Fiction: Paralèlles

Tokyo de nos jours. Neji, riche héritier d'une grande famille industrielle, enfermé dans sa bulle de luxe, se perd un jour dans la banlieue de la grande capitale japonaise. Il y rencontre Tenten son exact opposé : orpheline effrontée et extravertie, elle règne avec sa bande d'amis des rues sur la vaste banlieue Ouest. Confrontation entre deux milieux ou fresque urbaine romantico-réaliste. ^^ = Sujet de BASE !! (De multiples dérives sur d'autres persos et couples se feront dans cette fic... qu
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Saya-chan (Féminin), le 10/08/2011
Dans le Tokyô de nos jours, quelques vies s'entremêlent.
Le rendez-vous de Saï et Ino s'est plutôt mal terminé, sans qu'Ino comprenne réellement pourquoi. Quel était cet étrange coup de fil que Saï a reçu ? Et pour quelle raison a-t-il fini par la repousser avant de s'enfuir littéralement. Une chose est sûre, Ino n'est pas sortie de l'auberge.
Quant à Temari, elle cherche à se rapprocher de nouveau de Neji mais finalement c'est quelqu'un d'autre qui va la percer à jour...




Chapitre 13: Un verre ou comment les masques tombent



- Oui, mon frère le connaît, c’est un endroit sympa, on sera tranquille. On pourra prendre un verre…
- …
- Alors OK ? Je viens te chercher en scooter ? On va s’amuser promis.
- …
- Héhé… Oui. A tout de suite alors ! Moi aussi je t’aime ! Ciao.
Temari referma son portable avec un sourire satisfait. Ça faisait longtemps qu’elle n’était pas sortie avec Neji.
En se préparant, elle se demanda s’il lui avait manqué ces derniers jours. Elle fronça les sourcils en se rendant compte que non, « pas particulièrement ». Était-ce normal ? Elle chassa cette pensée débile. Bien sûr qu’elle aimait Neji. Ils étaient si parfaits ensemble.
Elle repensa à l’image qu’ils donnaient aux yeux du lycée. Cela lui fit chaud au cœur. Ils étaient beaux, riches et célèbres. Ils étaient fait pour être ensemble, c’était naturel. On ne mélangeait rien dans la tête de Temari.

Si Shikamaru Nara avait su qu’il croiserait de nouveau la route de la chauffarde cinglée il se serait sûrement enfui en courant. Bien qu’il courût rarement. Là, il allait simplement se racheter des clopes étant donné que Kiba et les autres lui en avait taxé un bon paquet, il y a trois jours. Et puis à quoi bon se le cacher, Shikamaru fumait de plus en plus. Il allait avoir des ennuis, s’il continuait comme ça. Et pas seulement des problèmes de santé, ou de fric. Enfin, si. Surtout de fric.
En lui-même, le jeune homme se foutait pas mal de l’argent, seulement sans argent vivre devenait compliqué, et Shikamaru détestait ce qui était compliqué.
Arrêter de fumer était une bonne résolution, mais qu'il n’avait aucune envie de tenir. Travailler ?? L’idée même le fatiguait. Comme s’il ne passait pas suffisamment de temps enfermé dans les salles de cours de son lycée !
Il soupira en poussant la porte du café. C’était un bar de bourges, à deux pas du lycée Sakura où les élèves aimaient se retrouver. Shikamaru n’avait aucune affection particulière pour ce type d’endroit, il avait simplement la flemme d’aller plus loin.
Il s’accouda au bar, et en attendant que quelqu’un s’occupe de son cas, il observa les présences autour de lui. Observer était une des rares choses qu’il ne trouvait pas chiantes. Pas beaucoup de mondes en ce mercredi après midi. Deux filles les pieds ensevelis sous les sacs de leurs récents achats discutaient avec animation du dernier acteur en vogue. Un couple au fond de la salle qui se roulait une pelle par dessus un banana split.
Derrière lui la porte d’entrée s’ouvrit, pour laisser entrer deux nouveaux jeunes gens en pleine discussion.
- Mais si je t’assure, Kankurô est en pleine révision. C’est très marrant.
La fille qui s’esclaffait ainsi était très grande, blonde, avec des yeux verts qui étincelaient et une drôle de coiffure. Elle était superbe, tout le monde dans le café s'en aperçut lorsqu’elle vint s’asseoir au bar. Shikamaru qui avait un peu deux de tension de manière générale, ne percuta pas tout de suite qu’il la connaissait. L’autre personne était un jeune homme pâle aux longs cheveux noirs atypiques, et à l’étrange regard de cristal, et même si Shikamaru n’était pas très bien placé pour dire ça, l’inconnu était également très séduisant. Visiblement ces deux là étaient en couple. La jeune fille portait un casque de moto d’un vert acide sous le bras.
Et soudain il la reconnut.
La cinglée sur son scooter !!! Apparemment il avait oublié à quel point elle était jolie, la petite bourge égocentrique. Shikamaru secoua la tête en soupirant. Galèèère…
La jeune femme l’entendit et tourna alors la tête vers lui. Presque aussitôt, son visage se tordit en une grimace d’effarement.
- TOI ??
Shikamaru lui adressa un sourire moqueur tout en commandant un café. Finalement il avait tout son temps… Il allait faire regretter à cette pouf d’avoir manqué de l’écraser.
Mais celle-ci se reprit rapidement et se retourna vers son petit-ami.
- Je disais quoi déjà ? Ah oui, Kankurô est donc enfermé dans sa chambre à bosser la philo… il essaie de tout apprendre par cœur le pauvre, parce qu’il y pige que dalle…
Mais l’autre ne suivait plus. Il avait saisi le contact entre Shikamaru et Temari, et dévisageait le jeune homme. Shikamaru lui, attendit patiemment que l’autre bourge se manifeste. Ce qui ne manqua pas.
- Qu’est ce que tu regardes ? Demanda Temari qui avait bien senti qu'elle avait perdu l'attention de son compagnon.
Ses yeux se plissèrent quand ils rencontrèrent ceux de celui qu’elle avait automatiquement classé dans la catégorie des transparents.
- Vous vous connaissez ? Demanda Neji, d’une voix où sonnait la curiosité.
- Pas du tout, répliqua vivement Temari. C’est un idiot, laisse tomber, Neji.
- Un idiot qu’elle a failli renverser, précisa Shikamaru sarcastique.
- Un idiot qui regardait bêtement le ciel, persifla Temari furieuse.
- Un idiot qui était sur un passage clouté, soutint l’autre.
La blonde laissa échapper un sifflement de rage.
- Viens on s’en va Neji ! Lança-t-elle en se levant de son siège et en tirant son compagnon par le poignet.
- Tu vas vraiment monter sur cet engin avec elle ? Commenta encore Shikamaru à l’adresse du petit ami désemparé. J’éviterais à ta place, c’est un vrai danger public. Mais tu l’as sûrement remarqué non ?
Il lui adressa un clin d’œil, tandis que Temari le fusillait du regard.

- Je n’ai aucune envie de partir, répondit calmement Neji.
Un instant, la blonde sembla sur le point d’éclater, et puis elle se dégonfla.
- Ok, souffla-telle. On reste.
Elle se rassit dignement, le buste droit et la tête levée, fermement décidée à ne pas se laisser humilier. Malheureusement, ce n’était pas son jour.
- Je te paye ton café, proposa Neji en souriant à Shikamaru, visiblement amusé de la crise. Pour excuser Temari.
Je n’ai pas besoin d’être excusée ! protesta la concernée d’une voix suraiguë.
- Volontiers, accepta Shikamaru.
Il avait gagné et haut la main ! Il s’autorisa un sourire satisfait en détaillant la bombe en face de lui. Cette dernière commanda un cosmopolitan bien frappé, avec l’expression de celle qui n’a plus rien à perdre. Shikamaru la trouvait de plus en plus mignonne. Cette petite moue de pouffiasse dédaigneuse lui allait à merveille. Les femmes étaient de manière générale, des êtres galère, il en avaient suffisamment fréquenté pour être sûr de sa théorie, mais celle-ci était de toute évidence une des plus atteintes. Shikamaru croisa les bras, ravi à l’idée de s’amuser un coup, tandis que le dénommé Neji partait aux toilettes.
Sitôt qu’elle eut reçu son verre, la fille en vida la moitié d’un coup. Elle le reposa sur le bar et il en profita pour le lui piquer. Mmh… Une bonne dose de vodka.
- T’es vraiment un sale type, tête d’ananas grogna-t-elle tendant le bras vers sa commande
Pour toute réponse, il s’enfila une nouvelle gorgée. Temari laissa échapper un sifflement excédé. Elle sentait qu'elle perdait le contrôle de la situation.
- Rend-moi mon verre.
Il le lui rendit. Il n’en restait qu’un fond. Elle lui jeta un regard mauvais, auquel Shikamaru répondit par un large sourire.
- Qu'est ce que tu regardes ?
- Un abruti, répliqua-t-elle.
- C'est tout ce que je t'inspire ?
- Je peux te sortir des synonymes si tu veux.
A sa grande surprise, il éclata de rire. Leur échange s'interrompit là car Neji revenait. Il paya le café de Shikamaru puis tenta d'engager la conversation. Ils parlèrent peu, et Temari ne disait plus rien, malgré les efforts de son petit-ami pour la faire participer à la conversation. Au bout d'une demi heure, il finit par abandonner. Il était bientôt 17 heures. Il avait un important devoir de physique le lendemain. Il voulut ramener sa copine. Mais elle refusa de partir. Elle en était à son troisième verre et même aidée un peu par Shikamaru, c’était trop.
- Laisse moi ici, Neji. J’ai rien à faire chez moi.
Le jeune homme insista un peu, puis dût se rendre à l’évidence que Temari ne céderait pas. Shikamaru lui glissa alors quelques mots à l’oreille. Visiblement soulagé, Neji le remercia du regard, laissa un billet sur la table et sortit. Temari s’était affalée sur le bar, l’air complètement abattue.
Shikamaru se demanda ce qui clochait avec cette fille.
- Pourquoi tu veux pas rentrer chez toi, questionna-t-il en vidant une fois de plus le verre de la jeune femme.
- A cause de mes frères. Surtout Kankurô, il va faire toute une histoire s’il me voit dans cet état.
Shikamaru, eut une grimace appréciative.
- Moi j'te trouve plutôt sexy.
- Très drôle…
- Et tu crois que rester ici à boire c’est la solution ?
- Non. Parce qu’il y a un ananas qui semble prendre un malin plaisir à me faire la morale à chaque fois qu’il me croise.
- Peut être parce que tu es en tort.
- Peut être que ce n’est pas ses oignons.
Il rit.
- T’as sûrement raison. C’est très galère de faire la morale aux gens. Soûlons nous, et pleurons sur un bar en compagnie d’un inconnu, c’est plus marrant.
- Je pleure pas.
Elle fit une pause, prit un air de défi et demanda :
- Tu me prends pour une pouffiasse pourrie gâtée qui ne sait rien faire de ses dix doigts c’est ça ?
- Je ne demande qu’à être détrompé.
- C’est des stéréotypes. C’est naze.
- Et moi a priori je suis quoi ? Un pauvre mec frustré de la vie, qui aime bien donner des leçons parce qu’il s’imagine alors être intéressant ? C’est des stéréotypes, c’est naze.
- Tu m’as pas laissé parler.
- T’aurais dit quoi ?
- Un pauvre mec frustré de la vie qui aime bien donner des leçons parce qu’il s’imagine être intéressant.
- Tu vois. Mais c’est vrai. Je suis un pauvre mec, mais j'en suis plutôt content.
Temari le dévisageait d’un œil nouveau.
- Tu fais quoi dans la vie ? Demanda-t-elle.
- De vraiment intéressant tu veux dire ? J’aime regarder les nuages.
La blonde leva un sourcil.
- Ah oui ?
- C’est un beau spectacle. Tu devrais essayer. En tout cas, c’est plus fascinant que de contempler son nombril.
- Tu m’énerves l’ananas. Tu sais rien de ma vie.
- Il ne m’en faut pas beaucoup.
- Bah fouille un peu mieux, avant de l’ouvrir.
- D’accord. Alors toi, miss chauffarde, tu fais quoi dans la vie ?
Elle contempla son verre d’un air morose.
- Laisse tomber, c’est pas franchement réjouissant.
Penser à sa vie lui donnait soudain la nausée. Ou peut-être que c’était les cocktails.
Shikamaru la scrutait de ses yeux en amande.
- Ah oui ? Tu dis ça parce que t’es bourrée…
- Possible.
- Ça ira mieux demain.
Elle lui jeta un regard sceptique où perçait néanmoins la surprise.
- Finalement, t’es un mec gentil derrière tes allures odieuses, remarqua-t-elle à mi voix.
- Et toi tu caches bien ta dépression, derrière tes allures de bombe épanouie.
- Pas de malentendu, si je me laisse aller avec toi c’est juste que…
- … je ne suis personne, compléta Shikamaru avec un sourire.
- Exactement.
Elle consulta sa montre.
- 18 heures. Je ferais bien de rentrer. Avec un peu de bol, Kankurô ne verra que sa philosophie…
Elle se leva avec difficulté, et fouilla dans son sac pour payer sa consommation avant d’apercevoir le billet que Neji avait laissé sur la table. Ce court laps de temps avait suffit à l’ananas pour disparaître.
Surprise, Temari le chercha des yeux dans le bar, mais il n’était nulle part. Il n'avait même pas dit au revoir. Résignée, elle haussa les épaules. Qu'est ce que ça pouvait faire ?
Elle sortit alors, et se dirigea vers son scooter garé un peu plus loin.
Il était assis dessus.
- Qu’est ce que tu fais là ?
- Je vérifiais que t’allais pas conduire. Et j’ai drôlement bien fait.
Elle fronça les sourcils.
- Bien sûr que je vais conduire, je rentrerais comment sinon ?
- Tu ne conduiras pas avec trois verres et demi dans le sang. J’ai tout vu, je peux témoigner devant la police.
- J’aimerais bien comprendre pourquoi tu t’obstines à te mêler de mes affaires.
- Parce que j’ai une conscience, c’est tout, rétorqua-t-il en haussant les épaules.
- Je me fous de ta conscience, s’énerva la blonde. Je veux rentrer chez moi !
Shikamaru analysa la situation. Il devinait qu'elle n'était pas le genre de fille à lâcher le morceau, et il ne voulait pas que ça devienne galère.
- Ok, mais c’est moi qui conduit.
Elle le dévisagea, d’abord interdite.
- Tu sais ?
- J’ai appris.
Elle hésita quelque secondes avant de hocher la tête.
- Ok, si ça te fait plaisir.
Elle s’assit sur la selle derrière lui, et glissa ses bras autour de sa taille. C’était agréable. Il enclencha le moteur, et ils démarrèrent. Rapidement, elle appuya sa tête contre le dos du jeune homme. C’était presque aussi bien que de conduire. A peine cinq minutes plus tard, ils étaient devant le pavillon des Sabaku.
- Mais et toi ? interrogea-t-elle, encore un peu étourdie par la vitesse, et par la sensation pas si désagréable qu’avait procuré le voyage. Tu vas rentrer comment ?
- J’habite pas loin.
- Menteur.
- Écoute, je ne suis pas bourré, je peux encore marcher droit, moi.
Elle grimaça.
- Très drôle.
- Bon, eh bien, à une prochaine fois, dit Shikamaru en reculant d'un pas. Et je te préviens, si tu essayes encore une fois de me tuer, je n'hésiterai pas à appeler la police.
- Essaye toujours, rétorqua-t-elle avec un franc sourire, pour la première fois son premier de la soirée.
Il lui jeta un dernier regard amusé avant de se détourner et de s'enfoncer dans l'obscurité, les mains dans les poches et le regard obstinément tourné vers le ciel.
Sur un mode ironique, Temari l'imita et leva les yeux vers les nuages qui encombraient la nuit. A lune brillait derrière et faisait ressortir des formes douces. C'est vrai que c'était joli, finit-elle par admettre. Enfin bon, pas de quoi en faire un plat non plus.
Avec un grand sourire, la blonde ouvrit la porte de chez elle.

***

De son côté, Sasuke faisait les cent pas depuis six jours. Sakura s’était une fois de plus enfermée dans sa chambre. Il ne pouvait plus l’approcher, encore moins la toucher. Il bouillait de rage à l’idée de ce qu’il soupçonnait. Bon sang, il SAVAIT qu’elle n’aurait pas dû y aller seule ! Pourquoi n’avait-il pas insisté ? Il se détestait lui-même encore plus que les enfoirés qui avait touché à sa copine.
Une énième fois il alla frapper à la porte de la chambre d’Itachi, désormais vide de la présence de son frère, mais dans laquelle se barricadait quotidiennement celle qu’il aimait.
- Sakura ?
Pas de réponse.
Cette fois il se décida à entrer. De toutes façons il ne pouvait pas rester sans rien faire. La porte n’était pas fermée.
Il trouva la jeune fille assise sur le lit, les genoux remontés contre sa poitrine, le regard fixe et vide, le teint pâle et les cheveux ternes emmêlés sur ses épaules.
- Sakura…
Il s’assit sur le bord du lit, sans qu’elle ne paraisse remarquer sa présence.
Dis moi ce que je peux faire, supplia-t-il, j’en peux plus de rester là…
Elle gémit, enfonça son visage dans ses genoux.
- Je suis désolée… suffoqua-t-elle.
- De quoi ? s’alarma-t-il.
- Il m’a… Je ne pouvais pas… Je n’avais pas le choix !
Sasuke avala sa salive. C’était la première fois qu’ils s’approchaient ainsi du sujet.
Il tendit la main pour saisir la sienne mais elle l’esquiva.
- J’ai tellement honte… murmura-t-elle en écarquillant ses yeux secs.
- Tu ne dois pas… je suis là…
- Je ne veux pas que tu me déteste !
- Ce n’est pas toi que je déteste, soupira l’autre tout en ayant conscience que ses répliques auraient pu sortir des « Feux de l’amour ».
Elle enfouit son visage dans ses genoux.
- C’est affreux, j’ai l’impression d’être retournée cinq ans en arrière… Je pensais avoir dépassé ça !
- Arrête toi là, ordonna-t-il. Ce n’est pas de ta faute. Je ne sais pas ce que tu te reproches au juste, mais je veux que tu oublies ça OK ? S’il te plaît.
Elle évita son regard.
- Sakura…
- Laisse moi du temps, finit-elle par lâcher. J’ai déjà vécu ça, j’ai déjà dépassé ça. Je vais y arriver, laisse moi juste encore un peu…
- Tout ce que tu voudras ! répondit précipitamment le garçon. Je voulais juste que tu saches, que je me sens coupable aussi… Je n’aurais jamais dû te laisser partir seule, ça fait deux fois que je te laisse tomber et que tu… je suis vraiment trop naze.
Il se passa rapidement la main dans les cheveux et Sakura comprit à quel point il était perdu.
Elle lui sourit faiblement.
- Ca va aller...
Ils se séparèrent sans se toucher.





De retour après près d'un an d'absence, je m'apprête à publier les chapitres que j'ai écrit il y a bien longtemps sans les avoir posté. J'espère que quelques uns se souviendront de moi :) Je ne suis presque plus active sur ce site mais mes fics me tiennent toujours à coeur même si ces derniers temps je n'ai pas eu le temps de m'y remettre. J'espère que les nouveaux chapitres vont vous plaire :) J'embrasse ceux qui ne m'ont pas oublié !! <3

Prochain chapitre : Sasuke & Sakura, les recherches se compliquent.




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