Fiction: L'histoire de Kyubi (terminée)

Une histoire racontant l'enfance de Kyubi et la raison pour laquelle il a attaqué Konoha
Classé: -12D | Général | Mots: 1330 | Comments: 6 | Favs: 17
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kyubi-no-Sara (Féminin), le 14/03/2009
Je choisi de faire une histoire sur Kyubi car à mon gout il n'y a pas trop d'histoire le concernant
C'est ma première fic mais j'encaiise touts les genres de critique ^^
Sur ce, bonne lecture =}




Chapitre 1: Mon périple...



Je vais vous raconter mon histoire… Tout commence il y a à peu près dix-mille ans le jour j’étais né, je m’en rappelle comme si c’était hier : J’ouvris mes yeux et commence à émettre un bruit, une sorte de grognement pour obtenir quelle que chose, du lait sans doute.
Après avoir bu, je m’intéresse à mon environnement. Il faisait sombre mais j’apercevais quelques rayons de lumière qui éclairaient progressivement une plaine verdoyante.
J’essaye de courir mais en vain, je tombe à chaque fois sous le regard attendri de ma mère, puis une autre silhouette se forme au loin avec huit grandes queues battantes dans l’air en criant :
-Ohé maman ! Comment va le nouveau né ?
-Il est en pleine forme, Hachita. Répondit ma mère avec un sourire.
-Ho, mais c’est un garçon il ressemble tant à papa. Chuchota-t-elle avec un sourire triste.
-Tu as raison, j’espère qu’il sera aussi protecteur, gentil et loyal que lui, il est parti trop tôt de ce monde. Repris-t-elle avec un regard perdu dans les souvenirs…
-Comment vas-tu l’appeler ?
-En hommage à ton père, je le nommerais… Kyubi.

Mille ans ont passé depuis ma naissance et j’ai maintenant l’âge de partir de mon cocon familial. Ma maman souhaite que j’apprenne tout seul l'expérience de la vie en voyageant à travers le monde. Pourquoi seul et pendant une durée de neuf-mille ans ?
Cela je n'en ai pas la moindre idée mais j'ai comme un mauvais pressentiment le pire c'est que j'ai du partir avant que ma grande sœur m'annonce qu'elle était enceinte.

Vraiment dommage, après des adieux chargés en émotions, j'arpente cette route qui me tend les bras. Avec un dernier regard pour ma mère et nee-chan ainsi que tout mes camarades de jeux, je commence mon apprentissage tout en ignorant se mauvais pressentiment qui forme une sorte de boule dans le ventre.


Huit-mille ans ont passé et durant mon voyage, j'ai rencontré plein d'animaux comme des sortes de chiens fait de sable, des chats, des tortues, des belettes, des serpents, des loups et bien sûr des renards que je n'ai jamais vu chez moi. J
e suis à présent plus fort grâce à un grand sage qui, grâce à lui, j'ai pu obtenir ma neuvième queues en affrontant son légendaire petit-fils Gobi. Depuis ce combat plus aucun ne m'adresse la parole... Dommage, mais j'ai pas le temps de savoir pourquoi.

J’ai maintenant dix-mille ans bien plus mature qu'à l'époque et il est tant de retourner dans ma tanière, je suis tellement excité de revoir ma mère et ma grande sœur ainsi que son où ses enfants.
Sur le chemin du retour j’eus vent d'une rumeur qu'une nouvelle espèce d'être vivant maintenant plus intelligent qui chasse nos espèce jusqu'à les éradiquer complètement !
D'après les dires, ces humains comme on les appellent sont des êtres beaucoup plus petit, ils sont beiges, des poils plus où moins long situé sur leur tête et portent des machins en paille sur leurs têtes où bien des trucs en lin recouvrant leur corps...

Mais le plus effrayant c'est qu'ils organisent des raids sur une seule espèce et toujours presque sans survivant !

La terreur s'emparât de moi à mesure où j'appris qu'il y avait, à ce jour, un chien fait de sable reconnu étant Shukaku, un dernier chat géant dit Nibi, mais je ne pouvais plus écouter... Je me mis à courir pour arriver dans ma tanière au plus vite.

Plus je courais et plus je pleurais. En sept heures, je suis arrivé chez moi mais le spectacle n'était que désolation... Des dizaines de renards gisaient dans une marre de sang.
Je découvris alors la seule chose que je ne voulais pas voir ma mère et ma sœur là morte sans aucun signe de vie et à leur cotées deux malheureux petits renardeaux qui n'avait rien pu faire pour empêcher se massacre...

De tout mon âme, je pleurais ces morts alors qu'une rage indescriptible venait en moi, c'était décidé je les vengerais.

Je partis donc tout droit devant, une expression vide de sentiments jusqu'à ma rencontre dans un village Uzu-no-kuni lisais-je sans états d'âmes et d'un simple coup de queue j'avais rasé ce village de vermines puis je continuais ma route.

Pendant une semaine, je marchais en direction du nord-est, je crois... Pui j'aperçois un autre village : Konoha un sourire empli de malveillance se voyait en regardant mon visage, ce village Konoha était beaucoup plus grand que le dernier avec l'une de mes fidèles queue je détruisais tout en me délectant de la peur de tous ses méprisables humains.

Quand soudain, une grenouille géante sur lequelle se tenait un homme aux cheveux blond avec des yeux bleu profonds me sortit des phrases du genre "Tu vas avoir à faire au légendaire éclaire jaune de Konoha" où bien "Tu vas payer pour tes crimes, monstres !" Et pour bien me faire comprendre j'hurlais toute ma haine ainsi que ma tristesse et cet abruti qui ne voulait rien comprendre et il commençât à m'attirer vers une sorte d'autel où se tenait un nourrisson.
Mais avant que je me rends compte de se qu'il allait faire, j'étais déjà enfermé dans.... Un humain ! ! ! Je me trouvais dans une cage sombre...

Treize ans ont passé depuis ce jour fatidique et j’attends encore et toujours le moment où je pourrais m'emparer de son corps pour continuer ce que j'avais commencé.

Quand enfin, le jour tant attendu arrivât, la salle dans laquelle je me trouvais se remplissait peu à peu, mon hôte s'approchait et je le pris entre mes mains pour enfin prendre possession de son corps…

Enfin ! Je peux prendre l’air et je commence à avoir peur en sentant ce que mon hôte à ressentit : colère, peine, trahison et mensonge tous ses sentiments négatifs et pourtant il continue à sourire et à être joyeux.
Ses sentiments sont plus tellement négatifs que les miens mais il ne sait jamais plaint.
Je me demande pourquoi il ne sait jamais rebellé contre son village et pourquoi ces autres humains s’en prennent à ce gamin.

Chez nous, les animaux se prendre à un membre de notre race signifie s’en prendre à tous le clan, bizarre…, bizarre… ces humains, j’ai pas le temps de m’attarder sur ces sentiments et j’attaque le premier venu.

Il se tenait devant moi, là un grand homme ou long cheveux blanc et deux traits rouges de dessinant sous ses yeux en partant vers le bas. Je le dévisage et me dévisage et sans réfléchir je l’attaque en détruisant tous ce que ces maudits humains on construit et tout à coup ce même humain apparaît devant moi et pose une feuille sur mon front et je sens la fatigue me prendre.

Je me réveille et je suis encore dans cette cage et heureusement le sceau apposé sur la grille commence à faiblir… Heureusement ? Non je ne crois pas, je cherche les sentiments refoulé de mon hôte et je vois… je sens… je pleure… je… culpabilise…

Comment peut-il rester heureux dans ses conditions cette scène plus jamais je ne la verrais. Mon hôte, ce gamin s’est fait torturer, on la attaché à un poteau puis ils se sont délectés de sa souffrance croyant que c’est moi qu’ils font souffrir… Je n’en peux plus… plus jamais je ne regarderai ce souvenir.


C’est décidé ! Cette nuit, je parlerai à mon hôte.

Enfin, mon geôlier vient devant moi en me regardant avec tristesse je lui demande pourquoi me regarde-t-il ainsi car s’est à cause de moi s’il souffre et… me sourit ?


Et me répond en expliquant car lui aussi aurait voulu se venger contre tout si il aurait perdu un être cher et me pardonne, mais en attendant je me morfonds dans ma cellule en expulsant un peu ma haine en lui prêtant mon chakra.
En attendant, jour pour jour heure pour heure, j’attends...j’attends ou je serais enfin libre pour continuer ma vengeance et peut-être épargner Konoha...




Alors vous trouvez comment =p ???



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