Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Origami, l'art du papier plié

U.A Naruto, jeune homme d'une vingtaine d'années, se retrouve par erreur dans une boutique étrange ayant pour nom : Origami, l'art du papier plié. Après avoir cassé une théière et libéré un démon, le jeune homme doit travailler au magasin pour rembourser le coût de l'objet. Sa patronne est aussi étrange que sa boutique ; habituée au Kiseru et aux fêtes mondaines, et aux relations plus que suspect, la charmante demoiselle va lui en faire voir de toutes les couleurs.
Classé: -12D | Spoil | Romance | Mots: 1288 | Comments: 7 | Favs: 9
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Minsky (Féminin), le 15/12/2008
Histoire dont je me suis inspiré de xxxHolic. Une fic que j'aime beaucoup, car l'univers me plaît énormément. Enfin après c'est vous qui voyez ^^



Chapitre 1: Le jour qu'il va regretter



Origami, l’art du papier plié



Chapitre 1 : Le jour qu’il va regretter :



C’était une belle journée, il faisait chaud mais pas d’une chaleur étouffante, de canicule où l’on maudit le Dieu Soleil Rê à chaque fois que l’on doit quitter son air climatisé pour celui brulant de l’extérieur, qui nous écrase et nous fait fondre.
Non c’était un temps ensoleillé qui annonçait une bonne journée. Naruto en était persuadé, c’était son jour de chance ; le temps était au beau fixe et son meilleur ami, Sasuke Uchiwa, revenait ce soir de Londres, où il avait été faire ses études. De quoi rendre heureux n’importe qui, cependant, les journées qui commencent très bien peuvent finir mal, très mal. Pour le malheur de l’Uzumaki, c’était un jour comme ça, et il se baladait tranquillement, sans savoir qu’il regretterait bientôt de s’être levé ce matin.
Lorsque le jeune homme arriva près d’un parc, ses jambes accélérèrent, le guidant indépendamment de sa volonté à travers la ville. Le blond ne comprenant pas se qui lui arrivait, commença à paniquer. Il ne parvenait plus à contrôler ses mouvements, ses jambes semblaient possédées.
Après une bonne demi-heure de course, ses membres inférieurs mobiles, se stoppèrent enfin devant une maison traditionnelle japonaise. Une insigne accrochée au mur indiquait : Origami, l’art du papier plié. La maison était immense, entourée d’un grand jardin vert et d’un engawa (sol en bois qui court tout autour des demeures japonaises); le toit était noir et les murs blancs.
Il n’eut pas le temps de se demander pourquoi il était là et que faisait une telle habitation au milieu de gratte-ciels ultramodernes, que les shoji (portes en papiers de riz) coulissèrent. Ses jambes se remirent en marches et le précipitèrent à l’intérieur. Il arriva dans une vaste pièce tapissée de tatamis, ces jambes cessèrent de marcher.

« Regardez qui nous avons là mes chéries »

Naruto regarda devant lui pour voir son interlocutrice. Elle était affalée sur un canapé rouge, assises à côté d’elle se tenait deux jeunes filles, l’une d’elle avait un kimono mauve, des cheveux blonds et des yeux bleus ; l’autre avait un kimono rose, des cheveux dans le même coloris et les plus beaux yeux verts du monde. À leurs pieds, deux énormes chiens blancs dormaient paisiblement, se faisaient caresser par les jeunes filles.
Celle qui avait parlé, semblait la plus âgée. Elle portait négligemment un kimono jaune parsemé de papillons de différentes couleurs, ses cheveux bruns étaient noués en chignons maintenus par deux rubans dorés. Elle fixait de ses yeux marrons le nouvel arrivant d’un regard hypnotique tout en fumant le kiseru (pipe japonaise, à manche long et fin, et à la bouche plus petite).
Elle se leva en retirant le manche de sa bouche, soufflant un nuage de fumée, et remettant un pan tombant de son vêtement.

« Euh, excusez-moi, commença le jeune blond, je n’avais pas l’intention d’entrer chez vous mais il m’est arrivé une chose bizarre et…
- Rien n’arrive au hasard, répondit la jeune femme en tirant une bouffée de fumée, si vous êtes ici ce n’est pas sans raisons. Vous deviez venir dans ma boutique.
- Comment ça ?
- Vous le découvrirait tôt ou tard, fit-elle d’un sourire énigmatique, en attendant de trouver la raison de votre venue voulez-vous boire un thé ?
- Je veux bien merci.
- Sakura, Ino, allez préparez le thé, nous le boirons dans le salon.
- Haï, dirent les deux filles en se levant.
- Suivez-moi jeune homme, ordonna la femme. »

Naruto s’exécuta, et partit à sa suite dans une salle remplit d’objets étranges, où en son milieu se dressait une petite table basse. Il flottait dans l’air une odeur d’encens. La brune lui fit signe de s’assoir en face d’elle. En attendant son thé, il observa la pièce plus longuement. Au plafond pendaient des lanternes de couleurs variées, sur les murs étaient accrochées des estampes, les étagères et les commodes, débordaient de babioles diverses. Enfin Sakura et Ino apportèrent un plateau où se trouvaient des tasses de porcelaines bleus et une théière couleur sable, avec inscrit dessus l’idéogramme de l’amour. La maîtresse de maison s’empara de la théière et versa avec délicatesse et grâce le liquide dans les tasses.

« Dîtes-moi qu’est-ce qu’une maison dans ce genre fait dans le quartier ?, demanda le blond en portant à ses lèvres le récipient fumant.
- Je n’aime pas tout ce qui est moderne, et si je suis ici c’est parce que j’ai toujours été attirée par le quartier.
- Ah d’accord, et pourquoi y a-t-il une enseigne ?
- C’est parce que c’est une boutique.
- Vous vendez des Origamis ?
- Non, rit l’hôte, c’est juste le nom, je vends mon aide.
- Votre aide ?, demanda-t-il pas vraiment convaincu.
- Exactement.
- Mais pourquoi ça s’appelle Origami alors ?
- L’homme est comme un origami, il nait feuille blanche puis prend forme au cours de sa vie et au fil des épreuves qu’il traverse. Et comme l’origami, l’homme peut changer radicalement de forme. Enfin je ne pense pas que tu es ici pour faire du papier plié. En quoi puis-je t’aider et d’abord quel est ton nom ?
- Je m’appelle Naruto Uzumaki, et je n’ai pas besoin de votre aide, je suis là par erreur.
- En es tu sûr ?
- Oui madame. Et au fait comment vous appelez vous ?
- Premièrement c’est mademoiselle, enfin feux mes parents m’ont prénommés Tenten. »

Naruto bu une gorgée de thé et regarda Tenten. Elle était vraiment mystérieuse avec ses yeux qui vous dévisageaient de façon étrange et son sourire qu’elle affichait en permanence. Elle se foutait de lui avec son histoire de boutique et d’origamis ? Il n’avait qu’une hâte, quitter cet endroit plus que bizarre et ne plus revoir cette folle.
Ayant finit sa tasse, le blond se leva, et voulant serrer la main à la jeune femme, avança son bras brusquement et fit tomber la théière qui se brisa au sol. Le jeune homme allait s’excuser, lorsqu’un nuage de fumée sortit de l’objet en miettes. Le nuage prit peu à peu forme humaine devant les yeux ébahis de Naruto. Devant lui se tenait désormais, un homme aux cheveux roux, aux yeux cernés de noir, une gourde dans le dos et l’idéogramme de l’amour tatoué sur le front.

« Merci de m’avoir délivré, dit-il d’un ton calme au jeune blond, Tenten-sama je sors, je reviens dans quelques années »

Puis il s’évapora dans un tourbillon de sable. Le jeune homme resta la bouche grande ouverte. Qu’est-ce que c’était ce truc ?!

« Bravo tu peux être fier de toi !, gronda Tenten, Tu as libéré Gaara !
- Qui ?
- Gaara, c’est le réceptacle de Shukaku, l’esprit du sable et le démon à une queue. Une fois lâché dans la nature, je ne sais pas de quoi il est capable.
- Je suis vraiment désolé. Comment pourrais-je réparer mon erreur ?
- Il faut que tu le retrouve et que tu me le ramènes, je me chargerais de l’enfermer. Seulement il ne peut être scellé que dans une théière comme celle-ci, et tu n’imagine pas le prix qu’elle coûte. Je peux m’en procurer une mais tu devras rembourser les frais en travaillant ici.
- D’accord j’accepte. Mais comment allons nous le retrouver ?
- Pour l’instant je ne peux pas ressentir sa présence vu qu’il vient à peine de sortir, il est donc affaibli, mais d’ici demain il aura de nouveau sa force originelle. Et à partir du moment où il aura retrouver ses pouvoirs nous pourrons l’enfermer. Viens demain à l’aube et ne fais pas faux bond !
- Bien je serai là. »








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The Minsky’s stories :

Une histoire qui me tenait à cœur et que j’aime beaucoup. J’espère qu’elle fera plusieurs chapitres, mais je sais pas trop quand je publierai la suite sûrement la semaine prochaine vu que ce sera les vacances.

Une petite annonce une deuxième longue fic devrai bientôt démarrer.

Enfin bon bref, je vous laisse.

N’oubliez pas de donner votre avis, de me signaler les fautes, etc.

Merci d’avoir lu


*Minsky*





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