Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Un nouveau clan

L'akatsuki, de plus en plus dangeureuse, a déclaré la guerre à Konoha. Dans le but de mieux protéger son village, Tsunade fait appelle à Naruto, déserteur depuis dix ans. Pourquoi ? C'est ce que nous tenterons de découvrir ... Ramenant avec lui de mystérieux compagnons,il semera la panique à Konoha, et auront lieu des retrouvailles riches en émotion. De l'humour, des flash back, et des règlements de compte au programme ! Couples : Naru/Hina et autres
Spoil | Romance | Mots: 20479 | Comments: 54 | Favs: 123
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edwige-brun (Féminin), le 24/12/2009
voici la seconde Histoire que j'ai écrite, j'éspère qu'il vous plairas et que vous me donnerais vos impression

bonne lecture!




Chapitre 6: La famille Hyuuga



Un nouveau clan






Chapitre 6









Dans la semi-obscurité d’une chambre, une jeune femme évacuait sa frustration et sa colère en jetant divers livres, vases, kunais et autres à travers la pièce.

« Elle est revenue ! Après dix ans elle ose revenir ! Pourquoi n’est-elle pas restée dans son trou à rats ! Pourquoi maintenant ?! »

Elle vociférait, hurlait, insultait la personne responsable de sa colère, ses yeux ivoires caractéristiques de son clan n’exprimaient que du mépris et de la haine. Elle était tellement immergée dans sa transe haineuse qu’elle n’entendit pas la porte coulisser doucement.



Neji savait qu’il la retrouverait ici et vu l’état dans lequel elle était, il n’était pas difficile de deviner qu’elle savait à propos du retour de sa grande sœur.



« J’aimerais bien savoir ce qui peut te mettre d’une humeur aussi massacrante Hanabi » dit-il innocemment.



Elle se retourna vivement, le fusillant du regard.



« Oh mais tu devrais déjà le savoir non ? » susurra-t-elle avec froideur.

« Oh ? Mais je ne suis pas dans ta tête » fit-il avec ironie.



La seconde d’après il se baissait vivement, alors qu’un vase atterrissait sur le mur, à l’endroit où se tenait sa tête quelques secondes plus tôt.



« Elle est revenue, cette traîtresse est revenue et il n’y a que toi qui semble l’accueillir avec joie ! » dit-elle avec mépris.

« C’est normal, elle est, aux dernières nouvelles ma cousine et ta sœur. »

« Ce n’est pas ma sœur ! Je n’en ai pas ! Comment pourrait-elle l’être, elle nous a abandonnés pour ce monstre ! »

« Hinata ne…. »

« Ne prononce pas son prénom en ma présence ! » hurla-t-elle, hystérique.



Obéissant, Neji ne répondit rien, dans un sens il comprenait sa colère. Silencieusement, il la contempla, elle était essoufflée d’avoir trop crié et de grosses larmes menaçaient de couler, signe qui témoignait sa colère où sa tristesse, il n’aurait su le dire, elle semblait se retenir avec peine. Soudain elle s’effondra à bout de force. Se précipitant vers elle, il la prit rapidement dans ses bras : elle avait laissé couler ses larmes et s’accrochait à sa tunique comme si sa vie en dépendait.



« Pourquoi, elle ne revient que maintenant, hein Neji-nii-san ? Pourquoi n’est-elle pas directement venue nous voir, sait-elle combien sa trahison m’a anéantie ? Ses enfants sont-ils plus important que moi maintenant ? » pleurait-elle.



Neji la laissait évacuer sa peine doucement, en lui tapotant le dos.



Alors qu’elle se calmait, il lui demanda si elle avait mis au courant son père de la situation, et malheureusement elle répondit par l’affirmative. Il n’en demanda pas plus mais espérait que son oncle ne fasse pas de bêtises quand il se retrouvera face à Hinata.





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En parlant de Hiashi Hyuuga, celui-ci faisait route vers la demeure Uchiwa et Uzumaki. Un peu en retrait sa femme le suivait, elle connaissait le caractère de son mari et elle ne voulait pas qu’il fasse du mal à sa fille ainée, elle l’avait alors supplié de la laisser l’accompagner.



Arrivés devant la demeure au portail défoncé, ils y pénétrèrent, l’immense jardin qui leur faisait face les émerveilla mais ce qui leur fit s’arrêter au beau milieu du chemin fut la gigantesque louve qui était couchée en travers de la porte d’entrée, celle-ci leva la tête à leur arrivée et les sonda de son persan regard émeraude. Plusieurs minutes passèrent dans un silence pesant jusqu'à ce que la louve prenne la parole faisant sursauter le chef et sa compagne.



« Je suis très honorée de rencontrer des membres de la famille de ma maîtresse » commença-t-elle en inclinant la tête « Mais je ne peux vous laisser pénétrer dans cette maison sans son accord. »



Hiashi toisa la bête d’un regard froid.



« Hé bien qu’attendez vous pour nous annoncer à votre maîtresse ?! »



Ce dernier mot, il l’avait prononcé avec dédain.



« C’est qu’Hinata-sama n’est pas ici » répondit poliment la louve, malgré son froncement de sourcils, signe que l’impolitesse faite vis-à-vis de sa maîtresse l’agaçait fortement.



Alors que Hiashi allait répliquer, sa femme, qui s’était tue jusqu’ici, prit la parole, devançant son mari.



« C’est que, excusez-moi, mais nous sommes ses parents… »

« Votre lien de parenté est très visible madame, » coupa la louve « Mais il n’empêche que je ne peux vous laisser entrer, parents ou pas. »

« Bien » fit Hiashi de sa voix polaire « nous allons l’attendre ici alors. »



Ils s’installèrent donc sur la terrasse quand la mère d’Hinata remarqua un regard posé sur elle et son époux, regardant attentivement elle remarqua rapidement une petite tête blonde qui les regardait avec curiosité. Quand celle-ci eut compris qu’elle était grillée, elle se cacha prestement derrière l’animal chuchotant avec une autre personne qui ne semblait pas vouloir se montrer.



« Qui c’est d’après toi ? » chuchota la petite blonde à son frère toujours caché.

« Je sais pas » répondit celui-ci « tu crois que c’est vraiment notre Ojiisan et notre Obaasan ? » demanda-t-il ensuite timidement.



La petite fit la moue, semblant réfléchir.



« Je ne sais pas » avoua-t-elle hésitante « En tout cas je l’aime pas le monsieur, il a pas l’air gentil. »



Le petit se leva finalement à son tour, voulant voir les deux inconnus. Il se figea soudainement et se retourna vers sa sœur.



« Aïe, aïe, aïe » gémit-il « maman revient ! »



La petite le regarda puis bouda.



« Pourquoi j’arrive jamais à la sentir, c’est pas juste. »

« C’est pas le moment ! Si maman nous voit elle va nous punir, on n’avait pas le droit de sortir… il faut qu’on rentre…»



Elle ne se fit pas prier et prit la main de son frère, se mettant à courir jusqu'à la porte d’entrée surprenant les deux Hyuuga.



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En parlant de la mère des deux fripouilles, celle-ci se dirigeait vers sa demeure assez inquiète au sujet de son mari, parti en mission, mais aussi pour Kiba. Elle avait été mise au courant par Kakashi, celui-ci l’ayant prise à part pour l’informer de la situation alors que Tsunade partait dans son bureau en compagnie des anciens co-équipiers de Sasuke. Elle savait que Naruto ne lui aurait rien dit de tout cela, elle sourit, elle prenait goût à ce petit côté jaloux de son homme et elle le savait, Kiba était le premier de sa liste rouge…Kiba… son sourire s’estompa aussitôt, il fallait qu’ils aient une discussion tous les deux, elle irait le voir après s’être assurée que ses enfants et Natsuki allaient bien.



Elle fut surprise en rentrant chez elle de découvrir sa mère et son père assis sur la terrasse. Elle ne s’attendait pas à les voir, enfin pas si tôt. La brune s’arrêta au beau milieu du jardin, une furieuse envie de rebrousser chemin la prenant. S’armant de courage elle combla finalement l’espace entre ses parents et elle. La louve s’éclipsa en silence après un long regard dirigé vers sa maîtresse.



« Père, mère » dit la jeune fille en s’inclinant respectueusement.



Hiashi s’était levé le regard indéchiffrable, sa femme ne bougeait pas, regardant sa fille avec avidité, la contemplant, rattrapant ainsi les années perdues.

Comme elle a grandi ! Ne put-elle s’empêcher de penser. Elle devenue si belle et épanouie, elle ne ressemble vraiment plus à la petite fille craintive que j’ai connue !

Soudain une exclamation étouffée sortit de sa bouche : son mari venait de gifler sa fille. Elle serra les poings à s’en faire blanchir les jointures, elle n’avait jamais vraiment pris part à l’éducation d’Hinata ; en bonne femme et épouse effacée, elle avait laissé son mari tout diriger. Quand sept ans plus tôt, Hinata avait déserté de Konoha, Hiashi lui avait reproché d’avoir transmis à sa fille cette gentillesse excessive et cette timidité exacerbée, car selon lui si elle avait été une vraie Hyuuga jamais elle n’aurait songé à déserter pour rejoindre un rebus de la société, et qu’à l’heure actuelle, elle devait surement être morte, et les secrets du Byakugan révélés. Là non plus elle n’avait rien répliqué prenant tous les torts. Mais aujourd’hui tout était différent, sa fille était vivante, en bonne santé, avait des enfants et semblait être devenue bien plus forte qu’avant ; avoir déserté semblait avoir été beaucoup plus bénéfique pour elle que si elle était restée ici. Alors elle ne laisserait certainement pas son mari rabaisser sa fille elle s’était assez reposée dans son rôle de femme soumise.



Prête à se lever dans l’intention de dire le fond de sa pensée, elle s’arrêta soudain, les yeux exorbités, là, devant elle…elle n’arrivait pas à y croire, qu’était-il arrivé à son époux ? Si on lui avait dit qu’un jour elle verrait le grand Hiashi Hyuuga serrer dans ses bras sa fille ainée, elle lui aurait ri au nez. Elle cligna des yeux plusieurs fois, puis après un moment de réflexion un sourire tendre vint orner ses lèvres, après tout il était comme tous les hommes, comme tout père s’inquiétant pour son enfant mais ne le montrant pas… halala son mari n’était vraiment pas facile à vivre.

Hinata était figée. Elle s’était attendue à une gifle de la part de son père mais pas qu’il la prenne dans ses bras, elle sentait son corps qui tremblait et son cœur qui battait la chamade. A ce moment elle aurait voulu voir son visage, graver dans sa mémoire la moindre émotion qu’elle aurait pu y lire mais cette goutte d’eau qui glissait le long de son cou était bien plus criant que tout… c’était ce père dont elle avait admiré la force pendant si longtemps, ce père qu’elle avait craint plus que tout, ce père qu’elle aimait, ce père qui la tenait si étroitement contre son torse…..c’était son père et il l’avait enfin reconnue…elle en avait rêvé si longtemps.



Elle n’eut pas le temps d’en profiter plus longtemps, une pulsation meurtrière l’alarma.



Elle poussa son père loin d’elle alors qu’une pluie de kunaï fonçait droit sur elle. Esquivant rapidement la déferlante d’armes blanches, elle se posta bien droite au milieu du jardin. Elle n’avait pas activé son Byakugan, elle savait qui était la personne qui l’avait attaquée.

« Montre-toi Hanabi » dit-elle calmement.



Celle-ci sauta de l’arbre dans lequel elle se cachait et atterrit souplement sur l’herbe, faisant face à sa sœur.

Hinata était subjuguée par la jeune fille qu’elle avait sous les yeux : sa chevelure était aussi longue que la sienne, son visage fin reflétait toute sa beauté, le seul hic était ses yeux rouges, preuve qu’elle avait pleuré récemment. Son regard devint triste, elle savait qu’elle était la cause de ces larmes.



« Hanabi, que signifie tout ceci ? » tonna son père en fronçant les sourcils.



Celle-ci ne lui répondit pas, continuant de fixer froidement Hinata.



« Hanabi ! » fit-il plus fort.

« Et vous père ?! » répondit-elle froidement « comment avez-vous pu lui pardonner si facilement ? »



Hiashi ne sut que répondre sur le moment, lui pardonner facilement ? Non ça n’était pas si simple que ça, il lui avait fallu du temps, beaucoup de temps pour qu’il lui pardonne. Il n’avait peut-être jamais été proche de sa fille, il était même carrément absent de sa vie, mais quand elle avait déserté, cela avait été comme une gifle qui l’avait réveillée de toutes ces années d’indifférence glacée. La honte de la trahison d’un membre de son clan, qui plus est l’héritière, lui avait fait ressentir un profond mépris mais aussi une profonde tristesse qu’il ne voulait pas admettre. Quand quelques années plus tard dans un rapport de mission l’on découvrit dans une vallée du sang et une veste en lambeaux, qu’on identifiera plus tard comme étant ceux de sa fille, se fut un immense désarroi qui s’abattit sur lui. A ce moment-là, la seule chose qu’il voulait c’était la revoir et la prendre dans ses bras et lui demander pardon, et sept ans plus tard il pouvait enfin le faire.



Peu consciente des pensées profondes de son père Hanabi continua sur sa lancée, le visage déformé par la colère.



«Vous lui avez peut-être pardonné mais moi non ! Yaa ! »



L’instant d’après elle s’élançait vers Hinata, paume en avant.



Hinata ne faisait aucun mouvement brusque, avec souplesse, elle esquivait chacune des attaques d’Hanabi. Plus Hinata faisait durer cette confrontation inutile, plus Hanabi perdait de sa combativité. Ses gestes devenaient plus lents, ses attaques de moins en moins précises. Cela continua ainsi pendant de longues minutes jusqu'à ce qu’épuisée, elle s’effondre sur sa grande sœur, les larmes coulant de son visage de porcelaine.



« Je ne te le pardonnerais pas » murmurait-elle, le visage enfoui dans la poitrine d’Hinata « Jamais ! »



« Je sais » répondit Hinata en l’enlaçant.

« Ne m’abandonne plus jamais. »



Hinata prit son visage entre ses mains avec douceur, essuyant avec une infime tendresse les larmes salées.



« Plus jamais… » Répondit-elle « …pardonne moi Hanabi.»



Un simple pardon…c’était suffisant.



Sous les regards des parents et d’un Neji caché dans un arbre (1), deux sœurs se retrouvaient.





******************************







La nuit venait à peine de faire son entrée quand Hinata entra dans l’hôpital. Son visage était serein et son cœur apaisé de ses nombreux regrets envers sa famille. Elle se dirigea donc vers l’accueil et demanda la chambre de Kiba Inuzuka, qu’on lui indiqua dans la seconde qui suivit ; apparemment elle n’était pas la seule à lui avoir rendu visite. Après avoir rapidement discuté avec Shizune qui s’occupait d’un patient, elle arriva finalement devant la porte 213. Alors qu’elle allait frapper trois coups à la porte, la voix de son ami parvint à ses oreilles.



« Tu peux entrer Hinata, j’ai reconnu ton odeur. »



Elle inspira profondément et entra.



La première chose qui la frappa fut les liens qui enserraient les poignets et les jambes de l’Inuzuka, elle eut envie de rire sur le coup mais se retint à temps. Kiba, lui, ne la regardait pas, son visage était tourné vers la seule fenêtre qui composait la pièce.

« Que me vaut l’honneur de ta visite ? » fit-il d’une voix sèche.

« J…je suis venue te parler… »

« Ne gaspille pas ta salive, je ne veux rien savoir. »

« Pourtant tu devras bien m’écouter Kiba-kun » répondit-elle déterminée.



Il tourna finalement la tête dans sa direction, la regardant longuement puis il haussa les épaules de dépit.

« De toute façon, je ne peux que t’écouter » dit-il en secouant les liens qui le tenaient captif.

« J’ai toujours assumé mon choix Kiba-kun, quand j’ai déserté le village je savais ce que je laissais derrière moi et j’en connaissais aussi les conséquences, je l’ai fait pour moi-même, Naruto n’y est pour rien. »

« Si ! » éructa en réponse le maître chien « C’est à cause de lui ! Jamais tu n’aurais déserté s’il n’avait pas eu l’idée stupide de le faire lui-même ! »



Elle le regarda, sidérée.



« Pourquoi le détestes-tu tant ? » ne put-elle s’empêcher de demander.

« Et toi pourquoi l’aimes-tu tant ?! Qu’a-t-il de si intéressant au point de te faire devenir une traîtresse ?! Il ne te regardait même pas ! Tu n’étais rien pour lui, rien ! Et tu nous as trahis….tu m’as trahi. »



Hinata ne répondit pas, elle avait les yeux écarquillés de surprise.



« Tu ne trouves rien à me répondre ? Tu sais que tout ce que je dis est vrai. Malgré ça, aujourd’hui vous êtes mariés, avez des enfants… »



Elle tiqua comprenant enfin la raison d’une telle colère. Son regard devint douloureux et c’est avec un sourire crispé qu’il continua :



« Je t’aimais…oui je t’aimais, mais tu ne voyais que lui, dans ton cœur c’était son visage, sa voix, qui y résidait. J’en crevais de jalousie… »



« Arrête Kiba. »



Elle ne voulait pas entendre la suite.



« J’aurais préféré qu’on le tue à la naissance. »



Elle se figea, puis son regard devint froid, aussi mortel qu’une lame d’acier.



Elle se leva silencieusement et se dirigea vers la porte. Il n’y avait plus de retour en arrière possible. Il y avait une cassure dans ce lien d’amitié les unissant.



Quand enfin elle fut partie Kiba laissa échapper une larme.



« Pardonne-moi Hinata…pardonne-moi je t’en prie. »



Il se sentait seul, fatigué et immensément triste. Il voulait voir sa fiancée, entendre sa voix. Elle était toute sa vie, son rayon de soleil. Celle qui avait supplanté Hinata dans son cœur. Le sommeil vint finalement le prendre alors qu’il priait les Dieux de sauver celle qu’il aimait.



Hinata, adossée à la porte, avait entendu Kiba quand celui-ci lui demanda de lui pardonner. Elle sourit, même si elle n’était pas prête à lui accorder son pardon, ses mots étaient trop cruels.



Elle avait confiance en Sasuke et son mari, malgré les tensions qui pouvaient subvenir dans le groupe, elle savait qu’ils réussiraient leur mission, il suffisait juste de croire.



A suivre…



(1) Oh le vilain ! Que faisait-il là ? Note de la Cheackeuse : j’espère qu’il vérifiait tes fautes. NA : à vrai dire nan *petit rire innocent*





coms?



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