Fiction: Le quater d'Oto. (terminée)

Imaginons, le quater d’Oto, après avoir été décimé par les cinq ninjas de Konoha on décidé de fuir de leur village par peur de la colère de leur maître. Où pourrait-ils être après ? Est-ce qu’ils continueraient leurs métier de ninja ? Voici la réponse. -- One-shot --
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Mentali (Féminin), le 03/05/2009
C'est un one-shot que j'ai fait sur le quater d'Oto. J'avais oublié cette histoire que je n'avais pas terminé. Je l'ai terminé aujourd'hui et je la poste maintenant ^^.



Chapitre 1: Le quater d'Oto.



Imaginons, le quater d’Oto, après avoir été décimé par les cinq ninjas de Konoha, a décidé de fuir de leur village par peur de la colère de leur maître. Où pourrait-ils être après ? Est-ce qu’ils continueraient leurs métier de ninja ? Voici la réponse.


Shikamaru, Ino et Choji étaient arrivés dans un village de Taki vers sept heures de l’après-midi. Les trois jeunes ninjas de quinze ans se dirigèrent vers un hôtel. Ils entrèrent. Shikamaru aperçut une jeune femme aux longs cheveux roux, âgés sûrement d’environ 25 ans. Elle avait les yeux marron et portait un uniforme de travail. Aussi, une de ces mèches lui tombait sur le visage.

Elle portait aussi un chapeau. Shikamaru l’a reconnu tout de suite. Le visage du jeune homme avait exprimé un air étonné mais avait repris son air neutre juste après. La jeune femme, elle, ne l’avait pas encore remarqué.

Elle ne savait pas encore qu’il y avait de nouveaux clients tant elle était prise dans un livre.
- Excuse-moi de te déranger dans ta lecture mais… commença Shikamaru.

La jeune femme releva la tête, se demandant pourquoi on ne la vouvoyait pas, et reconnut le jeune homme. Tout de suite, elle prit un air très étonné.
- Toi ? Qu’est-ce que tu fais ici !
- Vous… vous vous connaissez ? demanda Ino intriguée.
- On peut dire ça, répondit le jeune Nara à sa coéquipière.
- Elle me rappelle quelqu’un, mais je ne sais plus qui, renchérit le coéquipier du flemmard.
- Je ne savais pas que tu étais encore de ce monde. Je pensais que Temari t’avais achevé.
- Cette peste avec sa coiffure ridicule ? Si je la retrouve cette fille je vais lui faire sa peau.
- Je dois te dire d’ailleurs… que tu me parais ridicule dans cette tenue, elle ne te va pas.
- Tu as de la chance que je travaille sinon j’aurais déjà fait ta peau, menaça Tayuya.
- Pourquoi une ninja aussi douée que toi doit travailler dans un hôtel comme femme d’accueil ?
- Elle est ninja ? demande Ino.
- Et alors, ça te pose un problème ? répondit Tayuya d’un air menaçant.
- Non…
- Je travaille ici parce que le travail de ninja ne suffit plus à mes besoins, ça te va comme réponse ?
- Ouais. Tu ne travailles plus pour Orochimaru ?
- Il n’a plus besoin de nous depuis le temps.
- Nous ?
- Ouais, les trois autres imbéciles ont arrêté aussi, maintenant je ne sais pas où ils sont exactement.
- Shikamaru, ce n’est pas pour te vexer, mais on est en mission.
- Tu as raison Choji. Elle est où la chambre 17 s’il te plait, on doit voir quelqu’un.
- Premier étage à droite.
- Merci.
Le groupe de ninja prit l’escalier et suivirent les indications de Tayuya.

Les trois ninjas étaient devant la porte de la chambre 17. Shikamaru frappa à cette porte. La voix d’une jeune femme lui dit de l’entrer.
- Bonjour, vous êtes sûrement les ninjas que j’ai appelés.
- Oui, c’est bien nous, répondit Shikamaru.
- Je m’appelle Akane, je vous ais demandés pour que vous puissiez me décoder un rouleau.
- Pourquoi avez-vous fait appel à moi, je ne suis pas le spécialiste, dit le jeune ninja.
- Laissez-moi terminer. J’ai demandé à votre Hokage de m’envoyer la personne la plus douée de logique pour me décoder ce rouleau car, ce rouleau avait appartenu à ma mère. Le problème est que normalement je n’ai aucun droit sur ce rouleau car dans son testament il est écrit qu’elle léguait tous ses biens à mon père. Mais mes parents se sont séparés en de très mauvais termes et ce rouleau contient tous les secrets de mon clan. Mon père, entouré de personnes très dangereuses et maléfiques, souhaite obtenir ce rouleau par tous les moyens possibles. Pour autant, je risque beaucoup pour garder ce rouleau ici car mon père normalement devrait l’avoir et de façon très légale.
- Pourquoi votre père n’a-t-il pas pris le rouleau avant ? demande Ino.
- Il n’avait pas connaissance de son existence. Il l’a appris à la mort de ma mère. Dans son testament il est bien écrit qu’elle léguait tous ses biens à mon père mais c’était avant leur séparation, ma mère n’a jamais eue le temps de le rédiger de nouveau. Déjà à cause du travail mais aussi de sa maladie qui l’a terrassé.
- Et pourquoi moi pour déchiffré ce rouleau ?
- Ma mère m’a appris l’existence du rouleau et m’a présenté un morceau de son contenu. Elle m’a ensuite avoué que pour le décoder il fallait être doté d’une grande logique.
- Puis-je le voir ?
- Je vais le chercher.

Akane se leva. Elle partit dans une autre pièce et revint quelques secondes plus tard en détenant entre ses mains un rouleau de couleur rouge et doré.
- J’ai déjà tenté de le déchiffrer mais je n’ai pas réussi malgré mes efforts.

Elle mit le rouleau précieusement sur le sol et le déroula. Shikamaru aperçut que le contenu du rouleau contenait des lettres étranges. Aucunes lettres ne provenait de leur langue mais en avait tout l’air. Les lettres étaient inclinées d’une certaine manière et même si on mettait le rouleau du bon sens pour une lettre, on ne pourrait pas lire le rouleau car toutes lettres étaient inclinées d’une manière différente. Certaines lettres avaient l’air tout à fait normal mais avait quelque chose d’étrange.
- Tu y comprends quelque chose Shikamaru ? Moi je n’y comprends rien, commenta Ino.
- Comme ça, non, mais si je réfléchis dessus quelques temps peut-être.
- Etrange, aucune des lettres ne paraît être de notre langue, on a beau les tortiller dans tous les sens on y comprendra toujours rien, dit Choji.
- Hélas, c’est de là d’où vient le problème, aucune des lettres ne paraît être des nôtres.
- Je n’arriverais sûrement pas à déchiffrer ça en une heure.
- On n’a qu’à prendre une chambre pour cette nuit, suggère Ino.
- J’espère qu’ils ont de bons petits plats !
- D’accord, on va prendre des chambres.

Shikamaru se leva.
- Excusez-moi Akane, je reviendrai après avoir pris des chambres, se serait dommage que l’hôtel soit complet…
- Je comprends, vous pouvez y aller.
- Ino, Choji, restez ici pour surveiller Akane, je reviens.
- Euh… je ne pense pas que quelqu’un va…
- Fait ce que je te dis Ino !
- D’accord…

Shikamaru arriva de nouveau à l’accueil, Tayuya lisait toujours son livre.
- Tayuya.

Elle arrêta de lire.
- Qu’est-ce que tu veux ?
- Ce serait pour prendre des chambres.
- Combien ?
- Trois chambre seuls.
- Ca fera 3 000 ryos la nuit (Note de l’auteur : Si ce n’est pas proportionnel par rapport ne m’en voulez pas, je ne connais pas la valeur des ryos)
- Voilà.

Il donna la somme à Tayuya.
- Au fait, toi et la petite blonde avec son éventail, vous allez comment ?
- Je l’ai vu récemment pour les examens de chunins.
- Et alors ? Ca colle entre vous ?
- Tss, pourquoi tous le monde dit qu’on irait bien ensemble, c’est complètement faux. J’ai déjà dit à Naruto que ce n’était pas possible que je sois avec une fille aussi dangereuse et autoritaire.
- Naruto, l’imbécile qui s’est enfui pour récupérer Sasuke ?
- Oui, et tu sais ce qu’il a répondu après ?
- Vas-y, dit toujours.
- Il a dit que mon père avait le même caractère que moi, et pourtant qu’il a épousé ma mère même avec le caractère qu’elle a, et je peux te dire que ma mère et Temari ont le même caractère, mais Temari en pire.
- Ca veut peut-être dire quelque chose pour vous deux.
- Ne dit pas ça, jamais je m’intéresserais à une fille pareille.
- Si tu le dis, j’essayerais de prendre des nouvelles quand tu auras 20 ans, on verra si tu seras avec elle ou non.
- C’est impossible, elle habite à Suna et moi à Konoha.
- On dirait que tu envisages quelque chose.
Elle se mit à rire gentiment.
- Ouais, bon, c’est quoi les numéros des chambres ?
- La 16, 18 et 20.
- Tu peux me passer les clés s’il te plait ?
Elle lui passa les clés des chambres.
- Merci.

Le soir, dans la chambre 18, Shikamaru examinait attentivement le rouleau des secrets du clan d’Akane. Il regardait les lettres étranges recouvrant le rouleau. Les lettres étaient évidemment d’un angle tous différents. Certaines étaient à retournées de 180 degré et d’autres apparemment de 90. C’était évident qu’il fallait une à une les remettre du bon sens. Aussi, les lettres étaient toutes bizarrement inversés, mais comment ? Il examina de nouveau tout le rouleau de haut en bas, de droite à gauche mais aussi le côté rouge et doré du rouleau. Il regarda même le petit morceau de bois dont le rouleau a été enroulé. Là, il trouve des inscriptions gravées recouvertes d’une encre dorée très fine.

C’était plutôt des dessins que des inscriptions. La première inscription était une lettre inclinée et on voyait une flèche décrivant un arc de cercle commençant vers la gauche de la lettre pour s’arrêter 90 degré plus bas. Et si on pivotait la lettre comme indiquée, on remarquait que la lettre voulait dire ro. Elle était donc à l’endroit. Shikamaru avait déjà trouvé ce mystère de l’énigme. Mais les lettres ne voulaient toujours rien dire. Le deuxième dessin représentait un miroir. Un miroir ? Pour quoi faire ?

Shikamaru fouilla dans son sac. Il ne trouva pas ce qu’il cherchait. Il décida de sortir. Après tout, les filles en avaient toujours des miroirs. Il se dirigea vers la chambre 16 et frappa.
- Qui c’est ?
- C’est moi, Ino, ouvre-moi s’il te plait.
- Shikamaru, j’étais sur le point de dormir !
- Les filles, toujours en train de se plaindre.
Ino ouvrit la porte. Elle était habillée d’un peignoir.
- Qu’est-ce qu’il y a ?
- Euh… rien.
- Je ne te parlais pas sur le fait que tu me regardes bizarrement mais sur le fait que tu m’as dérangé quand j’étais sur le point de dormir.
- Ino, tu es bien une fille ?
- Ca ne se voit pas peut-être ?
- Dit moi, toutes les filles ont bien des miroirs ?
- Pourquoi cette question ? Il y en a dans la salle de bain si tu veux te regarder dedans.
- Je te parle d’un miroir que les filles gardent toujours sur elles, un miroir… portable.
- Pourquoi tu en veux un ?
- Pour résoudre l’énigme du rouleau, ça te va comme réponse ?
- Mouais, je reviens.

Ino referma la porte pour en revenir quelques secondes plus tard.
- Tiens, tu as intérêt à me le rendre intact, sinon, gare à toi.
- Ouais, ouais, c’est ça, merci.
- Bonne nuit Shikamaru.
- Bonne nuit.

Ino referma la porte et Shikamaru retourna dans sa chambre. Il prit le miroir que lui avait prêté Ino, l’inclina pour pouvoir lire le texte comme il faut. Il copia un mot qu’il pu lire dans le miroir. Mais en lisant le mot, il ne pouvait toujours pas le déchiffrer, c’est comme si les lettres avaient quelque chose en trop. Shikamaru regarda le dernier dessin était une lettre qui ne voulait rien dire mais il y avait un des traits de la lettre barré. Et si on supprimait ce trait, la lettre voulait dire quelque chose.

Shikamaru prit une lettre du mot copié. Il regarda cette lettre avec attention et supprima un trait qu’il jugeait de trop et pu lire la lettre. Il fit de même pour toutes les lettres et réussi à lire le premier mot qui était le mot « secret ». Shikamaru bailla après cet effort psychologique.
- C’est galère tout ça, j’ai envie de dormir moi, je déchiffrerais tout ça demain.

Le soir, vers une heure du matin, l’hôtel était toujours ouvert. Tayuya était toujours en train de lire à l’accueil. Soudain, elle s’arrêta de lire, elle avait senti une présence, non, plutôt trois. Elle se leva, se dirigea vers le restaurent fermé. Tayuya avait la clé pour ouvrir la porte du restaurent juste à côté de l’accueil. Après être entré dans le restaurent, elle se dirigea vers le fond du restaurent, où se trouvait les cuisines. Elle ouvra la porte et alluma la lumière. Rien d’anormal apparemment.

Tayuya examina la pièce sans bouger. Elle sortit sa flûte qu’elle gardait toujours sur elle, puis elle joua une jolie mélodie mais qui était très dangereuse. Puis, trois hommes sortirent de leurs cachettes. Un d’entre eux était au plafond accroché par des fils transparents et résistants comme celles des araignées. Un autre sortit de derrière la table de travail, il était d’apparence imposante. Le dernier sortit du réfrigérateur. Il avait les lèvres de couleur bleues.

Tayuya arrêta sa mélodie et regarde les trois hommes avec mépris.
- Qu’est-ce que vous faites-là vous trois ?
- Tayuya, contente de te revoir, répond celui avec les lèvres bleues.
- Tais-toi Sakon ! Qu’est-ce que vous faites ici alors ?
- Tu n’as pas changé Tayuya, répond l’homme imposant.
- Tais-toi gros lard, tu ne me connais pas plus que ça !
- Et dire qu’avant on formait le quater d’Oto, répond le dernier homme.
- Vous aller me dire alors ce que vous faites ici, oui ?
- En fait, on est venu chercher quelque chose pour notre nouveau maître, répond Sakon.
- Qui ça ?
- Tu ne vas pas le savoir, tu n’es plus des nôtres, répond l’homme araignée.
- Hé bien, vous n’irez pas plus loin !
- Pourquoi ? demande Jiroubô, l’homme imposant.
- Je travaille ici et j’ai mes principes, vous n’irez pas plus loin juste pour une mission débile !
- La mission est de volé un rouleau qu’une princesse détient qui doit normalement appartenir à notre maître, dit Kidômaru.
- Mission ou pas, vous allez virer de cet hôtel !
Tayuya reprit sa flûte et avec sa mélodie envoya ses trois anciens coéquipiers valser dehors assez violemment.
- Et si vous revenez, je n’hésiterais pas à vous tuer !

Elle referma la porte violemment.
- C’est malin ça, on fait comment Kidômaru ? demande Sakon.
- Hé bien, être entré par les cuisines n’étaient pas très futé, elle sait sentir le chakra à une certaine distance. Mais si nous entrions par le toit…
- Je suis d’accord mais est-ce que vous savez où est le rouleau au moins ? interromps Jiroubô.
- Non mais il doit être avec la princesse. Sinon on la kidnappe et nous révélera l’endroit où se trouve le rouleau.
- Très bonne idée Kidômaru, mais il faudra voir dans les registres de Tayuya pour savoir où la princesse se trouve.
- En fait, j’ai le registre, pendant que Tayuya jouait tranquillement de la flûte mes araignées ont été prendre le registre tranquillement, tu en dis quoi Sakon ?
- Pas mal, et comme on doit être très discret il ne nous faudrait pas la clé ?
- Non, Jiroubô s’en chargera.

Kidômaru sortit le registre et le consulta.
- Elle s’appelle comment déjà la princesse ?
- Akane, à croire que je suis le seul à être attentif au discours du maître.
- Mais non Jiroubô, seul toi sais écouter quand le maître ne dit qu’une seule fois le nom de la princesse.
- Taisez-vous, vous deux, j’ai trouvé sa chambre, c’est la chambre 17.
- C’est parti alors, on va lui régler son compte à la princesse.
- Heureusement qu’elle n’est pas une très bonne ninja, ça nous facilitera la tâche.
- Kidômaru, il paraît que la princesse possède un pouvoir qui réside dans un objet.
- Jiroubô, heureusement que tu écoutes le maître, toi, dit Sakon.
- Dépêchez-vous, direction le toit.

Le lendemain matin, Shikamaru se réveille. Il rangea le rouleau dans son sac de voyage puis sortit de sa chambre. Il remarqua que la porte de la chambre 17 était défoncée, il entra immédiatement.
- Akane ? Vous êtes là ?
Aucune réponse, il regarda partout dans la chambre, personne. Il sortit et frappa violemment à la porte de la chambre de Choji.
- Quoi, qu’est-ce qu’il y a Shikamaru ?
- Akane, elle n’est plus là !
- Quoi ? Impossible ! Comment ?
- Elle a été kidnappée.
- Comment tu peux savoir ?
- La porte, elle a été forcée !
- Comment ? Il faut prévenir Ino !
A la porte d’Ino, elle ouvrit immédiatement.
- Qu’est-ce qu’il y a ?
- Akane a été enlevée !
- De quoi ?
- Il faut prévenir Tayuya, Shikamaru.
- Tu as raison Choji, elle peut avoir entendu quelque chose.

Ils descendirent à l’accueil, et s’aperçurent tous les trois que la fille qui était à l’accueil n’était pas du tout Tayuya. C’était une jeune femme blonde les cheveux descendant jusqu’à mi-dos. Elle avait les yeux couleur noisette.
- Bonjour, avez-vous bien dormis ?
- Mais, où est Tayuya ? demande Shikamaru paniquée.
- Tayuya ? La jeune femme rousse qui me remplace à partir de sept heures du soir jusqu’à sept heures du matin ?
- Ah bon ? Elle est en service de nuit ?
- Bien sûr, moi je suis Harue, ravie de vous rencontrer, vous êtes ?
- Euh… je m’appelle… balbutie-t-il.
- Enlève tes sales pattes de là, on a pas le temps de faire la causette, dit nous tout de suite où on peut trouver Tayuya si tu ne veux pas que je m’énerve ! s’énerve Ino.
- C’est ta petite copine ?
- Dépêche !
Shikamaru fit non de la tête, pourquoi Ino s’énerve-t-elle alors qu’on lui demande juste son nom ? C’est vrai que le temps n’est pas à la discussion mais tout de même, s’énerver à ce point…
- Elle est sûrement chez elle.
- Et où elle habite exactement ? demande frénétiquement Ino.
- Ca, je vous le dirais que si ce jeune homme me donne son nom et son numéros de téléphone.
- QUOI ?
- T’énerve pas Ino, on dirait Temari quand je lui ai dit qu’elle devait devoir dîner chez moi avec mes parents pour discuter des examens des chûnins…
- Temari ? demande la jeune femme de l’accueil.
- Non, ce n’est pas ma petite copine non plus, bon, voilà, je m’appelle Shikamaru Nara et voici mon numéro.
Shikamaru écrit son numéro de téléphone sur un bout de papier.
- Oh, merci, elle habite cinq rues à côté, près du centre ville à côté de l’académie des ninjas, vous ne pouvez pas la manquer, c’est le numéros 10 sa maison. Au fait, Shika, tu ne t’intéresse pas à elle j’espère.
- Non, on doit lui demander quelque chose, et en plus je déteste qu’on m’appelle Shika.

Puis le groupe partit en courant direction l’école primaire.
- Au fait, Ino, il faut que je t’avoue quelque chose.
- Qu’est-ce qu’il y a Shikamaru ? Ne me dis pas que tu es attiré par cette fille qui ne voulait qu’une chose.
- C’est ton numéro que j’ai donné à cette fille.
- De quoi ? Pourquoi ?
- J’ai pensé que ça te ferait plaisir de mettre cette fille à sa place, et dit lui tout de même que c’est moi qui lui ai donné ton numéro.
- Dit, je peux lui faire croire qu’on est ensemble, pour voir sa tête ?
- Euh… non… je ne préfère pas…
- Dommage, j’aurais bien ri.
Arrivés devant la maison de Tayuya, Shikamaru frappa à la porte. Tayuya ouvra la porte.
- Vous ? Qu’est-ce que vous me voulez ?
- On a une question à te poser… mais… tu vas en mission ? demande Shikamaru.
- Non, je vais chercher trois imbéciles de premières pour les mettre en pièce.
- Qui ça ?
- Les trois qui se prétendaient être mes coéquipiers.
- Quoi ? Tu sais où ils sont ?
- Pas exactement mais ils sont venus à l’hôtel hier soir pour voler un rouleau bizarre pour leur soit disant maître.
- C’est vrai ?
- Bah oui, sinon je ne te le dirais pas crétin.
- Tu crois qu’ils auraient kidnappés Akane ?
- Je ne sais pas mais ils ont parlés d’une princesse avec son rouleau.
- Shikamaru, tu ne crois pas qu’en fait Akane soit une princesse d’un petit pays ?
- Tu as raison Ino mais faudrait savoir où sont les kidnappeurs.
- Hé bien, moi je vais aller les chercher.
- Tayuya, on vient avec toi.
- Hors de question crétin, tu n’iras pas avec moi, je me débrouillerais toute seule.
- Tu pourras en faire ce que tu veux de tes fameux coéquipiers, nous on veut juste Akane.
- Ca me va parfaitement, j’ai mis un détecteur sur le gros lard.
- Le gros lard ? dit Ino.
- Jiroubô, puis d’après le détecteur ils sont à l’autre bout de la ville dans un quartier abandonné de la ville… s’ils ne l’ont pas découvert mais normalement non.
- Comment tu as fais pour leurs mettre ça ? demande Shikamaru étonné.
- Je leurs ais joué un joli morceau de flûte pour les virer et j’en ai profiter.
- D’accord….

Le groupe alla donc à l’autre bout de la ville. Tayuya pour prendre sa revanche sur les trois garçons qui étaient ses coéquipiers, et les trois ninjas de Konoha, pour récupérer Akane. Au bout de quelques minutes, Tayuya s’arrêta. Le signal du radar était de plus en plus fort. Les trois ninjas s’étaient arrêtés aussi, accompagnant Tayuya.
- Ils sont dans ce bâtiment abandonné apparemment. J’entends des voix.
- Moi aussi, confirma Ino, apparemment ils sont en train d’essayer d’obtenir une information d’Akane, ils n’ont pas l’air de lui vouloir du mal.
- Bien, dit Shikamaru, Tayuya, tu penses que tu pourrais atteindre les trois ninjas avec ta flûte sans atteindre Akane et nous ?
- Bien sûr, pourquoi ?
- Tu pourrais les faire sortir de force de la maison abandonnée ?
- Trop facile.
- Après, j’utiliserais ma manipulation des ombres pour les immobiliser. Ino et Chôji vous irez chercher Akane et vous vous en irez loin d’ici.
- N’oublie pas ta promesse, crétin, tu dois me les laisser.
- Tu penses que tu pourras t’en débarrasser facilement ? C’est tout de même du trois contre un.
- Je veux juste leur faire peur et les amocher un peu, pas les tuer.
- Et si, eux, te tue ?
- Aucune chance, même les araignées de Kidômaru ne s’en remettront pas. Et le jumeau de Sakon ne peut pas s’en sortir non plus si je me concentre bien.
- Bien, je te fais confiance. C’est parti.
Tayuya commença à jouer de la flûte. Sitôt après, les trois ninjas d’origine d’Oto sortirent du bâtiment, laissant Akane à l’intérieur.
- Encore un coup de Tayuya, dit Sakon, comment elle a fait pour nous trouver ?

Peu de temps après, ils sentirent tout trois le poids de l’ombre de Shikamaru peser sur eux, obligeant de répéter les mêmes mouvements que ce dernier comme un miroir.
- Et en plus elle a apporté de la compagnie, continua Kidômaru. Moi qui croyait qu’elle faisait carrière solo.
Ino et Chôji ayant récupéré Akane, repartirent en direction de l’hôtel aussi vite que possible. Il ne restait plus que Tayuya et Shikamaru. Tayuya venait d’arrêter de jouer de la flûte, reprenant un peu son souffle.
- Bon, ben, commença Shikamaru, merci pour nous avoir aider, même si c’était dans ta volonté de départ.
- De rien, crétin.
- Tu as l’air d’avoir pris le bon chemin, normalement, j’aurais du vous tuer tous les quatre vu ce que vous avez faits, mais, étant donné que tu as l’air de ne plus rien faire de mal, je vais te laisser en vie et te donner l’opportunité de t’occuper de ses trois ninjas. Tu peux en faire ce que tu veux, je ne m’occuperais plus de vous quatre, à part si vous recommencer à faire des magouilles.
- Gentil pour ta compassion, on n’en a pas besoin, dit Sakon en colère.
- Mais moi si, dit Tayuya. Bien, c’est parti. Au revoir crétin !
Elle recommença à jouer de la flûte puis Shikamaru retira son ombre des trois malfaiteurs. Il partit en direction de l’hôtel en disant au revoir. Il espérait ne plus entendre parler de ses quatre ninjas d’Oto. Il espérait aussi que Tayuya allait réussir son coup. Il n’aimait pas trop les tournures qu’avaient prises les choses.

De retour à l’hôtel, Akane remercie les trois ninjas pour l’avoir sauver. Shikamaru lui dit ensuite comment déchiffrer le message. Vers la fin de l’après-midi, les trois ninjas partirent de l’hôtel. Une demi heure plus tard, Ino posa une question à Shikamaru.
- Au fait, Shikamaru, tu n’as pas mon miroir ? Tu ne me l’as toujours pas rendu !
- Heu, tu le veux vraiment maintenant ?
- Bien sûr, pourquoi ?
- Shikamaru essaie de te dire à sa manière qu’il a oublié ton miroir à l’hôtel, répondit Chôji à la place de Shikamaru.
- C’est vrai Shikamaru ? dit Ino, d’un ton très menaçant.
- Oui.
- VA ME CHERCHER MON MIROIR TOUT DE SUITE !
- Tu rigoles ? On est à une demi-heure de l’hôtel ?!
- Je m’en fiche, vas-y tout de suite avant que je te tue !
- Vous m’attendez ici, d’accord ?
- Ne t’en fais pas Shikamaru, dit Chôji d’un ton rassurant.
Shikamaru parti donc vers l’hôtel. Il était plus de 19 heures. Il entra dans l’hôtel. Il fut soulagé en voyant Tayuya à l’accueil, qui souriait.
- Pourquoi souris-tu ? demanda Shikamaru.
- Rien, ça m’étonne que tu sois encore là.
- J’ai juste oublié un truc dans ma chambre.
- Quoi donc ?
- Le miroir d’Ino.
- Tss, je comprends pourquoi t’es revenus le chercher, une vraie chimère cette fille quand elle s’énerve. Tu as l’air de les attiré pas centaine dans ton entourage.
- Tu n’imagines pas à quel point…

Tayuya lui lança la clé de sa chambre. Shikamaru l’attrapa habilement et se dirigea vers sa chambre. Ayant pris le miroir sur sa table de nuit, il referma sa porte et redonna la clé à Tayuya.
- Au fait, comment vont les trois ninjas que je t’ai laissé tout à l’heure ? demanda Shikamaru.
- Oh, j’ai un œil sur eux, ne t’en fais pas, ils ne feront plus de mal à personne.
- Bien…
- Ils resteront dans cette petite ville où aucun ninja ne réside. Ils travailleront comme tous civils non ninja. Jiroubô est même aux cuisines de cet hôtel.
Shikamaru sourit. Il partit en faisant signe de la main à Tayuya. Il retrouva ensuite Ino et lui rendit son miroir. Enfin, ils rentrèrent à Konoha le lendemain.




Voilà, en espérant que ça vous ais plus ^^



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