pour une guerre d’usure.
Cependant, dans les couloirs du palais de l’Eau, on ne l’entend pas de cette oreille. La perte d’êtres chers marquent plus les shinobis qu’il ne faudrait, et si le Kage est un être insensible, son conseiller, qui vient de perdre à la fois sa femme et son gendre, ne l’est pas. Il rentre dans le bureau du chef de Kiri, bien décidé à faire signer un armistice, ou alors à raser Konoha définitivement, sans chance de perte.

-Mizukage-sama, quels sont vos plans ? demande-t-il, mettant tous les tons de respect nécessaires dans sa voix.
-Il faut continuer ce type d’offensive. Nos ninjas sont supérieur en nombre. Konoha s’épuisera avant nous.
-Mais… cela revient à sacrifier des milliers de ninjas !
-Mourir pour son pays est un honneur. Trancha le chef de l’Eau, glacial.
-Bien…

Feignant d’accepter, le conseiller ouvrit un dossier.

-Pour ce qui est des rapports de nos espions… il est dit ici que Konoha à éclairci le front, ne laissant que deux équipes en faction.

Ce détail stratégique capta immédiatement l’attention du chef militaire de Kiri.

-De plus, les missions banales ont reprit… et l’Hokage a donné lieu à une grande fête pour célébrer leur victoire.

Le Mizukage crispa les poings. Pour qui Tsunade se prenait-elle ? Elle n’avait pas gagné la guerre, aux dernières nouvelles !

-Les civils sont sortis des maisons de protection. La vie a repris normalement, et la rumeur voudrait… oh !
-Quoi ?
-Non, non…

Le Mizukage, particulièrement énervé par ces rapports, tapa du poing sur la table.

-DIS !!!
-Euh… et bien, il est dit que… la rumeur voudrait que vous vous soyez enfui devant les troupes de Konoha… et que le Mizukage de Kiri serait un peureux.

Tous les rapports cités par l’homme de confiance du Kage étaient faux. Mais le chef de l’Eau était quelqu’un de fier, et d’orgueilleux. En misant sur ses traits de caractères, le conseiller avait vu juste. L’homme se leva, frappant encore du poing sur la table.

-AH, C’EST COMME CA ?? JE SUIS UN PEUREUX ?? TSUNADE VA VOIR CE QU’ELLE VA VOIR !! Rassemble toutes les troupes !! TOUTES. Nous partons demain. Préviens les Quatre Épées. Konoha pliera dans six jours, même pas !!

Le conseiller sortit de la salle en souriant. Il avait réussi, avec brio. Le Mizukage était hors de lui. Assez pour oublier qu’Ame était à onze jours de marche de Konoha.

Les cris du Mizukage n’étaient pas tombés dans l’oreille d’un sourd. Avec un sourire derrière son masque, l’ANBU dépêché sur place se mit en route vers Konoha.


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L'éclaireur de Kiri revint vers son camp un sourire aux lèvres. Tout était comme les rapports l'indiquaient. Il n'y avait pas eu de troupes conséquentes aux frontières, et maintenant, il venait d'apercevoir la mise en place de la fête de célébration à Konoha. Le Mizukage serait content. Konoha tomberait vite.

Partagé entre fureur et ravissement, le Mizukage envoya balader l'espion. Tsunade l'avait sous-estimé. Ce serait sa dernière erreur.
Il rassembla son état-major pour confirmer et redéfinir les dernières manœuvres. L'armée n'était qu'à trois jours de marche du village caché du feu, à présent.

Puis il convoqua les Quatre Épées. Les derniers seigneurs fidèles à Ame.
Il y avait Saichô, l'épéiste de feu. Son sabre ardent brûlait tout ce qu'il touchait. C'était un homme vaillant, qui prenait plaisir à tuer le plus lentement possible.
Puis venait Ryûdo, et son épée de glace. Meurtrière. Et le Seigneur de l'Épée était à son image. Froid et renfermé, d'une beauté… glaciale.
La double épée de Takuya n'avait jamais failli. Son physique et son prénom à tendance féminine ne lui valaient plus aucune remarque, au vu des capacités meurtrières qu'il avait développé.
Quant à l'Épée d'Eden, la seule femme des Sept seigneurs, elle ne la montrait qu'a ceux qu'elle éliminait. Donc aucune information… aucune rumeur. Aucun regard ne permettait d'émettre ne serait-ce qu'une hypothèse. Un ruban de soie dans son dos cachait l'arme au regard des curieux.
Le Mizukage sourit. Eden était la seule femme dont l'épée égalait la sienne en réputation. Pas de survivant…
Il caressa distraitement le pommeau de celle qui pendait à son côté. Quatre Épées, un Seigneur… Konoha n'avait aucune chance.

-Ma Dame, Messieurs, Konoha est à nous.

Un sourire machiavélique s'inscrivit sur chacun des visages des épéistes.

-Détruisez tout.

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1 village de l’écaille
2Zabuza, et pour l'autre ,je parle de Raiga, pour ceux qui suivent les animes.




héhé... encore des combats en perspective... Et j'adore Sora!!!
arwen00710: en même temps, c'est toi qui la créée... =="
TU PEUX PAS ME LAISSER GERER TOUT SEUL??
arwen: bah, non!! t'es mon piti frère!! *ébouriffe les cheveux*
Snif... à l'aide...




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