Fic que j'ai fait avec mes sœurs qui contient aussi des personnages qu'on a céer. Dont l'équipe 9 qui vient d'apprendre qu'il doivent aller à un entrainement spécial avec les autres équipes mais arrivant en retard, il y a des petites flammèches qui apparait.
Meldier (Masculin), le 09/05/2009 j'espère que vous allez apprécier.
Chapitre 2: La première épreuve
« Tout le monde se relève, l’entraînement va commencer. »
Des grognements commencèrent à s’élever, aussitôt enterrés pas un nouveau sifflement strident d’une longue minute.
« Je déteste élever la voix, alors vous allez garder le silence chaque fois que j’aurai des explications à vous donner. »
Sinon on devient sourd, se dit Kasue avec amertume. Elle va voir si je me tais celle-là ! Elle se tourna pour interroger Tetsu et Orenji du regard, mimant un silencieux « c’est qui? » sur ses lèvres. Tetsu haussa les épaules en signe d’ignorance, et Orenji répondit qu’il ne l’avait jamais vu. Et à voir les regards curieux de tous les autres genins, Kasue se dit que personne ne semblait savoir qui était cette fille. Kasue lui jeta un regard circonspect ; mis à part son expression sérieuse, elle n’avait rien de bien impressionnant. D’abord elle semblait assez jeune, trop jeune même, et elle n’était ni très grande ni très bâtie. Nul doute cependant qu’elle était un ninja de Konoha, à voir le bandeau autour de son cou, et en admettant qu’elle était responsable de la tornade qui les avait éparpillés dans la clairière.
« Maître Hokage m’a demandé de superviser une séance d’entraînement pour améliorer vos techniques défensives. Disons plutôt que ce sera une séance d’entraînement destinée à vous sensibiliser à l’importance de bien développer sa défensive. Je n’ai pas à vous convaincre de quoi que ce soit, et je n’en ai nulle envie. Vous tirerez vous-même les leçons des différents exercices. Quoi ? »
La main de Sakura s’était levée promptement.
« Sans vouloir vous offenser, la défensive se travaille conjointement à l’offensive, ça va ensemble. Nous avons tous déjà de bonnes techniques défensives.
« Ah oui ? Eh bien, mon entraînement sera d’autant plus facile alors, vous devriez être contents »
Son sourire laissait présager le contraire. Kasue fut piqué au vif par cette impression, comme chaque fois qu’on laissait sous-entendre un quelconque doute sur ses habiletés.
« Vous êtes qui pour nous donner cet entraînement, sensei ?, lança Kasue avec force ironie.
« Ryûko, répondit la jeune femme sans relever l’ironie, et tant qu’à vous avoir dit mon nom, je vais m’attendre à ce que vous l’utilisiez. »
Elle descendit de son piédestal, et alla fourrager dans un sac posé à côté. Kasue était prise entre le goût de rire et la colère. Leur entraîneur n’avait même pas compris le sens de sa question ; elle ne savait pas faire la différence entre dire son nom et donner ses qualifications. Brillant ! Finalement, l’entraînement risquait d’être effectivement assez facile. Ryûko plaça un cadran devant la pierre sur laquelle elle se tenait quelques instants plus tôt, puis s’avança tranquillement vers le centre de la clairière, tout en donnant ses explications.
« Le premier exercice que nous ferons est très simple. Vous devrez réussir à me porter un plein coup, que je ne pourrai pas bloquer. Des questions ?
« Oho ! C’est quoi ces explications pourries ?, lâcha Tetsu à moitié déstabilisé, évidemment qu’on a des questions, vous nous avez rien dit ! »
Ryûko atteignit alors le centre de la clairière – et le centre du groupe de genins – et se tourna vers Tetsu l’air intriguée.
« Vous n’avez pas compris ? C’est pourtant d’une simplicité enfantine : c’est exactement ce que j’ai dit.
Tetsu rougit de colère. Shikamaru prit le relai.
« Il s’agit d’une mêlée, si je comprends bien. Chacun de nous devra vous attaquer, et réussir à vous toucher avec une attaque quelconque, c’est ça ?
« Pas exactement. Il s’agit bien d’une mêlée. Je garderai cette position, au centre de la clairière, pendant que vous serez libre de m’attaquer comme bon vous semble, avec le type d’attaque que vous préférez : taijutsu, genjutsu, ninjutsu, de près ou de loin, avec ou sans armes, peu importe.
« Mais ? »
Shikamaru, comme Kasue, redoutait un vice caché. La méfiance, c’était de famille chez les Nara.
« Mais c’est encore plus facile que ça, répondit calmement Ryûko, vous devez réussir à me porter une seule attaque. Autrement dit, le but de l’exercice consiste à ce qu’un seul d’entre vous réussisse une seule fois. C’est tout. Vous pouvez donc vous entraider sans crainte de nuire à vos performances individuelles.
« Ce sera pas un peu court ?, lâcha Kiba avec un rire moqueur, après tout nous sommes 14 et vous êtes seule.
« Peut-être, peut-être pas. Je ne connais pas vos capacités et vous ne connaissez pas les miennes, l’issue de l’exercice est donc dure à prévoir.
« Désolée, intervint Sakura, mais je ne comprends pas l’intérêt d’un tel exercice. Le but de l’entraînement, c’est de parfaire nos techniques défensives, non ? Alors pourquoi nous demander de vous attaquer ? On travaille l’offensive de cette façon, pas la défensive. Ce devrait être l’inverse : vous attaquez et nous nous défendons. »
Ryûko prit un moment à répondre, et Sakura sentit étrangement un reproche dans ce silence.
« Bien observé. Tu veux venir superviser l’entraînement à ma place ?
« Euh…non, je…je faisais simplement remarquer que…
« À quoi cela vous servirait-il de commencer tout de suite à travailler votre défensive, alors que vous ne savez même pas ce qu’on entend par « défensive » ?
Ino s’emporta aussitôt.
« Vous nous prenez pour des imbéciles ou quoi ? Comment aurions-nous pu devenir ninjas sans savoir comment tenir une position défensive ! »
Pour une fois, Kasue dut donner raison à Ino. Ça devenait lassant, ce petit jeu de chat et chien auquel jouait Ryûko, comme si elle faisait exprès de les faire réagir pour pouvoir mieux les remettre à leur place. Ils ne la connaissaient que depuis quelques minutes, et déjà Kasue sentait une antipathie générale à l’égard de leur entraîneur. Il faut avouer que soit elle riait d’eux, soit elle donnait cet entraînement contre son gré, ou alors qu’elle avait un ego pas possible et prenait plaisir à rabaisser les jeunes ninjas. Kasue penchait plus pour la dernière option. Elle comptait bien lui montrer, à cette prétentieuse, de quoi elle était capable !
« Je vous fais faire cet exercice, soupira Ryûko en ignorant la remarque d’Ino, pour que vous puissiez mesurer à quel point percer une défensive solide peut être difficile, et comment le simple fait de ne pas y parvenir peut se retourner contre vous. Cela me permettra, du même coup, d’observer vos différents styles de combats, vos différentes techniques, pour m’aider pour les exercices suivants. Voyez cela comme une sorte de prologue aux vrais exercices. »
Tout le monde semblait s’être calmé, et se préparait à commencer, bien décidé à battre un record de vitesse.
« Considérez aussi que je prends rarement le risque de retenir mes coups contre des adversaires dont j’ignore les capacités, continua Ryûko en détachant son bandeau autour de son cou, il est présentement 8h45. Le cadran sonnera à 11h45 ; vous avez donc exactement 3hrs pour réussir à me porter un plein coup. C’est moi qui arrêterai le combat si l’un ou plusieurs d’entre vous venaient à réussir. »
Elle plaça alors son bandeau protecteur autour de sa tête. Les treize genins – et Shikamaru – formaient alors un large cercle autour de leur entraîneur.
« Vous êtes prêts ? »
Elle descendit son bandeau de sorte à ce qu’il cache entièrement ses yeux, puis prit à nouveau son sifflet pour émettre le signal de départ. Il y eut un moment d’immobilisme, pendant lequel chacun des jeunes se demanda, avec plus ou moins d’impatience, si Ryûko se moquait d’eux ou pas. Ce coup à l’orgueil acheva de réveiller la combativité de Naruto, qui autrement était passablement amorphe depuis le départ de Sasuke : il se précipita en hurlant vers Ryûko, un kunai à la main…et fut brutalement projeté par terre, emporté par une violente bourrasque de vent. Il se releva en se massant la tête, plus déterminé que jamais – ses compagnons profitaient de son entêtement pour observer la situation. Ryûko restait immobile au centre de la clairière, les yeux bandés, les mains dans les poches de sa veste et ses écouteurs sur les oreilles. Naruto fut pourtant projeté quatre, cinq fois loin d’elle, emporté par un vent violent. Lee se joignit bientôt à Naruto pour essayer d’atteindre Ryûko, alors que Tenten et Sakura tentèrent de lancer des kunais dans la direction opposée de laquelle leurs coéquipiers attaquaient. Kunais et genins furent également projetés au loin. Pendant que Naruto, Lee, Sakura et Tenten poursuivaient leurs tentatives en variant d’angle d’attaque, Tetsu se décida à lancer un nuage de métal à travers le vent qui tourbillonnait autour de Ryûko. L’initiative s’avéra fructueuse : tout le monde put voir les particules de métal être maintenue à distance et entraînées dans un mouvement circulaire.
« Elle est entourée….d’une boule de vent ? »
Tetsu arrêta son attaque, fier de son coup. Kasue se dépêcha de le rejoindre.
« Tu as vu ce que j’ai vu ?
« Ouais.
« Et t’as une idée de comment traverser ça ? Ton métal pourrait y arriver ?
« Aucune idée.
« T’as fini de faire ton frais ?! Tu veux des félicitations peut-être ?
« Je viens quand même de fournir à tout le monde d’importantes informations sur pourquoi personne arrivait à l’atteindre.
« Oui, merci Tetsu, tu as résolu tous nos problèmes et nous te devrons la victoire… t’es content ?
« Ouais !
« Tête enflée ! Alors, tu t’assois sur tes lauriers ou tu continues d’essayer ?
« Ben quoi ? J’ai fait ma part. C’est pas un exercice d’équipe, tout ça ? Chacun son tour. »
Kasue retint une envie soudaine d’étrangler son coéquipier, et se dépêcha d’aller rejoindre Hinata, en évitant les attaques croissantes de ses camarades, qui croyaient chacun pouvoir percer un mur de vent avec une relative facilité. Seuls Hinata, Ino et Shikamaru se tenaient toujours à distance, à observer les différentes attaques menées – chacun pour des raisons différentes. Kasue arriva à hauteur de son amie et de son cousin – Ino criait des espèces d’encouragements ou de menaces à tout le monde un peu plus loin.
« Hinata ! Tu peux voir la nature de l’attaque, avec ton byakugan ?
« Oui, j’ai déjà regardé, répondit doucement Hinata, Ryûko déplace le vent avec son chakra, pour être protégée comme à l’intérieur d’un bouclier.
« Un bouclier ?
« Oui, je ne comprends pas exactement comment c’est possible, mais la boule de vent est dense et…solide, en quelque sorte. Comme si le vent tournait autour d’un mur solide.
« C’est pour ça que l’attaque Kinton de Tetsu n’a pas pu traverser : la masse qu’il a envoyé était moins dense que celle du « bouclier »…
« Kasue ?
« Mmmm ?
« Comment peut-on faire une telle attaque sans sceau ?
« C’est pour nous déstabiliser, intervint alors Shikamaru, pour qu’on croie qu’elle n’utilise pas de sceau, pour qu’on ne sache pas quand elle va lancer une attaque…ou plutôt, une défensive…
Kasue fronça les sourcils.
« Tu veux dire qu’elle a exécuté les sceaux de son jutsu si vite qu’aucun de nous ne l’a vu ?
« Plus simple encore, fit Shikamaru en esquissant un sourire, elle laisse ses mains là où elles sont. Dans ses poches. »
« Quoi ? Mais ça voudrait dire –
« Qu’elle peut faire ses sceaux sans avoir à joindre les mains, exactement. Je dois avouer que je croyais ça impossible…mais jusqu’à preuve du contraire, il faut considérer que notre adversaire n’a pas besoin de bouger de sa position actuelle pour lancer des jutsus. »
Kasue eut un petit rire. Il y avait sûrement un truc tout simple derrière ce tour de passe-passe : après tout, Ryûko n’avait même pas été fichue de répondre correctement à sa question. Il fallait quand même lui donner qu’elle les maintenait efficacement à distance.
Après une vingtaine de minutes de tentatives ratées, Naruto s’énerva et balança son Rasengan contre le « bouclier » de Ryûko ; il créa ainsi une ouverture, et l’impact interne de son attaque permit de voir qu’un second « bouclier » plus petit - électrique celui-là – se trouvait à l’intérieur de celui de vent. Shikamaru et Kasue dirigèrent une stratégie en deux temps, et réussirent en combinant les techniques de plusieurs de leurs camarades, à faire tomber complètement la sphère de vent. Environ une heure s’était écoulée depuis le début de l’exercice.
Le bouclier électrique leur donna autant de fil à retordre, et épuisa considérablement certains d’entre eux : là où le vent ne faisait que les projeter au loin, la décharge qu’il prenait en entrant en contact avec la « boule d’éclair » les affaiblissait et leur causait des dommages supplémentaires. Cette fois-ci, le rasengan de Naruto ne servit à rien. Neji pouvait par contre pénétrer le bouclier de Ryûko grâce à sa propre technique défensive. Kasue eut l’idée de combiner cet avantage aux jutsus explosifs d’Orenji. L’attaque porta fruit, et tout l’intérieur du second bouclier explosa. Non seulement la sphère électrique avait été neutralisée, mais plusieurs crurent même avoir réussi à porter un coup. Jusqu’à ce que la poussière de l’explosion soit retombée.
« Qu----oi ? »
Le corps de Ryûko était recouvert en entier d’une « armure » bleue, qui flottait à quelques centimètres de distance de son corps. Autour d’elle, de nombreux morceaux de roche et de terre gisaient en cercle autour de ses pieds. Visiblement, elle avait utilisé un 3e bouclier pour se protéger de l’impact des explosions.
« Mais qu’est-ce que c’est encore que ce truc ?, s’impatienta Naruto, ça ressemble à rien, ce combat ! Elle n’a même pas bougé depuis le début !
« Calme-toi un peu, tu veux ?, fit Sakura, c’est un exercice défensif, plus qu’un combat. Elle n’attaque pas, elle nous garde à distance autant que possible.
« Mmouais ».
Les jeunes ninjas eurent pourtant un regain d’enthousiasme lorsqu’ils constatèrent que le troisième bouclier de Ryûko, moulé autour de son corps, leur permettait d’attaquer en combat rapproché. Lee fut même un peu trop enthousiaste lorsque Neji le lui fit remarquer, et il se lança aussitôt à l’assaut, certain de pouvoir donner un coup à un adversaire qui avait les yeux bandés. Ryûko fit un bond vers l’arrière, se pencha, esquiva chacun des coups que lui portait Lee, pour finir par lui agripper les chevilles et le projeter au loin. Tenten, qui s’apprêtait à lancer une attaque pour seconder son équipier, s’interrompit en le voyant atterrir près d’elle.
« Elle a…les yeux bandés…Lee ! Tu dormais ou quoi ? »
Et elle fit voler une pluie de projectiles sur Ryûko – qui rebondirent tous contre son bouclier, sans qu’aucun ne trouve prise.
« C’est inutile, l’avertit Neji, ce bouclier qu’elle a autour d’elle, c’est son chakra. Il faut une attaque très puissante pour la traverser, puisqu’on ne peut pas l’exploser de l’intérieur. Il faut absolument percer la défense extérieure.
« Mais elle a jamais dit qu’il fallait percer ses défenses !, s’écria alors Kasue, assez fort pour que tout le monde l’entende, il faut juste lui porter un coup !
« Et en quoi ce que tu vient de dire est différent de ce que j’ai dit ?, rétorqua Neji avec une pointe d’impatience
« Ce qu’il y a de différent, répondit Kasue avec un air satisfait, c’est que ce bouclier nous permet de porter un coup direct. Un seul coup de pied ou coup de poing qu’elle ne pourra pas bloquer, et on aura gagné. Même si elle a son bouclier de chakra ; il ne la protège pas des coups en combat rapproché ! »
Un assentiment général suivit ; c’était sûrement la meilleure solution à adopter. De toute façon le temps filait vite, et personne ne voulait être arrêté par la sonnerie de l’horloge. Neji, Hinata, Naruto, Lee, Kiba, Choji, Tetsu et Ino se chargèrent de lancer les attaques en combat rapproché, tandis que Shikamaru s’occupait de coordonner les diversions « à distance » que le reste d’entre eux allait mener pour faciliter le travail de leurs camarades. Ils éprouvèrent quand même des difficultés d’ajustement : coordonner une si grande équipe était difficile, et on ne pouvait jamais prévoir quand « quelqu’un » allait lancer une attaque sans tenir compte de la stratégie établie…et il était pratiquement impossible d’informer tout le monde lorsqu’un plan était fait. Leur nombre était à la fois un avantage et un désavantage important. Shikamaru, Kasue, Sakura, Orenji, Shino et Tenten s’en tiraient quand même bien sur le plan « diversion », mais aucune de leurs attaques n’étaient réellement censée porter…alors que du côté « rapproché » on éprouvait de nettes difficultés de coordination ! Déjà, la plupart des genins n’avaient pas l’habitude de combattre en même temps avec d’autres coéquipiers si près d’eux : il arriva plus d’une fois qu’ils s’entre-frappent entre eux.
Et à cause de certains caractères explosifs, la chicane prenait et il fallait tempérer les esprits avant de reprendre l’attaque. Autre difficulté inattendue fut la rapidité et la souplesse avec laquelle Ryûko parait leurs attaques ; elle se rapprochait même très près d’eux à chaque mouvement, déstabilisant ses adversaires et utilisant cette proximité pour – justement – exploiter au maximum leur inexpérience en coordination de combat rapproché.
Le pire finit fatalement par arriver : l’alarme se fit entendre. Il était 11h45. Naruto piqua une crise dès qu’il entendit la sonnerie ; Lee mit un genou par terre et se mit à pleurer ; Ino se mit à blâmer Shikamaru pour leur échec ; Shikamaru soupira et essaya de s’éloigner ; Neji, Shino et Tetsu se croisèrent les bras en signe de mécontentement ; Orenji regarda avec envie Choji sortir miraculeusement un sac de chips de ses poches ; Kasue fixait Ryûko avec mécontentement, certaine d’avoir été roulée quelque part ; Hinata tenait la manche de son amie en regardant Naruto piquer sa crise avec inquiétude ; Tenten et Sakura poussèrent des soupirs de découragement, plus épuisées que d’autre chose ; et Kiba piquait une crise après Naruto parce qu’il piquait une crise !
Pendant ce temps, Ryûko avait replacé son bandeau dans son cou et était retournée vers son sac, pour revenir quelques instants plus tard avec un large rouleau de parchemin, qu’elle déroula en entier sur le sol.
« Encore un exercice ?, se plaignit Orenji en se tenant le ventre, mais j’ai faim, moi ! »