Fiction: The Naruto's Legend - Final Version

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La seule chose qui brisa le silence fut l'arrivée brutale d'une Sakura d'une colère aussi noire que ses cheveux étaient roses.

Fuusoku ne lui laissa pas dire le moindre mot, souhaitant l'empêcher de se déverser sur lui, même s'il espérait qu'elle se souvienne de ce qu'il lui avait fait la dernière fois qu'elle l'avait menacé.

- Tu nous déranges.
- Comment ca "je dérange", tu te prends pour qui, disparaitre plusieurs jours, comme ca ! Tu te rends compte de la frénésie dans laquelle le village a été durant ces quelques jours ? Ah et je tiens à te signaler que si jamais tu voulais que ton retour passe inaperçu, et bien tu te le mets où je pense ! S'écria la med-nin en de larges mouvements de bras nerveux. Cette fois-ci Tsunade a décidé de t'appliquer les sceaux de bagnard ! Tu peux au moins essayer de faire preuve d'un peu de ...
- SILENCE !

Dire que Fuusoku était en colère était peu de chose, la partie du visage qui était visible était déformé par la crispation de ses muscles. Mais surtout par l'éclat rouge qui brillait aux fonds de ses iris, détonnaient avec ses pupilles. Si ce n'avait été que cela, Sakura ne l'aurait sans doute pas vu à cause de la tignasse blonde qui masquait généralement toute cette partie du visage. Non. Ce qu'il la fit taire, c'est la résonance terrible que sa voix avait pris, faisant trembler les panneaux de toile qui séparaient les pièces.

Pour la première fois, elle vit au fond de Naruto, le monstre qui sommeillait à la droite de son cœur.

- Jeune fille, je vous conseille de vous assoir, vous ne me semblez pas en bonne santé, votre teint pâle fait peur à voir. Lui signala gentiment le vieil homme qui lui présentait un coussin libre.

Elle le regarda, puis regarda Naruto, ou ce qu'elle considérait comme tel, hésita une seconde, pour finalement se décider à s'assoir. Elle porta alors son premier véritable regard à l'ancêtre à son côté, dont la politesse et la bonne humeur contrastait extrêmement avec Naruto. Tout d'abord surprise par son apparence peu commune, elle fronça des sourcils, elle ne se souvenait pas de l'avoir jamais vu. Pourtant elle aurait dû, elle était la directrice de l'hôpital, et elle se faisait une réputation de rester toujours en contact tous ceux de passage dans son établissement, et tentait au moins de retenir tous les visages si pas tous les noms, qui étaient sans nul doute impossible.

Mais elle ne souvenait ce vieillard ni d'Ève ni d'Adam.

- Vous semblez aller déjà mieux, vous voyez, il ne faut pas vous surmener émotionnellement, il n'y a rien de pire pour l'ordre interne.

Cela, elle le savait bien, après tout elle était la meilleure med-nin de Konoha, et selon certaine rumeur, qui commençait à se confirmer par la venue à Konoha de certains Hauts ninjas ou dignitaires pour des soins difficiles et non atteints dans leurs villages ou pays, du monde, connu.

- Puis-je savoir qui vous êtes ? Demanda maladroitement Sakura toujours sous le choc.
- La règle ne veut-elle pas que ce soit celui qui arrive en dernier qui se présente aux autre ?
- Haruno Sakura, a qui ai-je affaire ? S'exaspéra Sakura face à tant de manière, préférant d'une certaine façon les choses un peu plus expéditives.
- Quel beau nom, et à ce que je vois, il a porté ses fruits, si j'ose dire. Dit-il en rigolant sous sa moustache, d'un rire vieux et fatigué.

Le jeu de mot, ainsi que le compliment n'échappèrent pas à la jeune fille, provocant un rougissement et d'énervement, et d'un certain malaise par rapport au compliment relativement surprenant. On le lui avait déjà fait des comparaisons avec la beauté des cerisiers japonais en fleurs, mais l'autre face de ce compliment était que les cerisiers ne fleurissent qu'une semaine, donc on une beauté excessivement courte. Alors que leurs fruits se conservent relativement longtemps, en gardant leur gout doucereux et leurs belles robes. Fruit particulièrement employé dans les meilleurs sakés, cela dit en passant.

Une ou deux secondes de silence s'écoulèrent le temps que Sakura se recentre, mais la petite diversion du vieil homme lui avait permis d'oublier l'aversion qu'elle commençait à ressentir pour son ancien compagnon.

- On me nomme Acredo, pour te servir, enfin, autant que mon vieux corps me le permet.
- Ravie de faire votre conn...
- C'est pas pour dire, mais il n'empêche que rien n'a changé.
- Pardon ?
- Tu nous déranges. Plus la moindre trace de colère ou d'énervement, juste le ton des conspirateurs dérangés.
- Ah ! Maintenant je dérange ! Au moins il y a du progrès, enfin ... disons que je présume que tout le temps que tu as passé au repas chez moi a du t'être terrible vu que ...
- Mais tu vas finir par te taire ?

Cette note exaspéré de Fuusoku, lui fit revoir le gamin qui s'ennuyait horriblement et protestait contre tous les cours "compliqués". Sakura finit par se demander si Naruto n'était pas tout simplement devenu bipolaire, mais avec lui, rien n'était jamais simple. Et ça allait se démontrer très vite.

-Puis-je voir votre main, jeune fille ? La question d'Acredo la refit encore une fois descendre sur terre, et comme les fois précédentes d'une manière à laquelle elle ne s'attendait pas.
- Hein ? Heu ... oui, bien-sûr. Déclara-t-elle suspicieusement,
- Ne vous inquiétez pas, je suis doué en massage, cela vous détendra, vous me semblez fort crispée. Lui dit gentiment Acredo se voulant rassurant.

Lorsqu'elle sentit les mains du vieil homme lui prendre sa main droite, la plus proche de celui-ci, elle sentit en lui une sévère douceur, mais également une force complètement invisible quand on le voyait ainsi. Ce fut dés lors qu'elle cessa de le considérer comme n'importe quel vieil homme, mais comme un individu qui avait dû être excessivement fort de son jeune temps.

- Tu peux lui faire confiance sur ce point, les reugyavosten sont très doués en massage, ils en maîtrisent parfaitement tous les canaux, que nous appelons méridiens.

Sakura n'y prêta pas attention, elle s'en rendit compte lorsque le vieil homme commença. C'était la première fois depuis son retour que Naruto voulait la rassurer Et elle ne manqua pas de le lui faire remarquer.

- Et bien, à présent tu te soucies de ma personne !
- Si j'avais à me soucier de ta personne, je n'en finirai pas de te surveiller !

Tandis qu'ils se chamaillaient, Acredo sortit une ampoule contenant un liquide huileux. Dont il versa le contenu sur la main qu'il massait, surprenant Sakura qui sursauta. Fuusoku reporta directement son attention sur cette main, car que ce dernier use d'huile n'était pas d'usage dans les massages d'un reugyavost.

Il n'eut pas le temps des explications qu'un phénomène étrange se produisit. L'huile se mit à bouillir soudainement tandis que d'une couleur transparente apparut, elle prit un ton doré de plus en plus lumineux, le vieillard lâcha alors la main de la demoiselle et se protégea les yeux. Fuusoku l'imita rapidement se rendant compte de cet éclat soudain. Le phénomène fut aussi bref que soudain.

L'atmosphère de la pièce qui s'était réchauffée durant tout ce temps-là revient à température normale laissant une Sakura perplexe et un Fuusoku... intrigué.

- Je vois donc pourquoi tu lui es si antipathique ma chère ! S'exclama joyeusement le vieille homme. En claquant dans ses mains comme s'il venait de découvrir quelque chose qui allait révolutionner le monde.

Ce qui pourrait être le cas.

Fuusoku qui comprenait qu’Acredo venait de le doubler majestueusement lui intima le silence. Chose bien entendu, dont ce dernier se moqua bien.

- Acredo ! Il suffit ! Elle n'est pas encore préparée à cela !
- Mais pourquoi donc ? Elle a depuis longtemps passé l'âge de savoir cela.
- Oui, mais dans votre continent ! Ici ils ne connaissent rien de tout cela !
- Mais enfin ! De quoi parlez vous ?! S'exclama soudain la rose, apeurée par ce qui venait de se produire.
- Et bien il semble ma chère que vous êtes la masshiro hime ! La princesse immaculée.

Sakura le regarda en levant un sourcil, se demandant si le vieux n'avait pas simplement pété un câble ou quelque chose dans le sens.

- C'est cela ... et vous vous êtes le roi blême n'est-ce pas ?
- Ha non, vous confondez avec le roi maudit qui est un de vos "réc...
- Sakura-san, je pense qu'il faut que l'on discute de ce qui vient de se passer. Le coupa Fuusoku, un air contrarié mais également étrangement soulagé.

Sakura revoyait enfin le regard amical qui avait caractérisé la jeunesse du blond. Qui l'avait soudé à la majorité des jeunes, ainsi qu'à la plupart des adultes, prompt à le critiquer. Il rayonnait, ou plutôt la différence accentuée par le visage froid et cruel qu'il avait depuis son retour et celui-ci, qui transpirait la joie.

- Me suivras-tu dehors ? J'ai besoin de me dégourdir les jambes. Il avait toujours cette expression protectrice, ou du moins ce qu'elle en voyant car le masque et les cheveux faisaient écrans.
- Oui, bien-sûr. Lui répondit-elle, toujours sous le charme.

Il sortit de la salle sans se préoccuper le moins du monde d'Acredo. Il savait qu'il le reverrait rapidement, et si ce n'était pas le cas, il savait aussi qu'elle serait la seule personne qui pourrait le faire revenir.

Il déambula dans les couloirs de la bunke, suivi de Sakura, ne croisant que quelques personnes et aucun enfant. Sakura ne voulait pas le forcer à parler, bien qu'une curiosité assoiffée la taraude de l'intérieur, elle savait que Naruto ne lui parlerait que quand il serait prêt.

Ils marchèrent longtemps, chaque minute, pas, seconde faisant office de supplice de tantale à Sakura. Elle le vit sortir de la bunke, puis du domaine Hyuuga pour finalement se diriger vers un terrain d'entrainement fort bien connu. Celui où tout avait commencé. Entre eux, trois.

Étrangement, Naruto semblait accélérer ou ralentir durant leur pérégrination. Elle ne comprit qu'au court des cinq dernières minutes qu'ainsi il évitait tous les gens qui auraient pu les déranger. Ou leur couper la route.

Naruto ne lui avait pas parlé durant tout le trajet, mais elle sentait qu'il travaillait ce qu'il allait dire. Et de temps en temps elle voyait l'une de ses mains se lever, sans raison apparente mais surement par réflexe mécanique pour souligner une pensée. Ce ne fut que lorsqu'il se trouvait devant le poteau, auquel il fut attaché de nombreuses années plus tôt qu'il s'arrêta. Et se retourna, un air grave sur le visage, mais en gardant cette air amical en image de fond.

- Que sais-tu des démons ?
- Officiellement, ou de la part d'une fouilleuse des papiers de l'Hokage ?

Fuusoku ne put cacher sa surprise, l'idée que Sakura brise les règles, surtout quand il s'agissait de l'Hokage ET d'une senseï restait assez incroyable, et qu'elle le lui révèle en plus le surprenait, il ne s'attendait pas à avoir sa confiance aussi rapidement.

- Disons que j'ai toujours trouvé les cours tellement ennuyeux...
- Tu m'étonnes, soit. J'ai bien entendu appris que tu étais le jinchuuriky de Kyuubi, et en regardant ce que tu parvenais à faire, je me demande comment j'ai put être aussi naïve. Lui répondit-elle dans un grand sourire, avant de reprendre. J'ai également appris que le Jinchuuriki précédent s'est fait tuer, et ainsi libérer Kyuubi à cause de l'Akatsuki.

Elle fit une pause puis déballa le reste très rapidement, de peur de ne pouvoir continuer.

- Mais surtout que la Jinchuuriki en question était Kushina Uzumaki et que son mari Minato Namikaze, connu sous le titre de Yondaime avait scellé le démon dans le seul être qu'il avait jugé digne de le porter, son fils. Toi.

Elle fit une pause et attendit la réaction de Naruto. Elle eut peur aussi en révélant ceci de faire disparaître le joyeux Naruto qu'elle avait enfin retrouvé. Mais rien de cela ne se passa, il n'eut pas de réaction et attendait patiemment qu'elle continue.

- J'ai appris d'autre chose que je juge inutile sur la force et les faiblesses de Kyuubi, et son lien avec le clan Uchiwa. Étant donné que son dernier représentant est mort apparemment. Mais ce qui me parait le plus intéressante est ceci. Les démons ne peuvent pas mourir. Leur corps est en réalité un agglomérat de chakra tellement densifié qu'il en devient physique, mais cela reste du chakra. Lorsque leur corps est détruit, la région subit de grave changent climatique. Ce qui pourrait expliquer l'apparition soudaine, relatée dans les livres d'histoire, du désert de Suna en moins d'une année. Et qui correspond ensuite avec le premier Jinchuuriki de cette dernière.

Elle devinait le sourire de Naruto sous son masque vu les plis qui l'affectait, mais elle ne savait plus trop de quel genre de sourire il s'agissait, satisfait, ironique, ou mortel ?

- Intéressant n'est-ce pas ? Je présume que c'est ça qui t'a fait chercher le reste, parce que sinon, le village aurait été rasé par les changements climatiques et on ne parlerait pas de la mort de Kyuubi, mais de la victoire de l'Hokage. Ajouta Fuusoku.
- En effet, par contre, il y a un détail qui m'a intrigué, juste avant de mourir de sa technique, le Yondaime a dit qu'il n'avait scellé qu'une moitié du Kyuubi.
- La mauvaise, enfin, je veux dire son énergie négative.
- C'est cela, et ce qu'il a fait à des répercussions bien plus grandes que ce à quoi il a put penser sur l'instant. Déclara Sakura, le regard farouche, surprenant Fuusolku.

Il voyait en elle une détermination rare. Mais également autre chose, qu'il ne sut déterminer. Mais cela lui faisait bien plus plaisir que la gamine naïve qu'il avait peur de retrouver. Et ce qui l'amusait le plus, c'est que tout cela lui était passé sous le nez.

Mais qu'a-t-elle pu faire d'autre sans que je ne m'en aperçoive? S'inquiéta-t-il soudain.

- Ah ... ainsi le génie n'aurait pas pensé à quelque chose et tu l'aurais découvert ?
- C'est complexe.

Il rit.

Cela dura quelques secondes, pas plus et peut-être moins. Mais ce fut son ancien rire, provocateur. Sakura fut émerveillé, à tel point qu'elle s'en émue.

Il a ri.

- Ne t'en fais pas, j'ai changé. Lui répondit Fuusoku, attendant une suite dont il se doutait mais dont elle lui apportait les clefs.
- Très bien. Comme je l'ai dit, les corps de Bijuu sont faits de chakra pur. Et il doit atteindre un certain stade d'équilibre pour prendre forme. Hors, notre cher Yondaime en enfermant une partie du chakra de Kyuubi en toi, et l'autre il la laissé s'envoler si je puis dire.
- Non, il l'a donné à shinigami.
- C'est une erreur, le prix d'utilisation de cette technique était la vie de l'utilisateur. Hors il a scellé la moitié de Kyuubi en lui juste avant de périr. L’énergie, au lieu d'être dévorée par shinigami, est repartie sur notre monde. Et plus précisément sur Konoha.
- Je ne vois pourtant pas la moindre catastrophe climatique. La poussa Fuusoku, voulant qu'elle soit plus brève et plus claire.
- L'énergie positive, le ying, ne trouvant pas son opposé pour reprendre forme, s'est donc installée partout autour de l'endroit où l'énergie négative, le yami, était retenue. Toi.

Fuusoku ne put s'empêcher de froncer des sourcils, se demandant où elle le menait ainsi.

- Tu as surement vu les performances de Konohamaru, je me trompe ?
- Il est très doué, c'est vrai.
- Et bien il n'est pas le seul, toute sa génération, et les suivantes font preuves d'une puissance qui ne se voyait qu'une fois de temps en temps et qui devient une norme entre eux. Tu te rappelles de la surprise de Kakashi quand tu as usé du Kage bunshin alors que tu n'étais même pas encore genin ?
- Oui, il se demandait comment je pouvais tenir avec huit clones. Ce que lui était incapable de faire. Et maintenant encore.
- Et bien à présent toutes les générations qui suivent la disparition de Kyuubi sont extrêmement matures pour leurs jeunes âges dans la création du chakra, ainsi que son équilibre et son utilisation, et pendant leurs apprentissages académiques les enseignements sont confrontés à des élèves perturbants qui usent de techniques familiales qui devraient être les fruits de nombreux efforts.
- Pourquoi as-tu pris Konohamaru comme exemple ?
- Parce qu'il lui a fallu, à lui et à sa génération six mois de genin pour réussir son examen Chuunin. Il était du même niveau que Gaara alors que ce dernier est un Jinchuuriki !

Fuusoku réfléchit très vite à ce que cela pouvait signifier, et la réponse lui vient aussi vite. Et les conséquences comme le disait Sakura n'étaient pas spécialement terrifiantes mais rendant ce village plus puissant grâce aux générations suivantes.

- Et qui est au courant de cela ?
- Personne.

Si je l'élimine, personne ne sera au courant, et cela me facilitera la récupération, car à n'en pas douter l'extraction du ying des corps les tuera.

Laisse-moi lui parler, qu'elle comprenne bien ce que sa découverte signifie.

N'oublie pas, un faux pas et tu retournes dans les ténèbres.

Tandis qu'il réfléchissait il avait baissé la tête pour se couper du monde et se concentrer dérobant ainsi son regard à Sakura. Lorsqu'il les releva, elle défaillit en voyant une pupille écarlate découper son œil.

- Jeune fille, je suis celui qui hait, qui était et qui sera.
- ... Kyuu... bi ...
- En effet, j'ai un mot pour toi ... ce que tu viens de découvrir met tout ... ton village en danger. Car même s'il s'agit du Ying, celui-ci cherche à s'équilibrer...
- Je ne vois pas ce qui est dangereux là dedans ...
- TAIS-TOI ET ÉCOUTE !

Sakura fut simplement pétrifiée tandis que de fumerolles de chakra vermeil sortaient de la bouche et des naseaux de Fuusoku.

- Pour atteindre l'équilibre, il créé le mal, le chaos et la haine. Il cherche un être humain capable de la lui fournir, et plus un humain en ressent, plus le ying sera puissant dans sa descendance...
- Qu'est-ce que cela veut dire ...
- Cela veut dire que dans un temps relatif, l'une d'entre vous donnera naissance à mon fils !

Sakura resta un instant silencieuse, ne sachant plus quoi dire, c'était si monstrueux qu'elle n'osait plus penser à ce que cela allait apporter.

- Intéressant.

C'était Fuusoku qui était de retour, et ne semblait pas le moins du monde inquiet par l'échange qu'il venait d'avoir lieu.

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