Un petit couple bien mignon...


Fanfiction Naruto écrite par Shika-love (Recueil de Shika-love)
Publiée le 28/04/2011 sur The Way Of Naruto



Et c'est parti pour le deuxième chapitre ! Juste une précision sur le titre... "la souris" désigne ici Hanabi, et "le poussin" est Konohamaru. C'est qu'en fait, j'avais aucune idée pour le titre (j'aurais voulu mettre "chapitre numéro 2 " mais c'était déconseillé...--' )
Bon... rien à dire... à part "vive mon petit frère et ma petite sœur", je vois pas ce que je pourrais dire... Aller, un p'tit coup de pub me fera pas de mal ! Alors : avis aux amateurs, ceux qui ont aimé mon premier chap' de Hanabi et Konohamaru, et aux autres bien sûr, allez voir mes autres fics ! Perso, je les aime bien ( en même temps, c'est moi qui les ai écrites, alors ça s'comprend...) Moi, j'dis ça, j'dis rien... Mon frère (Deidamaru sur WoN pour les intimes) a bien aimé mes autres fics, mais bon, c'est son avis... et le mien aussi ! ( Quel vantard je fais... c'est pas la modestie qui m'étouffe, c'est sûr...)
Bon, j'arrête de vous saouler, ok ok, je stoppe mon blabla, d'accord ! Enjoy your lecture !



Chapitre 2: La souris et le poussin...



"- Entre, Konohamaru !
Hanabi était tout simplement magnifique. A croire qu'elle allait à une fête chez le Hokage ! Elle avait relevé ses cheveux de jais en chignon dans lequel étaient plantées deux baguettes ; sous un petit boléro lilas, elle portait un tee-shirt blanc, sur lequel une multitude de paillettes argentées dessinaient un cœur. Par-dessus un leggings noir, une courte jupe violette, qui allait en accord avec le gilet lilas. Le soin apporté au choix de la tenue était visible. Mme Hyûga surgit brusquement devant les enfants, et fit sursauter Konohamaru.
- Alors c'est donc toi Konohamaru ? Tu es très bien habillé ! Ma petite Hanabi m'a beaucoup parlé de toi !
- Maman !
- Qu'y a-t-il ? Allons, fais donc visiter la maison à Konohamaru !
La petite fille s'exécuta de bonne grâce. Les deux enfants traversèrent un petit couloir, décoré des portraits de famille. Ils arrivèrent dans une grande pièce, la salle d'entraînement. Justement, Hinata exécutait les 64 poings du Hakke sur un mannequin devant un Naruto admiratif.
- Bonjour grande-sœur Hinata, bonjour Naruto, salua Hanabi.
- Bonjour, Hanabi, répondirent les deux ninjas.
- Hum... Bonjour ! Salut Naruto ! dit Konohamaru.
Naruto renifla et dit d'un ton moqueur que "Ça sentait l'amour à plein nez !". Le petit-fils du Hokage détourna la tête pour ne pas montrer qu'il rougissait.
- On continue la visite ? proposa Hanabi.
- Bien sûr !
- D'ailleurs, Hinata et moi, on va... hum... commença Naruto, gêné.
- ...rejoindre ma chambre... parce que... hum hum... voilà, termina Hinata."
Konohamaru et Hanabi se regardèrent et se firent un sourire complice. Les quatre ninjas sortirent par une porte coulissante et passèrent devant le salon. Ils prirent un escalier, recouvert d'un tapis de velours rouge qui étouffait les bruits de pas. Tout respirait le luxe dans la maison des Hyûga. Konohamaru avait entraperçu la décoration du salon... du grand canapé, à l'armoire vernie remplie de vaisselle d'argent, de la longue table de chêne massif au lustre majestueux de cristal... on comprenait que les Hyûga appartenaient à une classe sociale élevée. En haut de l'escalier, il y avait trois portes. La première menait à la salle de bain privée d'Hinata et d'Hanabi ; la seconde donnait sur la chambre de l'ainée et la dernière porte était celle de la chambre de l'amoureuse de Konohamaru.
"- Bon, à tout à l'heure ! dit précipitamment Naruto en poussant Hinata dans sa propre chambre et en la suivant de près."
Il claqua la porte derrière eux, mais les deux enfants purent entendre des gloussements d'excitation (attention, aucun sous-entendu sur leur activité !). Hanabi entra dans sa chambre. Elle était meublée d'un lit, d'une petite bibliothèque remplie de livres, d'un bureau parfaitement rangé, et d'une petite commode contenant ses vêtements. Hanabi s'assit sur le lit, et invita Konohamaru à le rejoindre. Docilement, il se posa à côté de son amie.
"- Konohamaru, je... je suis très heureuse de t'avoir invité, et je vais donc profiter de ce moment où on est tout seuls pour... mmh... pour...
Le garçon sentit son cœur battre plus fort. Il mit sa main sur celle de la petite fille et la regarda gentiment. Tous les deux étaient rouges comme des tomates.
- Hum... Konohamaru, je... je t'aime.
Elle leva ses yeux diaphanes remplis d'espoir vers l'élu de son cœur et lui sourit. Le petit garçon se racla la gorge et dit posément :
- Moi aussi, Hanabi, je t'aime, de tout mon cœur.
- Si tu savais comme je suis heureuse de l'apprendre ! J'avais si peur que tu n'aies pas les mêmes sentiments que moi...
- Ne t'inquiète pas, je serai toujours là pour toi.
Et là, Konohamaru prit Hanabi dans ses bras et la serra tout contre lui. Ils vivaient le meilleur moment de leur vie, du moins se l'imaginaient-ils. La jeune fille se lova dans ces bras protecteurs, et posa sa tête sur ces épaules qui l'accueillaient. Soudainement, on toqua à la porte. Les deux enfants s'éloignèrent vivement l'un de l'autre. Mme Hyûga apparut dans l'encadrement de la porte et leur sourit.
- Mes amours, un camarade a sonné et demande à vous voir...
- Merci Maman, on arrive...
La mère referma la porte, et le petit couple se regarda.
- Qui cela peut-il bien être ? demanda Hanabi.
- En plus, il sait que je suis ici...
- Allons voir !
Ils descendirent du lit, et coururent vers les escaliers. Mais, dans sa précipitation, Konohamaru s'érafla la cuisse sur l'angle de la commode. Il plissa les yeux pour ne pas pleurer, mais se cramponna la jambe avec ses deux mains. Lorsqu'ils arrivèrent devant la porte, ils l'ouvrirent et ne virent personne. "Sûrement une mauvaise blague", dit Hanabi à son ami. Puis elle remarqua qu'il se tenait la cuisse avec douleur.
- Oh, tu t'es fait mal ! Viens, je vais désinfecter la plaie.
En effet, une tâche sombre s'élargissait sous les doigts du "grand" blessé. Ils remontèrent les escaliers, et Konohamaru s'assit sur le rebord de la baignoire, dans la salle de bain.
- Où as-tu mal précisément ?
- Mmh... Vers... vers le haut de... de la cuisse, articula-t-il péniblement. Pourquoi un simple angle d'armoire me fait-il si mal ?
- Oh, c'est un délire de mon père. Quand j'étais petite, je fonçais n'importe où dans la maison, sans regarder où j'allais, je courais vite... et immanquablement, je me cognais aux coins des meubles. Alors mon père a décidé d'affûter les angles pour m'obliger à faire très attention.
" C'est quoi cette famille de dingues où le père est sadique envers ses enfants ? N'empêche, ça fait mal..." pensa Konohamaru. Il remonta le bas de son bermuda en haut de sa cuisse, mais ça coinçait.1 "
- Euh... il faut que j'enlève mon bermuda, dit le garçon d'un ton qui n'était ni une question ni une affirmation.
Son amie hocha la tête en rougissant. Alors le petit homme déboutonna sa braguette (je sais, une braguette ne se déboutonne pas, mais ça fait mieux que "il baissa sa braguette"...) et abaissa lentement son pantalon. °Ouaiiiis ! J'ai mis mon caleçon préféré, le plus beau de ma collection !° Ce boxer était moulant, noir avec de fausses éclaboussures blanches et portait la marque d'Éminence. Hanabi remarqua que Konohamaru était vraiment mignon en boxer et chemise. Imaginez un beau gosse de 10 ans, un petit canon, cheveux de jais, petits pectoraux et abdos, des yeux doux et profonds et vous avez Konohamaru. On voyait ses muscles abdominaux parce que la chemise était entrouverte. Hanabi resta figée devant ce corps magnifique, mais se ressaisit.

Elle banda la cuisse de Konohamaru avec soin et se redressa lentement, pour mieux contempler son amoureux. Puis elle soupira et rangea le désinfectant dans un placard, nettoya les gouttes de sang tombées par terre tandis que Konohamaru regardait ailleurs. Il n'avait pas l'air d'avoir très envie de se rhabiller... On le comprend. Hanabi s'était lissé les cheveux, et ils paraissaient plus soyeux encore que d'ordinaire. Le jeune garçon aurait bien voulu les caresser ; et son amie s'était vraiment bien habillée. C'était un supplice pour Konohamaru que de voir son amoureuse si près, mais pourtant inaccessible au toucher.

_Note de l'auteur_/ Il n'y a que 1242 mots... sur 1500. Comment faire ? Vous qui lisez ma fic, lorsque vous verrez ces lignes, ça veut dire que ma fic a été acceptée et que les 1500 mots sont présents. Mais pour le moment, je suis dans l'impasse... Dieu de WoN (DabYo), Dieu des fics (Hum... Personne) aidez-moi ! Que tous les anges du ciel m'aident s'il vous plaît ! #"#" Fin de ma note...

Konohamaru, toujours en caleçon, s'approcha doucement d'Hanabi. Celle-ci tressaillit, mais sans le regarder, elle avait les yeux baissés. Le petit continua de s'avancer, inexorablement, et, arrivé à 10 centimètres de son amie, il tendit les mains vers celles de la jeune Hyûga. Elle leva lentement les yeux, et mit ses mains dans celles, tendues, de son amoureux. Alors, prenant une grande inspiration, Konohamaru déposa délicatement ses lèvres sur les lèvres D'Hanabi. Leur baiser dura quelques dizaines de secondes.

"- Les enfaaaaaants ! cria un baka de première classe en déboulant dans la salle de bain. Ouuuups...
Naruto venait de surgir, avec Hinata, et avait tout vu de leur échange passionné. Il sortit à reculons et referma la porte derrière lui.
- Hinata, qu'as-tu vu ?
- Heu... rien, Naruto-kun... Pourquoi ?
- Non, pour rien... Tu sais si Hanabi sort avec un camarade à elle ?
- Non, car Père lui interdit toutes sortes de contacts avec d'autres hommes ou jeunes hommes avant qu'elle n'ait eu ses 15 ans."

Konohamaru et Hanabi s'étaient vivement écartés, mais Naruto avait quand même pu voir la scène. Mais au fait, que voulait-il leur dire ? Les deux enfants se regardèrent avec tendresse, aucun d'eux ne réalisaient vraiment qu'ils vivaient un moment unique, et un amour fort. Ils sortirent de la salle de bain, et rejoignirent les deux adolescents dans le salon. Konohamaru demanda à la grande sœur Hyûga pourquoi Naruto était venu les voir. Elle répondit que c'était l'heure du goûter et que Mme sa mère les attendait dans la cuisine pour boire un bol de lait et manger des tartines de Nutella.

"- Ça va, les enfants ? Que voulez-vous ? Du chocolat Nesquik ? Du miel ?
-...
- Vous ne répondez pas ? Oh, vous être trop timides, voyons !
-...

La mère continua toute seule de parler, faisant la discussion pour trois. Au bout d'un moment, voyant qu'aucun des deux ne lui répondait, elle leur demanda d'un ton sévère :

- Vous vous être embrassés ? Hanabi ! Tu sais bien que ton Papa ne veut pas ! Et toi, Konohamaru, tu enfreins les préceptes de notre clan ! Où avez-vous la tête ? Il faudra que j'en parle à ton père, Hanabi ; et toi, cher petit, tu ferais mieux de craindre sa colère !



[1] "Mais ça coinçait" ---> Vous avez sûrement déjà essayé de remonter votre pantalon pour voir le haut de votre cuisse ? Et bien, la plupart du temps, la cuisse est trop grosse, donc pour en voir le haut, il faut enlever complètement le pantalon... Si vous n'avez toujours pas compris, demandez à quelqu'un d'autre.





Petit clin d'œil à Vewtwo pour la scène de la salle de bain... Ça y est ! Ils se sont avoué leur amour !!! Et vous avez appris la vérité sur Konohamaru : il collectionne les slips ! --' Il en a précisément 72. La description que je vous ait faite, j'y est pris du plaisir à l'écrire ! Mais que va-t-il se passer ??? Mystère... Hé hé hé !