Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: La liberté de la Lune

Qui n'as jamais comprit sa vie dans l'obscurité de la nuit ? Et si la Lune nous aidait simplement a mieux se comprendre sois meme...
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naruto333 (Masculin), le 08/05/2009
Apres une longue absence, je me remet a l'ecriture d'histoire ^^ Il est carrement clair que je me suis amelioré, car je me suis bel et bien entrainé ^^ Cette fiction seras plus samurai pour mon perso, mais nous pourrons retrouver nos personnages de Naruto preferé, remasterisé a ma sauce ^^ Histoire de faire un truc un peu plus serieux peut etre ^^ Concernant le fait que j'ais mit que c'etait spirituel, peut etre, on verra si je m'en sort bien ^^

Sur ce, bonne lecture a tous, et n'oubliait pas de mettre de commentaires ^^ Ca m'aiderais sur ce que je dois changer ou mettre ^^




Chapitre 1: Le commencement



-Le commencement

Le vent soufflait paisiblement dans les ramures soigneuses des arbres. Les feuilles descendaient lentement dans une danse monotone et irrégulière, impossible à prévoir à l’avance. Chaque arbre de cette foret avec sa propre mélodie et le tout se ramenait en un orchestre musical naturel. Le ciel était d’un bleu frappant, d’un couleur d’ipomée. Les minuscules êtes cumulus blanc se promenait, vagabonder, harmonieusement dans cette étendue d’un bleu intense.
La foret se composait, pratiquement, que de hêtres majestueux avec leurs écorces gris souris, et leurs feuilles offrait au sol un tapis soyeux et odorant. Quelques petits groupement de divers conifères poussaient, par-ci par-la. Nombreux étaient les oiseaux qui voletaient entre les arbres, dans le ciel, ou piochait les graines tombées.

La foret était animée d’une bien étrange vie, et rien ne semblait la troublée. Chaque petits êtres qui compose cette terre semblaient vaquer à leur occupation quotidiennes, jouant, grimpant, sautant, volant. Pourtant, une chose semblait étrange dans cette univers, pourtant non troublé normalement. Un souffle irrégulier se faisait entendre, comme un prédateurs lors d’une course. Des bruits secs et rapides, glissant sur la terre, fendant l’air, et s’arrêtant net. Un petit gémissement, deux pieds, nues, qui décollent du sol, et retombent souplement, silencieusement, sur le sol touffue de feuilles mortes, grinçant sous ce choc. Une goutte de sueur qui tombe sur le sol.

Une jeune garçon brun, cheveux longs, légèrement bouclé, avec aucun traits asiatiques sur le visage, mais plutôt européen, s’entraînait rigoureusement en ce lieux. Vêtu d’un simple pantacourt marron foncé, et portant une fine bande noire sur le front, attaché en bandeau, ce jeune homme s’exerçait à la maîtrise de son art. De ses yeux bleus, il scrutait un point fixe, puis les bougeait, comme si il pouvait voir, dans le vide de l’air, quelque chose que seul ses yeux pouvait percevoir. Il se déplaçait, glissant sur le sol, comme le vent frottait sa peau, pour se déplacer toujours en bonne posture pour attaquer.

Son visage était assez longs et fin, bien délimité par des traits précis Son nez, sa bouche, tout s’accordait avec la finesse de son visage, et de son corps entier, car, en réalité il n’était pas bien épais, pour un garçon de son age. Son corps, cela se voyait, avait été gravé par un entraînement régulier et dur, et les muscles se voyait sur son corps. A coté de lui, gisait un petit tas de vêtement. Son haut et une serviette étaient entremêlés au pieds d’un arbre qui s’élevait au-dessus de ceux-ci, comme un gardien veille sur son trésor.

Le jeune homme s'arrêta rapidement, et lia ses mains, collant ses paumes l’une contre l’autre, doigts tendus, comme si il priait. Il ferma les yeux, laissant le froid de la terre, le souffle du vent, refroidir son corps, et décontracter ses muscles chauffait par l’effort. Il plia ses jambes, et posa ses deux genoux au sol, sans pour autant ré-ouvrir les yeux, concentré. Il sépara ses mains, et ouvrit lentement ses paupières. Un visage serein orné la tête de ce jeune homme. Il se trouvait la, à genoux, par terre, seul, comme une ermite sage, cherchant à pénétrer le savoir de cette foret, à comprendre les vérités de ce monde. Il ressemblait à un homme si intelligent.

Soudain, il poussa un profond soupir, et son visage se décontracta aussitôt. Il semblait s’arrondir, prendre une forme plus comique, mais qui lui semblait plus naturel. Le garçon se releva rapidement, et alla ramasser sa serviette, essuyant son corps mouillé d’exercices, malaxant ses muscles. Il regarda autours de lui, les arbres, les feuilles, découvrant les branches mortes, accroché au arbre malades. Un légers sourire grandit sur sa bouche, et il attrapa son T-shirt, le soulevant du pieds, pour l’envoyer en l’air, et le rattraper rapidement.
Il se mit en marche, vers l’ouest, comme si il connaissait parfaitement la foret. D’un pas rapide et régulier, respirant par le nez, il avança, sur de lui. Après une bonne dizaine de minutes de marche, il se retrouva dans un gigantesque, mais pas si grand, arbre, qui abritait, en ses branches, une petite maisonnette, accessible par un escalier en colimaçon. Le garçon s'avança et grimpa les marches, presque en courant, avant de se retrouver devant la petite porte de sa maison. Elle était situé à environ 5 mètres du sol, et était de forme circulaire. 4 petites fenêtres donnait chacune, sur le Sud, le Nord, l’Est, et l’Ouest. La couleur de cette maison correspondait parfaitement, et s’harmonisait avec celle de l’arbre dans lequel elle était. L’arbre pouvait être qualifié, par rapport à tout les autres de la foret, de petit et boudiné, car il devait être haut d’une vingtaines de mètre, et avec un tronc si énorme, qu’il fallait presque une minute entière pour en faire le tour, rien qu’en marchant. La maison était percé en son milieu par le tronc qui la traversait. Des poutres qui allaient se serrer contre son écorces et d’autres, qui allaient rejoindre le sol, permettait à cette maisonnette de rester en hauteur. Le toit était fait de tuiles vertes, et était recouvert de feuilles, lui offrant une petite décoration parfaite pour le contexte d’habitation.

Les gouttières étaient elles aussi, remplit de feuilles, et l’eau s’écoulait avec peine, et étaient souillé à sa sortie. Un système de récupération des eaux avaient été mis en place, avec un filtre, pour avoir l’eau la plus claire possible, récoltait dans de grosses bassines.

Le jeune homme ouvrit la porte, rapidement, la faisant grincer. A l’intérieur de son habitation, il n’y avait qu’un lit, en désordre une table, et une armoire, pour y mettre à l'abri ses vêtements. Tout semblait avoir était fait à la main, car plusieurs défaut se présenté. L’intérieur était constitué que d’une seule grande pièce et un petit espace avait été aménagé pour avoir une place pour des toilettes, et une douche naturelle. pièce mais elle était bien éclairé par le soleil, qui pouvait passer ses rayons chauffant à travers les fenêtres.

Takeo, c’était le nom du garçon, se dirigea vers sa salle de bain, et prit une rapide, et froide, douche. Il lava et massa son corps, tranquillement, et se sécha aussi rapidement que sa douche avait été prise. Il prit un petit quelque chose à manger, quelque chose de brun, et d’assez dur. Une sorte de pain, bien consistant. Le jeune homme alla ensuite, encore nu, se coucher dans lit, pour s’endormir comme une souche.

Le vent venait de se lever, et frapper de plus en plus violemment contre les murs de bois de cette maison., faisant aussi bouger l’arbre dans un rythme monotone et affolant. Toute la foret se mettait à bouger violemment, alors que le vent grondé entre les feuilles. Le jeune Takeo dormait comme une souche, visiblement habitué au violent balancement de cet arbre.

La journée passa extrêmement rapidement. Le vent s’était finalement apaisé, et les animaux étaient ressortis bien gentiment après cette petite tempête. Le ciel c’était retrouvé peint d’un orange somptueux, comme une coulée de fer, et les nuages avait déjà pris l’obscurité imminente de la nuit à venir. Le contraste entre ce ciel si beau, et ces nuages si lourd et triste, donnait à ce tableau, un air de parfaite merveille, une merveille que l’on se devait de préserver comme la nature et les verdoyantes collines qui ornait cette terre. Le ciel montrait simplement un extrait de la beauté de notre terre, couverte de ces montagnes majestueuse, à l’ancienne sagesse, qui avait vues défiler les ages de la terres, vues les espèces se développer se battre, avaient été les témoins des plus grandes batailles. De leurs sommets enneigés, elles s’élevaient et dominées le monde de leurs imposantes tailles; de ces immenses forets qui abritaient des créatures encore si peu connues. Comment se pourrait-il que les hommes s’entretuent dans un paradis comme celui-ci ? Pourtant, c’était bel et bien le cas. Les hommes semblaient se plaire à détruire toute ces choses exquises, qu’il devaient pourtant se contenter de protéger, mais l’orgueil et la domination, la corruption et le pouvoir avait pris le dessus sur ses armes faibles.

Takeo s’était finalement réveillé, et le sommeil était encore dans ses yeux. La nuit était tombée et avait envelopper le monde de son sombre manteaux. La foret, baignée de soleil, avait laissée place à celle baignée de Lune, bien plus sombre et mystérieuse, voire inquiétante. Le jeune homme se redressa, et frissonna légèrement de froid. La fraîcheur nocturne avait pris place, comme les petites bêtes plus à l’aise la nuit. Les cris stridents des chouettes, autres rapaces, et petites créatures. Takeo posa un pieds sur son sol de lattes de bois, frais, et absorbant petit à petit l’humidité de la nuit. Il poussa un petit gémissement et alla aussitôt chercher de quoi s’habiller. Ce soir était un grand soir, car un changement chez Takeo allait s'opérer. Le grand départ s’annonça

Takeo prit tout ses affaires dans son armoire, et les mit dans son sac de voyage. Un grand sac en tissus résistant, d’environ 40 centimètres de hauteur, et d’un couleur vert foncé, discrète, avec quelques pièces de tissus noirs. Son sac fut vite remplit de vêtements, seul un uniforme étrange était resté dans l’armoire. Takeo se déshabilla et prit l’étrange uniforme. Il le déplia, et se mit à enfiler son pantalon. Un pantalon en tissus épais, car la fraîcheur de la nuit était traitre. Il enfila un espèce de gilet noir aussi, avec un décolleté qui pouvait se fermer avec 4 boutons, ce qui servait aussi à resserrer la capuche qui était dans le dos de ce gilet. Une fois qu’il eut enfilé la base de son équipement il prit tout son attirail qui était encore posé sur le lit. Il mit alors des protections en cuirs brunes, assez rigides, mais assez souples pour une bonne liberté de mouvement. Il enfila un espèce de plastron de cuir marron, qui protégé son ventre en formant une petite carapace à plis, pour pouvoir pencher lorsqu’il le fallait, et une longue arrête dans le dos pour protéger sa colonne vertébrale. Il plaça ensuite des épaulière rigides, en cuir bien rigides cette fois, et des protections au hanches, dans la même matière toujours. Il finit par enfiler des semi-bottes et se redressa fièrement. Il se contempla comme il put, et fit quelques mouvement simple, pour détendre son armure, faisant ainsi grincer le cuir. Il attrapa ses mitennes noires, et attrapa une épaisse cape de laine qu’il enfila sur le dos.
Il se dirigea alors vers sa fenêtre et observa la foret. Un léger brouillard c’était formé, et tapissait le sol, maintenant invisible, de sa foret. Un petit soupir s’échappa d’entre ses lèvres, alors qu’un sentiment de tristesse s’empara de son cœur qui battait, jusqu’alors paisiblement. La tristesse laissa vite place à une excitation soudaine, lorsque la main de Takeo attrapa la poignet de son sac, et qu’il l enfila par-dessus ses épaulières solidement accrochées.
Il était désormais bel et bien prêt à partir. Seule une chose manquée encore avant le grand départ. Il se déplaça et s’accroupis à coté de son lit, avant de taper avec une de ses phalanges sur le sol. Lorsqu’il entendit le bruit qui indiqué que le sol était creux, il retira un latte de bois, et une petite cavité, se découvrit sous ses yeux. Dans cette cavité, quelque chose y habitait. Takeo prit cette chose délicatement entre ses doigts, et la sortit de son trou.

« Il est maintenant temps de se réveiller… »

Il se redressa, et attrapa la poignet de l’objet, et tira dessus. Un beau bruit de métal frottant contre une fourreaux de bois dure se fit entendre, alors qu’une lame forgé se révéla dans toute sa splendeur. Un rayon de Lune vint se refléter dessus, et éblouit un instant le jeune garçon qui dégainait le sabre. De petit Origamis était inscrit sur la base de la lame, et la gardes était circulaire, avec un design artistique prononçait, se révèlent identique à la poignée, d’un noir de jais, comme une pierre volcanique taillé et transformé littéralement en poignet de sabre, recouvert d’un bandages d’un noir corbeau. Il souleva la lame, et la contempla avec un regard joyeux sur le visage. Ses yeux brillèrent d’excitation, et un sourire s’élargit sur ses lèvres. Il fit tournoyer son sabre en l’air, et rangea avec précision son sabre dans son fourreau. Il l’attacha à sa ceinture, et se dirigea vers la porte de sa maison, faisant craquer les lattes de bois avec ses épaisses chaussures. Il sortit sur le pavillon, et regarda une dernière fois sa maison. Il la ferma à clé, les enfilant dans une poche intérieur de sa cape, et entreprit de descendre les escalier en colimaçon de sa maison. Aux dernière marches, il sauta à terre, faisant s’envoler, en tournaient le brouillard qui c’était répandu à terre. La foret avait maintenant un coté bien sombre, et chaque arbres projetaient des ombres menaçantes à la lueur de la pleine lune qui veillait maintenant dans le ciel, au milieu des étoiles et des nuages. Les arbres possédaient à présent des bras au doigts crochues, des nez pointues, et tout pour faire naître le sentiment le plus effrayant, au plus courageux des hommes. Takeo était cependant habitué à ce genre de phénomène et il sourit encore une fois, avant de prendre un grand chapeau en rosier tressé, large et circulaire, et de l’enfiler sur sa tête, cachant ainsi ses cheveux qu’il venait de nouer en un petit chignon mal fait.
Le jeune homme se mit alors à marcher rapidement, comme à son habitude, faisant tournoyer la brume épaisse derrière son passage, laissant à découvert le chemin qu’il emprunté. Sa longue cape frôlait de sol, et le bout de celle-ci était bien usée. Slalomant entre les arbres et les branches, Takeo avançait vaillamment dans la clarté de la Lune.

« Mère Lune, éclaire notre voie, pour que le chemin se révèle à nos yeux, et que dans ta clarté, nous comprenons le sens de notre vie… »

Cette phrase était sortie toute seule de sa bouche, et Takeo en fut impressionné lui-même. à vrai dire, vu qu’il avait été seul pendant 3 ans, il ne s’était jamais vraiment parlé philosophiquement comme ça. Il se mit à rire, et accéléra la pas, gardant sa main gauche sur son sabre à sa ceinture. Il se mit à courir, sautant les troncs qui était au sol, la brume s'épaissit à tels point que ses bottes se retrouvèrent très rapidement humide, et sa cape devint perlé de gouttes grises, qui se piégeaient dans les poils de la laine. Le froid pénétré peu à peu ses vêtements mouillé, et s’attaquait lentement à sa peau.
Avec une certaine dextérité il esquivait les branches, même dans l’obscurité éclairée par la Lune. Continuant d’avancer rapidement, Takeo finit par ralentir, essoufflé par sa course. Il continua en marchant, alors qu’un sourire sur de lui apparut sur ses lèvres.

Dans le lointain, on pouvait à présent voir de petites lumières issus d’un petit village. La foret était situé sur le haut d’une colline, et le village était à l’Est de la maison de Takeo. Il se situait dans une petite vallée paisible et verdoyante la journée, et sombre et ténébreuse la nuit. Le vent faisait des vagues au milieu des champs d’herbes vaste de cette région. Takeo sortit de la bordure de la foret, surplombant ainsi ce petit village à l’air paisible. Il le regarda de toute sa hauteur, et sourit grandement, fièrement. Le vent se mit à souffler, et sa cape se dégagea légèrement dans son dos, dévoilant ainsi son corps.

« Demain matin, les gens seront bien surpris… »

Le sens de la vie de ce jeune garçon allait enfin être dévoilé… ou du moins, en partie, car c’en maintenant que se jouait son destin…-Le commencement

Le vent soufflait paisiblement dans les ramures soigneuses des arbres. Les feuilles descendaient lentement dans une danse monotone et irrégulière, impossible à prévoir à l’avance. Chaque arbre de cette foret avec sa propre mélodie et le tout se ramenait en un orchestre musical naturel. Le ciel était d’un bleu frappant, d’un couleur d’ipomée. Les minuscules êtes cumulus blanc se promenait, vagabonder, harmonieusement dans cette étendue d’un bleu intense.
La foret se composait, pratiquement, que de hêtres majestueux avec leurs écorces gris souris, et leurs feuilles offrait au sol un tapis soyeux et odorant. Quelques petits groupement de divers conifères poussaient, par-ci par-la. Nombreux étaient les oiseaux qui voletaient entre les arbres, dans le ciel, ou piochait les graines tombées.

La foret était animée d’une bien étrange vie, et rien ne semblait la troublée. Chaque petits êtres qui compose cette terre semblaient vaquer à leur occupation quotidiennes, jouant, grimpant, sautant, volant. Pourtant, une chose semblait étrange dans cette univers, pourtant non troublé normalement. Un souffle irrégulier se faisait entendre, comme un prédateurs lors d’une course. Des bruits secs et rapides, glissant sur la terre, fendant l’air, et s’arrêtant net. Un petit gémissement, deux pieds, nues, qui décollent du sol, et retombent souplement, silencieusement, sur le sol touffue de feuilles mortes, grinçant sous ce choc. Une goutte de sueur qui tombe sur le sol.

Une jeune garçon brun, cheveux longs, légèrement bouclé, avec aucun traits asiatiques sur le visage, mais plutôt européen, s’entraînait rigoureusement en ce lieux. Vêtu d’un simple pantacourt marron foncé, et portant une fine bande noire sur le front, attaché en bandeau, ce jeune homme s’exerçait à la maîtrise de son art. De ses yeux bleus, il scrutait un point fixe, puis les bougeait, comme si il pouvait voir, dans le vide de l’air, quelque chose que seul ses yeux pouvait percevoir. Il se déplaçait, glissant sur le sol, comme le vent frottait sa peau, pour se déplacer toujours en bonne posture pour attaquer.

Son visage était assez longs et fin, bien délimité par des traits précis Son nez, sa bouche, tout s’accordait avec la finesse de son visage, et de son corps entier, car, en réalité il n’était pas bien épais, pour un garçon de son age. Son corps, cela se voyait, avait été gravé par un entraînement régulier et dur, et les muscles se voyait sur son corps. A coté de lui, gisait un petit tas de vêtement. Son haut et une serviette étaient entremêlés au pieds d’un arbre qui s’élevait au-dessus de ceux-ci, comme un gardien veille sur son trésor.

Le jeune homme s'arrêta rapidement, et lia ses mains, collant ses paumes l’une contre l’autre, doigts tendus, comme si il priait. Il ferma les yeux, laissant le froid de la terre, le souffle du vent, refroidir son corps, et décontracter ses muscles chauffait par l’effort. Il plia ses jambes, et posa ses deux genoux au sol, sans pour autant ré-ouvrir les yeux, concentré. Il sépara ses mains, et ouvrit lentement ses paupières. Un visage serein orné la tête de ce jeune homme. Il se trouvait la, à genoux, par terre, seul, comme une ermite sage, cherchant à pénétrer le savoir de cette foret, à comprendre les vérités de ce monde. Il ressemblait à un homme si intelligent.

Soudain, il poussa un profond soupir, et son visage se décontracta aussitôt. Il semblait s’arrondir, prendre une forme plus comique, mais qui lui semblait plus naturel. Le garçon se releva rapidement, et alla ramasser sa serviette, essuyant son corps mouillé d’exercices, malaxant ses muscles. Il regarda autours de lui, les arbres, les feuilles, découvrant les branches mortes, accroché au arbre malades. Un légers sourire grandit sur sa bouche, et il attrapa son T-shirt, le soulevant du pieds, pour l’envoyer en l’air, et le rattraper rapidement.
Il se mit en marche, vers l’ouest, comme si il connaissait parfaitement la foret. D’un pas rapide et régulier, respirant par le nez, il avança, sur de lui. Après une bonne dizaine de minutes de marche, il se retrouva dans un gigantesque, mais pas si grand, arbre, qui abritait, en ses branches, une petite maisonnette, accessible par un escalier en colimaçon. Le garçon s'avança et grimpa les marches, presque en courant, avant de se retrouver devant la petite porte de sa maison. Elle était situé à environ 5 mètres du sol, et était de forme circulaire. 4 petites fenêtres donnait chacune, sur le Sud, le Nord, l’Est, et l’Ouest. La couleur de cette maison correspondait parfaitement, et s’harmonisait avec celle de l’arbre dans lequel elle était. L’arbre pouvait être qualifié, par rapport à tout les autres de la foret, de petit et boudiné, car il devait être haut d’une vingtaines de mètre, et avec un tronc si énorme, qu’il fallait presque une minute entière pour en faire le tour, rien qu’en marchant. La maison était percé en son milieu par le tronc qui la traversait. Des poutres qui allaient se serrer contre son écorces et d’autres, qui allaient rejoindre le sol, permettait à cette maisonnette de rester en hauteur. Le toit était fait de tuiles vertes, et était recouvert de feuilles, lui offrant une petite décoration parfaite pour le contexte d’habitation.

Les gouttières étaient elles aussi, remplit de feuilles, et l’eau s’écoulait avec peine, et étaient souillé à sa sortie. Un système de récupération des eaux avaient été mis en place, avec un filtre, pour avoir l’eau la plus claire possible, récoltait dans de grosses bassines.

Le jeune homme ouvrit la porte, rapidement, la faisant grincer. A l’intérieur de son habitation, il n’y avait qu’un lit, en désordre une table, et une armoire, pour y mettre à l'abri ses vêtements. Tout semblait avoir était fait à la main, car plusieurs défaut se présenté. L’intérieur était constitué que d’une seule grande pièce et un petit espace avait été aménagé pour avoir une place pour des toilettes, et une douche naturelle. pièce mais elle était bien éclairé par le soleil, qui pouvait passer ses rayons chauffant à travers les fenêtres.

Takeo, c’était le nom du garçon, se dirigea vers sa salle de bain, et prit une rapide, et froide, douche. Il lava et massa son corps, tranquillement, et se sécha aussi rapidement que sa douche avait été prise. Il prit un petit quelque chose à manger, quelque chose de brun, et d’assez dur. Une sorte de pain, bien consistant. Le jeune homme alla ensuite, encore nu, se coucher dans lit, pour s’endormir comme une souche.

Le vent venait de se lever, et frapper de plus en plus violemment contre les murs de bois de cette maison., faisant aussi bouger l’arbre dans un rythme monotone et affolant. Toute la foret se mettait à bouger violemment, alors que le vent grondé entre les feuilles. Le jeune Takeo dormait comme une souche, visiblement habitué au violent balancement de cet arbre.

La journée passa extrêmement rapidement. Le vent s’était finalement apaisé, et les animaux étaient ressortis bien gentiment après cette petite tempête. Le ciel c’était retrouvé peint d’un orange somptueux, comme une coulée de fer, et les nuages avait déjà pris l’obscurité imminente de la nuit à venir. Le contraste entre ce ciel si beau, et ces nuages si lourd et triste, donnait à ce tableau, un air de parfaite merveille, une merveille que l’on se devait de préserver comme la nature et les verdoyantes collines qui ornait cette terre. Le ciel montrait simplement un extrait de la beauté de notre terre, couverte de ces montagnes majestueuse, à l’ancienne sagesse, qui avait vues défiler les ages de la terres, vues les espèces se développer se battre, avaient été les témoins des plus grandes batailles. De leurs sommets enneigés, elles s’élevaient et dominées le monde de leurs imposantes tailles; de ces immenses forets qui abritaient des créatures encore si peu connues. Comment se pourrait-il que les hommes s’entretuent dans un paradis comme celui-ci ? Pourtant, c’était bel et bien le cas. Les hommes semblaient se plaire à détruire toute ces choses exquises, qu’il devaient pourtant se contenter de protéger, mais l’orgueil et la domination, la corruption et le pouvoir avait pris le dessus sur ses armes faibles.

Takeo s’était finalement réveillé, et le sommeil était encore dans ses yeux. La nuit était tombée et avait envelopper le monde de son sombre manteaux. La foret, baignée de soleil, avait laissée place à celle baignée de Lune, bien plus sombre et mystérieuse, voire inquiétante. Le jeune homme se redressa, et frissonna légèrement de froid. La fraîcheur nocturne avait pris place, comme les petites bêtes plus à l’aise la nuit. Les cris stridents des chouettes, autres rapaces, et petites créatures. Takeo posa un pieds sur son sol de lattes de bois, frais, et absorbant petit à petit l’humidité de la nuit. Il poussa un petit gémissement et alla aussitôt chercher de quoi s’habiller. Ce soir était un grand soir, car un changement chez Takeo allait s'opérer. Le grand départ s’annonça

Takeo prit tout ses affaires dans son armoire, et les mit dans son sac de voyage. Un grand sac en tissus résistant, d’environ 40 centimètres de hauteur, et d’un couleur vert foncé, discrète, avec quelques pièces de tissus noirs. Son sac fut vite remplit de vêtements, seul un uniforme étrange était resté dans l’armoire. Takeo se déshabilla et prit l’étrange uniforme. Il le déplia, et se mit à enfiler son pantalon. Un pantalon en tissus épais, car la fraîcheur de la nuit était traitre. Il enfila un espèce de gilet noir aussi, avec un décolleté qui pouvait se fermer avec 4 boutons, ce qui servait aussi à resserrer la capuche qui était dans le dos de ce gilet. Une fois qu’il eut enfilé la base de son équipement il prit tout son attirail qui était encore posé sur le lit. Il mit alors des protections en cuirs brunes, assez rigides, mais assez souples pour une bonne liberté de mouvement. Il enfila un espèce de plastron de cuir marron, qui protégé son ventre en formant une petite carapace à plis, pour pouvoir pencher lorsqu’il le fallait, et une longue arrête dans le dos pour protéger sa colonne vertébrale. Il plaça ensuite des épaulière rigides, en cuir bien rigides cette fois, et des protections au hanches, dans la même matière toujours. Il finit par enfiler des semi-bottes et se redressa fièrement. Il se contempla comme il put, et fit quelques mouvement simple, pour détendre son armure, faisant ainsi grincer le cuir. Il attrapa ses mitennes noires, et attrapa une épaisse cape de laine qu’il enfila sur le dos.
Il se dirigea alors vers sa fenêtre et observa la foret. Un léger brouillard c’était formé, et tapissait le sol, maintenant invisible, de sa foret. Un petit soupir s’échappa d’entre ses lèvres, alors qu’un sentiment de tristesse s’empara de son cœur qui battait, jusqu’alors paisiblement. La tristesse laissa vite place à une excitation soudaine, lorsque la main de Takeo attrapa la poignet de son sac, et qu’il l enfila par-dessus ses épaulières solidement accrochées.
Il était désormais bel et bien prêt à partir. Seule une chose manquée encore avant le grand départ. Il se déplaça et s’accroupis à coté de son lit, avant de taper avec une de ses phalanges sur le sol. Lorsqu’il entendit le bruit qui indiqué que le sol était creux, il retira un latte de bois, et une petite cavité, se découvrit sous ses yeux. Dans cette cavité, quelque chose y habitait. Takeo prit cette chose délicatement entre ses doigts, et la sortit de son trou.

« Il est maintenant temps de se réveiller… »

Il se redressa, et attrapa la poignet de l’objet, et tira dessus. Un beau bruit de métal frottant contre une fourreaux de bois dure se fit entendre, alors qu’une lame forgé se révéla dans toute sa splendeur. Un rayon de Lune vint se refléter dessus, et éblouit un instant le jeune garçon qui dégainait le sabre. De petit Origamis était inscrit sur la base de la lame, et la gardes était circulaire, avec un design artistique prononçait, se révèlent identique à la poignée, d’un noir de jais, comme une pierre volcanique taillé et transformé littéralement en poignet de sabre, recouvert d’un bandages d’un noir corbeau. Il souleva la lame, et la contempla avec un regard joyeux sur le visage. Ses yeux brillèrent d’excitation, et un sourire s’élargit sur ses lèvres. Il fit tournoyer son sabre en l’air, et rangea avec précision son sabre dans son fourreau. Il l’attacha à sa ceinture, et se dirigea vers la porte de sa maison, faisant craquer les lattes de bois avec ses épaisses chaussures. Il sortit sur le pavillon, et regarda une dernière fois sa maison. Il la ferma à clé, les enfilant dans une poche intérieur de sa cape, et entreprit de descendre les escalier en colimaçon de sa maison. Aux dernière marches, il sauta à terre, faisant s’envoler, en tournaient le brouillard qui c’était répandu à terre. La foret avait maintenant un coté bien sombre, et chaque arbres projetaient des ombres menaçantes à la lueur de la pleine lune qui veillait maintenant dans le ciel, au milieu des étoiles et des nuages. Les arbres possédaient à présent des bras au doigts crochues, des nez pointues, et tout pour faire naître le sentiment le plus effrayant, au plus courageux des hommes. Takeo était cependant habitué à ce genre de phénomène et il sourit encore une fois, avant de prendre un grand chapeau en rosier tressé, large et circulaire, et de l’enfiler sur sa tête, cachant ainsi ses cheveux qu’il venait de nouer en un petit chignon mal fait.
Le jeune homme se mit alors à marcher rapidement, comme à son habitude, faisant tournoyer la brume épaisse derrière son passage, laissant à découvert le chemin qu’il emprunté. Sa longue cape frôlait de sol, et le bout de celle-ci était bien usée. Slalomant entre les arbres et les branches, Takeo avançait vaillamment dans la clarté de la Lune.

« Mère Lune, éclaire notre voie, pour que le chemin se révèle à nos yeux, et que dans ta clarté, nous comprenons le sens de notre vie… »

Cette phrase était sortie toute seule de sa bouche, et Takeo en fut impressionné lui-même. à vrai dire, vu qu’il avait été seul pendant 3 ans, il ne s’était jamais vraiment parlé philosophiquement comme ça. Il se mit à rire, et accéléra la pas, gardant sa main gauche sur son sabre à sa ceinture. Il se mit à courir, sautant les troncs qui était au sol, la brume s'épaissit à tels point que ses bottes se retrouvèrent très rapidement humide, et sa cape devint perlé de gouttes grises, qui se piégeaient dans les poils de la laine. Le froid pénétré peu à peu ses vêtements mouillé, et s’attaquait lentement à sa peau.
Avec une certaine dextérité il esquivait les branches, même dans l’obscurité éclairée par la Lune. Continuant d’avancer rapidement, Takeo finit par ralentir, essoufflé par sa course. Il continua en marchant, alors qu’un sourire sur de lui apparut sur ses lèvres.

Dans le lointain, on pouvait à présent voir de petites lumières issus d’un petit village. La foret était situé sur le haut d’une colline, et le village était à l’Est de la maison de Takeo. Il se situait dans une petite vallée paisible et verdoyante la journée, et sombre et ténébreuse la nuit. Le vent faisait des vagues au milieu des champs d’herbes vaste de cette région. Takeo sortit de la bordure de la foret, surplombant ainsi ce petit village à l’air paisible. Il le regarda de toute sa hauteur, et sourit grandement, fièrement. Le vent se mit à souffler, et sa cape se dégagea légèrement dans son dos, dévoilant ainsi son corps.

« Demain matin, les gens seront bien surpris… »

Le sens de la vie de ce jeune garçon allait enfin être dévoilé… ou du moins, en partie, car c’en maintenant que se jouait son destin…-Le commencement

Le vent soufflait paisiblement dans les ramures soigneuses des arbres. Les feuilles descendaient lentement dans une danse monotone et irrégulière, impossible à prévoir à l’avance. Chaque arbre de cette foret avec sa propre mélodie et le tout se ramenait en un orchestre musical naturel. Le ciel était d’un bleu frappant, d’un couleur d’ipomée. Les minuscules êtes cumulus blanc se promenait, vagabonder, harmonieusement dans cette étendue d’un bleu intense.
La foret se composait, pratiquement, que de hêtres majestueux avec leurs écorces gris souris, et leurs feuilles offrait au sol un tapis soyeux et odorant. Quelques petits groupement de divers conifères poussaient, par-ci par-la. Nombreux étaient les oiseaux qui voletaient entre les arbres, dans le ciel, ou piochait les graines tombées.

La foret était animée d’une bien étrange vie, et rien ne semblait la troublée. Chaque petits êtres qui compose cette terre semblaient vaquer à leur occupation quotidiennes, jouant, grimpant, sautant, volant. Pourtant, une chose semblait étrange dans cette univers, pourtant non troublé normalement. Un souffle irrégulier se faisait entendre, comme un prédateurs lors d’une course. Des bruits secs et rapides, glissant sur la terre, fendant l’air, et s’arrêtant net. Un petit gémissement, deux pieds, nues, qui décollent du sol, et retombent souplement, silencieusement, sur le sol touffue de feuilles mortes, grinçant sous ce choc. Une goutte de sueur qui tombe sur le sol.

Une jeune garçon brun, cheveux longs, légèrement bouclé, avec aucun traits asiatiques sur le visage, mais plutôt européen, s’entraînait rigoureusement en ce lieux. Vêtu d’un simple pantacourt marron foncé, et portant une fine bande noire sur le front, attaché en bandeau, ce jeune homme s’exerçait à la maîtrise de son art. De ses yeux bleus, il scrutait un point fixe, puis les bougeait, comme si il pouvait voir, dans le vide de l’air, quelque chose que seul ses yeux pouvait percevoir. Il se déplaçait, glissant sur le sol, comme le vent frottait sa peau, pour se déplacer toujours en bonne posture pour attaquer.

Son visage était assez longs et fin, bien délimité par des traits précis Son nez, sa bouche, tout s’accordait avec la finesse de son visage, et de son corps entier, car, en réalité il n’était pas bien épais, pour un garçon de son age. Son corps, cela se voyait, avait été gravé par un entraînement régulier et dur, et les muscles se voyait sur son corps. A coté de lui, gisait un petit tas de vêtement. Son haut et une serviette étaient entremêlés au pieds d’un arbre qui s’élevait au-dessus de ceux-ci, comme un gardien veille sur son trésor.

Le jeune homme s'arrêta rapidement, et lia ses mains, collant ses paumes l’une contre l’autre, doigts tendus, comme si il priait. Il ferma les yeux, laissant le froid de la terre, le souffle du vent, refroidir son corps, et décontracter ses muscles chauffait par l’effort. Il plia ses jambes, et posa ses deux genoux au sol, sans pour autant ré-ouvrir les yeux, concentré. Il sépara ses mains, et ouvrit lentement ses paupières. Un visage serein orné la tête de ce jeune homme. Il se trouvait la, à genoux, par terre, seul, comme une ermite sage, cherchant à pénétrer le savoir de cette foret, à comprendre les vérités de ce monde. Il ressemblait à un homme si intelligent.

Soudain, il poussa un profond soupir, et son visage se décontracta aussitôt. Il semblait s’arrondir, prendre une forme plus comique, mais qui lui semblait plus naturel. Le garçon se releva rapidement, et alla ramasser sa serviette, essuyant son corps mouillé d’exercices, malaxant ses muscles. Il regarda autours de lui, les arbres, les feuilles, découvrant les branches mortes, accroché au arbre malades. Un légers sourire grandit sur sa bouche, et il attrapa son T-shirt, le soulevant du pieds, pour l’envoyer en l’air, et le rattraper rapidement.
Il se mit en marche, vers l’ouest, comme si il connaissait parfaitement la foret. D’un pas rapide et régulier, respirant par le nez, il avança, sur de lui. Après une bonne dizaine de minutes de marche, il se retrouva dans un gigantesque, mais pas si grand, arbre, qui abritait, en ses branches, une petite maisonnette, accessible par un escalier en colimaçon. Le garçon s'avança et grimpa les marches, presque en courant, avant de se retrouver devant la petite porte de sa maison. Elle était situé à environ 5 mètres du sol, et était de forme circulaire. 4 petites fenêtres donnait chacune, sur le Sud, le Nord, l’Est, et l’Ouest. La couleur de cette maison correspondait parfaitement, et s’harmonisait avec celle de l’arbre dans lequel elle était. L’arbre pouvait être qualifié, par rapport à tout les autres de la foret, de petit et boudiné, car il devait être haut d’une vingtaines de mètre, et avec un tronc si énorme, qu’il fallait presque une minute entière pour en faire le tour, rien qu’en marchant. La maison était percé en son milieu par le tronc qui la traversait. Des poutres qui allaient se serrer contre son écorces et d’autres, qui allaient rejoindre le sol, permettait à cette maisonnette de rester en hauteur. Le toit était fait de tuiles vertes, et était recouvert de feuilles, lui offrant une petite décoration parfaite pour le contexte d’habitation.

Les gouttières étaient elles aussi, remplit de feuilles, et l’eau s’écoulait avec peine, et étaient souillé à sa sortie. Un système de récupération des eaux avaient été mis en place, avec un filtre, pour avoir l’eau la plus claire possible, récoltait dans de grosses bassines.

Le jeune homme ouvrit la porte, rapidement, la faisant grincer. A l’intérieur de son habitation, il n’y avait qu’un lit, en désordre une table, et une armoire, pour y mettre à l'abri ses vêtements. Tout semblait avoir était fait à la main, car plusieurs défaut se présenté. L’intérieur était constitué que d’une seule grande pièce et un petit espace avait été aménagé pour avoir une place pour des toilettes, et une douche naturelle. pièce mais elle était bien éclairé par le soleil, qui pouvait passer ses rayons chauffant à travers les fenêtres.

Takeo, c’était le nom du garçon, se dirigea vers sa salle de bain, et prit une rapide, et froide, douche. Il lava et massa son corps, tranquillement, et se sécha aussi rapidement que sa douche avait été prise. Il prit un petit quelque chose à manger, quelque chose de brun, et d’assez dur. Une sorte de pain, bien consistant. Le jeune homme alla ensuite, encore nu, se coucher dans lit, pour s’endormir comme une souche.

Le vent venait de se lever, et frapper de plus en plus violemment contre les murs de bois de cette maison., faisant aussi bouger l’arbre dans un rythme monotone et affolant. Toute la foret se mettait à bouger violemment, alors que le vent grondé entre les feuilles. Le jeune Takeo dormait comme une souche, visiblement habitué au violent balancement de cet arbre.

La journée passa extrêmement rapidement. Le vent s’était finalement apaisé, et les animaux étaient ressortis bien gentiment après cette petite tempête. Le ciel c’était retrouvé peint d’un orange somptueux, comme une coulée de fer, et les nuages avait déjà pris l’obscurité imminente de la nuit à venir. Le contraste entre ce ciel si beau, et ces nuages si lourd et triste, donnait à ce tableau, un air de parfaite merveille, une merveille que l’on se devait de préserver comme la nature et les verdoyantes collines qui ornait cette terre. Le ciel montrait simplement un extrait de la beauté de notre terre, couverte de ces montagnes majestueuse, à l’ancienne sagesse, qui avait vues défiler les ages de la terres, vues les espèces se développer se battre, avaient été les témoins des plus grandes batailles. De leurs sommets enneigés, elles s’élevaient et dominées le monde de leurs imposantes tailles; de ces immenses forets qui abritaient des créatures encore si peu connues. Comment se pourrait-il que les hommes s’entretuent dans un paradis comme celui-ci ? Pourtant, c’était bel et bien le cas. Les hommes semblaient se plaire à détruire toute ces choses exquises, qu’il devaient pourtant se contenter de protéger, mais l’orgueil et la domination, la corruption et le pouvoir avait pris le dessus sur ses armes faibles.

Takeo s’était finalement réveillé, et le sommeil était encore dans ses yeux. La nuit était tombée et avait envelopper le monde de son sombre manteaux. La foret, baignée de soleil, avait laissée place à celle baignée de Lune, bien plus sombre et mystérieuse, voire inquiétante. Le jeune homme se redressa, et frissonna légèrement de froid. La fraîcheur nocturne avait pris place, comme les petites bêtes plus à l’aise la nuit. Les cris stridents des chouettes, autres rapaces, et petites créatures. Takeo posa un pieds sur son sol de lattes de bois, frais, et absorbant petit à petit l’humidité de la nuit. Il poussa un petit gémissement et alla aussitôt chercher de quoi s’habiller. Ce soir était un grand soir, car un changement chez Takeo allait s'opérer. Le grand départ s’annonça

Takeo prit tout ses affaires dans son armoire, et les mit dans son sac de voyage. Un grand sac en tissus résistant, d’environ 40 centimètres de hauteur, et d’un couleur vert foncé, discrète, avec quelques pièces de tissus noirs. Son sac fut vite remplit de vêtements, seul un uniforme étrange était resté dans l’armoire. Takeo se déshabilla et prit l’étrange uniforme. Il le déplia, et se mit à enfiler son pantalon. Un pantalon en tissus épais, car la fraîcheur de la nuit était traitre. Il enfila un espèce de gilet noir aussi, avec un décolleté qui pouvait se fermer avec 4 boutons, ce qui servait aussi à resserrer la capuche qui était dans le dos de ce gilet. Une fois qu’il eut enfilé la base de son équipement il prit tout son attirail qui était encore posé sur le lit. Il mit alors des protections en cuirs brunes, assez rigides, mais assez souples pour une bonne liberté de mouvement. Il enfila un espèce de plastron de cuir marron, qui protégé son ventre en formant une petite carapace à plis, pour pouvoir pencher lorsqu’il le fallait, et une longue arrête dans le dos pour protéger sa colonne vertébrale. Il plaça ensuite des épaulière rigides, en cuir bien rigides cette fois, et des protections au hanches, dans la même matière toujours. Il finit par enfiler des semi-bottes et se redressa fièrement. Il se contempla comme il put, et fit quelques mouvement simple, pour détendre son armure, faisant ainsi grincer le cuir. Il attrapa ses mitennes noires, et attrapa une épaisse cape de laine qu’il enfila sur le dos.
Il se dirigea alors vers sa fenêtre et observa la foret. Un léger brouillard c’était formé, et tapissait le sol, maintenant invisible, de sa foret. Un petit soupir s’échappa d’entre ses lèvres, alors qu’un sentiment de tristesse s’empara de son cœur qui battait, jusqu’alors paisiblement. La tristesse laissa vite place à une excitation soudaine, lorsque la main de Takeo attrapa la poignet de son sac, et qu’il l enfila par-dessus ses épaulières solidement accrochées.
Il était désormais bel et bien prêt à partir. Seule une chose manquée encore avant le grand départ. Il se déplaça et s’accroupis à coté de son lit, avant de taper avec une de ses phalanges sur le sol. Lorsqu’il entendit le bruit qui indiqué que le sol était creux, il retira un latte de bois, et une petite cavité, se découvrit sous ses yeux. Dans cette cavité, quelque chose y habitait. Takeo prit cette chose délicatement entre ses doigts, et la sortit de son trou.

« Il est maintenant temps de se réveiller… »

Il se redressa, et attrapa la poignet de l’objet, et tira dessus. Un beau bruit de métal frottant contre une fourreaux de bois dure se fit entendre, alors qu’une lame forgé se révéla dans toute sa splendeur. Un rayon de Lune vint se refléter dessus, et éblouit un instant le jeune garçon qui dégainait le sabre. De petit Origamis était inscrit sur la base de la lame, et la gardes était circulaire, avec un design artistique prononçait, se révèlent identique à la poignée, d’un noir de jais, comme une pierre volcanique taillé et transformé littéralement en poignet de sabre, recouvert d’un bandages d’un noir corbeau. Il souleva la lame, et la contempla avec un regard joyeux sur le visage. Ses yeux brillèrent d’excitation, et un sourire s’élargit sur ses lèvres. Il fit tournoyer son sabre en l’air, et rangea avec précision son sabre dans son fourreau. Il l’attacha à sa ceinture, et se dirigea vers la porte de sa maison, faisant craquer les lattes de bois avec ses épaisses chaussures. Il sortit sur le pavillon, et regarda une dernière fois sa maison. Il la ferma à clé, les enfilant dans une poche intérieur de sa cape, et entreprit de descendre les escalier en colimaçon de sa maison. Aux dernière marches, il sauta à terre, faisant s’envoler, en tournaient le brouillard qui c’était répandu à terre. La foret avait maintenant un coté bien sombre, et chaque arbres projetaient des ombres menaçantes à la lueur de la pleine lune qui veillait maintenant dans le ciel, au milieu des étoiles et des nuages. Les arbres possédaient à présent des bras au doigts crochues, des nez pointues, et tout pour faire naître le sentiment le plus effrayant, au plus courageux des hommes. Takeo était cependant habitué à ce genre de phénomène et il sourit encore une fois, avant de prendre un grand chapeau en rosier tressé, large et circulaire, et de l’enfiler sur sa tête, cachant ainsi ses cheveux qu’il venait de nouer en un petit chignon mal fait.
Le jeune homme se mit alors à marcher rapidement, comme à son habitude, faisant tournoyer la brume épaisse derrière son passage, laissant à découvert le chemin qu’il emprunté. Sa longue cape frôlait de sol, et le bout de celle-ci était bien usée. Slalomant entre les arbres et les branches, Takeo avançait vaillamment dans la clarté de la Lune.

« Mère Lune, éclaire notre voie, pour que le chemin se révèle à nos yeux, et que dans ta clarté, nous comprenons le sens de notre vie… »

Cette phrase était sortie toute seule de sa bouche, et Takeo en fut impressionné lui-même. à vrai dire, vu qu’il avait été seul pendant 3 ans, il ne s’était jamais vraiment parlé philosophiquement comme ça. Il se mit à rire, et accéléra la pas, gardant sa main gauche sur son sabre à sa ceinture. Il se mit à courir, sautant les troncs qui était au sol, la brume s'épaissit à tels point que ses bottes se retrouvèrent très rapidement humide, et sa cape devint perlé de gouttes grises, qui se piégeaient dans les poils de la laine. Le froid pénétré peu à peu ses vêtements mouillé, et s’attaquait lentement à sa peau.
Avec une certaine dextérité il esquivait les branches, même dans l’obscurité éclairée par la Lune. Continuant d’avancer rapidement, Takeo finit par ralentir, essoufflé par sa course. Il continua en marchant, alors qu’un sourire sur de lui apparut sur ses lèvres.

Dans le lointain, on pouvait à présent voir de petites lumières issus d’un petit village. La foret était situé sur le haut d’une colline, et le village était à l’Est de la maison de Takeo. Il se situait dans une petite vallée paisible et verdoyante la journée, et sombre et ténébreuse la nuit. Le vent faisait des vagues au milieu des champs d’herbes vaste de cette région. Takeo sortit de la bordure de la foret, surplombant ainsi ce petit village à l’air paisible. Il le regarda de toute sa hauteur, et sourit grandement, fièrement. Le vent se mit à souffler, et sa cape se dégagea légèrement dans son dos, dévoilant ainsi son corps.

« Demain matin, les gens seront bien surpris… »

Le sens de la vie de ce jeune garçon allait enfin être dévoilé… ou du moins, en partie, car c’en maintenant que se jouait son destin…



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