Fic que j'ai fait avec mes sœurs qui contient aussi des personnages qu'on a céer. Dont l'équipe 9 qui vient d'apprendre qu'il doivent aller à un entrainement spécial avec les autres équipes mais arrivant en retard, il y a des petites flammèches qui apparait.
Meldier (Masculin), le 09/05/2009 j'espère que vous allez apprécier.
Chapitre 3: La deuxième épreuve
Ryûko avait replacé son bandeau dans son cou et était retournée vers son sac, pour revenir quelques instants plus tard avec un large rouleau de parchemin, qu’elle déroula en entier sur le sol.
« Encore un exercice ?, se plaignit Orenji en se tenant le ventre, mais j’ai faim, moi ! »
Et il loucha à nouveau vers les chips de Choji.
« Et on est fatigué ?, renchérit Tenten
« On peut pas avoir cinq minutes ?
« Moi il faut absolument que j’aille aux toilettes !
« T’as pas besoin de le dire !
« Moi aussi il faut que j’y aille !
« Les garçons ont vraiment aucune manière !
« Parce que tu y vas jamais, toi ?
« J’ai faim !
« Orenji ! Arrête de pleurer !
« C’est de l’abus, vraiment ! On n’est pas des machines ! »
Sous ce nuage de protestations, Ryûko dessinait calmement des sceaux sur son très long parchemin vierge, et laissa les genins s’égosiller jusqu’à ce qu’elle ait fini. Elle siffla alors dans son sifflet.
« Prêt pour la suite ?, annonça-t-elle alors
« Vous écoutez vraiment pas quand on vous parle, pas vrai ?, lâcha Kasue, exaspérée
« S’il fallait que j’écoute tous ceux qui se plaignent pour rien…
« HÉ ! »
Et Ryûko activa les sceaux d’invocation qu’elle avait dessiné. Tout le monde resta bouche bée.
« Qu’est-ce que - ?
« Youpii ! De la nourriture ! »
Le long du parchemin était effectivement apparu quinze gros plateaux de nourriture et quinze cruches d’eau. Orenji alla aussitôt s’installer devant un et se mit à manger avec appétit, suivi de près par Choji, qui décida de garder le reste de ses chips pour plus tard. Les autres étaient encore trop surpris pour bouger. La plupart se sentaient aussi un peu ridicules d’avoir sauté aux conclusions trop vite.
« Mais je vais pas vous empoisonner !, fit alors Ryûko en souriant, et j’ai pas fait tout ça pour rien ! Allez, mangez ! On recommence dans 20 minutes. »
Elle prit un plateau et une cruche et alla s’asseoir à l’ombre d’un arbre pour manger tranquillement. L’un après l’autre, les jeunes allèrent se chercher un plateau, et la plupart allèrent aussi s’asseoir à l’ombre : le soleil tapait fort, et leur 3 heures d’exercice intensif ne les avait pas exactement rafraîchi. Ils se retrouvèrent tous plus ou moins en cercle ; Kasue, Hinata, Tetsu, Shino, Kiba, Neji et Tenten un peu plus groupés sous les branches d’un grand orme, Naruto, Sakura, Lee, Shikamaru, Ino, Choji et Orenji dispersés un peu plus vers le centre de la clairière. Et Ryûko était assise beaucoup plus loin sur leur gauche et ne semblait pas faire attention à eux. Kasue ne put quand même s’empêcher de remarquer qu’elle avait enlevé ses gros écouteurs.
« C’est une journée vraiment étrange, se dit-elle tout bas.
Tetsu hocha la tête, comprenant ce que sa coéquipière voulait dire.
« Ça aurait pu mieux commencer si vous étiez pas arrivés en retard !
« Hé ! Aboie dans l’autre sens, ça pue !
« Bon, ça commence, soupira Tetsu avant d’ajouter à Kiba : et tu veux me dire pourquoi tu t’es assis avec nous, si c’est pour nous cracher ta nourriture dans la face pendant tout le dîner ?
Sauf que Kiba était déjà trop occupé à se chicaner avec Kasue, qui lui avait fourré une grosse boule de riz dans la bouche pour le faire taire ; il essayait de la menacer en même temps qu’il s’étouffait. Hinata, assise entre Kasue et Tetsu, semblait désespérée de jamais les voir bien s’entendre.
« Je veux pas te faire de peine, Hinata, lui dit Tetsu, mais je crois que c’est une cause perdue d’avance.
« Moi je trouve qu’ils…s’améliorent…non ?
« Euh…non ! En fait je trouve que c’est de pire en pire… »
Après quelques minutes pendant lesquelles les seuls sons qu’on entendit dans la clairière furent les cris de Kiba et de Kasue, Shino se décida à se lever et à aller s’asseoir entre eux deux.
« Pourquoi vous assoyez-vous l’un à côté de l’autre aussi ?», dit-il en prenant place
Tout le monde remercia mentalement Shino de son initiative : Kiba et Kasue se clouèrent le bec en détournant la face l’un de l’autre, et se résolurent à se bouder mutuellement.
« N’empêche, renchérit alors Tenten, c’est vrai que vous êtes arrivé en retard…vous aviez pas été prévenus ou quoi ?
« Exactement, fit Tetsu, la vieille folle qui nous sert de sensei nous avait dit d’arriver à notre terrain d’entraînement vers 8 hrs ce matin.
« C’est idiot, lança Neji, alors que l’entraînement commençait ici à la même heure.
« Bien d’accord avec toi. Mais bon, c’est Tsurini-sensei, faut pas chercher à comprendre. Toujours est-il qu’elle nous a…fait patienter jusqu’à 8h15 avant de nous dire que nous devions nous rendre ici, pour quinze minutes auparavant.
« Mais on pensait pas que vous étiez si impatients de nous voir, renchérit aussitôt Kasue avec force ironie.
Kiba ne put retenir un « ah! » de mépris, et Akamaru approuva d’un court jappement. Kasue roula des yeux en soupirant, écoeurée de leur simple présence.
« C’est quand même pas de chance pour vous, compatit Tenten en souriant, nous on a été averti hier soir…je comprends vraiment pas votre sensei…
« Nous non plus ».
De nouveaux cris se firent entendre, mais cette fois c’était Sakura qui piquait une crise contre Naruto, et qui s’acheva par un coup de poing retentissant. Quelques secondes plus tard, c’était après Ino que Sakura criait – probablement à cause d’une remarque quelconque – et il était hors de question qu’Ino se laisse faire par Sakura. Choji et Orenji y trouvaient pourtant leur compte, et profitaient de la dispute des filles pour piquer de la nourriture dans leurs assiettes. Lee était aller aider Naruto à se relever et Shikamaru s’éloignait discrètement du duo de furies.
« C’est pas croyable comme bande d’enfants, soupira Tetsu
« J’en connais des pire !
« Kasue, s’il-te-plaît…
Kasue retint sa prochaine remarque par amitié pour Hinata, et aussi parce qu’elle voulait avoir fini de manger avant la fin de leur pause. Elle fut bientôt rassasiée, bien qu’il restait le quart de la nourriture dans l’assiette. Dans un geste qui surpris tout le monde, elle tendit son plateau à Kiba (par-dessus Shino), qui lui jeta un regard de méfiance suspecte, pendant qu’Akamaru reniflait l’assiette.
« C’est pas ce que vous faites chez vous ?, lança alors Kasue sans même regarder Kiba, donner les restants au chien ? »
Kiba grogna, mais prit le plateau sans répliquer ; à vrai dire, il n’était pas sûr si Kasue parlait de lui ou d’Akamaru, et il voulait éviter de se ridiculiser inutilement. Inspirée par son amie, Hinata se leva et alla offrir le reste de son assiette à Naruto, qui accepta avec joie. Kasue eut beau faire des signes – pas subtils – à Hinata pour qu’elle en profite pour rester avec Naruto, son amie ne put s’y résigner et retourna s’asseoir près de son amie, les joues toutes rouges.
« Tu sais, lui dit Kasue, c’est à toi que tu te fais du tort. En plus il aurait été occupé à s’empiffrer ! C’est pas si gênant comme situation ! »
Le dîner se poursuivit tranquillement, sans trop de cris ou de disputes. Après quinze minutes, Ryûko se leva et, tout en se dirigeant vers le parchemin qui était toujours déroulé au centre de la clairière, rappela à tous qu’ils allaient reprendre dans cinq minutes et que ceux qui avaient terminés pouvaient lui rapporter leur vaisselle. Orenji se leva promptement, transportant les plateaux de tout ceux qui étaient près de lui, et alla les porter à Ryûko, qui s’était accroupie près du parchemin.
« Qu’est-ce que vous allez faire avec ?
« C’est tout simple Orenji, regarde »
Ryûko pris plateaux, cruches et baguettes et les empila au centre d’un sceau, qu’elle activa par la suite. La vaisselle disparut, et le sceau avec.
« Et voilà ! J’ai inversé le sort d’invocation, tout simplement.
« Et…elle est allé où la vaisselle ?, demanda timidement Orenji
Ryûko ne put s’empêcher d’esquisser un petit sourire.
« Chez moi, attendant que je la fasse. Mais ne t’occupes pas de ça, tu devrais profiter des quelques minutes qui reste si tu veux aller te débarbouiller ou quoi que ce soit.
« Oh oui ! J’ai très envie ! »
Il se sauva en courant à travers la clairière, rappelant à d’autres qu’ils avaient aussi envie. Cinq minutes plus tard tout le monde était néanmoins revenus et prêts à recommencer l’entraînement. Le moral général semblait meilleur qu’auparavant ; le dîner leur avait fait oublié leur dispute et l’issue du premier exercice. Ryûko avait renvoyé toute sa vaisselle et était allé préparer son prochain exercice.
« Pour le prochain exercice, je vais d’abord vous demander de me remettre tous vos armes et outils. Vous n’avez le droit à aucun objet, ni kunais, ni parchemin, ni fil, rien. »
Tout le monde remit docilement leurs sacs d’outils à leur entraîneur, qui les plaça derrière elle, à l’intérieur d’un sceau qu’elle avait tracé à même le sol. Quand tout le monde fut soulagé de leurs armes, elle l’activa et reprit ses explications.
« Vous remarquerez que quatorze marques sont tracées autour de la clairière. Quand j’aurai terminé mes explications, chacun de vous ira se placer sur l’une de ses marques. Tout autour, dans la forêt, sont disposés plusieurs lanceurs de kunais, orientés pour viser aléatoirement l’un des quatorze endroits marqués. L’exercice est simple : sans bouger de votre emplacement désigné, vous devez bloquer tous les kunais qui seront projetés vers vous. Neji, Hinata, je dois vous demander de ne pas utiliser vos byakugan, autrement l’exercice n’aurait pas de sens pour vous.
« Si l’exercice consiste à simplement bloquer les coups, utiliser mon byakugan ou non ne changera pas grand-chose, fit remarquer Neji.
« Peut-être, mais il ne s’agit pas simplement de bloquer le coup. Vous allez être disposé en cercle : éviter un kunai au lieu de le bloquer, et l’un de vos compagnons pourrait le recevoir dans le dos. Faites dévier les kunais n’importe comment, et d’autres de vos compagnons les recevront dans le côté. Vous devrez tenir compte de tout ce qui se passe dans la clairière entière ; tant pour savoir d’où viennent les projectiles que pour savoir où ils iront dépendamment de la façon dont vous pourrez les éviter ou les bloquer. Des questions ?
« L’exercice dure combien de temps ?
« Une heure, sans interruption. Je vous observerai depuis la forêt, et ne reviendrez qu’après avoir arrêté les lanceurs de kunai, au terme de l’exercice. Autre chose ?
« Comment on va pouvoir arrêter les projectiles sans nos armes ? Et sans bouger des endroits indiqués ?
« Faites preuve de créativité, de débrouillardise. Je n’arrêterai pas l’exercice avant une heure, quand bien même vous seriez tous blessés. Ne comptez pas là-dessus. Ça vous va comme ça ? »
Kasue se mordit la langue pour ne pas dire tout haut ce qui lui passait par l’esprit.
« Elle nous niaise ou quoi ? Comme si on allait dire oui !
« Oh ! Arrête de te plaindre, tu veux ?
« Évidemment, môssieu Tetsu a juste à envoyer son gros nuage pour tout arrêter !
« Ouais ! Et tu devrais te taire si tu veux pas que je te l’envoie aussi dessus ! »
Ryûko siffla une nouvelle fois dans son sifflet, à la fois pour faire taire Kasue et Tetsu, et pour donner le signal de départ. Tout le monde pris place sur un des « » tracés autour de la clairière à plusieurs mètres de la ligne des arbres. Sitôt que chacun eut pris place, ils entendirent des bruits de cordes, et des dizaines de kunais volèrent aussitôt dans la clairière, dans tous les sens. La plupart des genins furent si surpris par la soudaineté des attaques qu’ils ne purent qu’éviter les projectiles pendant plusieurs minutes – multipliant de la sorte les endroits par où ils étaient attaqués. Tetsu avait recouvert ses bras d’une carapace de métal et faisait dévier allègrement tous les kunais qui volaient à sa portée, sans se soucier le moins du monde que la plupart d’entre eux allaient droit sur ses camarades.
« Espèce de malade !, grogna Kasue en attrapant un kunai qui fonçait sur elle, afin de s’en servir pour bloquer les attaques suivantes, qui est-ce qu’il essaie de tuer comme ça ? Et pourquoi on dirait qu’il m’en envoie plus que les autres ?
Elle se risqua à jeter un rapide coup d’œil vers Orenji, pour voir comment il s’en sortait, mais elle se ravisa en manquant d’être poignardée à l’épaule. Être disposé en cercle rendait plus difficile de tenir compte des positions de tout le monde à la fois. Kasue comprenait quand même, plus que d’autres, que de les forcer à maintenir leur position leur facilitait la tâche pour ce qui était d’éviter de frapper les autres. Après une dizaine de minutes, Kasue commençait à connaître les angles qui exposaient ses camarades, et qu’elle devait bloquer à priorité, et avait pris le tour pour frapper les projectiles vers le bas, afin qu’ils se plantent dans le sol plutôt que d’être déviés dans une autre direction. Elle était aussi rassurée pour Orenji : le bruit d’explosions l’informaient que son équipier utilisait efficacement son jutsu explosif.
Comme toujours, Orenji trouvait le moyen de se débrouiller. Les « attaques » de Tetsu commençait par contre à se faire plus rare. Kasue se demanda si Tetsu avait déjà épuisé son chakra, ou s’il s’était résigné à ne plus faire dévier les projectiles n’importe où. Elle entendit alors une fille pousser un cri, et craignit un instant qu’il ne s’agit d’Hinata ; elle se sentit rassurée de reconnaître les cris d’Ino qui, apparemment, avait reçu un kunai dans la cuisse. « Bah !, se dit Kasue, elle crie pour rien celle-là ! ». Comme de fait, Ino fut si choquée d’avoir été blessée qu’elle redoubla d’ardeur pour la suite de l’exercice, sans prêter attention à sa blessure ou à la douleur qu’elle ressentait. Un point pour elle. Cela avait quand même distrait Kasue, qui avait jeté un coup derrière pour rire d’Ino, et en se retournant elle vit avec horreur la pointe d’un couteau foncer droit dans son visage. Ses réflexes la sauvèrent, mais elle ne put empêcher une égratignure sur la joue.
« Espèce d’exercice débile ! »
Elle entendit la voix de Kiba lui répondre en se moquant, sur sa droite :
« On voit tout de suite qui sont les plus douillets de la gang, à crier comme des petites filles ! »
Ino, croyant que la réplique s’adressait à elle, rugit une insulte à Kiba, et lui lança même le kunai qu’elle avait à la main pour bloquer ses attaques.
« Espèce de folle !, cria Kiba, c’est même pas à toi que je parlais !
« Mais concentrez-vous, bande d’idiots ! », cria alors Sakura à la ronde
Et heureusement pour Ino, Shikamaru – à l’emplacement sur sa gauche immédiate – avait réussi à stocker plusieurs kunais et lui en lança un pour qu’il se plante à ses pieds. Elle le saisit juste à temps pour bloquer trois projectiles qui fonçaient vers elle. « Espèce d’idiote ! », pensa Kasue en restant concentrée, « Shikamaru aurait dû la laisser crever là, comme ça il aurait eu une autre coéquipière ». Puis elle pensa à Tetsu et se dit qu’on pouvait s’attacher à nos équipiers, même ceux qui étaient détestables. L’exercice se poursuivit sans difficulté majeure ; même, si ce n’eut été de la fatigue croissante qu’ils éprouvaient, tous les jeunes ninjas auraient trouvés l’exercice de plus en plus facile. Chacun prenait de plus en plus conscience de leur environnement – et comme personne ne bougeait, c’était facile – et développaient rapidement des trucs pour se faciliter la tâche. Le vrai défi était de rester concentré, et ça n’empêcha pas que l’heure s’écoula lentement, sans que personne aperçut ou entendit Ryûko. Kasue était certaine que leur entraîneur était tout simplement partie, ou dormait quelque part dans le bois, attendant de devoir revenir s’occuper d’eux. Quand, finalement, la pluie de projectiles cessa, Kasue se laissa tomber par terre pour reprendre son souffle avant que Ryûko arrive. C’est-à-dire moins d’une minute.
« Très bien. Tout le monde a survécu, et tout le monde semble avoir compris le but de l’exercice. Évidemment, crier après son voisin n’était peut-être pas la meilleure façon de se concentrer, mais bon, on apprend de nos erreurs, pas vrai ? »
Kasue fut un peu surprise de la remarque. Elle les avait vraiment regardé, après tout. Ino pansait sa blessure en serrant les dents, davantage pour la remarque que par douleur.
« Vous avez cinq minutes pour reprendre votre souffle, pendant que vous ramasserez votre « zone ». Déposez tous les kunais dans ce baril ».
Elle avait un gros baril de bois à côté d’elle, et une grosse gourde d’eau à côté du baril. Pendant qu’ils ramassaient les armes par terre, Ryûko alla reprendre les sacs d’armes restés au milieu de la clairière, sous la protection du sceau, qui avait empêché que les effets soient endommagés. Au fur et à mesure que les ninjas finissaient de nettoyer leur part de la clairière, elle leur remettait leurs armes et leurs outils. Quand tout fut ramassé, Ryû prit une longue gorgée d’eau et lança la gourde en direction de son sac. Ino ne put se retenir :
« Vous avez pas pensé qu’on pourrait avoir soif, nous aussi ?
« Vous avez pas pensé que vous pouviez en prendre, de l’eau ?, répliqua Ryûko sur le même ton qu’Ino, ou vous attendez toujours qu’on vous dise quoi faire ? Moi qui croyais que vous n’étiez plus des enfants…
« C’est pas ça, c’est que…
« Que quoi ? J’ai laissé la gourde près du baril, sachant que chacun d’entre vous devait ramener les kunais, alors à moins de ne pas avoir fait votre part de nettoyage, vous n’avez pas pu la manquer. Bon, continuons. »
Ino rougit de colère, mais dût admettre que c’était vrai. Personne, d’ailleurs, n’avait pris d’eau : certains par manque d’assurance ou par timidité, ne sachant pas si l’eau leur était destiné, d’autres par méfiance, trouvant louche que leur entraîneur ait mis une gourde de liquide aussi en évidence, quelques-uns n’avaient tout simplement pas soif, et un – devinez qui – parce qu’il n’avait pas vu la gourde, et qui en était bien déçu.
« Troisième exercice, annonça alors Ryûko sans perdre de temps, la défensive en combat rapproché.