Fiction: L'entrainement de l'équipe 7, 8, 9, 10 et team Gaï (terminée)

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« Troisième exercice, annonça alors Ryûko sans perdre de temps, la défensive en combat rapproché. Commençons par vous répartir en équipe. »
Elle s’avança à gauche du groupe et appela : « Naruto, Ino, vous venez ici ». Les deux s’exécutèrent en se jetant des regards mécontents, alors que Sakura ne pouvait s’empêcher de retenir un rire. Ryûko s’avança ensuite à un second endroit : « Kasue, Sakura, ici ». Troisième emplacement : « Tetsu, Shino, ici ». Quatrième emplacement : « Orenji, Neji, ici ». Cinquième emplacement : « Lee, Choji, ici ». Sixième emplacement : « Shikamaru, Kiba, ici ». Dernier emplacement : « Hinata, Tenten, ici ». Une fois que tout le monde fut disposé à travers la clairière, chacun face à son adversaire, Ryûko donna les explications de l’exercice suivant.

« Vous allez faire des combats en deux temps, limités à une position offensive ou défensive. L’un de vous tiendra une position offensive pendant cinq minutes, ne faisant qu’attaquer son équipier en combat rapproché. Interdiction d’utiliser vos jutsus, même un jutsu de remplacement. Vous êtes toutefois libre d’utiliser vos armes si vous le voulez. Ce sont des combats limités à vos habiletés de taijutsu uniquement. L’autre personne tiendra, vous le devinez, la position défensive et ne devra à aucun moment attaquer son équipier. Vous ne pouvez que le repousser pour l’éloigner de vous. Naruto, Kasue, Tetsu, Orenji, Lee, Shikamaru et Hinata, vous allez commencer à faire la défensive. Ino, Sakura, Shino, Neji, Choji, Kiba et Tenten vous assurerez la première offensive. »
Elle s’arrêta et exécuta rapidement un jutsu de clonage : sept Ryûko vinrent se placer à proximité de chaque équipe, la même attitude sévère sur leurs visages.

« Mes clones veilleront à ce que tout le monde tienne son rôle. Ils interviendront si l’offensant utilise un ninjutsu, ou si le défenseur lance une attaque. Ils s’assureront aussi que personne ne prend de pause au lieu de combattre. Autrement, ils ne feront rien.
« C’est déjà beaucoup, grogna Tetsu
« Dernière chose : quand vous entendrez un coup de sifflet, vous changerez de rôle. L’offensant prendra la position défensive et inversement. Quand vous entendrez deux coups de sifflets, la personne tenant la position offensive changera de coéquipier en se déplaçant vers la droite. Vous pratiquerez ainsi avec sept équipiers différents, sur les positions offensives et défensives. Et si vous savez calculer, cela donnera un exercice d’une durée de 70 minutes. Des questions jusque là ? »

Pour une fois, tout semblait clair.
« Il y aura un second volet à cet exercice, mais vous verrez bien rendu là. Pour l’instant…

Ryûko donna un long coup de sifflet pour que débute l’exercice. Kasue était déjà prête, heureusement, car Sakura bondit sur elle sitôt le signal donné. « Depuis quand elle est aussi déterminée, celle-là ? », se dit Kasue en sortant son kunai pour bloquer l’attaque de son équipière. Sakura eut vite le dessous, attaquant sans relâche alors que Kasue trouvait le moyen de parer ses coups sans trop se fatiguer. « Il faut s’économiser, si on veut tenir longtemps, c’est un principe de base, Sakura », se dit Kasue pour elle-même. Elle devait avoir pris de la graine de Naruto, pour s’élancer sans relâche comme ça. Cinq minutes passaient vite comparé aux heures que les exercices précédents avaient demandées, et Kasue se retrouva bientôt à attaquer Sakura ; avant que les coups de sifflets se firent entendre à nouveau, elle avait réussi à lui porter trois bons coups de pied au ventre et au visage. Round suivant : Kasue se retrouva face à Shino, et se demanda si utiliser ses insectes comptait pour un jutsu ou non.

« Ceux qui étaient à l’attaque, restent à l’attaque pour le premier tour contre leur nouvel adversaire, anonça Ryûko avant de siffler un coup sec.

Kasue attaqua aussitôt avec son kunai, juste pour voir : une masse d’insectes lui barra le chemin avant qu’elle puisse atteindre Shino. Elle se recula et jeta un coup d’œil au clone qui les surveillait, et qui lui adressait un sourire mesquin. « Et merde ! ». Pour ce premier tour, Kasue affronta donc tour à tour Sakura, Shino, Neji, Choji, Kiba, Tenten et Ino. Elle songea sérieusement à se plaindre que Kiba avait eu droit à son foutu chien, mais savait d’avance qu’on lui dirait qu’un animal était considéré comme un outil, et non un jutsu. Comme les insecte de Shino. Il y avait de ces injustices, parfois. Une fois le dernier round terminé, Ryûko les répartit à nouveau en équipe, sur deux lignes. Ils affrontaient ainsi les six personnes qu’ils n’avaient pas croisés durant la première partie : Kasue se retrouvait face à Naruto. Elle lui tira la langue et s’amusa follement de le voir s’énerver.

« Deuxième partie de l’exercice. Exactement la même chose, seulement cette fois vous avez droit à vos jutsus, tant à l’offensive qu’à la défensive. Vous changez de position et d’équipiers aux mêmes signaux. Un seul changement : comme vous êtes sept par ligne, j’ai rajouté deux de mes clones pour compléter les équipes. Si vous réussissez à les faire disparaître, vous êtes dispensé de compléter cet exercice. »

Elle nomma les personnes qui tiendraient d’abord la position offensive, puis donna un long coup de sifflet. Kasue s’amusa follement à bloquer les attaques de Naruto : il était si prévisible, à utiliser toujours les mêmes attaques, et presque toujours dans le même ordre. Elle dût cependant admettre qu’elle était épuisée, alors qu’elle se déplaçait pour affronter…Tetsu !
« C’est trop facile, lança-t-elle pour narguer son équipier, tu es au moins aussi prévisible que Naruto !
« On verra bien.
« Et puis c’est facile, j’ai juste à faire apparaître une petite flaque d’eau pour que tu te noies dedans ! »
Tetsu lui lança un regard mauvais, comme chaque fois qu’on l’achalait sur sa peur de l’eau et le fait qu’il ne savait pas nager. Le coup de sifflet retentit, et Kasue passa à l’attaque.

Elle avait beau niaiser Tetsu, et effectivement bien connaître son style de combat, ça n’empêche qu’elle savait pertinemment qu’il ne fallait pas le prendre à la légère…et Tetsu savait aussi qu’il n’avait pas intérêt à sous-estimer Kasue. Leur 10 minutes passa sans qu’aucun des deux ne réussisse à porter un plein coup à l’autre.
« Match nul, apparemment, concéda Kasue alors que Tetsu changeait d’équipier
« Ouais. »

Quarante minutes passèrent avant que tous les tours soient complétés. Tout le monde était épuisé, et cette deuxième partie leur avait fait utiliser plus de chakra qu’ils ne l’auraient cru. Seul Naruto trouvait encore la force de crier qu’il avait réussi à vaincre un des clones de Ryûko en sautant tout partout.
« Et puis quoi encore ?, lui lança Kiba, moi aussi j’ai réussi, et je le crie pas sur tous les toits ! »

La nouvelle refroidit aussitôt Naruto, qui croisa les bras en lançant un regard noir à Kiba, comme s’il lui reprochait d’avoir réussi la même chose que lui. Ryûko rappela tout le monde au centre de la clairière, et leur distribua à chacun une gourde d’eau. Choji en profita pour terminer son sac de chips. Kasue calcula rapidement le temps qui s’était écoulé depuis la fin de leur dîner. Il devait être près de 15 heures.

« Vous avez 15 minutes de pause. Et vous remarquerez que cette fois je vous ai clairement distribué à chacun une gourde d’eau. Pour ceux qui hésiteraient encore : oui, vous pouvez en boire.
« C’est bon, on a compris, marmonna Ino, encore offusquée de l’altercation précédente sur l’eau
Kasue n’aimait pas la soudaine attention de Ryûko à leur égard ; c’était louche.
« On peut savoir pourquoi on a soudain droit à de l’eau et à une pause ?, demanda-t-elle avec suspicion
« Parce que je ne crois pas que vous puissiez terminer l’entraînement sans vous désaltérer, et sans récupérer un peu de force. Je ne suis pas votre sensei, et ce n’est pas à moi de décider si la privation est nécessaire ou non pour vous endurcir. Je m’assure simplement que vous…passiez…la journée. C’est tout.
« Pffff ! »

C’était quoi ce ton condescendant ? Elle avait vraiment rien d’autre à faire que d’essayer de se montrer plus fine que les autres ? Kasue pris une gorgée d’eau, et se dit qu’elle aurait très bien pu finir l’entraînement sans pause.
« Il reste encore beaucoup d’exercices à faire alors ?, demanda Orenji
« Deux. Mais j’ai bien peur qu’il s’agisse des deux plus difficiles. Rien d’impossible, évidemment, mais quand même. Je préfère que vous récupériez un peu. »
Kasue n’en crut pas un mot : soit Ryûko essayait de leur faire peur pour rien, et les exercices ne seront pas plus durs que les précédents, soit ils allaient être terrible et elle prenait un malin plaisir à les tromper. La journée était vraiment pénible, et elle devait en plus supporter, non seulement Tetsu – comme d’habitude – mais tous les autres idiots des autres équipes. Pour un peu, Kasue se serait ennuyée des marionnettes d’Ayatsuri.

« Dites-moi que je rêve quelqu’un ! »
« Je peux te pincer, si tu veux »
« Laisse faire Orenji ! C’est pas ce que je voulais dire… »

Kasue se tenait à nouveau debout sur une des quatorze marques dessinées autour de la clairière, faisant face à la forêt, les yeux recouverts d’un épais bandeau noir. Comme le reste de ses camarades, d’ailleurs. Elle se sentait plongée dans un cauchemar préscolaire, et ça la remplissait d’indignation. Autour d’elle, plusieurs se plaignaient également de leur quatrième exercice. Les encouragements de Ryûko ne faisaient rien pour les aider non plus.
« Arrêter de vous plaindre comme des enfants et concentrez-vous. Parti comme vous êtes, vous échouez tous lamentablement l’exercice. Il vous reste 50 minutes pour vous rattraper.
« C’est pas un entraînement de ninja, ça !, hurla alors Naruto
« Et vous aviez dit que ce serait difficile, renchérit Tenten, alors que là c’est tout simplement…
« ÉNERVANT !
« Pour une fois, je suis d’accord avec Ino… »
Ryûko secoua la tête de découragement.

« J’essaie de vous traiter en adulte, mais vous persistez à agir en gamins…Un entraînement difficile n’est pas nécessairement souffrant ! Il l’est parce que les standards à atteindre sont très hauts, simplement. »
Peut-être, pensa Kasue, mais il devait y avoir un moyen plus…digne, d’atteindre ces standards. Elle espéra très fort que Ryûko ne parlerait pas de cet entraînement à leur sensei …des plans pour que la vieille Ayatsuri trouve des exercices aussi débilisants à leur faire faire…avec des marionnettes….
« Ouch ! »
« C’est du caoutchouc, Kasue, rétorqua Ryûko, ça ne fait pas mal. Arrête de te plaindre.
« J’aimerais bien vous voir, moi – Aï-E !

« Pour ton information, je fais le même exercice avec des kunais. Maintenant taisez-vous tous et concentrez-vous. Le prochain que j’entends parler, je lui fait faire le test avec des shuriken, compris ? »

Personne ne voulut prendre le risque de voir cette menace mise à exécution, et le silence se fit rapidement. De retour à la case départ, dans leur zone marquée, à la merci de machines cachées dans la forêt qui lançaient, non plus des kunais, mais des balles en caoutchouc. Ri-di-cu-le. Et pourquoi ? Pour les aider à se fier à leurs autres sens, à part la vue. D’accord, les balles de caoutchouc sentaient fort, mais, à part Kiba, personne ne pouvait probablement les sentir à plus de 15 cm de distance. Et quand la balle est à 15 cm, normalement tu la reçois sur le nez dans les secondes qui suivent. D’accord, le tour des balles avait été creusé de spirales, pour qu’elles émettent une sorte de sifflement lorsqu’elle sont projetées, mais là encore ça ressemblait à un bourdonnement d’insecte. On ne cherche pas à savoir d’où vient un bruit pareil, tant que ça s’arrête. D’accord, la masse d’air déplacée par les balles créait un léger souffle qui précédait la balle, mais, honnêtement, est-ce qu’un seul ninja au pays se servait du déplacement de l’air pour déterminer des attaques de son adversaire ?

À mesure que Kasue entendait les balles tomber près d’elle – ou qu’elles la percutait de plein fouet – elle sentait sa concentration diminuer et son impatience croître. Dire qu’ils étaient censés attraper ces foutues balles, alors qu’elle avait juste le goût de les lancer à bout de bras. Sur Ryûko, de préférence. « Patience », se dit-elle, « il ne doit pas rester plus de…45…minutes…à l’exercice…». Elle poussa un cri de rage – mental – alors qu’une balle lui frôla la jambe. « Bon, calme-toi, réfléchis. Tu as trois options : sentir la balle, entendre son sifflement ou sentir la masse d’air qu’elle déplace…bon, on va oublier l’odeur, je suis pas un chien moi…pour ce qui est de l’air…c’est encore trop louche comme option. Va pour le bourdonnement alors ». Kasue porta alors toute son attention sur le sifflement des balles ; déjà, il fallait faire la différence entre les balles qui passaient près d’elle, et celles qui étaient loin. Elle fit quelques tests, et mesura que à partir du moment où elle pouvait entendre le sifflement, une balle dirigée sur elle mettait environ 8 secondes à l’atteindre. Elle avait 8 secondes pour déterminer si la balle s’approchait d’elle – et dans ce cas le bruit augmentait – ou si la balle s’éloignait – et le bruit diminuait. Si la balle s’approchait, elle devait trouver son angle et sa trajectoire d’approche…Kasue poussa un soupir. Tout ça était beaucoup plus facile à comprendre qu’à faire, mais il n’y avait pas de recette miracle : elle devait essayer.

Si Kasue avait su qu’elle était l’une des rares à avoir progressé durant l’exercice, elle aurait sûrement été plus encouragée. En même temps, il était avantageux que les jeunes ninjas aient un bandeau sur les yeux. Ryûko se félicita de ce qu’ils ne pouvaient pas voir leurs camarades. Shikamaru avait mis cinq minutes à réaliser que la trajectoire des balles n’étaient jamais dirigée plus bas que la hauteur des genoux, et s’était aussitôt couché par terre, et dormait paisiblement, sans être dérangé par autre chose que des balles qui roulaient doucement au sol. Kiba avait commencé par tricher en laissant Akamaru attraper les balles pour lui, puis avait utilisé son chien pour qu’il lui indique la direction des balles ; Ryûko dut éloigner Akamaru de Kiba et lui donner un os, qu’il rongeait alors tranquillement sans se soucier des cris de son maître.
Et une fois seul, l’odorat de Kiba ne lui permettait que de retracer les balles au sol, pendant qu’il recevait celles projetées dans le derrière. Naruto gesticulait et s’énervait tellement qu’il mettait souvent le pied sur les balles au sol et prenait des débarques impressionnantes ; il avait fini par se créer des clones pour attraper les balles, se disant qu’ils n’auraient pas de bandeau et pourraient voir les cibles. Il se croisa donc les bras, un sourire sur les lèvres, certains que ses clones lui amasseraient un nombre impressionnant de balle et qu’il en aurait plus que tout le monde ; non seulement il n’avait pas compris le but de l’exercice, mais il ne se rendit jamais compte que Ryûko fit disparaître ses clones en moins d’une minute. Choji s’agrandit démesurément les mains, croyant avoir plus de chance d’attraper les balles de cette façon…mais les balles étaient trop petites et elles ne faisaient que rebondir sur les énormes mains de Choji, les envoyant dans tous les sens et sur n’importe qui.

Orenji dut se faire reconduire plusieurs fois à son emplacement, considérant qu’il marchait dans tous les sens, les bras tendus devant lui, comme s’il cherchait des balles immobiles dans les airs ; de temps à autre, il appelait Tetsu à l’aide, ne sachant plus ce qu’il devait faire. Son coéquipier était pourtant trop occupé à perdre patience pour lui répondre ; il était même si énervé qu’il essaya de lancer des kunais pour briser les machines qui lançaient les balles. Il n’avait pas pensé qu’il n’était peut-être pas tourné vers la forêt, mais vers d’autres de ses camarades.

Ino s’énervait comme une folle, gesticulant en grognant, ramassant les balles au sol qu’elles trouvaient et les lançant à bout de bras en retenant un cri de rage ; Shino envoyait tranquillement ses insectes intercepter les balles ; Ryûko alla l’avertir que ce n’était pas le but de l’exercice et qu’il ne pouvait pas utiliser ses insectes pour attraper les balles, alors Shino se contenta de laisser ses insectes arrêter les balles, sans plus faire aucun effort pour les attraper ; et Lee semblait plus se battre contre un adversaire invisible que d’être conscient qu’il devait se concentrer à attraper les projectiles – qu’il prenait pour l’impact des coups de son adversaire invisible. Heureusement, Kasue, Sakura, Hinata, Neji et Tenten faisaient l’exercice comme il faut, et ils s’améliorent tous sur l’heure d’entraînement qui leur était alloué, même si ce n’était qu’un peu.
« Bon, assez de clowneries »

Ryûko fut presque aussi contente que les élèves quand l’heure fut complètement écoulée. Elle donna un long coup de sifflet et demanda à ce que les balles qui jonchaient le sol de la clairière soient toutes ramassées.
« Dernier exercice, annonça-t-elle quand tout fut fait, et je suis au moins contente de savoir que certains d’entre vous se sont bien reposés durant l’exercice précédent. Vous aurez d’autant plus d’énergie pour le dernier, et vous en aurez bien besoin.

Elle jeta un regard en coin à Shikamaru, et ne put retenir un sourire. Kasue sentit la fureur de l’indignation la remplir à nouveau : si Shikamaru avait dormi durant l’exercice précédent, et que Ryûko n’avait rien fait, pendant qu’elle s’évertuait à attraper des foutues balles…Elle serra les poings, frustrée de cette seule pensée : pourquoi est-ce que Ryûko ne semblait pas décidée à punir les paresseux, alors que d’autres travaillaient forts ? C’était positivement révoltant.

« Pour le dernier exercice, nous ferons un peu l’inverse du premier. C’est-à-dire que vous devrez tenir la position défensive pendant que je vous attaquerai. »

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