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Fiction: Dear Deidara

Il est recherché dans le monde entier.Il a 19 ans.Il est amoureux.Il est maladroit.Il est très artistique. Il n'arrive que des malheurs à Deidara, je vous raconte ses histoires mais aussi ses vacances, ses combats et plein d'autres choses
Spoil | Général | Mots: 11274 | Comments: 15 | Favs: 32
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PrincessBuki (Féminin), le 11/12/2009
Alors

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Chapitre 7: Je t'aime, toi, toi, et seulement toi... Tu me manques



Dear Deidara 7 :

Dear Deidara

I love you, and only you.



Buki resta bouche bée devant ce que lui disait le docteur en médecine.

Elle se leva, agrippa la veste du médecin et déclara, visiblement vexée, en haussant le ton : « C’est impossible ! Cessez immédiatement ces plaisanteries futiles, Deidara n’est pas mort !
C’est débile !

La jeune femme était regardée de haut par Elukauge, puisqu’il faisait 3 têtes de plus qu’elles, mais son regard était tel que rien ni personne ne pourrait la calmer. Du moins c’est-ce qu’elle pensait… 
- Recouchez-vous… Maintenant, votre enfant et votre mari sont morts, et c‘est vous qui les avez tués »

Répéter cela, fit sortir la demoiselle de ses gonds. Buki lança un coup de poing empli de rage à l’homme, qui l’arrêta et lui donna un coup de pied dans les tibias qui la déséquilibra, elle tomba et reprit un coup du même type dans la figure, qui la propulsa violemment contre le mur. Ce mec, ce n’était pas un simple docteur…
« Jetez-moi cette meurtrière en prison ! »
Elle s’évanouit, contre le mur, tout en pensant
*Je me… je m’sens si faible…si mal*
Elle se réveilla, plus tard, ne sachant combien, d’heures, de minutes et de secondes d’étaient écoulées depuis sa petite entrevue avec le chirurgien.
Elle était attachée de toutes parts, seules, quelques bougies éclairaient tout cela, les dalles sous ses jambes étaient glaciales, et quelques rats semblaient batailler dans un coin, tel un cauchemar.
Oui, c’était bien un cauchemar…
* Je vous en supplie, sortez moi de là, que s’est-il passé je veux savoir…*
Elle étouffa quelques sanglots.
« Gr…Granbe-sœur, où…Où êtes-bous…Bous, bes a…Amis 
- La ferme ! Un gardien avait crié haut et fort 
La jeune fille continua de pleurer
- Beiba…Beibara… BEIDARA… »
Les larmes ruisselaient sur le visage de la demoiselle, elle continuait de pleurer bruyamment, hurlant les noms des êtres aimés…

Le gardien, au bout d’un moment, excédé de cette pleurnicharde,
Entra dans la cellule, pointant une énorme lance, entre les deux yeux de la jeune femme.

« La ferme »

Elle baissa les yeux et dans un dernier recours, le regarda lui dans les yeux, se disant que c’était son dernier recours.
Elle avait déjà caché, ses mains et composé les signes.

« Yuegan »

L’homme tomba à terre, avec la lance, qui râpa tout de même le minois de la jeune femme, elle avait une longue coupure sur la joue.
Avec habileté, la jeune femme de quelques coups de doigts de pieds, rapprocha les clés et pu se défaire de ses chaînes.
Elle se métamorphosa en gardien et prit les habits de celui-ci.
Ouvrant prudemment la porte, elle décela une issue et se mit à courir, échapper à l’enfer qu’elle vivait, trouver ce qui s’était passé auparavant.
Fuyant vers la sortie, ayant retrouvé son apparence normale, Buki grimpait quatre à quatre chaque cages d’escalier qui se présentait, elle remarqua alors dans sa course, que toutes les autres cellules étaient vides. Enfin à l’embranchement d’un couloir, la jeune fille vit quelques rayons de lumière.
Tout heureuse elle se présenta devant, quand … Cette luminosité venait d’une porte, excitée, elle la claqua de toutes ses forces et se jeta dans la pièce. Une centaine de gardiens lui barrèrent la route. Elle était entrée dans le bureau des gardiens, ayant cru voir le soleil, elle avait vu une simple lampe. C’était incompréhensible, elle devait être seule dans cette prison et eux, ils étaient plus d’une centaine pour la garder prisonnière.
Folle de rage, elle fonça sur eux, se battant avec toute la rage possible en ce monde.

Elle prit des lames dans les bras, les jambes, mais se débattit jusqu’à la fin, il devait rester une quarantaine de soldats, elle n’en pouvait plus, il faisait un froid incroyable, Buki se sentait faible, mal, elle s’écroula à terre, les gardiens reculèrent, la jeune femme remarqua, quand chacun d’eux enleva sa casquette, qu’ils avaient tous le même visage, tels des clones, elle eut un énorme frisson, mis appart son grelottement incessant, quand elle reconnut ce visage, celui d’Elukauge, un des clones leva alors sa faux, et la jeune femme crut pendant un bref instant entrevoir une tête de mort à la place du visage.
Buki Tendo ferma les yeux : un froid polaire s’installait au plus profond de ses entrailles, elle se sentait vide et profondément blessée.
Elle sentit alors la lame lui pénétrer lentement dans le dos, gelant ce qui lui restait d’espoir, quand soudain, une brève vague de chaleur apparut et elle eut un spasme.
Puis sentant toute proche d’un long sommeil, une deuxième vague de chaleur corporelle la fit se contorsionner.
Tout redevint alors noir et froid.

Puis soudainement, une chaleur douce et merveilleuse l’emporta,
Une odeur de chocolat et d’agrumes avait pris place, tout était mou, doux, chaud et agréable, elle se sentait transportée, un air lointain de piano romantique retentissait, elle ouvrit les yeux, un monde fantastique se montrait à elle, allongée sur quelque chose de moelleux, et de ceci naissait des bulles, qui montaient, montaient, et dégringolaient ensuite pour se transformer en petites lucioles ou grains brillants de couleurs comme un rose pâle, un doux orangé ou un bleu translucide superbe, au dessus d’elle, un ravissant crépuscule s’exhibait, empli de lumières, qui provenaient surement d’astres tout aussi fantasmagoriques, également, deux planètes scintillaient, elles semblaient tellement proches, que Buki croyait qu’elle aurait pu les toucher, une cascade semblait tinter au loin, et à côté d’elle, elle aurait juré avoir entendu ce saule pleureur aux formes compliquées lui adresser quelques mots doux, la demoiselle aux cheveux noirs, blessée d’être passée d’un extrême à l’autre, était en ce moment même plongée dans le plus profond et le plus sublime rêve qu’elle n’avait jamais fait…
La jeune femme entendit alors des voix, au début un tout petit semblant, puis progressivement, ces voix devinrent plus fortes, elles hurlaient…

Elles hurlaient son nom.

« Buki ! Hé Buki réveille-toi ! Buki ! »

Les triplés avaient trouvé Buki hurlant, et se tordant de douleur, pourtant inconsciente, aux premiers rayons du soleil…
Il était pratiquement onze heures et quart, la jeune fille avait été ramenée et allongée sur le lit, Yudai avait été rapatrié de force, mais le médecin ne trouvait toujours pas la raison de cet évanouissement soudain.

Mademoiselle était en plein rêve, elle ne voulait plus s’éveiller, ne plus sortir de ce monde qu’elle commençait dors et déjà à explorer par l’intermédiaire de tout ses sens.
Jusqu’à ce que Neidara relâche le chakra qu’il déversait en elle afin de briser le jutsu.

POUF

Elle ouvrit les yeux, avec une simplicité affligeante.

Suzuka avait la main en l’air, Deidara un sceau d’eau dans les mains, et Yudai, Nei et Kei regardaient la jeune fille avec des yeux ronds.
Quelques minutes de plus et elle aurait pris la douche et quelques gifles exprimant un désir de « réveil forcé ».

« Salut ? Commença-t-elle
* J’ai comme l’impression d’avoir traversé un long fleuve dont je n’aurais aucun souvenir*
Deidara colla son nez au sien et lui hurla
- COMMENT ! COMMENT TU AS PU M’FAIRE…
- Qu’est-ce que j’t’aie encore fait ?
* Oui, que s’est-il passé ? Je ne le sais pas, ou je ne le sais plus ?*
Il la serra fort dans ses bras.
- J’étais inquiet souffla-t-il plongeant ses yeux bleus dans les siens
Elle sourit, et posa sa tête sur les épaules de son mari.

Tout à coup…

Tout ce qu’elle avait vécu lui traversa la tête, elle sanglota, puis se mit à pleurer à chaudes larmes.
- Mais…Bouhou…*renifle bruyamment* je pète bouhoubou… La forme, elle le serra encore plus fort.
Elukauge, le froid, la prison, les meurtres… Tout revenait tel un pendule.
- Mais qu’Est-ce qui t’as fait ça ? Buki ?
Suzuka s’était penchée.
La jeune femme se remémora par la suite le monde fantasmagorique qu’elle avait traversé, elle se dit qu’il fallait plutôt cacher ses rêves et cauchemars.
Buki la regarda, essuya les grosses larmes et dit le plus innocemment possible.

- Si je vous dis *elle renifla très bruyamment* une dinde et un miroir, vous * elle éternue et s’essuie avec le revers de manche de Keidara*
-Hé …Beurk… Souffla-t-il
- vous allez me taper dessus ? » Elle afficha un grand sourire un peu débile.




GROS BLANC



« Alors qu’Est-ce qu’on fait de ce vélo ?
Yudai avait brisé le long silence.
Tout le monde le regarda, et parvint à la même conclusion.


Où est-ce qu’il a vu un vélo lui ?



- Nan, nan c’était juste pour dire quelque chose…
Neidara se pencha également et demanda :
- Tu veux quelque chose Onee-san ? Un verre d’eau ? Manger quelque chose ?
Buki le regarda, et dit avec un rictus.
- J’accepte tout ce qui ne sort pas du frigo, qui n’est pas de la glace vanille pêche, des cornichons ou bien de la dinde … »

Et elle éclata de rire toute seule.


Vers le coup de midi, ils mangèrent tous ensembles et puis les garçons commencèrent le service qu’ils auraient du commencer le matin, Suzuka rentra à Iwa, Yudai, à sa maison, quelque part.
Tout comme Deidara et Buki rentrèrent chez eux.

Il est 14 heures 43 minutes, le ciel bleu brille.
Deidara, un marteau à la main, des planches, des clous, sont sur le toit.
La radio disait qu’une tempête n’allait pas tarder de pointer le bout de son nez, alors par précaution, Dei renforce le toit.
Buki ouvrit alors la fenêtre, et monta sur le toit, elle tendit une bouteille de limonade au jeune homme : « T’as soif ?
Le blond secoua la tête en signe d’approbation.
Il bu à pleines gorgées.
Buki, elle regardait les nuages.
Puis il posa sa main sur le ventre de la distraite.
-tu crois que ce sera quoi ?
Elle sourit et dit.
- Oh, tu sais quoi même si c’était des triplés, je serai follement heureuse…Non ?
-Si, si… »

Il s’arrêta de parler et se remit au travail.
Buki allait passer par la fenêtre lorsqu’elle se stoppa :
« Hé Deidara !
- Quoi ?
- Je t’aime
- Moi aussi, je t’aime »






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