Fiction: Que son rêve devienne réalité

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Konohamaru voyait très bien la scène, il la voyait oui mais il n’était pas encore conscient du danger, ses joues étaient encore chaudes de la caresse d’une déesse maléfique. Il contemplait la sphère lumineuse s’approchant de lui, il discernait Naruto donnant toute son âme dans cette technique. Il sentait encore le parfum brûlant et alcoolisé de leurs danses provocantes, il pensait aux doux câlins de sa mère puis le sourire protecteur de son grand père.

-« Rasengan !!! » Cria Naruto en frappant de plein fouet l’abdomen de son adversaire. Konohamaru tourbillonna à grande vitesse sur une centaine de mètre, percutant violemment la porte principale du village qui s’ouvrit dans un fracas sourd. N’ayant plus conscience de son propre corps, il percuta le sol d’un son étouffé et roula sur une terre poussiéreuse dont il laissa la trace d’amorti de son corps vaincu et gisant. Naruto qui retomba les pieds sur terre s’aperçut de la démesure de son attaque :

-« Gloups…Konohamaru ? Konohamaru ?!! Je crois que j’y suis allé un peu fort… » Dit il en se grattant la tête.
-« Vu la projection de son corps, à mon avis il est mort. Mais rassure-toi, si tu veux que je te console, tu devras devenir à jamais mon idole ! Yeaah !» lança Bee sorti de nulle part son index et son auriculaire pointé au ciel.
-« Raaah ! Arrête de déconner ! J’y suis allé doucement pourtant ! Merde, merde ! » Naruto s’agitait comme un pantin désarticulé et dans sa réflexion profonde il conclut : « Mais, tu as peut-être raison ?! Je lui ai peut-être éclaté le foie ! AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh ! Konohaaaaaaaaaamaruuuuuuuuu ! » Il s’élança vers son ami mais en atteignant l’entrée principale, Naruto percuta dans bruit étouffé deux ombres. Il chuta sur les fesses comme un vulgaire sac à patate.
-« Aouch… Mais… ! », Kakashi et Iruka-sensei le regardaient tous deux d’un air noir et sérieux.

Debout devant lui, Naruto rampa à terre comme une poule mouillée et se releva après mainte maladresse :

-« Oh ! Non, non, non, non ! Ce n’est pas ce que vous croyez ?! Je n’ai pas fait exprès, il m’a défié et… »

La sueur coulait à grosses gouttes le long de son visage, quand Ebisu apparut à côté du corps inerte de Konohamaru, son regard encore plus sévère que ses compères fit sortir inopinément un rire jaune à Naruto qu’il ravala très vite en voyant le visage pas commode d’Iruka-sensei.

-« Il parait encore plus menaçant qu’à l’académie » pensa Naruto.

Soudain Ebisu fit volte face à Naruto. Puis Konohamaru se releva doucement, avec si peu d’énergie que l’on eut cru qu’il était aspiré dans les airs. S’appuyant sur la main droite, il détendit ses genoux et se tint droit devant Naruto en portant une main sur son ventre. La tête baissée, Naruto était incapable de lire la moindre expression sur son visage, le voir se relever sans aucune émotion déchiffrable dans son corps l’inquiétait encore plus que de l’avoir cru mort. Un nœud se formait dans sa gorge, son corps se mit à trembler. Naruto en était certain il avait commis l’irréparable.
Mais à peine voulut-il se faire pardonner que Konohamaru se redressa vigoureusement, les deux bras croisés derrière la tête et le sourire radieux il déclara : « Bravo Naruto. Te voilà maintenant Hokage. ». Bouche-bée, Naruto rechercha de son incompréhension parmi les autres mais il ne vit que d’immenses sourires emplis d’approbations. Même Killer Bee avait sorti son sourire étincelant.

-« Qu’est-ce que tu racontes ? Je…suis Hokage ?! » S’abasourdit le blondinet.
-« Le conseil de Jounin a validé ta nomination au poste de 6ème Hokage. Tout le monde t’a choisi Naruto. » Informa Ebisu.
-« Et La vieille Tsunade, que va-t-elle devenir ?! » ;
-« Ne te pose pas de question. Observe et profite avant d’assumer ta fonction car te voilà dans le pays de tes rêves » conclut Kakashi la main sur l’épaule de son ancien élève et coéquipier.

Moegi et… qui espionnait la scène de derrière un lampadaire lancèrent le signal des festivités. Des guirlandes apparurent au dessus des immeubles et colorèrent le ciel de milles couleurs, des confettis et des lampions brillaient tout le long de la grande allée menant au centre de Konoha. Les hommes, les femmes et les ninjas sortirent par milliers des rues adjacentes en criant leur joie. Anko déroula d’un coup sec un resplendissant tapis rouge. Tout le monde était présent et criait son nom. Naruto faisait face à cette bande vermeille représentant l’infime distance qui le séparait de son rêve de son Nindô. Si on lui avait dit plutôt que son parcours se finirait en traversant l’avenue principale de son village natal il aurait évité toutes ces facéties et ces vandalismes. Ce n’est pas ça qui l’avait rendu heureux, non. Le rire espiègle de Kiba ou Chôji résonnait encore dans les salles de l’académie du passé. Tous les souvenirs de la démonstration de son Nindô défilait dans sa tête : Le jour où il mangea pour la première fois à Ichiraku avec Iruka senseï ; la promesse qu’il s’était faite en transperçant sa main de son Kunaï ; sa victoire contre Kiba qui le traitait de Cancre, celle contre Neji le génie. Son affrontement contre tanuki pour sauver Sakura ; sa confrontation contre Tsunade pour défendre le respect des Hokage ; et ses paroles qu’ils répétaient encore et encore : « Devenir Hokage c’est mon rêve. », « Je ne mourrais pas avant d’être devenu Hokage ! », « Je ne reviens jamais sur ma parole c’est comme ça que je conçois mon Nindô ! ».
Fébrile et ébahi, Naruto se traîna en direction du bâtiment du Hokage sous les applaudissements des habitants, les félicitations des Ninjas et l’ovation de la foule. Une fois arrivé sur le toit de la maison mère, il aperçut à sa grande stupéfaction une estrade sur lequel reposait un magistral siège curule au long dossier orné de parures d’or et d’argent. Une jeune Tsunade lui apparut un encensoir à la main :

-« Tu avais raison Naruto, je suis trop vieille pour détenir cette fonction. Dorénavant, je pose tous mes espoirs sur toi pour réaliser ton rêve. Le titre de Hokage, C’est un privilège. Je le laisse aux indestructibles. » Déclara-t-elle en l’encensant de gauche à droite.
-« Nawaki, Dan, regardez-le : il va enfin réaliser votre rêve avec la même ferveur que vous aviez auparavant. Tu as formé un excellent Hokage, Jiraya, sois-en fier d’où tu es. » Pensa-t-elle. Une larme de mélancolie glissa jusqu’aux commissures de son sourire. Tsunade embrassa pour la seconde fois Naruto sur le front en lui chuchotant :

- « Sois un Hokage formidable. » ;
-« Mon père était le Yondaime et Jiraya mon Sensei. Alors ne vous inquiétez pas, je pense avoir hérité de leur grandeur…Et...Euh… Tsunade. Vous n’êtes pas obligée de vous montrer sous de tels attraits. Regardez, Jiraya n’est plus et me voilà à votre place. Acceptez le cours de la vie, acceptez le cours du temps. Je suis certain que je vous trouverais toujours aussi ravissante. » Affirma-t-il ;
-« Je le sais…mais il me trouvait si jolie…Et puis regarde-les ! Ils bavent tous en me regardant et les femmes sont jalouses de mes formes généreuses. Je ne leur ferais pas le plaisir de te paraître immonde et repoussante par rapport à toute cette pelleté de jolies Kunoichis ! Tsss. Pense un peu à l’Orgueil Féminin !... Merci pour tout Naruto. »Les deux ninjas s’échangèrent un sourire complice et affectueusement, Tsunade recula pour laisser place à la suite de la cérémonie. Naruto monta les trois marches le guidant vers le trône et pivota vers la foule. Tout le monde l’acclamait et l’applaudissait avec espérance. Alors il sut que c’était eux qu’ils l’avaient choisi. Toutes ces couleurs et cette ovation lui chatouillaient les sens. Malgré ces larmes aux yeux, son sourire radieux se déploya telles les ailes d’un Ange près à s’envoler pour le Paradis. La stupéfaction fut à son comble lorsque sa promotion de ninja s’aligna devant lui pour s’incliner devant lui. Les ninjas de Suna s’ajoutèrent à la foule. Oh que oui, il était heureux, tout le monde était là pour lui sans exception : Lee, Neji, Ten Ten, Shino, Kiba, Hinata, Chôji, Ino, Shikamaru, , Kankurô, Temari, Gaara...

-« Il y a même Iruka, Sakura, Kakashi et Sasuke !... Non… Pas Sasuke ; Pensa indûment Naruto, et Jiraya n’était pas là non plus ; Ah Sasuke…J’aurais tellement voulu que tu sois là. Avec eux : le sourire aux lèvres. J’aurais voulu que tu me voies réaliser mon rêve, que tu sois fier de moi mais en ce moment tu te moques pas mal de ce qu’il peut m’arriver pas vrai ? Devenir Hokage, ne pas tenir ses promesses à l’amour de sa vie et perdre son meilleur ami…Alors c’est ça le résultat de mon nindô ?! Merde…pourquoi en sommes nous arrivé là ?! Comme si le monde des ninjas avait décidé de nous lancer une malédiction. On aurait pu la rompre grâce à notre Amitié tu sais ?! En plus regardent les tous ! Ils…ils m’admirent ! Je dois tenir une promesse : Adieu les Senju, adieux les Uchiwa et bonjour Konoha… » Tandis que Naruto tergiversait, quelques genins étaient venus lui remettre la coiffe de Hokage qu’ils déposèrent sur sa douce chevelure blonde. Une explosion d’applaudissement et de jubilation détonna en une indivisible voix. Pourtant Naruto se redressa lentement de son siège, les yeux tournés vers le sol, une ambiance pesante fi place à un silence de mort dans l’assemblée. Chacun semblait intrigué et se retrouvait confus entre la gaieté et l’appréhension. Le corps tremblant et le poing serré, le jeune promu semblait abattu et c’était le cas.
Son poing se desserra fébrilement laissant ses doigts pendouiller inertes comme de simples brindilles de bois :

-« Je sais que par le passé, mon démon et moi, vous avons mis en péril et surtout fait beaucoup souffrir. Comme l’attaque de Kyûbi il y a 17 ans, la traque d’Akatsuki qui nous enleva Asuma-sama et Ero senin…et aujourd’hui mon attachement trop profond à Sasuke… je sais qu’il devient une menace non négligeable pour le village mais quand je repense à nos missions ensembles et l’équipe 7, je…je ne peux m’empêcher d’espérer qu’un jour il revienne au village purgé de sa noirceur. Il s’est un peu laissé emporter par la colère c’est vrai ! Mais n’auriez-vous pas fait comme lui si… vous aviez perdu toute votre famille, vos parents, votre bien-aimé, vos amis, votre frère ? La haine est un état que nous ne pourrons jamais éradiquer complètement. Pourtant Ero senin a cru dur comme fer à un futur où nous vivrons dans une entente mutuelle et paisible. Alors si vous êtes incapables de refouler vos bas instincts, je le ferais pour vous tout comme j’ai promis de le faire pour Sasuke. Oublier tout ce qui vous inquiète : je saurais m’en débarrasser par la force de mon âme, n’est-ce pas ça être un Hokage ? Car l’homme incapable de protéger ces amis qui on su l’accepter à sa juste valeur, qui lui ont rendu services toute sa vie et qui l’ont suivi dans ses plus grandes erreurs sans le juger mais en l’élevant vers le haut ; celui là ne mérite pas le titre de Hokage. Je veux ressentir encore une fois votre amour tout comme lorsque j’ai vaincu Pein. Quand je vous ai vu m’accueillir les bras ouverts, le regard plein de chaleur, comme aujourd’hui, oh oui !... J’étais aux anges. Mais je veux que vous nous pardonniez une bonne fois pour toute alors je vais répondre à vos exigences. Car oui, Kyûbi et moi sommes indissociables, quoi que l’on fasse, je serais toujours un peu celui qui a détruit votre vie cette nuit là. Mais ne vous inquiétez pas, j’ai appris à le dompter et il ne nous fera plus aucun mal. Pour être absous de ses péchés il va me prêter son pouvoir et ensemble, nous éliminerons Sasuke Uchiwa. En m’opposant à mon ami je vous promets que vous n’entendrez plus parler d’Akatsuki, de guerres, de deuil, de haine, de mal. Nos ancêtres ont su faire pousser Konoha et ses feuilles fructueuses mais trop jeunes que nous sommes. Il ne nous manque plus qu’à nous épanouir. Je vais faire resplendir notre village et j’entraînerais nos feuilles, au plus haut dans le ciel, dans un tourbillon de vent, à la vitesse de l’éclair jaune, avec la force prodigieuse d’Habanero la Sanglante : en tant que Hokage Orange de Konoha ! ». Sur ces dernières paroles, Naruto enfila sa coiffe de Hokage, descendit les marches et avança droit devant lui, remontant le tapis rouge de ses rêves.

La foule s’était tu. A proprement parler, tout le monde avait du mal à croire ces mots. Ils se sentaient tous coupables de quelques choses et pour la première fois, l’éventualité d’épargner Sasuke et de croire aux anciens espoirs de Naruto s’attardait dans leur esprit. Comment avaient-ils pu être aussi cruels avec l’unique-survivant-des-Uchiwa-seul-contre-tous » ? Il fallait se faire pardonner. Shikamaru qui était arrivé à temps pour la cérémonie avec ses compagnons se posait lui aussi des questions dont il avait l’air d’avoir les réponses :
-« Pourquoi avons-nous cherché à s’immiscer dans sa vie ? N’avons-nous pas fait assez de mal à Naruto par le passé pour cela ? » ;
-« Ce n’est pas qu’une question d’amitié et d’investissement Shikamaru. » lui rappela son père. Sa mère qui se tenait à côté d’eux paraissait elle aussi culpabiliser. Chaque parent, grands parents, oncles et tantes de chaque clan semblaient bouleversés. Seuls leurs enfants semblaient plus dans l’incompréhension qu’autre chose.
-« Oh pardonne-moi mon fils ! » pleurnicha Chôze.
-« Mais père qu’y a-t-il vous n’avez rien fait ! Nous n’avons juste pas été capables de s’occuper de Sasuke quand il le fallait ! » ;
-« Ce n’est pas vous le problème mais nous. Je savais bien que j’avais une trop grande gueule mais je ne pensais pas que ça aurait pu autant nous faire souffrir... » Intervint Inuzuka Tsume.
-« Mais M’man ! Quel rapport avec le fait que tu aies envoyé bouler Papa ? » Demanda Kiba. Sa sœur ainée Hana le foudroya du regard. Tandis que sa mère cogna d’un coup vif son stupide fils : « Ah Baka ! ».
-« Vous faites fausse route les jeunes. Si vous avez cherché à intervenir dans les relations de Naruto, c’est par pur égoïsme de votre part. Et c’est avant tout notre faute. Vous n’avez pas eu l’éducation qui convenait à propos de Kyûbi et de son Histoire tragique. » Déclara Kakashi sorti de nulle part. Iruka qui lui emboîtait le pas commenta :
-« Lorsque vous avez été promu genin, Le Sandaime m’avait rappelé une chose… Le Yondaime, après avoir scellé Kyûbi en son fils, avait souhaité que celui-ci soit vu comme un héros. Il a sauvé le village en recevant la bête pourtant… vous chers parents, vous n’avez jamais vu Naruto de cette façon… « La répulsion qu’ils éprouvent envers Naruto est si forte qu’elle s’est progressivement transmise à leurs enfants » n’avait-il pas oublié de m’informer. Comprenez-vous donc que l’aversion dont vous avez fait preuve envers lui à l’académie n’est uniquement la cause de vos parents qui ont été incapable d’avoir un regard positif sur la situation. En réalité, vous aviez tous peur que cet enfant soit la réincarnation même du démon renard qui, il y a 17 ans de cela, a dévasté le village et tué vos proches…Dans votre haine refoulé envers Kyûbi vous avez fait de l’enfance de Naruto un véritable calvaire que vous ne pourrez jamais comprendre. Et pourtant, il a toujours fait de son mieux pour que vous lui soyez reconnaissant jusqu’à aujourd’hui. A présent il est devenu un Héros en subissant des épreuves suffisamment remarquables pour votre village. Mais avait il besoin de cela pour être pardonné d’une faute qu’il n’a jamais commise ?! Kyûbi a tué mes parents, je vois encore leurs ombres sur le champ de bataille et malgré cela je considère Naruto comme mon fils. Jamais je ne pourrais ressentir le moindre mépris envers lui, je l’aime et je crois en lui pour instaurer la paix dans le monde ninja. Alors écoutez-moi bien. Vous qui avez été mes anciens élèves, ne cherchez pas à aider Naruto dans sa relation avec Sasuke. Faites-lui confiance au lieu de garder en vous l’image du cancre qui lui collait à la peau autrefois. Et même s’il échoue, peu nous importe car son cœur est plus grand que notre village, il va au-delà des frontières, nous lui pardonnerons. »
- « Mouais… mais je ne compte pas rester là les bras croisés. Ino, Chôji. On y va. ». Shikamaru leur tourna le dos et disparut avec son équipe. Les dents serrées, Iruka savaient qu’il ne pouvait plus les instruire aussi docilement qu’avant, un vent d’impuissance s’abattit sur son visage. Kakashi et les autres parents se regardèrent avec appréhension. La situation était devenue telle que chacun sentait sa vie prendre une nouvelle direction. La voie du Ninja…une valeur si imperméable.

Hinata, qui avait écouté silencieusement, s’élança sur les pas de Naruto. Une larme suspendue dans l’espace retraça sa course avant de s’évanouir aux pieds de Sakura. La jeune kunoichi revoyait ces premiers instants avec l’équipe 7, le départ de Sasuke, L’Akatsuki et toute cette noirceur qui harcelait son entourage. Elle contemplait cette perle échouée sur une terre autrefois baigné dans le sang. Et malgré cela, il fallait que même les ninjas aient des sentiments ? Parfois il serait mieux d’avoir été élevé dans la Racine se disait-elle. Les grandes décisions sont proches et elle compte bien être l’une des protagonistes.




Voici le chaptire dans lequel se trouve le passage qui m'est venu à l'esprit en écoutant "Politik" de Coldplay il y a... Déjà 5 ans de cela.
Il s'agit en effet du Passage d'un Naruto promu Hokage et qui prend conscience du choix décisif qu'il doit pendre pour toute uen communauté.
Etant donné que mon but principal était d'insérer cette scène dnas une fiction, je pense que les prochains chapitres seront les derniers. Désolé si je ne vais pas jusqu'au Combat De Naruto et Sasuke mais il s'agit avant tout d'une fiction qui se veut "psychologique" avec la question de maturité de Naruto.
Et s'il vous plait, rien ne vaut un commentaire pour savoir si cette fiction vaut le coup d'oeil ou nom, pas besoin d'un pavé. Trois quatre lignes me suffiront amplements. ;)

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