Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: L'Amatseru

Akemi Sayuri Sarutobi est une jeune fille de 17 ans comme les autres, ayant les mêmes problèmes que toute ces jeunes filles entrée dans ce qu’on appelle « l’âge bête » .Orpheline depuis l’âge de ses 5 ans, elle vit avec son oncle,qui n'est autre que Asuma Sarutobi. Entre révélation du côté d'un mystérieuse femme qui semble la connaître on ne peut mieux et un amour qui lui semble impossible a première vue,venez suivre cette aventure.
Classé: -12D | Spoil | Spirituel | Mots: 3150 | Comments: 5 | Favs: 4
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Sana-chan (Féminin), le 28/06/2009
Coucou tout le monde =)
Et oui, je me lance enfin dans l'obscuuur monde de...LA FICTION ! MUHAHAHAHA
(Ok , j'crois que c'est bon ^^ )
Sinon ben j'espère que cette fic vous plaira, comme moi j'ai eu le plaisir de l'écrire et de dormir souvent dessus xD

Merci et Bonne lectuuure ^^




Chapitre 1: Prologue et "Une journée bien banal ?"



Prologue

En l’espace de deux secondes, le petit univers déjà si instable de Shikamaru Nara s’écroula une troisième fois, lorsque que l’on entendit un bruit de verre se briser, et un corps s’étendre de tout son long, au sol ; le corps d’une jeune fille aux longs cheveux de jais et à la peau fantomatique.

- AKEMI !

Le jeune homme se précipita immédiatement vers le corps de la dénommée Akemi, ce dernier blanchâtre et taché de sang. Et espéra. Oui, espéra qu’il se trompait. Qu’elle ne pouvait être… morte.
Un espoir vain, mais ô combien puissant.

- Akemi…Réveille-toi…Akemi…S’il te plaît….Réveille-toi…

Le jeune chunnin, s’attardant sur le corps sans vie de la jeune fille, fut rejoint par son meilleur ami, qui posa, en signe de réconfort, sa main sur son épaule.

- Shik…Shikamaru, ne complique pas la tâche…Elle est…
- NON ! CE N’EST PAS POSSIBLE ! TU M’ENTENDS AKEMI SAYURI SARUTOBI ?!? HEIN ?!? TU NE PEUX PAS ME QUITTER !!!

Shikamaru fut pris de légers tremblements, causés par sa colère et sa tristesse.

-Tu ne peux pas… Non… Akemi…Tu ne peux pas me quitter…

I never want to play the games that people play
I never want to hear the things they gotta say
I've found everything I need
I never wanted anymore than I can see
I only want you to believe

S’approcha alors la meilleure amie d’Akemi, et coéquipière de Shikamaru, en sanglotant.

- Shikamaru… Écoute-nous, je t’en supp… supplie… C’est déjà dur pour nous de l’admettre…Admettre qu’elle est…
- TU MENS INO ! ELLE N’EST PAS M…MORTE ! (Il se retourna vers le corps, et caressa le visage de la jeune Kunoichi) Hein, mon ange ? Dis-leur que tu n’es pas morte… Hein… Akemi…

Mais au fond de lui, le jeune Nara savait qu’elle s’était éteinte. Que s’en était fini d’Akemi Sayuri Sarutobi ; Et à tout jamais, qu’il le veuille ou pas.


Chapitre 1
7 mois auparavant

Here's a little song I wrote,
you might want to sing it note for note,
don't worry, be happy
In every life we have some trouble,
when you worry you make it double
don't worry, be happy…

- Et c’était ‘’Don’t worry, be happy’’ de Bobby McFerrin. Et maintenant, sur RadioK, place à la météo, avec Miu !

- Merci Isamu, et sans plus attendre, voici donc le moment de vous annoncer que le temps d’aujourd’hui sera ensoleillé et chargé de magnifique cumulus qui…


Akemi émergea péniblement des bras de Morphée, qu’elle quitta à contre cœur.
Elle éteignit aussitôt la radio, avant que Miu ne puisse continuer à lui casser les oreilles sur le magnifique temps présent à l’extérieur. Elle se dirigea vers la salle de bain présente à côté de sa chambre. Elle enleva d’un geste sa nuisette et alla prendre sa douche. Durant ce cours instant de liberté, elle se laissa aller et profita pleinement de ce moment, car aujourd’hui encore serait une journée bien banale. Hélas, aucun changement, aucune surprise… Rien.

Akemi Sayuri Sarutobi était une jeune fille de 17 ans comme les autres, ayant les mêmes problèmes que toutes ces jeunes filles entrées dans ce qu’on appelait « l’âge bête » .Orpheline depuis l’âge de ses 5 ans, elle vivait avec son oncle, dans l’immense demeure de celui-ci.

Entourée, chouchoutée, elle avait vécu une enfance heureuse, bien que le manque de la douce présence de sa mère s’était fait sentir, telle une personne qui manquait toujours à l’appel au fil des années durant lesquels la jeune fille grandissait.

Quant à son père, personne ne savait qui il était… Un déserteur, disaient les vieux du village.

Maintenant, elle était devenue une belle jeune femme, forte, tantôt timide, tantôt extravertie, et un peu garçon manqué, vu la présence masculine qui avait été autour de son univers dès sa plus tendre enfance.

Lorsque sa douche fut terminée, la chunnin sortit, sécha ses long cheveux et s’habilla en vitesse pour descendre au rez-de-chaussée, où l’attendait son petit déjeuner.

Kurenaï Yuuhi, la tante de cette dernière, était fidèle à son poste, vers le comptoir en marbre de l’immense cuisine des Sarutobi, en train de tester ses tous nouveaux talents de cuisinière.

- Bonjour ! lui lança-t-elle d’un ton jovial.

Un « Hum » fut cependant la réponse de la jeune fille qui, comme l’avait deviné sa tante, n’avait pas bien dormi.

- Je t’ai préparé ton Chôshoku avec du tofu, comme tu l’aimes ! Oh, et aussi ton bentô, avec des tempuras.
- Merci…

Akemi s’assit et mangea goulument son plat, pour faire plaisir à Kurenaï, qui avait des étincelles dans ses yeux.

- C’est…C’est très bon… dit-elle en essayant de sourire.
- Arigato…

Quelques minutes plus tard, la Kunoichi prit son petit sac, et se précipita hors de la cuisine.

- ‘Journée…
- Bonne Journée !

L’instant d’après, la porte se ferma en un grand fracas, et Kurenaï se laissa tomber par terre, vers le frigidaire. Elle savait qu’Akemi la détestait, pour une raison qu’elle comprenait très bien. Il lui arrivait parfois de regretter de ne pas avoir clarifié tout de suite la situation avec cette dernière : jamais elle ne remplacerait la place qui occupait que très peu d’espace dans le cœur de la jeune fille, faute de souvenirs très flous, la place d’Asami Sarutobi. Une place de mère que la Kunoichi ne connaitrait probablement jamais.

Asuma, ayant essayé maintes et maintes fois de renouer avec sa nièce, avait lui aussi échoué lors de cette tentative, qui s’était soldée par quelque chose qu’elle regrettait : Akemi avait cessé de parler avec son Oncle. Kurenaï se doutait, cependant, que son fiancé s’en voulait parfois d’avoir tout de suite puni sa nièce contre quelque chose que lui-même aurait fait à sa place.
Et maintenant…Comment annoncer à Akemi qu’elle était enceinte ?


Akemi marchait tristement dans les rues de Konoha, sans prendre garde aux gens, et à où elle mettait les pieds. Pourtant, l’air à Konoha sentait le printemps, car les fleurs présentes un peu partout l’embaumaient, et le soleil rayonnait. Rien à faire.

Depuis la dispute entre elle et son oncle, Akemi continuait à se confier à ses meilleurs amis, sa ‘’ seconde famille’’, et à prendre sur elle en se blessant maintes et maintes fois les mains à force d’exprimer sa colère sur les murs et le miroir de sa chambre. Mis à part maltraiter sa chambre et parler à son doudou, Akemi avait UNE personne qui contait le plus à ses yeux : Ino Yamanaka.

Lorsqu’elle arriva devant l’immense maison des Yamanaka, Ino avait déjà ouvert la porte d’entrée.

- Ake ? Je ne t’attendais pas avant 10 heures.
- Je peux m’en aller si tu veux, lui dit-elle, ironiquement.
- T’es vraiment qu’une cruche, tu le sais ? Allez, viens là… dit-elle en ouvrant ses bras.

Son amie se laissa aller et se réfugia dans les bras de la jeune Yamanaka, dans lesquels elle avait pleuré maintes et maintes fois. Ino se dirigea ensuite vers sa chambre, suivie de près par Akemi. Cette dernière soupira et se vautra sur le lit de son amie.

- J’ai réussi à être aimable avec Kurenaï…
- Je suis fière de toi, dit-elle en souriant. Avec un tel un effort, tu devrais recevoir un susucre.
- Merci très chère !
- Et en ce qui concerne Asuma, tu veux faire quoi ?
- Je ne sais pas…J’aimerais m’en aller quelques temps. Obtenir un congé auprès de Tsunade-sama et m’en aller, toute seule…
- Je te signale quand même, juste au cas où tu l’aurais OUBLIÉ, que tu es sa disciple. C’est peine perdue de lui demander un congé.

Akemi s’allongea alors, et regarda le plafond, comme si c’était la première fois qu’elle en voyait un.

- Faudra quand même qu’un jour tu lui adresses à nouveau la parole.
- Ça arrivera plus vite que tu ne le penses…
- Pourquoi tu dis ça ?

Akemi fouilla dans sa poche et sortit un papier jauni tout froissé, qu’elle lança à son amie.

- Qu’est-ce que c’est ?


Hanajima Yuriko
Hsiyu no Kuni

Tâche d’être là le 5 mai.
Je t’attendrai au manoir…

Hanajima Yuriko
Princesse du pays du Feu


Après avoir lu attentivement, et 3 fois, la lettre qui était entre ses mains, Ino leva la tête vers son amie.

- Qui est cette…Yuriko ? Et comment te connait-elle ?
- Je n’en ai aucune idée, mais j’ai l’intention d’y aller…




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