Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: comment avons-nous pu en arriver là?

Quand la vie d'une blonde est bouleversée par le rythme de celle d'un brun; une entrée en scène un peu sèche, un Shika plus que mystérieux, une Temari..Bin comme on s'y attends^^ et une révélation qui va mettre du monde à l'épreuve de la différence: tout ce qui faut pour un Shika/Tema qui devra se serrer les coudes pour s'assumer et affronter les épreuves
Classé: -12D | Spoil | Général / Humour / Romance | Mots: 11000 | Comments: 37 | Favs: 27
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3shikage8 (Masculin), le 22/04/2009
Salut, c'est ma première fic' mais elle risque de durer un bon moment pour mon plaisir et le votre j'espère,sinon bin j'ai mis une alerte de lecture mais bon ça va faire peur à personne normalement...j'ai dit normalement? vous êtes sûr?Allez bonne lecture et...Enjoy!!

NB: les * correspondent à des actions trop rapides pour être mises au discours indirect et pis j'avais la flemme aussi désolé T_T. Et les # représentent les débuts et fins de pensées




Chapitre 1: Mais qui c'est?



[POV Temari]

« J’AI PAS ENVIE D’Y ALLER »
Ça c’est moi, Temari no Sabaku, alias "la furie en liberté" (va savoir pourquoi on raconte ça sur mon compte) qui me suis retranchée dans ma chambre pour empêcher mes frères cadets de m’emmener de force au lycée, j’ai beau être la plus âgée de la famille, j’avoue que j’ai, soigneusement et au grand damne de mon entourage, gardé au cours de ces longues années d'adolescence une âme d’enfant en ce qui concerne le lundi matin; mais j’ai également…

_Allez Tema ! Tu vas te faire coller par le proviseur si tu sèches encore aujourd’hui ! C’est plus les mêmes règles
_J’ai jamais demandé à changer de lycée moi !
_Non mais c’est tout comme. De toute façon on n’avait pas le choix, Suna c’était plus pour nous me rétorqua mon frère cadet Gaara
_M’en fous ! Je ne bouge pas d’ici moi !
_Tant pis pour toi, il parait qu’il va y avoir un nouveau au lycée et on ira le bizuter avec ou sans toi héhé

Soudain, c’est un ouragan blond à quatre couettes qui passa entre les deux frangins désabusés « elle a un caractère tellement prévisible quand elle s’y met » pensa Kankuro qui affichait un sourire imperceptible de loin et en parlant de loin notre princesse s’arrêta au bout d’une quinzaine de mètres pour se retourner vers ses frérots et leur lancer d’un ton narquois et impatient :

_Bon bah alors qu’est-ce que vous attendez (on crut voir apparaître deux énormes gouttes derrière la tête des deux lycéens laissés pour compte par leur sœur hyperactive)


…mais j’ai également une partie de ma conscience qui a mûri et fait de moi une presque femme…BEN QUOI ? A 19 ANS JE NE SUIS PAS UNE VIEILLE NON PLUS ET CEUX QUI L’OUVRENT ILS VONT AVOIR MAL...Bon profitons de la route pour se présenter vous avez déjà mon nom donc pas la peine de me répéter, j’étais de la faculté de Suna à Tokyo avec mes frères Gaara et Kankuro duquel on s’est fait virés pour violence aggravée sur le personnel surveillant, j’explique : un enfoiré de pion a essayé de me peloter et a du coup gagné le gros lot pour un aller simple à l’hôpital pour une durée indéterminée mais à coup sûr très longue hinhin.

Bref, j’arrive devant l’entrée de la fac de Konoha quand je vois Omoike (personnage 100% inventé) en train de chercher des noises à un étranger et rien que pour em..béter cette pourriture je viens en aide à la victime (en fait j’ai juste eu besoin de me montrer, ce gars n’a aucun courage s’il n’a pas quelqu’un avec lui donc le rapport de force a été bref et sans surprise) et en me tournant pour savoir qui était l’heureux élu, je vis un brun, les cheveux attachés en un catogan, le regard blasé, une chemise blanche quadrillée irrégulièrement de rayures bleu foncé et clair retroussée jusqu’aux coudes et passée négligemment par-dessus un tee-shirt vert foncé et un bermuda cargo gris béton :

_ça va aller ?
_*bâillement*...ouais. #Hou là ça a l'air d'être un bavard lui, je m'en vais lui apprendre la politesse#
_merci tu connais ou c’est simplement que je ne l’ai pas entendu ?
_j’avais pas besoin d’aide et encore moins de celle d’une fille #Nan mais je rêve! Il a pas l'air de se souvenir de qui l'a sauvé juste avant! Ingrat!#
_et sexiste en plus de ça la tête d’ananas #Tiens c'est sorti tout seul ça je dois être en forme#
_Blonde galère

GYAAH ! pétage de plombs à tous les étages, il peut remercier le ciel que mes frères aient l’esprit vif et possèdent suffisamment de force pour me retenir alors que lui, il disparait dans la foule du plus lentement qu’il était possible pour un être humain, les mains dans les poches à bailler aux corneilles.

C’est alors que dès qu’il fut hors de mon champ de vision j’eus une éphémère envie de le revoir avant que la sonnerie ne retentisse et que l’avenue perpendiculaire à l’entrée ne soit désertée par les étudiants dans un brouhaha indéfinissable et une désagréable odeur de cigarette.

[i] 16h ; salle 301 ; classe 3°année ; Faculté de Konoha [i]

« Pfouh » je soupire une énième fois en entendant la sonnerie stridente se répercuter dans les couloirs et annoncer la fin de la seule pause de l’après-midi pour me remettre à ma place pour le cours suivant comme le reste de la classe, et s’il y avait bien quelque chose qu’elle détestait c’était bien ce mouvement d’uniformité nous abaissant au niveau de simples moutons. Comme pour éloigner mes pensées du sujet qui fâche je repense à mon attitude de ce matin et à cette sensation étrange que j’ai ressentie juste après le départ de ce garçon, ce n’était pourtant pas dans mes habitudes de perdre mon sang-froid comme ça il se trouve que je suis même d’un naturel calme et contenu mais ce matin c’était différent : ce mec avait comme le pouvoir de me contrôler et cette idée me fit frémir car il n’y a rien de plus désagréable que de savoir que la situation vous échappe et que vous êtes la marionnette de quelqu’un quand à la sensation.. là je ne sais pas quoi dire je voulais tout de suite le revoir…sûrement pour lui mettre la rouste qu’il méritait, je souris déjà au scénario de vengeance que j’exécuterais si je le retrouve haaaa ! Quel pied ! Quelle douce, gratuite et délectable petite vengeance !.

Je sortis rapidement de mes réflexions quand notre professeur de philosophie fit une entrée normale mais toujours aussi remarquée. Il faut dire qu’il est difficile de passer inaperçu quand on cache la moitié de son visage avec un masque médical, soit dit en passant en prétextant une maladie incurable, et qu’on a des cheveux gris regroupés en une touffe qui vous a explosé sur le coté droit du crâne j’ai donc ainsi nommé M.Kakashi ! Le plus énigmatique des professeurs et paradoxalement le plus ennuyeux quand il s’agit de soumettre ses cours à ce qui lui risque le renvoi comme à tout professeur : LE PROGRAMME. Une rumeur circule comme quoi c’est un ancien voyou, mais ça ne l’empêche pas de faire des anecdotes instructives sur les grandes questions de la vie et ses expériences passées et personne n’a jamais eu à se plaindre de ses méthodes de travail.

Je remarque qu’il y a également le sous-directeur Kotetsu qui emboitait le pas au premier adulte, seulement lui-même n’était pas en compagnie de son inséparable adjoint Izumo ce qui est une chose pour le moins rare, En effet depuis l’intégration de ce dernier dans l’établissement, les deux adultes étaient très souvent ensemble pour le plus grand bonheur des élèves puisque du coup le sous-directeur était bien plus à l’écoute des besoins des étudiants. Face à de tels évènements les rumeurs ne tardèrent pas à fuser même si elles furent stoppées nettes par le directeur Sarutobi et depuis les deux protagonistes n’ont plus hésité à manifester leur relation.
Du moins en dehors de l’établissement. Cette histoire avait fait grand bruit au CPA, le conseil des parents d’élèves, c’est vrai que dès que quelqu’un sort du rang c’est le scandale ou l’anarchie qui s'abat sur ces gens qui ne demandent qu’à être acceptés. Alors cette idéologie de l’uniformité raaah !

Ça m’écœure tellement que je ne vois pas tout de suite une tierce personne rentrer et se placer devant la classe avec une dégaine de mort-vivant, ces cheveux bruns attachés en catogan lui donnant une allure d’ananas, et son regard divaguant d’un bout à l’autre de la salle...eh mais ! J’ai déjà vu ça moi ! et je ne réalise que trop tard se qui se passe en murmurant

_Oh non, oooh noooonnn ! Pas ce sale misogyne de lâche à tête d’ananas !

Ce que je ne savais pas encore c’est que les surprises, les pics et les retombées de colère ne faisaient que commencer, c’est le cas de le dire



Yosh! Walla ma première fic est lancée! Dites ce qui va pas des fois que je puisse m'améliorer, mais n'en faites pas trop nan plus tout moral a ses limites^^. J'accepte les commentaires en tout genre sauf le flood pasque je trouve bête d'écrire sans inspiration alors qu'il en faut peu pour être heureux. Allez je me remets au boulot! A toute!



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