Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: legend of stromaka

NoaA, 27 ans, est un jeune ninja recueillit par Konoha depuis 5 ans. Elle fut découverte à moitié nu dans une rivière, à son réveil elle avait perdu la mémoire … Durant 5 ans, c’est accompagné de Kakashi, Naruto, Tsunade et les autres qu’elle ramena ces souvenirs oubliés à la surface. Mais tous n’est pas bon à ramener … un soir son passé la hante de nouveau, POURQUOI ? … Konoha et Suna semblent menacé par plus puissant que l’Akatsuki …
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NoaA (Féminin), le 13/04/2009
Yop à vous lecteur

Cette fiction me trot dans la tête depuis un moment déjà, alors j'ai prit mon courage à deux mains et j'l'es couché sur papier. Bien qu'il ne soit pas terrible, je ferais en sorte de m'amélioré dans les chapitre suivant !!

Bonne lecture ^^




Chapitre 1: L'enfant à bien grandit ...



La lune était haute dans le ciel, les étoiles qui l’entouraient, paraissaient terne à côté de son éclat. Ce soir, la lune offrait un spectacle somptueux, éclairant la forêt tel un soleil blanc.

Pourtant, malgré son éclat, elle peinait à percer les ténèbres de la pièce. Une pièce, froide, humide, et entièrement remplie d’une épaisse brume. On distinguait dans le fond de la pièce un mur tous en barreaux de fer noir, ou une porte en bois se dessinait au milieu.

Ce cachot donnait sur un couloir noir, parcouru par un courant d’eau, qui à l’odeur, devait provenir des égouts. A l’opposé du cachot, à l’autre bout du couloir, prés de l’escalier (où au-dessus on pouvait lire, sur un panneau recouvert de mousse, le mot « sortie »), une porte entrouverte laissait passer de longue plainte…

Une fillette, âgé de 12-13 ans, était attaché à une chaise. Ces poignets et ces chevilles étaient en sang à force de se débattre sur la chaise. Elle avait la tête baissée, ses cheveux retombaient vers l’avant. De longs cheveux violet foncé, les pointes marquées de rouge, le rouge du sang. Son corps n’était recouvert que d’un simple tissu, troué, se terminant juste au dessus des genoux. Ses bras et son cou étaient nus et on y distinguait de nombreuses cicatrices, plus ou moins récentes, voir toute fraiches. Des larmes tombaient sur sa pauvre robe.


-nan par pitié, laissez moi … la voix était tremblante, timide, désespérée.

-Laisse nous rire … dit l’homme en face de la fillette. Il était grand, cheveux longs en pique à la façon hérisson man, la face recouvert de cicatrice et ayant sans doute forcé une peu trop (voir beaucoup) sur la machine de musculation.

- Donne nous se qu’on demande alors…, dit un deuxième homme, qui, du fond de la pièce, s’approchait. Recouvert d’un long manteau noir. Des cheveux noir longs retombant sur son visage fin. Il remonta le visage de la fillette, déformé sous les coups, et planta dans ces yeux un regard glacial dont il avait le secret. Un long silence s’abattut.

-Je ne sais rien, finit-elle par dire, rien du tous … elle avait fermé les yeux, des larmes mêlé de sang coulaient de nouveau sur son visage.

-RHAAA, j’en est plus que marre, reprit monsieur bodybuilding, Ihamé, écoute moi bien c’est ta dernière chance, que sais tu sur MIBU ! hurlât-il.

-RIEN ! je ne SAIS RIEN ! criât-elle de plus belle, RIEN ET R… Elle ne put finir sa phrase, un coup de point dans son ventre lui coupa le souffle et l’expulsât contre le mur derrière elle. Heureusement, la chaise amortit le choc et se brisa.

-Tu as cassé notre dernière chaise baka ! (abruti) !

-Désolé Kiyoku, mais la … c’est parti tout seul !

-Ouai bon sa va, mais on ne peut pas continuer du coup, ramène là dans son cachot.


Il se saisit de la fille part les hanches et la mit sous son bras, sans ménagement, Ihamé poussa un petit cri de douleur. Ils traversèrent un vieux pond métallique, couinant sous les pas sourd du géant.

Il ouvrit le cachot, et une fois à l’intérieur, il la laissa tomber sur le sol. Il allât se saisir d’un chaine se trouvant sur le mur de droite, qu’il attachât au poignet gauche de Ihamé, puis il se saisit de la chaine du mur de gauche et l’attacha au poignet droit. Enfin il se saisit de deux chaines étalées par terre et les accrocha aux chevilles.

Il sortit du cachot, ferma la porte en s’approcha du mur se trouvant à droite. Une grosse roue se trouvait là, des chaînes étaient enroulées autour d’elle. Il fit pivoter la roue et les chaînes d’Ihamé se tendirent, la soulevèrent. Quand il eut fini, Ihamé était suspendue au milieu de la pièce, les bras tendu vers le haut des murs, les pieds perpendiculaire au sol, le visage face à la porte en bois !



-Grouille, Arume, j’ai la dalle ! cria Kiyoku devant les escaliers.

-Ouai c’est bon, ce n’est pas comme si c’était toi qui te tapait le sale boulot !

-[b]C’est toi qui a cassé la chaise non ?[b/]

-Ouai, ouai, ok je me rends…


Tous deux montèrent les escaliers, et leur voix disparurent. Une porte de métal claqua, résonnant dans tout l’escalier pour parvenir jusqu'à Ihamé.


-J’ai mal punaise … je suis fatigué de tous cela, fatigué, quel jours somme nous, depuis combien de temps je suis ici, combien de fois je me suis retrouvé comme cela, suspendu comme un vulgaire morceau de viande… J’en est MARE MARE, MARE ET MARE ! Que quelqu’un m’aide… s’il vous plait … aid…ez…moi …


Son corps la faisait souffrir mais elle n’y prêtait plus attention maintenant. Ces yeux se fermèrent, le sommeil la gagna, elle s’endormit. Soudain quelque chose obstrua la petite fenêtre de cachot, un œil rouge sang apparut au milieu de cette masse sombre. Un grognement sourd résonna dans la pièce, Ihamé ouvrit les yeux et se figea, malgré la douleur et bloqua sa respiration.


-J’ai faim, dit la bête d’un voie grave … sang, sang frais, faim, très faim…


Un bruit d'éboulement se fit entendre, la bête venait de détruire le mur, elle apparaissait dans son intégralité à présent. Elle fondit, la gueule grande ouverte, tous droit vers le morceau de viande suspendu







-HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !


Elle venait de se redressait dans son lit, en sueur, les yeux grand ouvert. Elle avait chaud. Malgré son cri elle n’avait réveillé personne. Kakashi dormait toujours, un peu moins profondément certes mais dormait. Elle s’extirpât discrètement du lit, enfila un grand t-shirt posé, comme abandonné, sur le la veille commode, qui appartenait à Kakashi.

Elle observa la pièce, une table se trouvait à qu’elle que mètre devant elle. Elle était entourée de deux chaises. Le canapé était le long du mur de gauche, après la table où, en face, trônait une télévision. Juste derrière la télévision, se trouvait un jeu d’échec japonais, qui se trouvait lui-même devant un grande bais vitré menant à un balcon. Au milieu du mur face à elle, la porte menant au couloir qui donnait sur la cuisine et la salle de bain.

Elle souleva le col du t-shirt, ferma les yeux et sentit l’odeur de Kakashi. Elle se sentait déjà mieux, mais elle avait toujours chaud. Elle se dirigea lentement vers la baie vitrée, une fois devant celle-ci, elle se stoppa, fixa son reflet. Cheveux violets foncés, tombant jusqu’au milieu du dos, légèrement mêlés. Une bouche fine, un visage fin et des yeux d’un rouge intense. Elle fit glisser le col du T-shirt jusqu'à son épaule gauche et fit apparaitre une cicatrice provenant du dos, traversant l’épaule pour venir se finir juste au dessus du sein. Elle laissa ces doigts parcourir la cicatrice. Elle avait 27 ans maintenant, se nommait à présent NoaA et était devenue une très jolie femme.


-L’enfant à bien grandi ; murmura t- elle.


Elle décida finalement d’aller se faire un thé avant d’aller prendre l’air, elle s’engouffra dans le couloir, ouvra la première porte à droite, alluma la lumière et se prépara un thé. Mais elle n’était pas vraiment là, elle faisait ces gestes comme un robot, les pensées ailleurs. Elle revient dans le salon, ouvrit délicatement la baie vitré et se retrouva sur le balcon en bois, ses cheveux balancé par la légère brise.

Elle posa sa tasse sur la balustrade, elle aussi en boit et avec habilité et discrétion elle s’assit sur la balustrade. Elle prit la tasse et but lentement. Pourquoi rêvait elle de son passé ? Cela faisait longtemps qu’elle avait oublié, du moins appris à vivre avec, avec beaucoup de difficulté certes mais elle avait tourné la page. Ils l’avaient beaucoup aidé, Kakashi, Naruto, Tsunade, Sakura et tous les autres. Elle devait beaucoup à Konoha. C’est pour cela qu’elle avait accepté la demande de Tsunade, qui lui avait demandé de devenir un Shinobi.

La lune était petite ce soir et les étoiles peu nombreuses, il allait faire chaud demain. Peut être irait-elle se baigner si elle en avait le temps. Plongée dans ces pensés, adossée à présents au poteau qui soutenait le petit toit du balcon, apaisée de son cauchemar, elle s’endormit.

Kakashi ouvra la baie vitrée et se saisit délicatement de NoaA. Il l’observa longtemps ainsi nichée dans ces bras. Les yeux remplissent de tendresse, un sourire sur les lèvres. Il la recouchât et se glissât dans son dos, la serrant aussi fort qu’il le put, contre lui. Ils s’endormirent, inconscient du regard de l’homme aux lunettes qui les observait depuis quelque temps déjà…






et voilà, introduction fini ... premier chapitre en cours d'écriture, posté surment dans la semaine

"HO YEAH" à vous ^^




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