Fiction: Bestialié Passionnelle

[Fic UA] La classe de Naruto part en expédition dans la forêt. Seulement, suite à un terrible accident, ils se perdent ! Ils réussissent néanmoins à apercevoir un manoir... et donc, demandent à son propriétaire s'ils pourront avoir refuge le temps que les secoures arrivent. Ce qu'ils ne savaient pas... c'est qu'Uchiha Sasuke n'est pas un humain comme les autres... Naruto va se rendre compte petit-à-petit, que Sasuke avait déjà fait parti de sa vie dans le passé... [Loup-Garou-fic] Yaoi!!!
Classé: -12D | Romance / Supernaturel / Suspens | Mots: 3388 | Comments: 4 | Favs: 9
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Bad-Naruko (Féminin), le 11/06/2009
Je le dis tout de suite, non amateur de Yaoi, passez votre chemin... Ne critiquez pas après si vous ne supportez pas l'homosexualité... Je vous aurais prévenue.

Euh... me croirez-vous si je vous disais que les personnages de Naruto m'appartiennent ? *_*... Non?...Zut, alors... j'aurais au moins essayé...? =/ Ils sont bien sûr les bébés de notre maître à tous, le dieu du manga *_*, et celui de mon monde... bénis soit Masashi Kishimoto ! >o< Ramen... xDD

J'vous souhaite une bonne lecture j'espère !! ^^




Chapitre 1: La tempête



- C’est quand la pause, Kakashi-senseï ?

- Tu viens de te reposer y a même pas cinq minutes, Haruno. Répondit l’argenté d’un ton las et agacé.

Sentant le mécontentement de son professeur, la jeune fille aux cheveux roses préféra se taire.

Le petit groupe venait de partir en excursion scolaire, les profs avaient décidé de les emmener en forêt et de leur montrer les difficultés à vivre dans un endroit primitif sans aucun appareil électronique en leurs possession, bien sûr, ils voulaient aussi leurs apprendre à se débrouiller dans une situation comme telle.

Le groupe était constitué de treize personnes, dont quatre adultes. Il y avait Mademoiselle Kurenaï et Anko pour le groupe des filles et Kakashi ainsi qu’Iruka pour celui des garçons. Le groupe de filles se composait de : Sakura Haruno, une jeune fille aux cheveux roses et au regard émeraude, meilleur amie et rivale d’Ino Yamanaka, une blonde aux yeux bleus imbibés. Il y avait aussi Hinata Hyuuga, la timide du groupe, elle avait de longs cheveux noirs et des yeux incolores, son amie Tenten, une brunette extravertie au regard noisette.

- Quand est-ce qu’on arrive, senseï ? Fit soudainement un jeune homme brun avec des cheveux en batailles et des yeux plissés, caractérisé de deux tatouages en forme de triangles de chaque coté de ses joues.

- Quand on aura trouvé un endroit sûr où camper. Répondit un homme brun d’un ton plus calme. Il avait les cheveux attachés en une courte queue de cheval et une cicatrice fendante son nez,

Kiba – car c’était son prénom- soupira bruyamment, sentant que le sac qu’il portait sur son dos, s’alourdissait à chaque pas qu’il faisait. Du coté des garçons : Il y avait bien sûr, Kiba Inuzuka, c’était le meilleur ami de Naruto Uzumaki, un blond dont le bout de ses cheveux sont platines, retombant sur deux sphères céruléens, trois moustaches de chaque coté de ses joue lui donnaient un air sexy d’après ses conquêtes, tant féminines que masculines. Il était bisexuel et fière de l’être, comme il disait.

- Iruka-senseï, je commence à ne plus sentir mes pieds, là. Grogna enfin le blondinet, ses amis avaient chronométré le temps qu’il métrait pour enfin ouvrir la bouche et se plaindre, et cette fois, il avait battu son record !

- Et bien tant mieux, comme ça, tu ne sentiras pas la douleur. Fit le brun ironiquement à son fils adoptif.

Le doré prit un air boudeur qui se dégonfla aussitôt en sentant quelque chose d’humide et froid s’échouer sur l’arrêt de son nez. En relevant machinalement la tête, une goute d’eau lui fouetta cette fois sa tempe.

- ...Hé !

- Qui a-t-il encore, Uzumaki ?! Rugit une dame aux cheveux prune, énervée du blond et la remarque qu’il allait encore sortir, à première vue, elle paraissait irresponsable et... gamine.

- Pas la peine de crier la vieille ! Il commence à pleuvoir là !

Le seul mot qui lui parvint à l’encéphale était le mot « vieille »...Irritée, elle se dirigea d’un pas engagé vers le blondinet et le saisit par le col en lui beuglant.

- Qui tu viens de traiter de « vieille » microbe ?!

- Anko-san, calmez vous je vous prie. Fit une belle jeune femme aux cheveux corbeau et aux yeux rouges corail. Sa voix était douce et calme.

- Mais ce morveux vient de-

- Il y a plus important je crois, on doit vite trouver un endroit pour nous abriter de cette pluie. Dit-elle en relevant sa tête.

- Dépêchons-nous. Ordonna l’homme qui portait une écharpe noire autour de son cou, cachant ainsi la moitié de son visage.

Rapidement, les minces gouttelettes aqueuses devinrent plus nombreuses et plus épaisse. Alors que le groupe courait espérant trouver un abri, un ados aux longs cheveux brun et aux yeux aussi blanc que ceux d’Hinata, fit pour la première fois du voyage :

- Là-bas, il y a une grotte !

Toutes les têtes tournèrent vers l’endroit où pointait le doigt de Neji Hyuuga, cousin d’Hinata.

- Il a raison, vite, dépêchez-vous ! Fit l’argenté en se hâtant vers la grotte.

Les professeurs restèrent devant la caverne, en faisant de grands signes pour que les adolescents se dépêchent d y entrer. Une fois le dernier élève - Un garçon aux gros sourcils qui portait une combinaison verte bouteille- à l’intérieure, les dames s’en suivirent, puis Iruka, mais l’argenté sembla rester devant l’entrée, l’air perplexe et la tête dirigée vers un endroit précis que les autres ne pouvaient apercevoir à cause des formes rocheuse de la grotte. Le brun finit par crier, perdant sa patience :

- Mais qu’est-ce que vous faites Kakashi-san ?! Entrez vous mettre à l’abri nom de dieu !

- Ce n’est pas vrai... chuchota l’Hatake dans un souffle, plus pour lui-même, perplexe et incroyant.

Perdant son sang-froid, Iruka se hâta vers le professeur qui était toujours dehors et lui agrippa la main, seulement en voulant le tirer, sa tête se releva automatiquement vers le spectacle qui semblait laisser l’argenté aussi flottant, ce qui le rendit dans le même état. Les yeux exorbités et la gorge affreusement sèche, la main d’Iruka lâcha sa prise sans qu’il ne se rende compte.

- ...Mon dieu...

A deux kilomètres près, se dressait une gigantesque tornade qui produisait des ravages considérables où elle se trouvait. Colorée par la poussière aspirée et la condensation de gouttes d'eau, elle était visible et bien réelle ! Avide, elle arrachait arbres et plantes de leurs racines. En tournoyant violemment, elle se dirigeait lentement mais sûrement vers leurs direction. Reprenant peu à peu leurs esprits, les deux professeurs entrèrent à la grotte en alertant les autres de la nouvelle. Les filles étaient terrifiées, les garçons un peu moins. Sakura et Ino en avaient profité pour s’agripper aux bras musclés de Naruto, demandant qu’il les protège en cas de danger. Exaspéré mais courtois, il leur souris poliment, en leur disant de ne pas s’en faire. Le groupe avait en même temps déménagé vers le fond de la grotte. Ils étaient en sûretés, abrités par la structure de l’antre. Maintenant, ils attendaient, l’attente qui venait avant l’acte était parfois bien plus frustrante que l’acte lui-même.

Naruto était adossé à la rambarde rocheuse, les deux mains occupées par deux super-glue-Sakura et Ino, donc- Les professeurs étaient assi à la fin de l’angle qui conduisait directement à la sortie. Le sifflement râpé de l’ouragan prenait du volume à chaque fois qu’il approchait. L’atmosphère était pesante dans la grotte, tellement que tout le monde s’était crus dans un sauna. L’attente était une vraie torture.

- Là voilà... Fit Kurenaï dans un souffle.

- Regroupez-vous bien. Ajouta l’argenté en collant son dos au mur.

- Et ne bougez surtout pas. Acheva l’homme à la cicatrice sur le nez.

Les sifflements devenaient insupportables, le bruit du vent avait crée une pressions sur les oreilles du groupe, et ça les grisés d’entendre ce même bourdonnement. En ce qui concernait les dégâts, seuls une épaisse poussière avaient réussie à s’infiltrer dans la grotte.
Quelques temps plus tard, le vent de poussière s’affaiblit peu à peu, jusqu’à disparaître complètement, seule des bruissements de plus en plus sourds déterminaient la distance de la tornade qui s’éloignait lentement.

- Je crois que le danger est passé...Tout le monde va bien ? Demanda l’argenté en décollant son dos du mur glaciale de la grotte.

- Ouai... tout le monde est vivant. Fit le doré en se surprenant de faire de l’ironie.

Kakashi se releva et se dirigea vers la sortie afin d’examiner l’état de la situation. Il revint quelques secondes plus tard, annonçant qu’ils devraient attendre un peu avant d’être complètement hors de danger. Mais le fait est, que leurs vies n’étaient plus menacées.

Quelques heurs plus tard, le groupe sortit enfin de la cavité, seulement, ce qu’ils trouvèrent les laissa sans voix. Le paysage avait entièrement changé, des arbres déracinés de ci de là, des rochers formant des pyramides et les nuages cendrés qui donnaient une atmosphère amère et sombre.

Le groupe paniqua quand il se rendit compte que leur chemin s’était effacé par les précédents dégâts causés par le cyclone, et qu’ils étaient maintenant ...perdus !

- Je le savais que j’aurai jamais dû venir !! Je vais finir dans le ventre d’un ours ou d’un loup ou même ce-

- Calme-toi Ino, on va s’en sortir ne t’en fais pas, essaye juste de garder ton sang-froid. Tenta Tenten malgré qu’elle était elle-même pas du tout rassurée, seulement, paniquer ne résoudra rien, au contraire même.

- Tenten à raison, paniquer ne nous fera pas revenir chez-nous. Et je crois que la chance nous sourit cette fois...

- Que voulez-vous dire, Kakashi-senseï ?

- Regardez, là-bas...

Tout le monde tourna en synchro, suivant le doigt ganté de l’argenté. En haut d’une colline, se trouvait une sorte de manoir, les émotions étaient différentes, variantes de personnes à une autre.

- On est sauvés ! s’extasia l’Inuzuka.

- Je paris que c’est un manoir hanté ou celui d’un vampire de deux siècle! ça va finir mal....je le sens. S’effaroucha Sakura.

- On n’est pas dans un filme américain, Haruno, mais dans la réalité. Fit d’un ton rationnel le cousin d’Hinata.

- En plus, les fantômes ça n’existe pas. Affirma Saï

- Oh non, dites pas ça, ça finit toujours mal quand on le dit ! Lamenta la Yamanaka.

Les garçons et les adultes soupirèrent d’exaspération, puis se dirigèrent tous vers le sommet de la colline.

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Le son aigue de la sonnette raisonna dans tout le manoir en un écho sombre et sinistre. Les têtes se regardèrent à tour de rôles. Mais quand Kakashi alla poser la main sur la poignet en bronze qui avait une forme de lion, la porte imposante s’ouvrit à moitié dans un affreux grincement qui fit sursauter presque toutes les personnes. Derrière la porte, se tenait un jeune homme à lunette qui donnait l’air d’être un intellectuel. Ses cheveux étaient ramenés en une queue de cheval derrière son dos, ses mèches cendrées tombaient sur un regard sournois et déridé. Il portait un costume noir classique et des chaussures qui étaient beaucoup trop bien cirées pour l’Hatake. Quand celui-ci décida de parler, l’étrange homme le coupa :

- Vous désirez ? Sa voix était mi-cotonneuse mi-rieuse.

Un silence inconfortable accueilli la question de l’homme à lunettes, mais qui finit tout de même par être répondu poliment :

- ...Oui, désolés de vous déranger, mais on vient de se perdre suite à une tempête et on aimerait savoir si vous aurez l’amabilité de nous laisser nous séjourner chez vous, le temps qu’on reprenne nos repères...

- Oh je vois, et bien, ce n’est pas moi le propriétaire de ce manoir, vous devriez demander ça à Mr Sasuke.

- D’accord, pourrai-je le rencontrer ?

- Mais certainement, suivez moi je vous prie.

- Très bien. Il se retourna vers la clique leur demandant silencieusement d’attendre, ensuite dépassa l’imposante porte rouillée qui avait perdu sa couleur argenté avec le temps et les saisons.

Le silence reprit ses droits dans le petit groupe, seul le lourd bruit conséquent de la fermeture de la porte, résonna.

Un grand jardin spacieux entourait l’axe du grand manoir, on aurait plus dit que c’était un décore de filme d’horreur. Les grandes grilles de l’extérieure produisaient un grincement sinistre et angoissant, la petit brise, cause de ce bruit, faisait aussi danser quelques feuilles jaunâtre à contrecœur, les faisant virevolter dans un ballet silencieux et éploré... On aurait dit que l’automne fredonnait une hymne vide, sans mélodie, mystique... Les arbres étaient nus de leurs feuillages, mais ils n’avaient pas le droit de se plaindre. Au centre de cette animation presque morte, se trouvait une fontaine qui attirait les regards et exhibait sa présence sans le vouloir. Elle était grande, avec une structure dépassant la perfection de loin. En haut de ses deux étages remplit d’eau, qui n’arrêtait de déborder de ses encoignures sphérique. Se trouvait une statue qui imposait sa beauté dans cet univers mort. Un jeune homme élancé, d’une beauté incomparable, habillé de sa nudité était debout. Aucun détail ne manquait à ce chef-d’œuvre, Sa perfection en aurait était presque inquiétante. Les cheveux du mannequin, malgré qu’ils été en pierre, donnait l’impression d’être souple et léger. Mêmes ses longues cilles avaient été façonné minutieusement. Sa bouche était légèrement entrouverte, donnant à la sculpture encore plus l’air d’être vivante. Sa silhouette était musclée mais fine. Debout dans une pose pleine de grâce et de désinvolture. Sa main était ouverte et courbée inversement, ramenée au niveau de sa bouche mais un peu loin de celle-ci. D’ici, on voyait l’eau jaillir abondamment. Deux serpents entouraient son corps, zigzagant et cachant la moitié de celui-ci. Les deux têtes des reptiles avaient une direction opposante, où, justement de l’eau en sortait à l’extrémité de leurs langues. Le public avait perdu cette sensation d’angoisse et d’attristement devant la précédente scène, maintenant il en affluait admiration et crainte... Quand un adolescent décida de briser ce silence qui avait, d’après lui, duré bien trop longtemps, malgré qu’il s’en doutait de ce qu’on allait lui répondre, rester silencieux plus de cinq minute le rendait malade ! Ça le démangeait de parler, le blondinet fit donc :

- Qui ça pourrait bien être, à votre avis ?

- Vous croyez que c’est ce « Sasuke » ? Suggéra Kiba.

- Impossible, le proprio doit sûrement être vieux et... atroce ! Dit la rose avec subtilité.

- C’est peut-être même un vampire !! Détermina la blonde.

- Ou un serpent mutant !! Fit l’Haruno d’un air effrayé.

Les filles se regardèrent, apeurées, pendant que les garçons soupirèrent, exaspérés par cette histoire de vampire. L’un d’enter eux, Neji, ironisa :

- Pourquoi pas un homme-lézard, tiens. Fit-il d’un ton ennuyé en roulant des yeux.

- C’est possible... ! Oh mon dieu ! S’affolèrent les deux meilleurs amis en se lançant des regards horrifiés.

Les garçons partagèrent quelques regards complices, mais au lieu de s’irriter de la réponse des deux demoiselles, ils pouffèrent de rire, tous en même temps. Leur rire raisonna dans le jardin tel une fausse note... C’était de trop dans cette quiétude religieuse. Mais heureusement, l’argenté à la cicatrice sur l’œil gauche arriva en mettant fin à ce conflit sonore, laissant ainsi l’automne redormir en paix.

- Alors, alors ?! Encouragea le brun aux deux tatouages sur les joues.

- Il a accepté ? Insista la deuxième pile électrique blonde du groupe...

- Eh bien il a... accepté, oui. Fit l’Hatake en achevant le suspense.

Les professeures soupirèrent de soulagement, alors que les garçons s’excitèrent à l’idée de dormir dans un endroit pareil. Les filles par contre, n’étaient pas vraiment très... enjouées à cette idée.

Kurenaï emmena l’argenté à part, en lui chuchotant :

- Comment on va faire pour les filles ? S’inquiéta la brunette.

- Ne t’en fais pas, ils vont rapidement changer d’avis...

- Que veux-tu dire par là ?

- Eh bien... tu le sauras bien assez tôt. Pour l’instant, on va faire les présentations des élèves pour le propriétaire.

- Très bien. Fit-elle en se retournant vers ses protégés. Regroupez-vous s’il vous plaît.

Le même homme de tout à l’heur fit son apparition derrière la porte, il ouvra en grand celle-ci, tout en s’effaçant du passage pour laisser le champ libre aux élèves.

- Bienvenu au manoir Obélisque. Fit l’homme à lunette avec un sourire courtois mais très bizarrement hypocrite.

En pénétrant la pièce, plusieurs exclamations d’admiration retentirent dans celle-ci. Seuls les ices-bergs, c'est-à-dire Neji et Saï, ne participèrent pas à cela, préférant s’exclamer silencieusement, ce qui ne les empêchait pas d’être admiratifs devant une telle structure architecturale.

De larges escaliers en forme de « X » remplissaient presque la totalité du couloire, dont un grand tapis rouge corail les vêtit. Des bougeoirs accrochés aux mures devant des tableaux subtiles, tant rares que chers. Les couleurs des peintures étaient sombres et mélancoliques, ce qui n’offrait pas un accueil chaleureux pour nos invités. Là où on tournait la tête, on voyait une porte, la pièce en était remplit. Le décore fondit une atmosphère moyenâgeuse et mystérieuse.

Tout le monde fût conduit à l’étage supérieure. Le domestique fit entrer les invités dans une immense salle dont le carrelage était d’un blanc neige. C’était une sorte de salon. Une grande cheminé était entourée de plusieurs canapés en cuire bordeaux - une sorte de cercle incomplet. De l’autre coté de la pièce, se trouvait une bibliothèque qui encadrait en moitié une large table en bois foncé, sur celle-ci se trouvait un vase blanc dont la décoration était en verte-eau. Le seul problème c’est qu’il était vide, pas de fleurs ni de roses, rien du tout. Et tout en face, s’apercevait une énorme fenêtre aux vitres découvertes, le rideau, d’un grenat sombre, était à moitié ouverte et maintenu par deux cordelettes en or. Et juste devant la fenêtre se trouvaient deux chaises, dont une était tournée vers le paysage qu’offrait les vitres transparentes, l’autre, au contraire lui donnait le dos. Au centre des deux chaises en bois retroussés par du velours saint-émilion, se repérait une table basse en verre. Les élèves et les professeures purent apercevoir des cheveux noirs dépassant de la chaise, donc une silhouette assit sur celle-ci.

- Mr Sasuke, les invités sont arrivés. Alerta moelleusement le domestique.

- Ah ? Bien. Fit le dudit Sasuke. Sa voix était rauque et calme, on sentait de l’indifférence dans celle-ci. Mais malgré cela, elle appartenait plus à un adolescent de dix-sept ou dix-huit ans... Cela d’ailleurs surprit la plupart sauf le seul qu’il l’a déjà vue –c'est-à-dire, Kakashi-

Le propriétaire du manoir posa le livre qu’il avait entre les mains et se releva de sa chaise, s’exposant à un public qui resta stupéfié en le découvrant.

Comme ils s’étaient doutés quelques secondes plus tôt, la voix appartenait bel et bien à un adolescent dans les dix-huitaines d’années. Sasuke était en faite LA personne qu’ils avaient vue quelques minutes plus tôt dans la fontaine. La sculpture était son portrait craché...ou plutôt, IL était le portrait craché de la sculpture, la seule différence : il était en version colorés et...vivante.

Il avait les cheveux d’un noir profond, réduits en cul-de-canard en arrière, ses mèches encadraient un visage d’une beauté inégalable, ses traits ressemblaient à celle d’une femme, il avait les yeux de nature plissée, deux iris obsidiennes contrastaient à sa peau opaline. Un nez droit mais pas long, une bouche fine et raffinée. On lisait désinvolture et mésestime sur son visage. Un cou ni court ni long donnait à un torse musclé mais fin. Il portait un colle-roulé noir cotonneux, qui moulait ses muscles à merveille, plus un jean bleu éclairci. Cette fois, il portait ses lunettes ovales, qui -si c’était encore possible-le rendait encore plus sublime et raffiné.

La rencontre était...pas la peine de le décrire, toutes les filles, à part Hinata, devinrent complètement gaga de ce beau ténébreux. Du coté des garçons, des réflexions plus négatifs... jalousie ou mépris. A part quelques-uns qui gardèrent leurs sang-froid sans trop de mal....et cette fois, l’Uzumaki en faisait parti, il restait, là à le regarder... Il était...comme hypnotisé, il avait une affinité pour lui qu’il ne pouvait comprendre, l’impression de l’avoir déjà vue et de le connaître aussi. Seulement, quand ses deux lagons rencontrèrent les deux onyx, un sentiment de haine et d’agressivité s’éveilla en lui. Sans qu’il ne comprenne, il avait une affreuse envie de sauter sur lui et de le mordre... le mordre ?...Euh là...J’deviens vraiment grave... Les deux perles noires dégringolèrent finement vers une autre personne, ramenant ainsi raison au blondinet... Il était bisexuel, il se l’avouait et n’avait pas de honte à cela, seulement, l’attirance qu’il avait pour lui n’était guère sentimentale ou sexuelle... c’était un désir querelleur et...« bestiale »...

- Hn, ravi. Fit soudainement le ténébreux en s’adressant aux adolescents. Il n’était pas de nature si courtoise mais... il le devait... Dieu ce qu’il détestait l’hypocrisie...

Les adolescents avaient tous répondu poliment, dépendant d’une personne à une autre. Tous avaient des questions qu’ils auraient aimés poser, mais l’ados aux cheveux d’ébène interféra dans leur projet en demandant sitôt à son domestique :

- Kabuto, conduit-les à leurs chambres, ils doivent être fatigués d’après ce que m’a raconté Hatake-san pour la tempête.

- Certainement, monsieur.

Le dit Kabuto ouvrit la porte en désignant respectueusement la sortie aux invités. Ces derniers le suivirent sans un mot à part quelques chuchotements complices dans le camp des adolescents.

La porte se ferma et le ténébreux rejoignit sa chaise. Tout en voyant sans regarder le paysage à travers la grande fenêtre.

- C’était donc bien lui...

A suivre...




Sasu : C’est quoi cette connerie encore ?

Naruko : Roh t’es jamais content toi ! Rabat-joie !

Naru : Moi, je crains le pire...

Naruko : bah pourquoi ?! o.Ô

Naru : T’as pas indiqué que c’était une death-fic au début, alors que-...

Naruko : ARF !! Chuuuuute !! C’était sensé être une surprise –-.--

Sasu : Une death-fic ? Laissez-moi deviner, c’est moi qui vais jouer le serial-killer ? -.-‘

Naruko : O.O

Sasu : J’le savais...- Pourquoi dieu m’a-t-il abandonné, en fait ?

Naruko : Euh... t’es athé...

Naru : Aheum... Des commentaires? – Pfff, c’est toujours à moi de faire le sal boulot –.-

Sasu : Et tu t’en plains ?!



______________________________ Au Prochain Chapitre... ______________________________

Répartition des chambres et rêves ambigus... Le passé fictif de l’Obélisque ?
En espérant que cette mise en bouche vous a plu ^^ Allez, au prochain chap’ j'espère !!




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