Fiction: May....

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Une semaine avait passé depuis ce réveil pour le moins inattendu. May n’était maintenant plus qu’un pâle reflet de ce qu’elle avait été autrefois. Orochimaru l’avait bien compris, profitant de sa naïveté, il décida de la monter contre ses anciens amis.

La jeune femme avançait dans les couloirs plongés dans l’obscurité, elle était perdue, non seulement dans le sous-terrain mais aussi dans son esprit. Des sensations et des sentiments l’envahissaient à chaque seconde : la peur, la tristesse, la méfiance, la douleur de son cœur, et, plus que tout, l’absence de ses proches.

Kabuto était dans un état d’extrême fureur jamais observé chez lui. Il avait passé trois heures à chercher cette femme dans tout le sous-terrain et enfin, il la trouva, assise dans le noir, la tête entre ses bras. La colère lui monta, la jalousie aussi, il la prit violemment par le poignet et l’entraîna à sa suite parmi le labyrinthe de couloirs.

Le comportement de Maelia changea brusquement, sa nature soumise et discrète disparut laissant place à sa colère. Elle se libéra, ses yeux se mirent à briller, son air perdu se transforma en un sourire victorieux à la pointe du sadisme. Elle saisit le cou de Kabuto et le plaqua contre le mur, plongeant ses yeux dans les siens. A ce moment là, Kabuto ressentit une douleur affreuse s’emparer de son crâne, des images apparaissaient devant ses yeux … Du genjutsu ! Mais ce n’était plus vraiment Maelia qu’il avait en face de lui, le démon ?!

A partir de ce jour là, Kabuto se dit qu’il avait beaucoup de chance. Mais revenons-en au moment où il sentit la mort s’approcher à grand pas, le visage de la jeune femme exprimait le désir de tuer et un immense sourire sadique quand, tout à coup, ses yeux s’agrandirent de surprise et elle s’effondra sur le sol.

« Ne la met pas en colère, tu risqued de mourir mon cher Kabuto, susurra la voix D’Orochimaru. Tu as fait connaissance avec Murazaki, son gentil petit démon. C’est parfait je voulais lui parler… »


A Konoha, contrairement à son habitude, Jiraya n’était pas aux bains en train de mater. Non, il se baladait dans un but précis, dans la grande rue il entra dans un magasin. Une jeune fille blonde aux yeux bleus était derrière le comptoir, Ino Yamanaka fut surprise de le voir entrer, depuis quand les pervers ont-ils besoin de fleurs ?
« Puis-je vous aider Jiraya-Sama ?l’interrogea-t-elle.
-Oui je voudrais des Orchidées, répondit-il.
-Très bien, je vous donne ça tout de suite. »

Ino accomplit son travail à la perfection, elle aimait les fleurs et en prenait grand soin. Elle tendit les fleurs à Jiraya qui paya et se dirigea vers la sortie.
« Attendez ! s’écria la jeune fille.
-Oui ?
- Je peux savoir pour qui elles sont ?
- Je n’ai pas tellement envie d’en parler et je vais me faire tuer si je n’arrive pas à l’heure. »

Jiraya sortit laissant derrière lui une Ino dépitée. Mais son sourire se ralluma très vite, elle hurla à sa mère qu’elle sortait et courut chez Sakura.
« SAKU !!!!! RAMENE-TOI !!!!! ON A PEUT-ÊTRE UN SUPER SCOOP !!!!
-J’ARRIVE !!!! »

Son amie aux cheveux roses, sauta par la fenêtre (note de l’auteur : Tant qu’à faire je ne vois pas pourquoi elle se fatiguerait à descendre les escaliers.) et ensemble sur elles partirent sur la piste du sannin. Quand elles l’aperçurent, il attendait devant le palais de l’Hokage. Celle-ci sortit cinq minutes plus tard, Sakura étouffa un hurlement.
« Chut ! fit Ino.
-Tu crois que….
- J’en sais rien, ça m’énerve (J’ai un cadeau à faire de chez Zadig et Voltaire, Le pull où c’est marqué « Rock » Mais y’a la rupture de Stock ! Ca m’énerve ! Bref…) on n’entend pas ce qu’ils se disent et pourquoi il lui donne pas les fleurs ?! »

Les deux autres discutaient :
« Tsunade, tu m’accompagnes au cimetière ? Pour déposer ça, car ça me rend triste d’y aller seul…
-J’ y suis allée ce matin Jiraya.
- S’il te plait ?! Et après je te paye un coup à boire !
- Bon c’est d’accord ! Allons-y ! »

Les deux filles cachées dans les buissons arrêtèrent de sa chamailler et suivirent les sannins. Ino et Sakura ne comprirent pas tout de suite pourquoi ils allaient en direction du cimetière. Jiraya et Tsunade, après quelques minutes, de marche purent se pencher sur cette tombe, déposèrent les Orchidées.

Ils restèrent en silence à contempler cette tombe, en levant la tête, on pouvait apercevoir les tombes magistrales des quatre précédents Hokages, ou encore, parmi les rangées serrées, celles de Dan, Nawaki, Asuma,… Ou la stèle funéraire sur laquelle étaient gravés les noms d’Obito, d’Hayate, et de tous ces ninjas morts pour leur village…On dit que la mort nous amène loin de tout mais en y repensant bien cela nous ramène plus près…

Tsunade éclata en sanglots, Jiraya passa un bras autour de ses épaules et lui demanda :
« On y va ? Tu veux toujours boire quelque chose ?
-Non merci. On peut rester juste quelques secondes encore ? »

Jiraya lui adressa un sourire bienveillant, signe d’accord puis, ils reprirent leur contemplation…Et dire qu’ils pleuraient et offraient des fleurs à une tombe vide, oh, quelle ironie… Ladite personne sensée occuper cette tombe pleurait, elle aussi. Elle ne voulait pas le croire, Orochimaru lui avait raconté un tissu d’aberrations pour la monter contre Jiraya, Tsunade et, surtout, contre Konoha. Pourtant, elle décida de lui faire confiance, se promettant qu’à la moindre action suspecte, elle s’enfuirait. Mais le monde change en trente ans, elle se souvenait encore de sa première rencontre avec lui et Jiraya.

Flash Back

Tsunade, Jiraya et Orochimaru, alors âgés de seize ans, attendaient leur sensei, bien qu’ils soient tous des ninjas de niveau moyen ou supérieur et que leur sensei soit l’Hokage, ils s’étaient donnés rendez-vous car l’Hokage avait, parait-il, des choses à leur dire. L’Hokage arriva, enfin, avec une demi-heure retard et accompagné d’une jeune fille ressemblant étrangement à Tsunade. Cette jeune fille, c’était Maelia-Yura, plus communément appelée May ou Maelia, qui avait quinze ans. Elle se jeta dans les bras de Tsunade en criant :
« TSUNADE-ONEECHAN !!!!!
-C’est qui cette cinglée ? avait demandé Orochimaru.
- Cette cinglée, comme tu le dis toi-même et si bien, c’est Maelia-Yura, pardon, May ma cousine de Suna. L’avait présentée Tsunade. Et qu’est-ce que tu fais ici, May-Chan ?
- La guerre est déclarée et ces débiles voulaient me faire combattre contre Konoha, contre ma famille quoi ! Donc je me suis tirée et me voilà ! Et toi, Tsunade-Oneechan, comment ça va ?
- Moi ?! Très bien ! Au faite je te présente Orochimaru et Jiraya.
- Trêve de bavardages les filles je crois que notre Sarutobi-sensei veut parler ! Avait craché Orochimaru en guise de bonjour.
- Salut ! J’espère que Konoha te plaira May ! Jiraya avait heureusement rattrapé le coup, sauvant ainsi Orochimaru d’une double attaque made in Tsunade et May.
- Ahem ! Sandaime s’était éclairci la gorge. Maelia, n’ayant pas d’équipe, sera assignée à la votre, compensant ainsi mon absence.
- GENIAL !!! S’était écriée Tsunade.
- SUPER !!!Avait ajouté Jiraya.
- MON DIEU !!!!NOOOOON !!!! »


Le cri du cœur d’Orochimaru (note de l’auteur : Tiens, il a un cœur lui ?) avait retenti dans tout Konoha quand Tsunade et May prises de pitié pour les oreilles des pauvres habitants lui avait fait faire un joli vol plané, normalement destiné à Jiraya qui éclata d’un rire franc. Suivant son exemple, Tsunade et May se mirent à rire avec lui. Jiraya s’arrêta de rire entendant le rire cristallin et contagieux de May. A partir de cet instant, il sut qu’il ne pourrait vivre sans elle.

Fin du Flash Back

Ainsi c’était déroulée leur rencontre, Jiraya n’avait jamais vraiment été amoureux de Tsunade, il l’aimait bien, mais il lui préférait May. Elle était beaucoup moins irascible, plus douce et à peu près aussi douée que sa cousine. Sa force n’était, certes, pas aussi développée, mais elle la surpassait en Genjutsu, qui était une de ses spécialités. Elle maîtrisait le Futon avec un petit éventail, ses rafales de vent étaient accompagnées de rafales d’aiguilles empoisonnées sur une recette de Tsunade. Tsunade lui avait aussi enseigné le Ninjutsu médical. Jiraya ne se rappelait plus le nombre de fois où il s’était surprit à contempler les reflets dorés de ses cheveux, les éclats rieurs de ses yeux. Il se souvenait, par contre, de la tiédeur de sa peau et de la douceur de ses lèvres rosées sur les siennes. Un an après leur rencontre, Jiraya avait pris son courage à deux mains et lui avait tous ses sentiments, il se rappelait qu’elle avait rougi avant de se blottir contre lui.
Il l’aimait tellement, mais pour lui elle était morte…Son Orchidée, il l’appelait comme ça car il la trouvait magnifique mais fragile, comme les Orchidées…May…Comme elle lui manquait.

May, quant à elle, avait un mal fou à croire Orochimaru, provocant un duel acharné entre : d’un côté son cœur et de l’autre la stupide petite voix (note de l’auteur : Je suis sûre que vous avez déjà entendu cette voix (chiante) qui vous dis quoi faire.)Qui lui rappelait les propos d’Orochimaru. C’est bataille lui torturait tellement l’esprit que Murazaki profitait de sa faiblesse et prenait possession de son corps pour mettre au point des stratégies avec Orochimaru. Mais trois jours après la tentative d’Orochimaru de la pervertir à ses idées, May avait surpris une conversation qui fit tomber la balance du côté de son cœur…

Elle se promenait dans les couloirs quant elle entendit des voix venant d’une pièce, à la porte légèrement entrouverte par laquelle filtrait un rayon de lumière tamisée. Elle s’approcha discrètement.
« Vous êtes sûr que c’est un bonne idée de lui mentir ? C’était Kabuto.

-Oui, il faut juste faire en sorte qu’elle ne sache pas la vérité, comme le fait que j’ai été banni et que Jiraya et Tsunade n’ont pas tenté d’attenter à sa vie. Quand elle l’apprendra, ce sera trop tard, elle les aura déjà tués et son démon aura pris entièrement possession d’elle.
-Vous avez parfaitement raison Orochimaru-Sama. »

May s’enfuit en pleurant, décidant qu’elle partirait et Murazaki était parfaitement d’accord hormis sur le fait que lui il voulait tuer Orochimaru et Kabuto dans d’atroces souffrances, pour se venger.
Un cliquetis se fit entendre derrière la porte. Ils l’avaient enfermée. La trahison fut encore plus grande, elle ramassa les affaires qu’Orochimaru lui avait données et défonça le plafond.

Le sous-terrain trembla quelque peu, Orochimaru était effaré, elle s’était enfuie…Debout sur la branche d’un arbre, sa cape noire, sa longue robe blanche-ceinturée par un tissu noir- et ses longs cheveux blonds volant dans le vent, May jeta un dernier regard haineux au repère d’Orochimaru et en promettant qu’elle se vengerait, elle serra encore plus fort le bandeau de Konoha qu’elle tenait dans sa main, chose qu’elle avait dérobée dans les affaires du serpent.
« Je me vengerai ! »




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...:Yuna est folleuh!Lalalala
Yuna(moi):Tais-toi Vidy! Il pleut OUIIIIN
...(2): Mais non il y a du soleil! Regarde!
Yuna:Pfff...Comprend rien à la vie... Bon Jioon je t'explique: VIDEL NE SAIT PAS CHANTER!!!
Videl:Hé! C'est n'importe quoi.Pas vrai Jioon????
Jioon: euh....euh...Salut j'ai un truc à faire!
Jioon se bart en courant.
Yuna:REVIENS ESPECE DE LÂCHE!!!!!!!!QU'EST-QUE T'AS TU VEUX MOURRIR VIDEL???!!!!!
Videl: SAUVEZ MOI!!!!!!
Et s'ensuit une course poursuite qui se finit comme d'hab'....Moi qui m'arrête...C'est galère de courrir, la flemme.

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