Fiction: Les Six Bijoux de Konoha Garden

Naruto... Quel est donc son secret ? Force herculéenne, agilité hors du commun... Et pourtant, loin de s'en vanter, il le cache... Quelle est la signification de son regard ? Beaucoup de questions... Qui ne trouveront leurs réponses que dans les yeux d'une jeune fille aux pupilles blanches. Couples Naru/Hina principal, et certains autres en passant.
Classé: -12D | Action/Aventure / Fantasie / Romance | Mots: 4051 | Comments: 16 | Favs: 35
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Lyo-kun (Masculin), le 15/04/2009
La description est peut-être bizarre, mais je n'ai pas eu le temps de peaufiner ^^. Mais la meilleure façon de se faire une idée est encore de lire, non ?
Je vous prierais de ne PAS être indulgent, car ce n'est pas ma première fic ^^.
Je tiens d'abord, et avant toute chose, à remercier fougy-kun qui m'a aidé à publier cette fic ^^
Merci !!!

Cette histoire commence avec le réveil de nos héros. Car, principalement pour moi, mais probablement pour beaucoup d'autres, le réveil indique un recommencement, et donc le commencement d'une nouvelle vie ^^.
Même si la majorité de mes fics commencent en pleine nuit, après un cauchemar et un sommeil mouvementé, celui-ci s'écarte largement de mon optique. Rien que pour vos yeux ^^.
Bon, vu que je vais finir par vous saoûler, je ne dirais plus que deux choses : Je m'appelle Lyo, et ceci est le début d'une nouvelle histoire...




Chapitre 1: Premier jour ! Rencontre insolite ! Abobolatête...



Ses yeux s'entrouvrirent légèrement, offrant ainsi à son regard la vision d'une banale chambre d'étudiant : ordinateur, bureau et télé, mais aucune trace des pourtant habituels sachets de chips et cartons de pizza propre aux étudiants. Etudiante, devrais-je dire.

En effet, malgré une poitrine un peu plate et des cheveux plutôt courts, la silhouette encore à moitié endormie est bien une jeune fille, de 17 ans pour être précis. Les cheveux bleu-violets, les pupilles blanches, le visage qui émerge maintenant de dessous sa couette est celui d'une jeune fille, d'accord, mais d'une jeune fille désillusionnée. A 17 ans, on s'aperçoit bien vite, si ce n'est déjà fait, que la vie ne vous réserve rien de spécial, que vous devrez vous contenter d'un chemin tout tracé.
C'est dans cet état d'esprit qu'Hinata Hyuuga repoussa entièrement la couette. Les yeux encore gonflés par le sommeil, elle fit un geste, par automatisme : elle tendit la main au-dessus de son réveil. Signe que sa vie était toute tracée, il sonna à cet instant précis, déclarant que, cette journée encore, rien d'inhabituel ne se préparait. Comme tous les jours depuis 17 ans...

Avec un soupir résigné, elle se leva, en posant un pied par terre. Le droit, toujours le droit en premier. Comme d'habitude...
Puis elle se dirigea vers la salle de bains, et fit sa toilette. Le côté droit avant le gauche. Toujours. Comme d'habitude...
Fixant son reflet dans la glace, elle se demanda si, une fois de plus, il n'allait pas se passer quelque chose durant cette journée... Et la seule réponse qui lui vint fût celle de son cousin, qui vivait avec eux.

"Salut..."

Avec un petit sourire en coin, Hinata regarda son cousin rentrer dans la salle de bains, au radar. Comme d'habitude. Pendant qu'il faisait ses ablutions, elle descendit donc dans la cuisine, en pyjama, juste à temps pour voir son père sortir de la maison en claquant la porte. Sa sœur, Hanabi, était encore à table.

"Bonjour, Hina-ouaaaa..."

La dernière partie de son nom ayant été obscurcie par un bâillement sonore, Hinata s'assit et tendit la main vers la bouteille de lait. Vide. Elle regarda Hanabi, qui avait un petite sourire malicieux au coin de la bouche. Elle fût sauvée d'une remontrance particulière par un bruit sourd qui semblait provenir de dehors. Ce fut Hanabi qui réagit la première :

" Ca doit être le facteur..."

Mais elle ne bougea pas. Ce fut donc Hinata qui abandonna son siège et alla ouvrir la porte. Et c'est là que tout bascula. Au sens propre. Elle venait de marcher sur ce qui semblait être une feuille de papier, lorsqu'un garçon qui était visiblement en train de la ramasser ( La feuille...) tira d'un coup sec, n'ayant visiblement pas compris qu'il ne fallait pas tirer quand il y avait une personne dessus. Ce qui s'ensuivit fût plutôt comique : La feuille vint, mais les pieds d'Hinata suivirent aussi, l'envoyant les quatre fers en l'air, sous le regard étonné d'un blond qui venait de réaliser la loi de la gravité : Si on tire, ça tombe.

Heureusement, celui-ci était plutôt gentilhomme, aussi, abandonnant sa feuille de papier chérie ( Qui était en fait un journal...), il l'aida à se relever en la prenant par les mains, et la conduisit dans la maison, sous le regard, étonné d'abord, puis complètement ahuri d'Hanabi qui n'avait jamais vue sa sœur dans les bras d'un garçon !!!
Le malentendu s'éclaircit soudainement lorsque ses oreilles se débouchèrent ( Le choc...) et qu'elle entendit le jeune homme s'excuser à maintes reprises :

" Pardon ! Pardon ! J'étais juste en train de ramasser le deuxième journal que j'avais jeté sans
faire exprès, j'ai pas fait exprès !!"

Hinata n'ayant visiblement plus les yeux en face des trous, Hanabi s'empressa d'expulser cet étranger, non sans mal. Juste avant de passer la porte, il se retourna et dit à la petite :

" Si y'a des complications, vous pouvez aller chez Tatsui and Co, c'est le livreur de journaux, c'est situé à deux rues d'içi ! Demandez Uzumaki Naruto !"

- C'est ça, c'est ça, on lui dira..., murmura Hanabi.

- Naruto... Uzumaki ?, murmura Hinata, reprenant ses esprits alors que le visage du jeune blond disparaissait dans l'encadrement de la porte.

Tiens, pour une fois, une de mes histoires commence par un petit délire. Mais trève de bavardages, Hinata va finir par être en retard avec tout ça.

- Hé, mais je vais être en retard !!"

Je sais, je viens de le dire. Comme d'habitude. Car Hinata a un tic : Elle se lève tôt, déjeune tôt, se couche tôt, mais elle arrive tout le temps à être en retard. Et vu qu'aujourd'hui est le jour de se rentrée en Première au Lycée Yondaime, elle ferait mieux de se dépêcher ! Ceci dit, elle est très rapide quand elle est en retard. La preuve : pendant que je vous parlais, elle est remontée dans sa chambre, s'est habillée, a pris son sac et est sorti de la maison, sous l'oeil étonné d'Hanabi qui n'eut pas le temps de lui dire que les Premières faisaient leur rentrée à 14 heures, et que seuls les Secondes rentraient le matin. Mais de toute façons, mieux vaut être en avance qu'en retard, n'est-ce pas ? Même si on a quatre heures d'avance...

Mais revenons à nos moutons... Pardon, à Hinata... La voilà qui descend du bus qui la mène devant le lycée, où l'attendent ses amies. Enfin... Où étaient CENSEES attendre ses amies. Car Ino, Tenten et Sakura ne sont nulle part en vue. C'est donc avec une inquiétude croissante qu'elle franchit le portail. Elle gravit péniblement les marches de l'escalier qui menaient au hall lorsqu'elle entendit un bruit de course derrière elle : quelqu'un s'approchait d'elle à toute vitesse. Soudainement apeurée, elle fit ce que toutes les filles font en ces cas-là : elles crient (C'est surtout dans les mangas qu'on voit ça, j'ai remarqué...Dans la réalité, elles foncent là où ça fait mal)
C'est ainsi que Hinata, soudainement pourvue des cordes vocales de la Castafiore ( Vous lisez Tintin ?), se mit à tenir un Ré aigu pendant une bonne dizaine de dixième de seconde. En clair, une seconde à peine, avant que le quelqu'un en question ne lui pose une main sur l'épaule, ce qui stoppa la sirène d'alarme ( Ca fait du bien quand ça s'arrête !)mais eut pour effet inverse de la faire passer immédiatement de vie à trépas. Non, ca serait embêtant. Disons qu'elle s'évanouit, tout simplement.

" Ben... ?", fut la dernière chose qu'elle entendit avant que tout devienne noir.

Deux heures plus tard, ses yeux s'ouvrirent à nouveau, découvrant la pièce immaculée dans laquelle elle était allongée. Immédiatement, le réflexe qu'elle eut fût de chercher le bouton du réveil, que bien sûr elle ne trouva pas. A la place, sa main s'abattit violemment sur le coin de la table de chevet, lui arrachant un petit cri de surprise ( Et de douleur, aussi...). Alertée par le bruit, l'infirmière parut sur le pas de la porte, un bloc-notes dans une main et un café dans l'autre.

"Ah ! Tu t'es réveillée !"

Avec un petit sourire, elle posa son bloc et son café sur la table de chevet et entreprit de palper le dessous du menton d'Hinata ( A la recherche de ganglions lymphatiques gonflés, signe qu'une réponse immunitaire se produit, en réponse à la déclaration d'une maladie.) Celle-ci se laissa faire, habituée à l'infirmière.

"Kurenai-sensei, qu'est-ce qui s'est passé ?", demanda notre petite timide.

Celle-ci eut à nouveau un sourire, qui fit ressortir ses yeux rouges ( Probablement une déformation génétique.).

- Oh, le topo habituel : Tu t'es évanouie quand quelqu'un t'a surpris. Et, d'ailleurs, ce quelqu'un t'a ramenée ici... Il était plutôt mignon, ce blond...

Elle jeta un regard au visage d'Hinata, et celle-ci rougit. Hinata repensa au jeune livreur de journaux de ce matin. Mais s'il était livreur, c'est qu'il avait déjà fini le lycée... Et si ce n'était qu'un petit boulot ? Pendant un moment, elle se prit à rêver de se promener, main dans la main avec lui, mangeant au restaurant, s'enlaçant tous les deux sous la lune flamboyante, sentant son souffle chaud sur sa nuque et sa main caressant doucement ses... Houla, je divague... Reprenons...
Puis l'horrible vérité s'offrit à elle : Il était probable qu'ils ne se voient plus jamais. Non, en fait, elle pensait surtout au temps qu'il s'était passé depuis qu'elle avait perdue connaissance.

" Quelle heure est-il ? Je suis affreusement en retard !"

Un troisième sourire se dessina sur le visage de l'infirmière, qui s'enleva bien vite lorsqu'elle regarda le blanc de l'œil d'Hinata.

- Tu ne dors pas beaucoup, hein ? Non, tu n'es pas en retard, tu rentres cet après-midi, tu avais oublié ?

L'espace d'un instant, Hinata fût soulagée, et après maintes recommandations, elle quitta l'infirmerie, sur les coups de 11 heures.

Attendre deux heures ne fût pas facile... Hinata se surprit même à somnoler, tranquillement assise sur un banc. Mais le CDI n'était pas encore ouvert ( Il n'ouvrirait que dans une semaine.) et le Self n'ouvrait pas aujourd'hui. Donc il ne lui restait plus qu'à attendre. Pas longtemps. Quelques minutes après 12 heures, les rires de jeunes gens lui parvinrent, et surtout le rire d'Ino, rapidement reconnaissable entre tous. Finalement contente de ne pas s'être endormie, Hinata se leva et courut les rejoindre, un grand sourire étalé sur le visage. Et c'est avec ses amies qu'elle passa le temps restant.
Lorsque la sonnerie sonna ( Elle aboiera pas, non plus, faut pas exagérer...), Hinata fût la première devant la porte, et elle fût aussi la première assise. Elle était comme ça : Elle aimait apprendre des choses. Plein de choses. Même des plus inutiles, comme la durée d'incubation des tortues des Gualapagos. Ça, elle le savait.
Ce ne fut que lorsque tout le monde fût arrivé qu'elle s'aperçut avec satisfaction et soulagement que sa classe était pratiquement la même que l'année dernière. Comme ça, elle connaissait déjà tout le monde, même si elle ne parlait pas beaucoup.

Par contre, ce qu'elle n'avait pas prévu, ce fut les coups sourds qui retentirent à la porte avant que le professeur principal, Iruka-Sensei, n'ait eu le temps d'ouvrir la bouche. Et le visage d'Hinata se décomposa au fur et à mesure que la porte s'ouvrait.

" Pardon, je suis en retard ! J'ai pris un peu de retard avec mon job...", murmura le nouvel arrivant.

C'était LUI. Le livreur de journaux. Naruto Uzumaki.




Voilà ! Comment vous trouvez ? Seulement 1763 mots, mais le prochain chapitre en fera plus ^^.
Dites-moi les idées que vous voudriez voir apparaître, et je tenterais de les y incorporer, même si j'ai déjà le dévellopement de l'histoire en tête ^^ Un p'tit délire ou deux n'ont jaais fait de mal à personne ^^.




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