Fiction: les sentiments cachés (terminée)

euh.... j'appeleri plus ça un nouvelle car il n'y aura qu'un seul chapitre ENJOYS !
Romance | Mots: 1274 | Comments: 6
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hina87 (Féminin), le 26/03/2009
voilà ma "nouvelle" ou one shot !



Chapitre 1: les sentiments cachés



Je pleurai à chaudes larmes ce jour-là, le fait d'apprendre la nouvelle du jour me mis dans un état épouvantable. Pourquoi ? Pourquoi m'a t-elle fait ça ? Je ne comprenais plus rien. Tout s'embrouillait dans ma tête. Je me sentais à la fois triste et désemparé.

Même le sourire des filles ne put me faire rire. Elles essayaient tant bien que mal de me réconforter, de me dire que tout aller s'arranger. Mais moi, je n'y croyais pas. Elle m'avait trahit voilà tout. De plus, elle en était fier, même si je savais que dans le fond elle s'en voulait, je ne la considérerai plus comme une amie... ma meilleure amie.

"Allez Hina, fais l'effort de sourire, me glissa Tema. Ne t'en fait pas, on est la avec Kurenai-sensei..."

Rien, rien ne me ferait sourire pas même L'entendre s'excuser. Non, rien. JE resterai dans cet état jusqu'à que mon cœur l'oublie. Mais mon cœur ne l'oubliera jamais, je le sais. Pourtant, les filles me laissaient une petite lueur d'espoir au fond de mon cœur noir.
"Gomen...murmurai-je faiblement entre mes sanglots."

Les filles sursautèrent à l'entente de ma voix, si faible, si triste. Elles me prirent dans leurs bras en espérant me réconforter. J'entendis les pleurs que retenaient mes deux amies.
"Je suis désolé de... de vous faire de la peine. C'est moi qui devrait souffrir pas vous..

Trop tard, le coup était parti. Ma joue commença à se teintait de rouge. Sa main était partie si vite. Je savais qu'elle le ferait, je voulais qu'elle le fasse.
"IDIOTE ! Tu n'as pas à te plaindre, tu es déjà assez traumatisée ! Tu ne vas pas en rajouter ! Tu es notre amie et tu le sais ! Alors pourquoi te plains-tu ? ON souffre parce que tu souffres, alors arrête s'il te plait !"

Ces mots résonnèrent dans ma tête. Alors je causai autant de dégâts que ça ? Je ne sers qu'à rendre malheureux les gens qui m'entourent ? Alors pourquoi vivre ? Si je ne sers qu'à ça.

Elles lâchèrent l'emprise qu'elles avaient sur moi et partirent sans un mot. Je restai seule, dans ma chambre. Les lumières éteintes, je voyais à travers la fenêtre le vent soufflait, la pluie tombait. Je pensai à ce que j'allais devenir après m'être sorti du désespoir.
Lui, il était ma seule raison de vivre et voilà... Il a fallut qu'il parte. Dieu si tu existes maudis sois tu ! Pourquoi tant de haine, de pleurs, tristesses m'as-tu accordé ?
Quelqu'un toqua à ma porte. Je perçu à peine le bruit tellement je reniflais fort. La personne entra, sans allumer la lumière et s'assit près de moi.
"Je sais ce que tu ressens... Moi aussi cette situation m'est arrivée. Je comprends pourquoi tu es dans cet état mais il faut que tu cesses. Ce n'est pas les pleurs qui vont arranger les choses."
Sa voix ne m'était pas familière. Je ne connaissais pas la voix masculine qui me parlait. Si je la connaissais, cette voix, je l'ai entendu dans tous mes rêves. Je levai la tête dans sa direction. Son visage était à peine visible, mais je le reconnu.
"Akai-chi...
-Oui, c'est mon nom, répondit t-il doucement. Je suis venu pour essayer de te réconforter. Et je vois que ça marche."

Il sourit. Rien que son sourire m'apaisa le cœur. Mon cœur devint chaud d'un seul coup. Il était vraiment là, devant moi. Akai-chi, le sang rouge, ne faisait pas partie que de mes rêves mais aussi de la réalité.
"Mais comment...

-Tes amies m'ont appelé. Tu leur parles tellement de moi ! Elles, elles savaient que j'existais. Elles ne voulaient pas te l'avouer pour ne pas t'effrayer. Mais aujourd'hui le moment est venue pour que tu saches que tes rêves vont prendre réalité dès aujourd'hui."

Je restai bouche bée. Cela voulait dire que je devrais quitter mes amies pour toujours, pour vivre avec Akai-chi. Dans les rêves, tous cela paraissait heureux mais dans la vrai vie. Je repensai à toutes les souffrances que j'ai vécu jusque là. Là-bas au moins il ne sera pas là, ni elle. Mais les filles me manqueront énormément, pire que la nouvelle du jour.

Au fond de moi, je voulais quitter cet endroit où ils m'avaient trahi. Un tel acte d'égoïsme... Je n'oserai jamais une telle chose enfin....

"Akai-chi, si elles ont put t'appeler, cela veut dire qu’elles peuvent venir avec nous ? Hésitai-je."

Akai-chi parut réfléchir un cours instant. Je savais que ma question était compliquée mais il fallait que je le sache. Je ne voulais pas abandonner mes amies.
"Tu sais aussi bien que moi que ça m'est impossible.
-Alors je ne viendrai pas ! Je veux qu'elles viennent ! Sinon qu'ils peuvent dire adieu à mon existence chez eux."

Il fut surpris de ma réaction. Il se leva et me tourna le dos. Il commença à partir mais s'arrêta après avoir tourné la poignée de la porte.
"Si c'est ton choix, je leur ferais part. Cependant, reste joyeuse et remplis ton entourage de bonheur, même si ce qu'à fait ton amie te déplais."

J’acquiesçai de la tête. Il sourit et parti. Les filles revinrent affolées près de moi. Surprises et heureuses de me voire ici, avec qu'elles. Je les regardais, mes yeux embués de larmes. Pas de larmes de tristesses, mais des larmes de joie de les voire si heureuses.


Des mois se sont écoulés depuis la visite de Akai-chi. J'oubliai complètement les deux, et mènent une vie presque heureuse entouré de mes amies. Bien entendu, j'attendais la visite de Akai-chi avec impatience.
Un soir alors que j'étais sur le point de dormir avec mes amies (du à une soirée pyjamas), il vint.

Je lui sautai au cou dès que je le vis. Lui aussi paraissait joyeux de m'avoir retrouvé. Il fit un regard gratifient aux filles.
"Hina, ça fait plaisir de te voir aussi joyeuse à un heure pareille ! Annonça t-il."
Je regardais mon réveil : 01H05.
"Je reconnais qu'il est tard, mais ce n'est pas l'heure qui va m'empêcher de sourire.
-J'en suis fort heureux pour vous. A présent, je dois t'annoncer la nouvelle."

Les filles et moi sursautèrent d'impatience. Bien sur, je leur avais parlé de mon idée de partir à trois, accompagné de Akai-chi.
"La réponse est du moins positive, mais ! A une condition, tu vas devoir rester avec un homme fort, courageux, attentionné et brave qui devra te protéger car tu connais les risques.

-Je vois, j'imagine que ta description te revient non ? De toute façon qu'elle importance car je veux rester avec toi, Akai-chi !"
J'avais préparé ce discours avec mes amies pour lui prouver que je tenais à lui et que je voulais rester en ça compagnie le plus longtemps possible.
Je me sentis rougir quand Akai-chi me prit dans ses bras et déposa un tendre baiser sur mes lèvres. Je perçus le petit rire des filles.

Il avait compris plus loin que j'espérai. Il avait surtout compris les vrais sentiments que j'avais pour lui. Je l'aimais. Il m'aimait.
On partit tous les quatre le lendemain. Akai-chi et moi, ma main lié à la sienne par mes petits doigts fins. On passa devant EUX, qui était en train de se disputait pour je ne sais quelle raison. Moi ? Je les ignorais grandement, trop heureuse pour pensai à EUX.


Là où je vous écris c'est chez moi, avec mon mari (Akai-chi) et deux enfants. Un portant le nom de Kazuki. Une portant le nom de Yuki.

Voilà, je vous ai simplement raconté le moment le plus triste et le plus heureux de ma vie.


Hinata




voilà !! finit et finit... dîtes moi ce que vous en pensez !!



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