Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.
Une ambiance parfois sombre, parfois remplie de clarté. Des idéologies s’affrontent, se confrontent alors que seul, je remonte. Comment survivre à un monde immonde où même la mort provient de mon kage?
Être un shinobi, c’était ma décision, un fier choix pour mes parents. Et pourtant, je regrette parfois ce jour où j’ai décidé de passer ce bandeau à mon bras, le jour où j’ai décidé qu’être shinobi, c’était ma vie. Un pion malmené, trahi par son kage; prisonnier de l’ennemi, Konoha.
Jesand (Masculin), le 19/04/2009 À l’origine un simple passe-temps, j’ai subitement décidé de tenter Internet. Je crois que le plus grand plaisir de l’écriture, c’est de recevoir des commentaires constructifs pour s’améliorer, alors voilà la principale raison de ma présente fiction.
Par contre, je tiens à vous aviser de certains points très importants sur lesquels je ne veux pas revenir plus tard. Oui, vous allez retrouver vos personnages favoris, toutefois ils ne sont pas tout mis en premier plan. Il s’agit d’une fiction, et non pas de l’œuvre de Masashi Kishimoto. Je transmets ma philosophie du monde des shinobi par le biais de Kazuaki.
Un autre particularité à prendre en note, c’est la vitesse d’apparition des chapitres. Je suis peu ordonné et mon imagination l’est encore moins. S’il y a du retard, il ne s’agit sûrement pas des modérateurs, mais plutôt de moi qui savoure l’écriture.
Le dernier point concerne davantage ceux qui recherchent un style d’écriture précis. Étant donné que je conçois le miens, il peut varier d’un chapitre à l’autre, voire d’un début à la fin d’un chapitre.
Aussi, si j’ai mis une telle limite d’âge, c’est pour éviter les mauvaises surprises, que ce soit sanguinaire, philosophique ou plutôt érotique - attention ici au sens du mot, il ne s’agit en rien de perversité! Pour preuve, si vous ne comprenez pas le sens ici, changez de fiction.
Bonne lecture et, surtout, décrochez de la vraie vie par moment et savourez les beautés du monde imaginaire.
Chapitre 3: La captivité
Devenir un shinobi, ce n’est pas simple. Il faut y mettre son cœur, se dévouer à une cause bien souvent perdue. Plusieurs meurent, plusieurs laissent tomber leur bandeau. Peu peuvent se vanter d’être le parfait shinobi. C’est utopique, mais nous voulons tous l’être. Ce rêve qui me hante ne cessera sans doute jamais d’exister. À jamais je serai un fier shinobi d’Iwa. C’est mon sang et mon âme.
Des sons parvenaient à mon esprit endolori. Ils étaient assez forts et continus. Une douleur atroce m’élançait la tête; elle semblait sur le point d’exploser. Une terrible migraine m’empêchait d’ouvrir les yeux et de penser clairement. Je tentai de remuer mes mains pour me masser les tempes; en vain. Quelque chose me retenait fermement, les mains écartées de chaque côté de mon corps. La situation était la même pour mes pieds. Où étais-je?
- Il commence à se réveiller.
- Augmentez la dose de calmants. Continuez à lui injecter le sérum.
Ceci expliquait donc cela. Toutefois, mon esprit refusait de se concentrer, comme si quelque chose m’empêchait de réfléchir ou de focaliser mes pensées sur ma situation. Mes poignets me faisaient mal à chaque mouvement… En fait, j’étais si solidement fixé à cette table glaciale que bouger devenait un défi de taille. Les courroies me lacéraient la peau. Un liquide tiède s’infiltrait lentement dans mon organisme à partir de mon poignet gauche. Le droit, lui, refusait complètement de bouger. L’air ambiant était froid. Étais-je nu? Je l’ignorais. L’air semblait glacial sur l’ensemble de mon corps et mes yeux ne m’obéissaient pas. Encore faut-il que je sois en mesure de bouger le plus petit muscle. .. Les maux de tête se firent encore plus violents; je poussai un long râle.
Soudainement, je sentis la douleur partir tranquillement. Une étrange énergie m’enveloppait et m’apaisait. Les médecins, peut-être?
- La fréquence cardiaque remonte à un niveau normal. Les signes vitaux redeviennent stables.
- Naruto ne s’est visiblement pas gêné.
-Cinquième Hokage!
- La fréquence cardiaque augmente dangereusement!
- Augmentez les calmants!
Lentement, je reprenais vie. Konoha… Hokage… Naruto… Ses mots résonnaient sur un fond noir sans vie. Des images dansaient devant mes yeux pers maintenant entrouverts. Une terrible douleur parcourait mon corps meurtri, mais je revenais lentement à la conscience. Un décor flou prenait forme et je fermis aussitôt les yeux devant une lumière des plus agressant. Je tentais de nouveau un regard et je vis une chevelure blonde qui encadrait un visage aux traits féminins. Je la reconnus immédiatement.
- Tsunade… murmurai-je d’une voix éteinte.
Je ne me souvenais plus pourquoi je la détestais, mais je savais que je le devais et que c’était légitime. Je me concentrai, les yeux clos, en faisant fi des douleurs à ma tête et je rencontrai seulement du noir; un noir profond et impénétrable. Le néant remplaçait ma capacité de penser. Parfois, j’avais l’impression de me rappeler une grande demeure dans la nuit et les paroles d’amis. Une seule envie me tiraillait : sortir d’ici. Je ne me sentais pas en sécurité.
J’ouvris à nouveau les yeux et clignai de nombreuses fois pour bien voir autour de moi. La pièce était d’un blanc immaculé avec des bureaux de mêmes couleurs. D’étranges gens vêtus d’une couleur s’apparentant à la pièce s’affairaient autour de moi. Celle que je pensais Tsunade regardait les médecins travailler.
- Où… suis-je…?
Je tentais de briser mes liens, mais je hurlais de douleur à la place. Quelque chose semblait avoir bougé sur mon bras gauche. Je sentis un liquide chaud coulé contre mon bras dénué.
- Calme-toi… me dit une voix.
- Où est Akiko? hurlai-je sans même penser mes mots. Où suis-je?
J’essayai à nouveau de bouger, mais la douleur était toujours aussi présente. Je revoyais le visage de ma partenaire… et Katsuo. Les images revenaient peu à peu et je comprenais maintenant l’ampleur de la situation. Konoha… Mission échouée… La perte de mes hommes… Les grandes flammes léchant la demeure de l’Hokage. La colère montait en moi… cela et une étrange émotion qui devait être de la tristesse. J’étais pris au piège… dans un pays ennemi.
- Qu’est-ce que vous me voulez? Tuez-moi à la place!
- Vous êtes plus important vivant que mort pour nous, répondit calmement Tsunade alors qu’une douce sensation bienfaisante s’emparait de mon poignet fracturé.
Je pris une grande respiration et fixai mon regard sur celui de Tsunade qui ne détourna pas ses yeux. Elle me fixait d’un air las. Comment pouvait-elle nous pardonner d’avoir tenté de la tuer? Sans compter les dommages que nous avions faits au village…
- Est-ce que vous vous souvenez de votre nom?
- Franchement, comme si j’avais oublié mon propre… murmurai-je lentement en constatant que je ne m’en souvenais effectivement pas.
Les calmants, sans doute. J’espérai que ma mémoire revienne rapidement. Je fulminais devant cette impuissance que je souhaitais temporaire.
- Kazuaki, Jûnin d’Iwa. Une belle petite page parle de vous dans le Bingo Book.
Je la regardai, consterné. Je secouai lentement la tête.
- Akiko… murmurai-je.
- Vous êtes l’un des deux survivants de votre mission. Vous contrer n’a pas été de tout repos. Malgré les informations provenant d’Iwa, il n’était pas facile de vous prendre de revers. Une attaque de front nous aurait coûté trop cher. Surtout si j’en crois vos descriptions dans le Bingo Book…
- Comment?
À mon grand étonnement, une larme coula lentement sur ma joue. D’étranges émotions remplaçaient ma haine… Honte, désespoir et tristesse n’étaient pas du tout mon quotidien.
Et puis, les mots prirent tous leurs sens, comme s’il y avait un décalage entre le cœur et l’esprit. Nous avions été trahis par notre propre village, par notre propre Kage… Nous étions tombés bien bas pour que même notre Kage nous envoie ainsi à la mort.
Je regardai mon état en soulevant avec peine ma lourde tête. J’étais vêtu d’un simple sous-vêtement. Un drap était au pied de l’étrange table. Des courroies brunâtres extrêmement solides entravaient chaque extrémité de mon corps. Je voyais, ici et là sur mon torse des pansements et des compresses. Le combat avait-il si mal tourné? J’avais reçu un rasengan, après m’être diverti avec un Hyûga et un cinglé vert… Peut-être, finalement…
- Vous nous valez plus cher vivant que mort. Tâchez de rester de notre côté.
- Ma propre patrie m’a laissé tomber… Le seul moyen de m’en libérer, c’est de m’enlever ce fardeau que j’ai sur les épaules. Un shinobi doit servir son pays, même à sa mort.
- Belle pensée, mais il n’est pas de notre devoir de décider de votre mort. Personne n’est mort de votre attaque, outre vos hommes que beaucoup considéraient comme une menace. Nous avons négocié avec le Conseil pour vous garder, vous ainsi que vos deux partenaires d’Iwa, vivants. Katsuo n’a laissé aucune chance à Kakashi.
- Si vous ne me tuez pas maintenant, je vais le retrouver et lui faire payer la mort de mon partenaire! criai-je à Tsunade.
Si ce n’était pas de mes liens, la salle d’opération aurait été une arène depuis de très longues minutes. J’étais à bout : plusieurs étaient morts sous mon commandement et j’étais prisonnier. Pire encore, mon propre village voulait ma mort.
- Si vous êtes vivants, c’est pour en savoir plus sur les manœuvres d’Iwa. Nous ne croyons pas en la rébellion que votre Kage tente de nous faire croire.
- Depuis vingt ans que je sers ma patrie avec ferveur! J’ai rapporté de nombreuses fois la gloire et la fortune à mon Kage! Ne venez pas me dire que je suis estimé comme un rebelle à tuer!
- Votre portrait de mission le démontre bien, ne vous en doutez pas. Mais les faits sont là. Une fois remis sur pied, nous aurons une bonne discussion, vous et moi. Je vais aller voir comment se porte votre ami…
Tsunade sortit lentement de la pièce en levant une main en guise de salut. Je vis disparaître un bout de tissus vert à l’autre bout de la pièce.
- Tsunade! hurlai-je avec force.
Un jour, sa tête allait vraiment être dans mes mains. Ce n’était plus une question de mission ou d’honneur personnel. Non, il s’agissait d’une rancœur, d’une douce vengeance. Je ne pouvais pas éliminer l’ensemble des shinobis de Konoha, mais avec un peu de planification un Hokage était à ma portée.
***
Je ressentais encore une vive douleur aux tempes. Le genre de douleur qui empêche de penser clairement jusqu’à ce qu’elle disparaisse complètement. Les mains contre la tête, je m’assis sur le lit froid, les jambes posées au sol. J’étais dans une étrange pièce, une sorte de prison. Enfin, c’était surtout la présence de barreaux, l’absence d’intimité et la présence de deux shinobis hors de ma portée qui me le confirmaient.
- Où suis-je? tentai-je ultimement.
J’entendis un bref « Konoha » et cela confirmait mes premières impressions : je n’aurais pas plus de réponses de la part de mes deux gardiens. Je joignis mes mains devant moi, content que je me rappelle que j’étais un ninja. Le problème, c’était mon incapacité à malaxer le chakra, aspect du ninjutsu que je maîtrisais parfaitement. La dose de drogue avait sûrement été considérable pour me neutraliser ainsi. Je marmonnai une courte injure et me levai. Le plancher me semblait instable, mais marcher s’avérait, au moins, peu compliqué pour mes facultés motrices. J’entendis quelques pas alors que les miens ne résonnaient pas contre les pierres.
- Ouvrez la porte.
- Si vous entrez, vous ne sortez pas vivante d’ici.
-Actuellement, vous n’avez pas l’avantage sur moi. Parlons posément.
- À vos ordres, Hokage, lançai-je ironiquement.
La blonde s’avança et entra dans ma petite cellule. Je la voyais clairement et me rappelais très bien les derniers évènements durant lesquels j’étais conscient. Mais avant de m’en prendre à l’Hokage, je voulais croiser le fer avec ce Kyûbi.
- Vous pourrez quitter cette cellule et restez dans le village, mais à plusieurs conditions.
- Je préfère l’intérieur à l’extérieur. Au moins, ici, j’ai la paix. Je ne dois de comptes à personne à l’intérieur.
Faisant comme si je n’avais rien dit, elle enchaîna :
- Le conseil et moi sommes tombés sur un accord. Il est préférable de vous avoir avec nous que contre nous, ou mort, expliqua-t-elle en mettant l’accent sur le dernier mot.
-Vous m’en voyez ravi…
- Donc, vous avez la possibilité de rester dans le village jusqu’à ce que la situation avec Iwa se soit réglée. Vous devez respecter certaines conditions; vous n’avez pas le droit de vous approcher de ma demeure, ni de l’Académie; vous serez constamment escorté par une équipe : ils ont ordre de vous neutraliser, voire de vous tuer; vos déplacements seront limités par l’enceinte du village.
- Et en quoi suis-je si important à Konoha? lançai-je d’un ton las.
- Vous êtes notre seul lien valable avec Iwa. Nous savons de source sûre, de votre mémoire pour être exact, que votre attaque n’était pas une rébellion, mais bel et bien une mission de votre Kage. Nous avons besoin de vous pour comprendre les manœuvres d’Iwa. Vous connaissez mieux que nous le fonctionnement de votre conseil et la mentalité de votre Kage. Et je suis…
- Qu’ai-je en échange? coupai-je.
- La vie ainsi qu’une liberté provisoire. Il va de soi que plus vous serez docile, plus votre liberté sera totale.
- Je m’en fous de votre liberté. J’ai perdu l’ensemble de mes troupes, sauf une personne. En plus, mon propre Kage veut ma mort. Savez-vous qu’un shinobi ne vit que pour son pays? Qu’une fois celui-ci à dos, la seule solution est la mort?
- Je crois que retourner à Iwa en tant que héros pourrait….
- Jamais. Je suis un shinobi parmi tant d’autres. Je ne veux pas de gloire.
- Dans ce cas, rajoutons une clause à votre remise en liberté provisoire. Elle sera entre nous deux seulement.
- Dites, lançai-je soudainement d’un ton intéressé.
Les mains derrière la tête, je tentais d’avoir le dessus. Visiblement, elle désirait mes informations et mes conseils. Mes yeux concentrés sur les siens, je remarquai qu’elle était prête à tout pour avoir mon aide pour combattre Iwa. Après tout, je n’étais pas l’un des Jûnins les plus près du Kage pour rien. Rien ne m’avantageait jusqu’à présent. À quoi bon les aider?
- Nous vous laisserons la tête de votre Kage, ainsi que de toutes personnes qui vous barreront la route dans votre quête personnelle. À moins bien sûr que cela concerne les gens de Konoha, ce qui va de soi. Notre département de communication vous sera ouvert, à condition qu’un des shinobis vous escortant approuve l’envoi de vos lettres. Plus vous allez nous aider, mieux ce sera pour vous.
- Vous me laissez carte blanche sur mes propres ambitions si je vous épaule! m’exclamai-je, surpris.
- Oui. Vous aurez quelques personnes pour vous surveiller, mais personne ne remettra en question ce que vous faites, tant et si longtemps que la cible n’est pas Konoha.
Avant même que je puisse me contrôler, un sourire apparut sur mes lèvres. Mes tempes étaient moins douloureuses, ce qui facilitait la compréhension des diverses émotions qui m’abordaient.
Je regardai abstraitement le plafond grisâtre craquelé à plusieurs endroits. Peut-être n’aurais-je pas la chance d’être libre au début, mais j’avais la possibilité d’augmenter cette liberté. De plus, je pouvais faire ce que je voulais, sans rendre de comptes à personne. Très alléchant, mais je suspectais une quelconque attrape à cette offre. Par contre, si le Conseil n’en avait pas vent, les chances de me retrouver face à une attrape diminuaient. Les Hokage ont toujours eu une bonne réputation contrairement au Conseil. Être libre de mes mouvements me plaisait. J’eus une triste pensée pour les pauvres shinobis chargés de me surveiller. Ils allaient devoir être endurants. Avec cet accord, j’avais accès à une vie un peu plus privée. Je pouvais peut-être repartir sur un autre pied, repartir à zéro, mais Konoha me répugnait. De plus, je n’étais pas en position de force… Si seulement j’avais été tué! La plus belle mort que pouvait espérer un shinobi était de mourir lors d’une mission ou en protégeant son village. Mais être prisonnier n’était que blasphème à mes yeux! Mourir ainsi me dégoûtait au plus haut point! Il était hors de question qu’ils aient ma peau aussi facilement et d’une manière si… indigne d’un Jûnin! Son offre me permettait de me reprendre.
Je lui tendis ma main, sûr de mon coup. Elle ne savait pas avec quel démon elle allait se retrouver. Une chance pour elle, Akiko était toujours vivante. Isolé de mes confrères, personne ne pouvait me contrôler. Katsuo le savait bien : je n’étais pas le genre de personne à me fâcher aisément, mais une fois qu’un grand mal m’était fait, je devenais un être mauvais. La vengeance pouvait m’animer. Akiko était donc la seule personne pour qui j’avais un quelconque lien émotionnel. Je me devais de la protéger, tout de même. Elle se défendait bien mieux que moi, mais je ne pouvais pas quitter ce monde en sachant que je la laissais en danger. Katsuo ne me le pardonnerait jamais. Je ne souhaitais qu’une chose à Tsunade et je la lui dis tandis qu’elle serrait ma main.
- Une seule entorse à ses clauses et …
- Je suis consciente des risques que nous prenons.
- Très bien alors.
Je forçai mon regard à rencontrer le sien. Non par intimidation, car en tant que tel je n’avais pas une posture imposante. Plutôt pour lui montrer à qui elle tendait la main. Si elle respectait chaque fait précisé durant son court discours, elle venait de se faire un allié. La moindre entorse au contrat et elle allait en payer le prix. Un homme désespéré était bien plus dangereux que n’importe quel autre homme.
Je crois que ce chapitre a permis de bien développer le côté psychologique de Kazuaki. Je n'apprécie pas les chapitres de transition, car il y a toujours moins d'actions. C'est parfois nécessaire, mais c'est plus lourd à lire. Vous m'en voyez désolé.