Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Le redéménagement de Deidara

Je me suis fais une suite de la merveilleuse histoire de anko38 : Le déménagement de Deidara ou Comment Itachi perdit patience. J'espère que la suite vaudras autant que l'original car c'est surement ma fanfiction préférée ^^
Spoil | Humour | Mots: 1830 | Comments: 12 | Favs: 20
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Deidara-Chan (Féminin), le 26/05/2009
Deidara vivait avec Itachi et Kisame depuis la mort de Sasori. Il leur a fait vivre un vrai calvaire selon Itachi mais maintenant c'est à son tour de payer car il est maintenant en équipe avec Tobi.



Chapitre 1: C'est au tour de Deidara



Le redéménagement de Deidara


Pourquoi ça tombe toujours sur moi ?! Il a fallu que Sasori se fasse tuer par une petite vieille et une chuunin de Konoha, il a fallu que le ''Chef-suprême'' le remplace par cet abruti de Tobi. Depuis la mort de Sasori, j'habitais chez Itachi et Kisame. J'y étais plutôt bien installé. Mais voilà qu'il a fallu qu'on me mette Tobi dans les jambes. Quel cauchemar ! Vous trouvez que j'exagère ? Et bien c'est parce que vous ne le connaissez pas. Ce type est un vrai gamin, et le mot est faible. Je suis un artiste moi, pas une nounou. Vous ne me croyez toujours pas ? Dans ce cas il me faut vous raconter toute l'histoire depuis le début, que vous puissiez vous faire vous-même une idée sur la pénible existence qu'est la mienne depuis ma rencontre avec Tobi.

Départ de chez Itachi et Kisame.

J'étais très bien installé chez mes ''collègues de travail''. Bien-sûr j'ai du faire quelques ajustements techniques en arrivant et mon oiseau d'argile avait mystérieusement disparu un soir où je travaillais mais ce n'est pas l'important. L'important c'est que j'étais bien avec Itachi et Kisame, le reste n’est que des détails.
Mais voilà qu'un jour, le chef-suprême est arrivé à la maison et m'a présenté mon nouvel équipier, ce cher Tobi. Un grand nigaud avec un masque orange et noir lui couvrant entièrement le visage et qui parle et agit comme un enfant. À ce moment-là, je ne connaissais pas encore l'idiotie de cet homme. Je m'étais bêtement imaginé qu'il serait agréable d'avoir un équipier plus léger d'esprit que Sasori et qu'on allait bien s'entendre, l'erreur ! Je n'allais pas tarder à connaître réellement mon nouvel ''ami''. Je me suis donc résigné à quitter mes colocataires avec regret et je suis parti en direction de l'abri que je partageais autrefois avec Sasori, accompagné par Tobi. C'est pendant le voyage que j'ai pu découvrir la véritable nature de Tobi.

Le voyage du retour.

Nous marchions silencieusement depuis à peine dix minutes quand Tobi ouvrit la bouche pour la première fois (il aurait très bien pus ne jamais rien dire à mon avis).

-C'est Deidara ton nom, c'est bien ça ?

-Oui

-C'est un beau nom. Sa sonne bien Deidara.

-Eeee. Merci.

-Mais il y a qu’un petit problème.

-Quoi ?

-C'est un nom de fille.

Sur ce, Tobi éclata de rire et se mit à se rouler par terre. Moi je ne riais pas, mais alors la pas du tout. Il a du toupet celui-là ! On vient à peine de se rencontrer et voilà qu'il m'insulte. Qu’est-ce qu'il a mon nom hein ? Je le trouve plutôt bien mon nom moi. L'envie de le frapper me passa par la tête, mais je ne pouvais quand-même pas lui faire ça dès le premier jour, bien que lui ça ne le dérange visiblement pas. Je me suis donc retenu, ou plutôt je voulais me retenir mais je n'ai pas pus résister plus longtemps lorsque j'ai sentis ses mains me toucher les fesses et que j'ai entendus derrière-moi :

- Finalement ton nom te va très bien Deidara puisque tu ressembles vraiment à une fille. Hein chérie ?

BANG !!!!

Sans même me retourner, j'ai envoyé mon coude droit vers l'arrière le plus violemment possible et je l'ai touché directement dans le ventre.

-TU NE ME REFAIS PLUS JAMAIS ÇA ESPÈRE D'ABRUTIS !!!!!Criais-je tout en modelant un oiseau d'argile '' spécial-transport''. Je me suis donc envolé vers la maison à la vitesse de la lumière, laissant mon équipier là, plié en deux et le souffle coupé par la puissance de mon coup.

Le retour à la maison

Dommage que Pein lui avait indiqué où se trouvait notre planque, j'aurais pu m'en débarrasser facilement. Au moins, j'ai eu le temps de me relaxer un peu dans un bon bain avant qu'il n'arrive. Sa m'a aider à me calmer les nerfs. Je m'étais installé dans le salon et j'écoutais calmement le film la mélodie du bonheur lorsqu'il est entré. En arrivant il déposa ses affaires à la porte et vint immédiatement me rejoindre et s'asseya à côté de moi. Je fis le gars concentré sur son film (et oui je n'ai aucune honte à dire que je suis rancunier) tout en l'observant du coin de l'œil avec méfiance. Il resta un moment à écouter le film avec moi en silence, quand tout-à-coup il fit un geste auquel je m'attendais absolument pas. Je suis sûr que vous vous en doutez. Et oui, il a osé, il m'a prit dans ses bras. Avant même que je puisse comprendre ce qui se passais, j'étais collé de force contre lui, ma tête retenue sur son épaule par sa main gauche et son autre main me tenant par le bas du dos. J'aurais voulu mourir plutôt que de vivre ça. Non finalement ce que je voulais à ce moment-là c'était de le tuer. Et il est fort ce maudit Tobi, pas moyen de lui faire lâcher prise, et ce n'est pas parce que je n'ai pas essayé. Je me suis débattu comme un forcené pendant un bon moment, mais plus je bougeais, plus il me serrait contre lui. Je me suis donc résigner à me laisser faire avant de manquer d'air en me disant qu'il finirait par me laisser.

-Je suis désoler de t'avoir fait de la peine Deidara, je ne voulais pas être méchant tu sais. Dit Tobi en pleurnichant dès que j'ai arrêté de me débattre, tout en me caressant nerveusement les cheveux, ce qui n'avait rien d'agréable.

-Si tu ne voulais pas me faire de peine t'avais qu'à te taire. Maintenant lâche-moi !

Déçu de voir que je ne lui pardonnerais pas facilement, Tobi relâcha son emprise et me laissa m'enfuir et m'enfermer dans ma chambre sans rien ajouter. Je ne suis pas ressorti avant le lendemain. Au moins maintenant je savais à qui j'avais affaire. Pas à un simple gamin, non, à un fou-calineux ! Au moins j'ai très bien dormis cette nuit-là. Pas étonnant puisqu'il m'a totalement lessivé. Mais lorsqu'il fut environ trois heures du matin, alors que je dormais profondément, emmitouflé dans mon épaisse couverture bleu-poudre, une musique poussée à plein volume me réveilla. Et oui, à trois heures du matin ! Je me suis donc levé péniblement, encore tout endormis et découragé de la vie, pour me diriger d'un pas lent vers le salon, d'où provenais la musique. C'est là que je le vis. Tobi, déjà tout habillé, qui se dandinait comme un canard au son de ''Barbie girl'' .À ce moment-là j'en suis venue à maudire Pein intérieurement. Pourquoi m'avez-vous fait ça maitre ? Pourquoi m'avoir sortis de chez Itachi et Kisame où j'étais si bien ? Je regardais ce spectacle navrant, évêché contre le cadre de l'entrée du salon, sans savoir quoi faire ni quoi dire. (Au moins il a du goût pour la musique).

- Tobi ! Fis-je avec la voix à la fois exaspérée et enrouée. À quoi tu joues dis-moi ? Il est trois heures du mat !

-La journée appartient à ceux qui se lèvent tôt. Répondit-il joyeusement, sans pour autant arrêter de dancer.

J'ai donc passé lentement devant Tobi pour aller fermer le système de son. Mon pyjama rose et moi-même, nous nous apprêtions à retourner nous coucher quand, lorsque nous étions arrivés au milieu du couloir, la musique reprit de plus belle. Je suis donc retourné dans le salon en furie et j'ai fait exploser le système de son en menaçant Tobi qu'il serait le prochain s'il n'arrêtait pas son boucan. Je me redirigeais vers ma chambre mais Tobi en avait encore à dire.

- Hey ! Où tu vas ?

- Dormir, On ne réveil pas l'artiste qui dort.

-Tu serais un artiste si tu ne faisais pas exploser tes sculptures. L'art c'est une création qui dure longtemps. Affirma-t-il.

Mais ce n’est pas vrai ! Moi qui croyais avoir affaire à un esprit plus ouvert que Sasori, voilà qu'il me baratine les mêmes idioties que ce dernier ! Je suis pris avec une nouvelle version de Sasori mais en plus détestable. Il y a des gens qui ne savent vraiment pas reconnaitre '' l'art moderne’’. L'art moderne, sa bouge, sa explose. Je finis par aller me recoucher quelque heure, à la grande déception de Tobi qui voulait faire une partie de cache-cache, non merci. Je me suis à-nouveau réveillé vers 8h00. Alors je me suis levé, j'ai été me débarbouillé un peu à la salle de bain et tant qu'à être là j'en ai profité pour aller faire un petit tour au W.C .Je suis ensuite retourné dans ma chambre pour faire mon lit et m'habiller. Une fois habillé, je me suis dirigé vers ma table de chevet où je pose mon ''zoomer'' tous les soirs. Vous savez ce petit truc que je me mets sur l'œil gauche et qui me sert à voir les choses lointaines en rapprocher. Mais cette fois mon zoomer n'était pas à sa place. Je me suis alors dit que j'avais du le poser ailleurs et que je ne m'en souvenais pas, je me mets alors à chercher dans toute la pièce mais rien. C'est alors que je comprends...Tobi. Il avait osé toucher à l'Object auquel je tiens le plus. Il allait mourir. Cette fois j'étais complètement hors de moi. J'ouvris violemment la porte de ma chambre avant de me précipité vers la cuisine où je l'entendais chantonner. En entrant dans la pièce je me suis mis à hurler.

-TOBI !! SAL PARASITE TU VAS ME RENDRE MON ZOOM...

Je suis resté cloué sur place, la bouche ouverte et les yeux ronds comme des balles de ping-pong. Tobi donnait le biberon à mon ours en peluche, qui était maintenant habillé en pyjama de bébé et mon zoomer était sur le coin de la table, paré d'une multitude de paillettes argentées. Complètement sous le choc, je me suis avancé mécaniquement vers la table, pour ensuite prendre le pauvre appareil dans mes mains. Même l'objectif était décoré. Tobi, qui ne manquait pas le moindre de mes mouvements, vint me rejoindre de l'autre côté de la table. Il s'installa debout juste derrière moi et regarda ce qui restait de mon zoomer par-dessus mon épaules.

- Ton ourson a fini de boire. Il est mignon dans ce pyjama tu ne trouves pas ? Tiens je te le rends. Fit-il toujours aussi joyeusement en me remettant l'ourson, qui avait maintenant la face trempée de lait. Ton bidule est bien plus joli comme son non ? Au fait, c'est quoi au juste ?

Je ne sais pas pourquoi j'ai fais ça, surement à cause du choc, mais j'ai pris le temps de lui expliquer le fonctionnement de mon zoomer et je l'es remercié pour les ''améliorations'' qu'il avait fait sur mes objets. Je suis ensuite allé m'enfermer dans ma chambre, il n'est quand-même pas question que je pleur devant lui, un gars à sa dignité.



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