Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: L’élue des guerres passées

Lorsqu’une guerre éclate, qui est là pour tout réparer? Ou protéger femmes et enfants qui ne sont pas ninja? Quelqu’un ou quelque chose avec des pouvoirs exceptionnels ne pourrait-elle pas arriver et remettre tout en place? Nos ninjas trouveront-ils ce vivant? Est-ce la bonne personne? Pouvons-nous lui faire confiance? Cette histoire vous présente les pouvoirs immenses que nous offres la nature. Ne sous-estimez pas cette force si vous tenez à la vie. Bonne lecture!
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zazaperrier (Féminin), le 06/02/2009
Mon histoire débute quelques semaines avant les examens de sélection des chunins, je sais c’est loin, mais ça en vaut la peine (enfin je crois ^^) à vous d’en décider si c’est le cas!

Bonne lecture!




Chapitre 1: La Trace



En route vers le village, Kotetsu, Izumo ainsi que leur compagnon Iwashi (plutôt maladroit je dois dire), s’arrêtèrent pour reprendre un peu de force. En effet, ils étaient de retour d’une mission qui devait se dérouler en 3 semaines. Tout s’était très bien passé, de plus, ils avaient réussi à recueillir plusieurs informations sur les alliances et les trahisons entres les villages. Des sources d’une importance capitale pour Konoha. Seulement, ils avaient réussi à prendre une demi-semaine de plus que prévu ! Les trois ninjas s’étaient donc arrêtés à environ un jour avant leur village, dans un endroit qui devait sa splendeur aux montagnes d’un vert flamboyant et aux rochers brillant de toute leur force. L’équipe d’élite allait faire son campement à cet endroit et reprendre la route le lendemain matin dès l’aube.

- Où vas-tu, Kotetsu? Je te rappelle que nous n’avons pas fini de monter la tente!
- Chercher de l’eau. Je vais essayer de trouver une rivière, je reviens dans quelques minutes à peine. Pas besoin de t’en faire, sauf si je ne suis pas revenu dans 3 ou 4 heures! Tu n’es pas d’accord avec moi, Izumo ?
- Il a raison, Iwashi. Tu t’en fais trop pour rien. C’est bon Kotetsu, si tu n’es pas là dans 3 heures, j’appelle les renforts! répondit l’homme alerté en ricanant.
- Très drôle les gars! En tout cas, n’en fais pas trop, Kotetsu! Tu sais que tu as le poignet brisé et tu t’entêtes à en faire plus que ce tu es capable! Beugla Iwashi.
- De quoi parles-tu, voyons?
- Ne t’en fais pas, je te connais assez pour dire ça, mon vieux! Allez, tu vas chercher de l’eau ou tu n’y tiens plus?
- D’accord, d’accord, répondit Kotetsu en tournant les talons pour faire face à un petit chemin de terre.

Par la suite, Kotetsu partit à la recherche d’une rivière ou bien d’une source d’eau potable pour avoir quelques provisions. Il en trouva une à seulement quelques minutes d’où il était situé. Il se prit 5 bouteilles bien remplies, car après tout, pas besoin de plus que ça puisqu’ils partaient demain matin dès le lever du soleil. Il vint pour se nettoyer le visage avant qu’il n’aperçoive quelque chose dans l’eau…

- Mais… qu’est-ce que c’est? C’est sûrement mon imagination! Il est vrai que je suis plutôt fatigué, déclara celui-ci en se frottant les yeux d’une main. Je devrais me dépêcher et aller reprendre des forces… Allez, en route!

Le lendemain à la première heure, les trois ninjas démontèrent le campement et se mirent en route vers le pays du feu. À seulement quelques heures du village, Izumo s’arrêta brusquement.

- Qu’est-ce qu’il y a, Izumo? Tu vas nous mettre en retard! dit Iwashi.
- Venez! Vite!
- Dis-nous ce que tu as vu, au moins! reprit-il en le suivant.
- J’ai vu quelque chose de bizarre dans l’eau! Dépêchez-vous! rétorqua Izumo.

Tous les trois se tenaient sur la terre à côté du ruisseau. En effet, il y avait quelque chose d’anormal dans le cours d’eau. Ils décidèrent de suivre le courant du ruisseau à contre sens pour voir ce qui aurait bien pu laisser cette trace dans l’eau. Une demi-heure plus tard, ils n’avaient encore rien trouvé d’inhabituel.

- Tu as sûrement rêvé! annonça Iwashi. Ça fait déjà une demi-heure que nous marchons, et il n’y a toujours rien!
- Si c’est le cas, alors nous sommes deux à avoir rêvé, déclara Kotetsu.

Ses compagnons le regardèrent bouche bée. Ils arboraient un air étonné, mais amusant à voir venant d’eux!

- Oui, moi aussi je l’ai vu. Seulement, c’était hier, au crépuscule. Je m’étais dit la même chose « Tu es en train de rêver, mon vieux! ». Mais apparemment, je ne suis pas le seul à voir des choses bizarres…
- Venez ici un instant! cria Izumo qui s’était éloigné durant le monologue de son ami.
- Quoi? Qu’est-ce qu’il y a? demandèrent en chœur Kotetsu et Iwashi en se précipitant vers leur compagnon.
- Ce… ce n’ai… pas n’importe quel…
- Allez, dit-le! Insistèrent ses deux coéquipiers.
- Ce n’ai pas n’importe quel trace rouge… c’est du sang!
- Quoi?! S’étonna Kotetsu.
- Si c’est du sang, peut-être qu’un animal s’est blessé et qu’il a passé par la rivière... On a perdu une heure pour ça! grogna Iwashi.
- Non, si ça avait été un animal, le sang se serait dissipé il y a longtemps. Et de toute façon, on est en fin d’hiver, les animaux qui habitent notre région hiberne en ce moment de l’année… c’est autre chose…
- Si c’est autre chose, Izumo, il est mort! Sans doute que…
- Moi je ne crois pas qu’il soit mort, trancha Kotetsu.
- Il n’y a qu’un moyen de le savoir : allons voir de nos propres yeux, proposa Izumo.
- Alors moi je ne vous suis pas, car on va être en retard!
- Seulement, tu n’as pas le choix de nous suivre. Selon le code des ninjas, s’il y a la majorité de l’équipe qui vote pour un plan ou une situation, tout le monde doit suivre, dit Kotetsu en lui montrant le livre concerné.
- Hm… c’est bon, je vous suis! Mais on se grouille, compris!? reprit Iwashi tout en les suivant.

Ils reprirent leur route, comme tout à l’heure.

Pendant ce temps au village

En entrant dans le bureau du Hokage :

- Sarutobi-sama, vous vouliez nous voir?
- Oui. Merci d’être venu aussi rapidement.
- Qu’y a-t-il?
- Je vous mets en charge de retrouver l’équipe d’élite ayant à sa tête Kotetsu.
- Quoi? Ils ne sont toujours pas revenus?
- Non. Et de plus, ils étaient partis recueillir des informations sur le village voisin. Si ces sources tombaient dans les mains de l’Akatsuki ou d’un autre ennemi, il y aurait graves conséquences… Vous devez revenir dans maximum 24 heures. Si vous ne les avez pas trouvés passé ce délai, nous enverrons des renforts. Nous ne pouvons pas nous permettre de perdre une équipe d’élite dans ces conditions! dit le vieil homme assit dans son fauteuil derrière son bureau.
- Compris!

La recherche de l’équipe d’élite

- Eh! Kotetsu, Izumo! Venez ici, je crois que j’ai quelque chose!

En effet, Iwashi avait bel et bien trouvé une piste… du sang, comme prévu. Il y avait une longue trace et des empruntes de pas sur le bord du ruisseau. C’était donc un humain qui avait perdu autant de sang?

- Grâce à cette trace, on va pouvoir en savoir plus sur ce qui s’est passé, assura Kotetsu.
- Oui, mais regarde, dit Izumo en pointant les traces de pas qui se trouvaient près du sang. On ne dirait pas que cette personne se soit déplacée par elle-même… quelqu’un lui aurait plutôt aidé, ou même, carrément traîné!
- Raison de plus pour y aller en vitesse! dit Iwashi.
- Toi qui ne voulais même pas venir au début, je te trouve pressé tout d’un coup? remarqua Kotetsu.
- Il a raison de vouloir se dépêcher, car si on prend trop de temps, elle va mourir au bout de son sang. Aller, venez!

Après seulement quelques secondes de course…

- J’ai quelque chose, les gars!

Kotetsu et Iwashi arrivèrent près d’Izumo.

- Mais c’est…
- Une jeune fille!?

Ils se précipitèrent tous sur elle. Malheureusement, à quelques mètres de là, un énorme oiseau se mit en travers de leur chemin. Le volatile portait à son cou un pendentif bleu comme la mer étrange. Puis tout d’un coup, l’oiseau émit un cri long et incessant. Il était tellement fort qu’on l’entendait sûrement à des dizaines de kilomètres à la ronde. L’étrange créature regarda ensuite la jeune fille étendue par terre, et alla se coucher tout près, « surement pour la réchauffer et la protéger » pensèrent les trois hommes, toujours immobiles. Izumo vint pour s’en approcher, mais une lumière aveuglante sortit du pendentif bleu de l’oiseau et, en un clin d’œil, un énorme bouclier se forma autour de la créature et ainsi de l’adolescente. Le jeune homme qui s’était approché se fit projeter à 8 mètres de l’endroit où il se trouvait auparavant.

- Impossible de s’en approcher tant et aussi longtemps que l’oiseau n’est pas maîtrisé, affirma Izumo en se relevant.
- Moi j’ai une idée, dit Iwashi, sortant un kunai de son étui.
- Non mais t’es malade! hurla Izumo en lui retirant son arme de la main. Il nous faut simplement sa confiance!
- Et comment tu crois l’avoir? dit Kotetsu. Allez, explique!
- J’n’en sais rien, moi! Parlons-lui, ça le détendra peut-être. Du moins je l’espère…
- Pourquoi veux-tu qu’il se détende? interrogea Iwashi.
- Pour une raison très simple qu’il ne nous connaît pas! Et cette fille semble apparemment en être son maître, alors comment compte tu t’y prendre pour lui expliquer que nous avons tué son oiseau pour la sauver? Il a dû se passer un combat féroce pour qu’elle perde autant de sang! Cet oiseau est sûrement très inquiet et je ne tiens pas à l’effrayer d’avantage!
- Je suis d’accord avec toi pour dire que cette jeune fille est son maître, mais si elle meurt au bout de son sang le temps qu’on obtient la confiance de ce volatile, elle ne le sera plus! Réfléchi un peu, Izumo! C’est sa vie qui est en jeu, fulmina Iwashi.
- Laisses-moi quelques minutes, au moins!

Tous ces cris avait fini par énerver la créature en question. Elle poussa alors derechef son hurlement féroce, mais cette fois il fut amplifié. Les trois ninjas se bouchèrent les oreilles sur le coup, car sans ça le beuglement produit par l’oiseau couché tout près de l’enfant aurait surement défoncé les tympans de ces pauvres malheureux.

- S’il vous plait, dit Izumo plus calmement en regardant ses deux compagnons.
- … fais ce qui te chante, mais je ne sais toujours pas comment tu vas t’y prendre pour lui parler sans qu’il ne te tue.
- Laissez-moi faire, d’accord?
- D’accord, s’entendirent les deux hommes avant de pousser chacun un soupir las.

Le ninja de Konoha se tourna ensuite face à l’animal, qui lui, en revanche, ne lui prêta pas attention.

- Enfin… j’ignore comment tu t’appelles, mais je vais essayer de faire de mon mieux...

En entendant ces paroles, le volatile regarda Izumo d’un air meurtrier, se leva et s’approcha dangereusement du shinobi. Izumo recula de quelques pas et ses compagnons en firent de même. Sans trop savoir quoi faire, il se dépêcha de continuer calmement :

- Aller, petit… en-enfin vu les c-c-conditions… mon grand… on ne veut pas te-te faire de mal, au contraire, on veut seul… seulement t’aider… toi et… toi et ta maîtresse, murmura à voix haute Izumo.

Il avait dit ces mots en tremblant comme une feuille dans une petite tornade d’automne. Bizarrement, l’oiseau sembla apaisé. On dirait, qu’il avait étrangement compris ce qu’Izumo venait de lui dire. Mais il gardait tout de même ses précautions en les empêchant de faire un pas de plus vers la jeune fille. Le volatile ne les connaissait pas, et il n’avait pas du tout l’intention de les laisser avancer vers lui et sa maîtresse.

- Tu vois, il ne t’écoute pas, répliqua Kotetsu.
- Pas le moins du monde, même! ajouta Iwashi.
- ARGH! Laisser-moi faire, vous deux! Je ne vous laisserez pas lui toucher, ça vous pouvez me croire!
- Mouais, c’est ça… soupirèrent-ils en chœur. On va voir si tu vas tenir les mêmes propos dans 5 minutes.




Bah voila! Je sais que ce chapitre n'est pas très long, comme vous avez pu le constater, mais je voulais savoir tout d'abord s'il y avait du monde qui l'aimait avant de la continuer pour rien... ^^ Alors, si vous voulez savoir la suite, envoyer moi un mp ou laissez moi un commentaire qui le mentionne! Même si ça devrait être pour une seule personne, je la poursuiverais tout de meme, car j'adore ça!

Alors faites le paraître!
Zaza.




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