Fiction: Showbiz et pomme d'amour (terminée)

Quand une pov' malade mentale telle que moi se met à cuisiner sur son PC, avec pour ingrédients Konohamaru atteint d'une étrange maladie, liée par le plus grand hasard à sa camarade Moegi, le tout saupoudré d'une bonne dose de bakas désespérés et d'une chanteuse [un peu trop] énergique, ça donne ça... A savourer sans modération !
Parodie | Mots: 3184 | Comments: 6 | Favs: 3
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shikacool (Féminin), le 24/04/2009
Hellow chers amateurs de fanfictions !
Bienvenue dans ma crème fouettée de romance, malchance et bienséance !
NB : l'écrit ci-dessus ne veut rien dire, j'ai simplement voulu faire une rime xD
Comment ai-je eu l'idée d'écrire cet fic sur le charmant Konohamaru et la petite Moegi ?
En fait, il était exactement 15h32 quand j'ai eu une folle envie de sucre, alors pour résister à la tentation de dévaliser le frigo j'ai pondu ça...
Ah tiens, maintenant je ressens un incontrôlable besoin de chocolat... Avec morceaux de framboises hmmm !
Pendant que je me gobe la tablette... Bonne lecture ! : P




Chapitre 1: One-shot



- A… A… ATCHOUM !
- A vos souhaits !
- A tes amours !
- Haha, quand on éternue, c’est qu’une jolie fille pense à nous !

Je regarde l’auteur de cette dernière réplique, le rose aux joues et les yeux ronds. L’image de ma coéquipière Moegi apparaît dans ma tête… Se pourrait il que… Ouah, ça serait trop chouette !
- Dites, M’sieur l’ermite pas net, ça veut dire que si j’éternue plein de fois cette fille elle est amoureuse de moi ?
- Konohamaru, je t’ai déjà dis de ne pas m’appeler comme ça ! Je suis Jiraya.
J-I-R-A-Y-A. Tu piges ?
- Ben pourtant, le chef il vous appelle bien comme ça, l’ermite pas net !
- Qui ça, le chef ? Tu parles de ton sensei Ebisu ?
- En effet, je suis le tuteur de l’honorable petit fils du troisième hok…
- Mais nan, n’importe quoi ! Je réponds. Le chef, c’est grand frère Naruto, bien sûr !
‘Sont bêtes, ces adultes… Et après ils se pavanent comme des coqs parce que l’un est ninja d’élite (comme quoi on peut être jounin ET binoclard) et que l’autre est un ex-ninja légendaire… Quand on voit la tête de ses grenouilles, on comprend pourquoi il y a « ex » devant « ninja légendaire »…
- Ah, Naruto, ce garnement, grogne le vieux pervers. Au fait, où est il, celui là ?
- Sûrement à ENCORE draguer les filles pour se faire jeter ensuite, ricane Ebisu.
- Quand on ne sait pas on se tait ! je crie. Il est en train de travailler une nouvelle technique, même qu’il a promit de me la montrer !

Bon, sa technique c’est son nouveau sexy jutsu amélioré… Mais je préfère passer ce détail sous silence…
N’empêche, quelle technique de CHEF ! Il gère trop, Naruto !

- Konohamaru ! Konohamaru !
Je tourne la tête. Une tornade rousse surgit devant moi et SMACK ! me plante une bise sur la joue. Je me sens rougir… Si j’avais un miroir, je suis sûr qu’à peu près 90% de mon visage serait d’une belle couleur tomate…
- Konohamaru, j’ai besoin de toi !
- D… De… bah… beuh… de moi ?

Ouf ! Il faudrait qu’on m’explique, pourquoi, pourquoi bon sang, cette fille me fait cet effet là ! Mes jambes sont en coton, ma poitrine va exploser si mon cœur ne se calme pas… Pourquoi MOI, Konohamaru, petit fils du troisième Hokage, j’ai l’impression d’être un baka total devant ma coéquipière !

C’est peut être une maladie grave ! Si ça se trouve, je vais mourir et je ne verrai plus jamais Moegi ! Oh non ! Ou pire, je deviens fou et je vais me ridiculiser devant elle, et elle ne voudra plus jamais me parler, et… Pitié mon Dieu, sauvez moi !

- Konohamaru, arrête de rêver, ce que j’ai à te demander est très important !
- Ah ? ben euh… vas y !
- Pas ici, fait elle en regardant l’ermite pervers et Ebisu-sensei, il ne faut pas qu’ils nous entendent…

Beuh ? De quoi elle veut me parler qui pourraient gêner les deux vieux ? Je la suis tout de même jusqu’à un petit bosquet. Là elle se penche sur moi, et… tadam, tadam, tadam… Si ça continue mon cœur va rebondir jusqu’à mon cerveau… Elle me fixe de ses yeux noirs, ouvre la bouche…
Et s’exclame :

- Il faut que tu m’accompagnes au « princess bimbo club » !
- QUOI ??
Le choc me fait retrouver l’usage correct de mon cerveau, et de ma langue par la même occasion.
- Moegi, c’est bien de CE club dont tu parles ?
- Oui, le club de maître Tsunade, celui interdit aux moins de 16 ans !!
- Kuso ! Et tu veux y aller ?! T’es malade ??
- Tu sais que j’adore chanter et danser, et Sakura m’a dit que j’avais une très belle voix…
- …C’est bon pour les vieux comme cet ermite pervers ces club là…
- …alors elle m’a proposé de venir chanter sur scène avec elle, tu sais qu’elle anime le club et qu’elle est super connue là bas…
- Il n’y aura que du saké à boire, et des vieux pas nets du tout…
- J’ai demandé à Udon de venir me soutenir, mais il a préféré « rejoindre les astronautes perdus aux confins de la Lune plutôt que d’écouter caqueter une espèce de rouquine qui se prend pour une de ces chanteuses dévergondées »…
- Pas étonnant, il aurait pas l’air dans le coup en train d’étudier ses maths là bas…
- Là-dessus, je lui ai mis un coup de poing et comme j’ai cassé ses lunettes, je me suis enfuie pour ne pas avoir à les lui rembourser…
- Tu lui as ENCORE cassé ses lunettes ? Ca doit bien faire la dixième fois…
- Konohamaru, s’il te plaît, c’est la chance de ma vie…

Et là, elle me fait ce regard dont elle a le secret, un de ses regards brillants de petite fille fragile et perdue auquel je ne trouve pas la force de résister… Et ce n’est pas faute d’avoir essayer, pourtant ! Il faudrait que je demande à Udon quel est sa technique pour rester de marbre devant ses yeux noirs corbeaux qui m’implorent… et me font tellement rougir que je suis sûr que de la fumée sort de mes oreilles !

- S’il te plaaaaaaaît, supplie-t-elle.
- Grmmml… Bon… D’accord… je marmonne à contrecoeur.
- Hein ? J’ai pas bien entendue…
- D’ACCORD JE T’ACCOMPAGNE DANS CE FICHU CLUB !!
- Oh, Konohamaru je t’adore !

Elle me saute au cou, me faisant tomber en arrière. Je me retrouve allongé dans l’herbe, avec sur moi une authentique furie qui me hurle des « tu es trop gentil, qu’est ce que je ferais sans toi » dans les tympans, tout en me serrant contre elle. Kuso, comme j’ai chaud ! Ma température doit être à 45°C… Au moins !
Elle consent enfin à me lâcher, et nous nous relevons. J’époussette les brins d’herbes sur ma cape. Pratique, cette ruse, pour cacher son trouble… et ses joues pivoines par la même occasion. Puis elle me prend par la main et m’entraîne dans la rue…

5 minutes plus tard

Nous y voilà. Nous nous trouvons devant un bâtiment en briques ocre, avec une enseigne brillante et clignotante. « The princess bimbo club » se tient devant nous. Moegi tremble d’excitation. Moi je tremble plutôt de trouille, parce que si on se grouille pas d’entrer on va se retrouver face au videur, la nuit tombe lentement et surement, et si ce sadique d’Ibiki nous chope on est mort… ou pire !

- Bon, euh… Moegi, on rentre ou on attend le déluge ?
- J’ai le trac…
- Ah non, ne me fais pas ce coup là ! Tu m’as traîné ici, tu as cassé les lunettes d’Udon pour ce stupide club de bakas pervers, alors go ! on rentre !
- Ca les jeunes, ça m’étonnerait !
- WAAAAARGH !!

Ca, c’est mon cri en apercevant Ibiki Morino, le videur du club, juste devant nous. Je n’avais même pas senti sa présence. C’est fou ce qu’il est discret ce type… Oh la la, si ça se trouve je vis les dernières minutes de ma vie ! Naaaaaaan je suis trop jeune pour périr !


S’cusez, mais j’étais tellement tétanisé que je n’arrivais même plus à penser.
Bon. Ne pas paniquer. Observer son adversaire, repérer ses points faibles, en admettant qu’il en ait…

Quand on regarde Ibiki de près, on comprend pourquoi il a été le chef de la section « interrogatoire et torture » de Konoha ! Et on comprend aussi pourquoi Tsunade l’a directement embauché comme videur… Il doit faire dans les 2m30, a des épaules de 1m20 de large, des biceps de 1 mètre de circonférence, des cicatrices parcourent toute la surface de son visage aux petits yeux perçant, et son manteau noir pue le sang… Je suis même sûr qu’il cache un couteau de boucher sous son pull, et qu’il va s’en servir pour nous couper en petits morceaux, Moegi et moi, et puis après il va nous torturer avec des pince-oreilles et du poil à gratter… Où plutôt, il nous torturera avant de nous découper en morceaux… Brrr !
Je me fais un film, c’est ça ? Bon, ça me rassure…
Moegi dit d’une petite, mais alors toute petite voix :
- Monsieur Morino, vous savez on n’est pas des délinquants, c’est juste que Sakura…
- Ah, tu connais Sakura ? réagit l’autre sadique.
Etrange, ses joues deviennent rose cochonnet et son sourire rêveur et… niais comme pas possible… Il a p’têtre la même maladie que moi ?
- C’est notre meilleure chanteuse… Elle a une voix tellement belle, et des yeux… Plus verts que le feuillage des arbres au printemps…. Et ses jambes sont si longues et si fines, on dirait un mannequin…

Sa rêverie dure encore un peu, où il contemple le ciel en marmonnant des trucs incompréhensibles… S’il est atteint du même problème que moi, il est à un cas encore plus grave, je le crains ! Et puis d’un coup, alors que je me disais qu’on pourrait peut être passer en douce, il retrouve son sérieux et tend la main [50 cm de large, la menotte !], son légendaire sourire tordu sur les lèvres :
- Bon, puisque vous connaissez la belle Sakura, je vais être gentil…
- Gloups ! je fais.
- Je ne vous demande que 100 yens ! 100 yens, et je vous laisse entrer !

HEIN ?? 100 YENS ?? RAAAH JE L’AURAIS PARIE, IL EST COMME CET ERMITE PAS NET, TOUJOURS A COURIR APRES L’ARGENT !
Remarque, c’est mieux de se faire arnaquer que de passer la nuit à se faire torturer au poil à gratter… Brrr !
Mais quand même ! 100 yens !

- Ibiki, mon beau videur…
Moegi, le videur et moi nous retournons, et je soupire de soulagement. Une jolie jeune femme nous fait face. Elle a de courts cheveux roses, d’immenses yeux verts, et un sourire charmeur accroché à ses lèvres luisantes de gloss… Et puis d’un coup, sans prévenir, elle se met à beugler :
- T’AS PAS HONTE DE RACKETER DES GOSSES DE 11 ANS !!
- Euh, 12 ans, quand même…
- M’EN FOUS ! C’EST LAMENTABLE !
- Mais Sakura, ma belle fleur de cerisier…
- TU BAISSES GRAVE DANS MON ESTIME, LA, J’ESPERE QUE TU T’EN RENDS COMPTE !!
- Sakura, je suis vraiment désolé, je…
- LA FERME ! VOUS DEUX, nous crie-t-elle, VENEZ AVEC MOI ! ON SE BARRE, JE VEUX PLUS VOIR SA SALE TÊTE !
On obéit sans tarder, on n’est pas assez fous pour s’attirer les foudres de cette chanteuse (qui aurait pu devenir boxeuse, avec sa force surhumaine, mais elle préférait le showbiz) enragée !
Sakura nous entraîne à vive allure dans le bureau administratif du club. Et puis, tout sourire retrouvé, elle nous dit joyeusement :
- Moegi, je suis contente que tu sois là, ma puce. Je monte sur scène à 21h45, on a donc un quart d’heure pour se préparer. Je vais te montrer les loges… Konohamaru, c’est très gentil à toi d’être venu mon chou, tiens voilà 10 yens, va te payer à boire pendant qu’on se pomponne, d’accord ?
Nan mais pour qui elle se prend celle là, elle est en manque affectif ou quoi ? On n’est pas des bébés…
Mais bon, c’est toujours 10 yens de gagner, niak niak. Je file donc dans le club, et je découvre…

OH-MON-DIEU.

OH-MON-DIEU !

C’est pas possible. Ca doit être un cauchemar.

L’endroit est tellement plein de lumière de toutes les couleurs que j’en ai mal aux yeux. Ca pue l’alcool, les hurlements de rire des clients me font vibrer les tympans, et les tintements de verres et le bruit des boules qui se cognent sur le tapis des billards forment une jolie cacophonie.

A première vue, il y a trois genres de société dans ce club, car trois espaces :
Le premier espace, est réservé aux jeunes pleins d’énergie. C’est la piste de danse, où se déhanchent les filles les plus sexy de la Terre et les empotés les plus irrécupérables.

Le second espace, est celui des pères de famille riches qui ne savent pas quoi faire de leur fric après la paye du mois. Alors ils jouent au billard, une clope au coin du bec, l’air plus concentré qu’Udon lorsqu’il résout un de ses calculs scientifiques.

Et enfin, le troisième espace… Est pour les autres, en général ce sont les vieux déprimés qui ne vivent que pour leur bouteille de scotch (ou whisky, au choix, ou alors les deux) en promotion en ce moment en plus, c’est qu’ils en ont de la chance. J’en vois déjà deux par terre, en train de rigoler comme des dindes… Ah, un autre est venu les rejoindre, cassant la chaise par la même occasion. Je ne sais pas comment le barman fait pour rester en forme, il doit bien prendre une boîte de calmants entière avant et après le boulot…

Bon, ben, vu que j’ai pas trop envie d’aller danser et que je sais pas jouer au billard, il ne me reste plus qu’à aller me bourrer joyeusement la gueule… En plus, j’ai de l’argent à dépenser, ça tombe bien. Je m’assois sur une chaise haute (nan, pas la chaise pour bébé, mais une chaise de haute taille, quoi ; ben oui, mes pieds ne touchent même pas le sol…) et hèle le barman :
- Une bière pour moi, s’iouplaît !
- C’est parti… fait le barman en rajustant sa couette qui le fait ressembler à un ananas. Et une bière, une… Galère, y a plus de glaçons…
Il a vraiment l’air désespéré, le pauvre… ou bien c’est naturel.
- Tu sais… Hic ! La bière c’est pas assez fort pour être gris, Hic ! Fais comme moi, prend une bonne vodka, Hic !
Je me tourne vers le mec blond (et visiblement soul) qui vient de me parler… OH NON C’EST PAS VRAI !!
- Naruto ??! Qu’est ce que tu fous là, je te croyais en train de t’entraîner !
- Je pourrais te retourner la question, Konohamaru, Hic ! T’as même pas l’âge pour boire de l’alcool en plus, Hic !
- Si c’est pour avoir ta tronche, je crois que j’en boirai jamais, d’alcool… Et moi qui te prenais comme modèle… T’as vraiment un air de baka, tu le sais, ça ?
- C’est pas ma faute, Hic ! Sakura m’a encore jeté, alors je bois pour oublier, Hic !
- Ouais t’as raison…
‘Tin, de voir le chef dans cet état, ça me fout le cafard. Je saisis la bouteille de bière que l’autre ananas dépressif me tend, et avale au moins la moitié de son contenu d’une traite.

Plusieurs bouteilles de bière, vodka, scotch, plus tard…

- Mesdames et messieurs, permettez moi de vous présentez ce soir Sakura et Moegi, sur « Sweet Dreams » de « Eurythmics » !

Des sifflements retentissent. Naruto et moi nous retournons sur nos chaises, enfin comme nous pouvons, parce qu’être bourré entrave légèrement le sens de l’équilibre… Soudain une voix grave et envoûtante s’élève :

Sweet dreams are made of this
Who am I to disagree?
I travel the world
And the seven seas
Everybody's looking for something

La scène s’éclaire progressivement, laissant apparaître… une véritable beauté. Sakura, moulée dans une mini veste en cuir et un jean noir. Un micro dans une main, l’autre posée sur sa hanche, elle secoue ses cheveux et se déhanche avec une moue séductrice à en faire tomber par terre les pauvres alcooliques que nous sommes. Et puis une autre voix retentit, plus aigu, plus douce, mais tout aussi belle :

Some of them want to use you
Some of them want to get used by you
Some of them want to abuse you
Some of them want to be abused

Moegi apparaît, enfin, je crois que c’est Moegi… Parce que l’alcool embrume mon cerveau, mais aussi parce ce que cette fille maquillée et habillée d’une robe courte toute en strass et paillettes est si différente de ma coéquipière !
Ses cheveux roux lâchés tombent devant ses yeux, et un sourire aguicheur éclaire son visage. Comme Sakura, elle tient un micro, et n’hésite pas à aller au devant de la scène. Sa démarche est si fluide qu’on dirait qu’elle glisse sur le sol en même temps de danser…

Sweet dreams are made of this
Who am I to disagree?
I travel the world
And the seven seas
Everybody's looking for something

Les deux chanteuses échangent un regard et se sourient. Moi je suis en train de planer, quelque part au Septième ciel. C’est bien ma Moegi sur cette scène…

Hold your head up
Keep your head up

Après le pont musical, la musique devient plus forte encore, et Moegi se met devant Sakura, qui lui tient les épaules. Les deux stars finissent en chœur sur un magnifique :

Sweet dreams are made of this
Who am I to disagree?
I travel the world
And the seven seas
Everybody's looking for something

La musique se coupe, et ma coéquipière et celle de Naruto saluent, avant que la scène ne s’assombrisse. Les applaudissements sont sonores, moi-même je me tue les mains tellement je suis enthousiaste.

- Viens, je crie à Naruto, on va dans les loges !
- Gné ?

Je le tire par le bras et nous titubons jusqu’à la porte, que je défonce à moitié (ben oui, pas facile de tourner une poignée quand on est ivre…)

- Moegi ! Moegi !
- Sakuraaaaaaaaa !

Nous entrons comme des dingues, mais Naruto se prend les pieds dans ma cape, me fait un croche-pied et résultat… On tombe tous les deux. Ou plutôt, Naruto me tombe dessus et m’écrase de tout son poids. Le pire c’est qu’il n’a pas l’air de vouloir bouger…
Jusqu’à ce que « quelque chose » le soulève de force et le jette un peu plus loin. Ce « quelque chose », c’est Sakura, visiblement mécontente de voir son ami en plein état d’ébriété… Et puis Moegi fait son apparition. Elle se jette sur moi, et me serre contre elle en hurlant :
- T’as vu, Konohamaru, t’as vu hein ! C’était géniaaaaaaal j’ai vécu le plus beau moment de ma vie !!
- Oui… Tu chantes, euh… très bien… Hic !
- C’est vrai tu trouves ? Ouaaaah t’es vraiment trop gentil !
Et SMACK ! Un bisou sur la joue, un ! Pendant ce temps, Sakura secoue violement Naruto tout en le couvrant de baisers. Soudain Moegi me prend la main et dit :
- Allez viens, on va danser ! J’ai une pêche d’enfer !
- Euh, ben, oui, si tu veux… Mais, euh, avant, je voudrais te demander quelque chose…
Sakura cesse de frapper Naruto, et tous deux nous regardent avec des yeux de merlan frit et un sourire intéressé aux lèvres. J’avale difficilement ma salive, rassemble mon courage…
- Moegi, ça te dirait qu’on sorte ensemble ?

Du coin de l’œil, je vois le chef qui me fait une pose « nice guy »…

C’est bizarre, les seuls mots qui me viennent à l’esprit sont : « pomme d’amour » !
C’est peut être ça, ma maladie ?





Voili voilou ! Bon je sais, c'était pas extra, mais j'ai fais ça comme ça...
Pour mettre de l'ambiance, voici une petite charade :
Mon premier est le diminutif de "company"
Mon second est une action qu'il est très mal de faire... Pas honnête du tout ^^
Mon troisième est ce que le professeur nous ordonne souvent de faire pour avoir le silence
Mon tout est quelque chose qui ferait très plaisir à l'auteur : P

Vous avez trouvé ? C'était pas trop dur, j'espère x)
A présent, vous savez ce qu'il vous reste à faire ! : D
Zibouilles !




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