Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: La charmeuse de démons

J'ai toujours su que j'étais bizarre. C'est vrai quoi, les gens normaux ne contrôlent pas les éléments! Mais ce n'est pas cela qui a fait basculer ma vie. C'est cet homme, Hattake Kakashi. Il m'a fait douter sur de nombreuses questions. Depuis, il n'est pas un jour sans que je me demande qui je peux bien être? (Faites pas attention au résumé, je suis nulle pour en faire. (cette fiction est aussi postée sur www.fanfiction.net, pour les curieux qui aimeraient la lire plus rapidement) Oops, j'ai
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Narsha (Féminin), le 01/01/2011
Je ne vous ai pas oubliés! Pour fêter l nouvelle année, j'ai enfin terminé ce long chapitre et j'en entame un autre qui vont conduire l'histoire de plus en plus vers sa fin.

Merci pour tous ceux qui m'ont mis des coms, c'est super gentil

Narsha




Chapitre 33: les visons du pouvoir



Cette voix appartenait à Konusuke Yamato. Mais sa question me permit de déterminer deux choses. D'une part, Kyuubi semblait avoir plus de « présence » que la charmeuse de démons. D'autre part, ses manières n'étaient plus ni celles qu'il avait eues envers moi déguisé en Deidara, ni celles de l'homme qui semblait sans aucune ressource physique. Il agissait comme un homme confronté à un autre homme. Dans ses yeux verts, je voyais poindre une colère froide. A travers l'ouverture que j'avais laissée dans mon foulard, je distinguais sa silhouette élancée, enfermée dans une armure brillante et de la maille ressortait à chaque endroit non protégé. Je n'attendis pas qu'il continue son monologue. Je déplaçai mon corps jusqu'à obtenir une garde parfaite et lançai quelques aiguilles vers les jonctions de sa tenue. Je vis passer un léger éclair de peur dans ses yeux. Puis il sortit un kunai. Celui-ci tinta plusieurs fois lorsqu'il intercepta mes projectiles dans un mouvement lent et maladroit.

_ Je vous le demande encore une fois poliment : qui êtes-vous ?

Je ne répondis toujours pas. Naruto à côté de moi avait fini par se libérer et se lança en avant. Konusuke recula de quelques pas, tandis que l'adolescent blond franchissait la distance qui le séparait de son ennemi. Soudain, je vis les yeux de notre adversaire luire d'une lumière malsaine, et ses iris s'écharder de paillettes d'ambre et d'or et virer petit à petit au jaune. Et je sus instinctivement dans mon corps ce qu'il allait faire. Cette technique… Cela ressemblait à mon magnétisme. Encore une question à laquelle je devais trouver une réponse. Je me jetai en avant pour intercepter l'inconscient qui courrait toujours, un orbe tourbillonnant à la main et deux clones qui le suivaient. Je ne savais pas lequel des trois était réel. Je me déplaçai le plus vite que mes sceaux à mes poignets me le permettaient. Il m'en restait un d'actif, ce qui me garantissait une réserve de la moitié de mon énergie. Je saisis un coude alors qu'il courrait, et le tirai en arrière. Il tomba sur moi de tout son poids et son visage reflétait l'incompréhension. Pauvre petit ! Sa tête heurta brutalement mon plastron flexible qui s'enfonça brutalement, chassant l'air de mes poumons et enfonçant par la même occasion une aiguille dans le cou du jeune homme. Après un moment d'effroi, je soupirai de soulagement. Un clone. Mais cela voulait dire que…

Konusule leva ses bras dans un mouvement ample. Sa cape voletait autour de ses épaules et de son dos, le faisant passer pour une chauve-souris foncièrement stupide. Mais le mal était fait. Ses mains jaillirent, nimbées d'une lumière d'or et les paumes de l'homme se posèrent sur le front de chacun des Naruto. Lors d'un instant où je n'osais pas bouger, je distinguai comme les contours de quelque chose à l'intérieur de chaque chose, dans moi, dans Naruto, dans Konusuke… Comme, une âme… Chacune avait une couleur particulière. Pour Naruto, elle était bleue avec un noyau rouge qui pulsait, sans doute le démon. La lumière qui émanait des mains de Konusuke se divisa en filaments qui enserrèrent l'âme du garçon. Lors d'un instant, ils se retrouvèrent tous connectés, et affichèrent la même expression neutre. Je remarquai à ce moment la jeunesse de Konusuke. Il ne devait pas être beaucoup plus âgé que Naruto. Puis la lumière dorée sembla disparaître dans l'âme de Naruto. J'espérais un instant qu'il l'avait vaincu et qu'il se relèverait bien vite.

Son corps à genoux commença par tressaillir. Les deux garçons adoptaient la même attitude prostrée au sol. Le clone avait disparu durant l'opération. D'un même mouvement leurs mains se posèrent sur le sol. Leurs doigts se frôlèrent. Le genou de l'un toucha celui de son vis-à-vis. Leurs épaules étaient au même niveau. Les cheveux ébouriffés du blond m'empêchaient de voir la chevelure châtain de l'autre. Néanmoins je distinguais quelques boucles qui rebiquaient. Je me relevai rapidement. Naruto se tourna vers moi. Tandis que notre ennemi s'était redressé, je voyais le gamin avachi, ses bras pendant mollement devant lui. Il tournait le dos à son adversaire. C'est alors que je remarquai la teinte de son visage. Il était gris, comme décoloré. Je voyais les traits qui s'estompaient peu à peu, jusqu'à ce que sa face de comique ne soit plus qu'une surface lisse et mate où on distinguait de légers traits comme dessinés d'une main malhabile qui simulaient un visage. Sa figure était recouverte d'une lueur vaguement dorée que j'attribuais à Konusuke. Tel Konua, il était devenu une marionnette pour mon adversaire. Qu'allait-il se passer ?

_ Intéressant ce gamin, dit « Naruto » avec la voix de l'autre qui émanait de ce masque incolore. Je ne peux pas utiliser ses propres techniques, mais je peux utiliser son énorme réserve de chakra pour exécuter les miennes.

Le mannequin s'accroupit jusqu'à ce que sa main touche le sol. Une plaie s'ouvrir, légère, barrant sa paume. Une technique d'invocation. Je remarquais l'ombre qui se profilait au sol. Je me jetai en arrière. Je devais impérativement sauver Naruto. Quoi qu'il m'en coûte. Quand je relevai la tête, un énorme golem de pierre envahissait la clairière. Il devait faire au moins cinq mètres de haut. Une forme vaguement humanoïde, pas de visage. Sur sa tête était assis Naruto en tailleur, toujours dans le même état, à moitié avachi. Nonchalamment appuyé sur le cou de la créature informe, Konusuke me fixait de ses yeux moqueurs. Je sentis la colère m'enflammer un peu. Je pris quelques respirations lentes pour me calmer. Je devais rester lucide jusqu'au bout. Je sentais la charmeuse de démons s'agiter en moi. Elle était en train de me montrer toutes les possibilités pour tuer cet insolent. Une idée charmante, mais j'avais plutôt l'intention de l'interroger.

Mais avant de faire quoi que ce soit, je devais sauver Naruto. Où était Karasu ? N'avait-elle pas dit qu'elle surveillerait cet imbécile de Konusuke. Se pourrait-il qu'elle ait été… ? Qu’il l'ait… ? Je secouai la tête chassant la sueur qui commençait à couler le long de mon visage. Non, impossible. Il n'était pas assez bon ninja pour… Mais le doute s'insinuait en moi, et la graine qu'il avait semée germait dans mon esprit. Un instant, je voulus parler, révéler qui j'étais pour qu'il me dise où était mon amie. Le monstre en moi s'agita, et un instant, je perdis le contrôle de moi. Je me vis bondir à travers mes yeux, mais comme si j'étais était éloignée de mon propre corps en en gardant les perceptions. Mais étouffées, comme à travers une épaisse couche isolante.

La charmeuse de démons ne s'embarrassa pas de mes préjugés quant à l'utilisation massive de mes pouvoirs. Si puissance il y avait, il lui fallait l'utiliser. Elle me révéla les milliers de possibilités que je connaissais à mon corps sans jamais avoir voulu les appliquer, par peur. Oui, par peur. Peur du regard des autres. Peur des paroles des autres. Mais elle referma son poing… mon poing autour de quelque chose de doux. Quelque chose d'incroyable. Du vent. Plus je perdais le contrôle de mon propre corps en voulant observer l'incroyable spectacle, plus elle prenait le dessus. Etait-ce son plan depuis le début ? Mon corps couvert de vent trancha le golem en plusieurs endroits comme s'il ne s'était agi que d'une vulgaire motte de beure tendre sur pattes. Petit à petit, je reprenais le dessus sur mon corps. J'avais mal, je ne voulais pas lui céder. Mon corps, mon âme était à moi. A MOI !

Je retombai lourdement sur le sol. Le golem partait en morceaux. A travers mon masque, je regardai mes mains, mon corps. Tout était là, comme avant. Mais quelque chose avait changé, fondamentalement. J'entendis la charmeuse de démons feuler et se débattre en moi. Je me rappelais mon charisme que je n'avais pas utilisé depuis des lustres. Cette chose que je savais mienne. Je tendis la main vers le pantin-Naruto. Il se releva sous mon ordre. Je murmurai des phrases avec mon Magnétisme, si belles.

Son âme allait vers moi. Je voyais les liens qui nous unissaient, et ceux qui l'unissaient à Konusuke. Puis je vis les liens de Konusuke se parer de rouge et de noir. Le Kyuubi ! Il tenta de se défaire des liens, mais ceux-ci nous recouvrirent, comme de larges bandelettes de momies. Nous trois étions liés par l'âme du démon renard. Je sentis La charmeuse de démons rejeter cette puissance et aller se terrer quelque part dans un recoin de mon esprit. Elle pouvait peut-être charmer le démon renard à neuf queues, mais en aucun cas l'affronter en combat singulier ! J'attirais toute cette puissance vers moi. Et cette puissance tenta de me corrompre. Mes liens devinrent eux aussi noirs et rouges. Et je tombai dans ce monde psychédélique en rouge et noir. Des formes sans en êtres réellement. Et j'atterris dans ce cloaque maudit où était enchaînée l'âme du démon renard.

Je voyais à nouveau qu'on me montrait des possibilités de pouvoir. J'avançai et commençai à me laisser tenter par cette sensation grisante. Je pouvais être Reine. J'aurais tous les hommes à mes pieds. Mon cœur et mon esprit me montrèrent des images de Kakashi enchaîné, se tordant de douleur pour mon bon plaisir… Je voyais les Hokage s'incliner devant moi, et obéir aux moindres de mes souhaits. Je voyais tout Konoha et même plus s'aplatir au sol devant moi. Je portais une magnifique robe blanche, toute de dentelle et de voilures. Elle était blanche, avec une longue traine qui frottait sur le sol. Une voilette blanche voilait mon monde extérieur. J'étais belle, j'avais des formes féminines. Il y avait comme une allée face à moi, une allée pavée. De chaque côté, tous les gens que je connaissais qui se prosternaient et me craignaient. J'avais le pouvoir absolu. Je ne comprenais pas la scène que je voyais.

J'avais l'impression que l'évènement que je vivais en rêve ou en réalité était important. Terriblement important. Alors je marchais le long de cette allée claire. Malgré la peur qu'ils ressentent, les gens semblaient crier de joie. Je détestais la foule. Petite, j'avais fait de nombreux malaises et continuais d'en faire dans les lieux trop peuplés. Je me sentais nerveuse. Toutes mes perceptions étaient brouillées. Mais quelque chose en moi voulait vivre ce moment. Ce moment où tout le monde semblait m'aimer ou me craindre au point de me respecter comme une semi divinité. Cela n'avait-il pas été mon rêve de toujours ? Etre acceptée comme quelque chose au beau milieu d'un tout ? Moi Haruka, la solitaire, la marginale, celle que l'on adore détester parce qu'elle semble faible. Mais la vision ne s'achevait pas encore. Il y avait d'autres choses qui semblaient être nécessaires à mon bonheur. Ce bonheur que j'avais échangé contre l'oubli dans les bras d'un ninja masqué.

Je me retournais pour embrasser la scène du regard. Derrière moi, Sakura et Tsunade semblaient tenir la traîne de ma robe blanche. Avec un sourire, elles m'enjoignaient d'aller plus avant. Je ne comprenais pas. Une silhouette devant moi s'inclina avec un sourire charmeur. Je voyais Minato en costar cravate blanc qui me prit le bras. Nous marchâmes d'un même pas. Heureuse mais fébrile et curieuse, j'observai avec un sourire feint le paysage alentours. Ma main gantée de blanc reposait sur le costume plus clair de Minato. Je serrais son bras subitement, surprise par les pétales de rose rouges et blancs qui tombaient autour de nous dans une odeur de fleurs. Assez romantique en somme. Depuis quand n'avais-je pas pris le temps de poser les choses, de vivre un instant de douceur ? Je n savais plus. Tout autour de moi, Ino et Hinata avaient des paniers remplis de fleurs qu'elles essaimèrent sur nous. J'éternuai à cause d'un pétale qui avait atterri sur mon nez.

_ Tu es nerveuse, me demande Minato. Sa voix est étrange, comme désincarnée. Faite de mots qui n'avaient rien à voir dans un premier abord assemblés bout-à-bout.

_ Un peu. Je n'avais pas prévu qu'il se passe tout ça… (ma voix sonnait juste, pourtant)

_ Je te rappelle que tu as laissé toute liberté à ton prétendant pour la cérémonie…

_ Ah bon ? Mais quel…

_ Oui, je dois en convenir, lui et ses amis on des goûts un peu… fastueux. En même temps, j'imagine qu'après de nombreuses années en tant que déserteur, à fuir, ça donne des idées un peu…

_ Non, ce que je veux dire, c'est qui est…

_ Ecoute, tu es assez discrète sur tes histoires d'amour, ce n'est pas parce que les témoins ont dû faire des propositions pour savoir qui avait demandé quoi à quoi. Et puis vos histoires de couple…

_ Quelles propositions ? Et qu'est-ce que c'est cette histoire de témoins ?

_ Eh bien, il me semble que de ton côté, les témoins sont tes coéquipiers, Kentaro et Karasu. Ainsi que mon fils. Je te remercie d'ailleurs de l'avoir choisi pour faire le lien entre vous deux, il apportera les alliances. Du côté de ton futur mari, je crois que ce sont aussi ses partenaires d'équipe. Et son ancien Sensei.

_ Minato-sama, je crois que vous vous trompez, pour le mariage… Je ne suis pas sûre que nous avions les mêmes idées en tête, après tout je…

_ Mais si… tu voulais le faire aussi traditionnel que chez toi. Alors on s'est renseigné, et c'est le père de la mariée qui doit l'accompagner. En quelque sorte, je suis ton père adoptif, enfin…

_ Mais je ne sais même pas ce que je fais là ! Je veux partir d'ici !

_ Cesse d'être nerveuse, ceci est sensé être le plus beau jour de ta vie, Haruka.

Il lâcha mon bras et fit demi-tour. De ses mains pâles, il releva ma voilette qui brouillait ma vue. Et tandis qu'il s'en allait, je la vis. Sa main. Tendue vers moi. Sa bague bleue de membre de l'Akatsuki luisait au soleil. Ses ongles peinturlurés de vernis couleur prune. N'étant pas sûre de savoir ce que je faisais, je la pris. Elle se referma sur mes doigts, et il me fit monter le petit escalier de l'autel. Là où le prêtre aurait dû être, la place était vide. Je me tournais vers Lui. Il était beau, ses yeux rieurs et sarcastiques abordaient une émotion tranquille, et je le voyais qui était heureux. Il toucha ma joue avec douceur.

_ Tu n'es pas heureuse ? Tes yeux me montrent que tu es nerveuse.

_ Ce n'est pas ça, c'est que je ne comprends pas ce que…

_ Le prêtre, pour la cérémonie ? Il est introuvable. On le cherche partout mais on ne sait pas où il est.

_ Je ne te parle pas de ça, fis-je en enlevant sa main de mon visage, fusse-t-elle douce et désirée par mon cœur.

_ Désolé, ma chérie, j'oubliais que tu étais si attachée aux traditions de ton ancien monde. Mais tu es si belle, j'ai envie de t'embrasser.

_ Hein ? M’écriai-je en rougissant et en détournant le regard. A côté de nous les témoins de notre mariage s'esclaffaient de notre pudeur.

_ Deidara, lança, Sasori, la foule s'impatiente, il leur faut quelque chose à regarder d'intéressant.

_ Eh bien, fit ce dernier en me prenant la main, nous n'avons qu’à terminer la cérémonie tous seuls.

_ Quoi ! M’écriai-je.

Je me sentis soudainement nerveuse. Cette vision n'allait pas. Je ne voulais pas cela. Je devais retarder la cérémonie encore quelques instants.

_ Deidara, ce n'est pas la peine de tenter quoi que ce soit sans le prêtre, ta femme nous en voudrait à mort.

_ Ouais, c'est un vrai dragon, acquiesça Kentaro.

_ Si elle est comme ça au lit, j'en veux bien, renchérit le marionnettiste.

Ces abrutis se mirent à rire. Je me retournai, furieuse. Je devais sortir d'ici. Sur l'autel du prêtre, quelqu'un avait collé un morceau de papier avec des signes. Je reconnus un sceau. Tobi s'approcha de moi. Je murmurai son vrai nom et il acquiesça. C'est alors qu'il retira son masque. Et j'y vis ses yeux rouges et luisants. Ils étaient comme un avertissement. Je me sentis repoussée mentalement en arrière.

J'étais de nouveau dans le cloaque. C'était la réalité. Mais j'étais toujours enchaînée par les queues du monstre. Il voulait que j'enlève le sceau. Et quelque chose explosa au fond de moi. Je me rappelais la nuit où Madara avait tenté de détruire Konoha. La nuit où la charmeuse de démons m'avait aidée à enfermer le démon dans le nourrisson tandis que Minato affrontait l'homme aux sharingans. Et lorsque celui-ci, sachant qu'il avait perdu, avait tenté de détruire mon esprit avec le pouvoir de ses yeux, ne réussissant qu'à augmenter le pouvoir de la charmeuse de démons. Toute ma mémoire que j'avais perdue et qui ne me revenait qu'en lambeau réapparut, intacte, car le pouvoir du démon avait brisé le sceau qui confinait les souvenirs de mon passé à Konoha.

Mes doigts caressèrent le sceau et je me retrouvai à nouveau dans cette cérémonie. Mais quelque chose avait changé. Quelqu'un traversait la foule et me sautait dessus. Konusuke. Il avait un poignard à la main. Et lui, Naruto et moi étions liés par des rubans de pourpre et de ténèbres. La lame du kunai qu'il tenait à la main se posa sur mon cou. Et le monde qui m'entourait, qu'il soit onirique ou réel disparut d'un seul coup.




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