Fiction: La Quête du Pouvoir - Les Chroniques d'Hyuuga Hinaru

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Bataille à Konoha (Troisième Partie) :

La douce fraicheur de la nuit laissait place à la chaleur matinale imposée par l’astre lumineux qui s’élevait, toujours de plus en plus, dans le ciel éclatant de Konoha. La fumée des combats se mélangeaient à cette clarté, laissant apparaitre ce brouillard belliqueux. La silhouette de Naruto, marchant de pied ferme vers l’armée de Mizu, se dessinait au loin, l’épée trainant volontairement sur le sol. Torse nu, le corps accablé de multiples cicatrices, il s’avançait tout en libérant le chakra de son fidèle serviteur insoumis.

Les soldats de Kiri ne comprenaient pas. En effet, Naruto, après avoir vaillamment mis en déroute les mercenaires lors du Massacre de Kiri, avait reçu la Médaille de l’Honneur, titre honorifique qui valait plus qu’un simple grade de Général. Grand atout des forces de l’Eau, l’Uzumaki était devenu un modèle à suivre depuis ce jour funeste. L’avoir comme ennemi était vraiment la pire chose que l’Eau pouvait souhaiter.

Hashuro, voyant la peur qui commençait à s’imposer dans les rangs de son armée, prit, encore une fois, les devants. Il chargea son ancien allié, son épée en main, après avoir donné l’ordre de s’occuper du reste des résistants du Feu. Naruto, voyant Hashuro se précipiter vers lui, plaqua son épée devant lui, attendant le choc, tout en continuant d’avancer. Ses yeux changèrent de couleur en un battement de cils. L’œil félin de Kyuubi, ce rouge sang qui lui valait une certaine renommé dans le monde Shinobi.


- Prêt à honorer ton pacte ? Petit ! fit une voix sombre.
- … C’est parti, Kyuubi-sama.


Alors que Hashuro n’était plus qu’à quelques centimètres du visage de l’Uzumaki, ce dernier explosa son chakra, repoussant violement son ennemi qui s’encastra dans le sol, plusieurs centaines de mètres plus loin. La vague de choc était si puissante que toutes les personnes situées dans un rayon de cinq cents mètres tombèrent sous le souffle impressionnant. Une énorme boule de chakra opaque cachait l’hôte du démon Renard avant d’être absorbée, laissant place à une toute autre personne…


- Enfin… te revoilà… Kyuubi ! Marmonna Hashuro en se relevant.


En effet, l’homme qui se tenait devant lui n’était plus le même, bien qu’il ait gardé l’apparence du blond. Ses yeux avaient disparu pour laisser apparaître une aura rouge qui s’échappait doucement de ses globes oculaires, les trois moustaches plus encrées ainsi qu’une chevelure plus rouquine. Il était vêtu d’une tunique noire qui lui descendait jusqu' aux pieds, flottant à l’arrière grâce aux caresses du vent. Le regard vide et pourtant un sourire sadique sur le visage.

Kyuubi planta l’épée dans le sol avant de s’étirer longuement, se massant l’arrière de la nuque avec satisfaction. Il avait attendu ce moment depuis si longtemps. Ce pacte enfin honoré. La liberté après trente années de cellule. Ce dernier rugit de plaisir, ce en qui surprit plus d’un. Au même moment, Hinaru profita de ce moment pour enfin relâcher son attaque sur la première ligne. Le Rasenbyakugan s’enfonça dans le sol et, de ce fait, balaya les jambes des soldats de l’Eau, telles des lames de rasoirs aiguisées.


- Objectif 1 : Fait ! ricana la blonde avant de s’élancer dans les airs.
- Je rêve ou Naruto et Hinaru nous montrent un instant de courage ? lâcha un Shikamaru blasé.
- Ce n’est plus Naruto…
- Quoi ?! Que veux-tu dire ? Demanda Chôji en se retournant vers Hinata.
- Je veux dire que ce n’est plus Naruto. Ce « gars » que vous voyez, c’est Kyuubi, le Démon-Renard. Répondit-elle froidement.
- Impossible, à chaque fois que Kyuubi se manifestait, Naruto se transformait en pseudo-renard ridiculement puissant… Fit Shikamaru.
- Ce n’est plus son chakra. J’en déduis que c’est celui de Kyuubi. Pour ce qui est de sa « forme humaine » je ne sais pas trop comment l’expliquer, à croire que Naruto avait prévu cela depuis bien longtemps…
- Une sorte… de pacte ? Demanda Chôji.
- J’espère pas… Les pactes entre l’hôte et le Démon sont toujours des attrapes-couillons. Si c’est le cas, il faudra peut-être envisager un possible retournement de veste de Nar… pardon Kyuubi… expliqua le Génie de Konoha.




Pendant ce temps, Kyuubi et Hashuro s’adonnaient à un duel de Kenjutsu céleste. Le Général de l’Armée de l’Eau essaya de contrer les attaques du Renard avec peine car ce dernier le surpassait dans tous les domaines. Plus rapide, des reflexes inhumains, Kyuubi dans toute sa splendeur, et d’un coup de pied dans le creux de la hanche, Hashuro s’écrasa dans le sol, encore une fois, laissant pour preuve un énorme cratère. Kyuubi atterrit près de lui, tout en douceur, le sourire toujours sur son visage.


- En fin de compte, se battre avec une apparence humaine est plutôt… rafraîchissant, comme expérience… fit-il de sa voix sombre.
- Si tu crois pouvoir me vaincre en me mettant à terre à chaque coup de ton Taîjutsu, tu te trompes… Mon corps encaisse le choc tel un ressort. Je ne sens rien, exulta Hashuro en essuyant un filet de sang qui s’échappait de sa bouche.
- Bien ! Très bien ! Je ne pouvais espérer mieux… Ce brave petit Uzumaki m’a donné le feu vert pour ta misérable peau, alors si tu résistes aussi bien que ça, je suis tout excité à l’idée de te voir mourir à petit feu… petit ! répondit Kyuubi en accentuant sur son dernier mot.
- Kyuubi no Youku, le Démon Renard, invoqué par Uchiwa Madara en personne. Voilà un adversaire de mon niveau…
- Ne te compare pas si vite, morveux. Ta misérable peau ne vaut rien à mes yeux. Seule celle de Madara m’importe, et puis peut-être celle de Naruto. Je ne sais même pas pourquoi il a accepté de me libérer pour te battre, tu ne lui arrives même pas à la cheville.
- Je trouve que tu parles trop… POUR UN PUTAIN DE RENARD ! hurla Hashuro en plantant son épée dans le sol.


La terre se fractura de part et d’autre du point d’impact, laissant apparaître de profonds abîmes, engloutissant le paysage. Kyuubi s’éleva dans le ciel tout en préparant son attaque, son ultime attaque.


- La vérité, mon ami, c’est que ma peau t’importe beaucoup plus…




Au même moment, Hinaru semait la zizanie dans les rangs de Mizu. Malgré son jeune âge, elle rivalisait avec les meilleurs soldats de l’Eau, elle qui était la dernière de sa classe il y avait encore quelques mois. Elle profitait de sa petite taille pour se faufiler à travers les lignes ennemies. Son objectif ? Déstabiliser l’adversaire pour mieux contre-attaquer mais surtout, gagner du temps. Oh oui, gagner du temps…





---------Flashback----------

Quelques minutes auparavant...


Naruto regardait, du haut de sa colline, le destin de Konoha. La ville était sous les bombardements de Mizu : des dragons aqueux, attaque emblématique du Pays des Vagues, surgissaient de partout, noyant le paysage et les soldats du Feu qui avaient le malheur de se trouver sur leurs chemins. La lune illuminait de sa blancheur sordide le champ de bataille. On entendait des cris de désespoir, des hurlements de douleur et quelques fois, ce silence si pesant, ce silence de mort.

C’en était trop. Le blond ne pouvait plus rester les bras croisés et attendre. Il fallait agir. Malgré le fait qu’il fût un ennemi pour Konoha, mais aussi pour Kiri, Naruto descendit la colline sous les encouragements incessants de Kyuubi, pour qui l’appel du sang et de la désolation était synonyme d’enivrement et de passion.

Enfin arrivé en bas, Naruto se tapit près d’un buisson qui résistait encore au chaos des Hommes. Il était derrière les lignes de Mizu, cependant, le camp était désert. Hashuro avait déjà donné l’ordre d’attaquer la poche de résistance située quelques kilomètres plus loin. Le blond reconnut Hinata, au loin, criant à plein poumon. Sa voix, son discours, son courage, Naruto ne pouvait dissimuler son sourire. Elle avait grandi, elle n’était plus la femme qu’il avait connu. Plus sûre d’elle, un brin de folie…Une vraie Uzumaki en puissance.


- On dirait toi en femelle…
- On dit « Femme » ou « Féminine » quand il s’agit des Hommes.
- Qu’est-ce qu’on s’en fout. Rentre dans le tas, j’ai une soif de sang à attiser, grommela le Renard, visiblement vexé de se faire encore remballer.


Mais avant que le blond ne se relève, il entendit un cri à sa droite, puis un soldat de l’Eau valsa, éjecté de sa position comme si on l’avait frappé. Ce dernier se fracassa contre la colline, quelques mètres à côté du blond. Naruto regarda le corps sans vie du malheureux, un trou béant sur le torse.


- Je vois que tu maîtrises totalement ta nouvelle attaque, Hinaru… dit l’Uzumaki avant de tomber à la renverse.


En effet, la blonde s’était jetée sur son père. Elle pleurait, de joie. De nouveau réunis, bien qu’un peu mal en point, Naruto serra, à son tour, sa fille dans ses bras. Elle releva la tête avant de prononcer :


- Vite ! Il faut se dépêcher ! Maman est en train de…
- Oh ! On se calme, fit le blond en retenant sa fille par le col. Tout d’abord, qu’est-ce tu fais là ?
- Je ne vais pas rester les bras croisés alors que tout le monde se bat pour moi ! répondit-elle déterminée.
- Exact, mais ce n’est pas une raison pour jouer les héros, surtout que les chances de victoire pour Konoha sont assez minimes… Il te faut un plan !
- J’en ai un ! J’les défonce ! fit-elle en souriant, l’air confiante.
- Okay… alors il te faut un autre plan… Ecoute. Ce gars, là bas, c’est Hashuro Yamoda, et pour être franc, je ne suis même pas sûr de pouvoir le battre. Je vais l’éloigner de son armée tandis que toi, tu t’occupes des soldats. Ça te va ?!


La blonde approuva d’un hochement de tête. Naruto se releva avant de se mordre la paume de ses doigts. Puis il les plaqua sur le sceau, laissant les traces d’hémoglobine s’imprégner sur sa peau. Hinaru regarda le spectacle avec étonnement. Les traces de sang rentrèrent dans la chair avant de disparaître, comme absorbées. Naruto haletait.


- J’ai pas totalement récupéré… souffla-t-il.
- Papa ?!


Surpris, Naruto regarda sa fille. Elle l’avait appelé pour la première fois « Papa ». Le blond redoutait la suite, il ne s’était toujours pas préparé malgré le fait qu’il y pensait nuit et jour. Ils se regardèrent longtemps, bercés par les cris des combats au loin.


- Tu l’aimes toujours ? demanda-t-elle.
- Bien sûr, quelle question… bien sûr que j’aime ma fille !
- Non, je voulais dire… Tu l’aimes toujours… Maman ?



------Fin flashback------



Cinq.

Les soldats de l’Eau, désorganisés, avaient perdu tous leurs moyens. Sans leur chef à leurs côtés, c’était la panique générale. En effet, l’armée de Mizu était une armée jeune, peu expérimentée, seuls les hauts-gradés s’y connaissaient dans l’art de la guerre. Malgré tout, les quelques lignes restantes se rassemblèrent afin de mieux frapper et Hinaru l’avait remarqué… un peu trop tard. Elle avait tellement couru n’importe où qu’elle se retrouva, en fin de compte, au milieu du camp adverse, encerclée de toute part.


- Alors, petite, on a trop tiré sur son chakra à ce que je vois ! fit un soldat avant de crier.


Quatre.


- Suiton ! Suiton Suiryuudan. Technique du Dragon d’Eau.


Le monstre aquatique d’une dizaine de mètres se dressa devant la Genin. La blonde voulu se replier mais les issues étaient bloquées, de plus, elle avait juste assez de chakra pour rester debout. Épuisée et à bout de sa souffle, elle se mit en position de défense, attendant la sentence. Le dragon se jeta sur elle, la gueule grande ouverte, prêt à l’engloutir.


Trois.


Soudain, le monstre marin heurta une barrière de chakra blanc avant de se disperser. Le soldat grinça des dents avant d’envoyer une volée de Kunais, en vain. Ce bouclier divin était vraiment impénétrable. Hinaru regarda sa mère avec admiration, elle qui n'avait encore pas totalement récupéré du coup de poing magistral d’Hashuro. La brune arrêta son attaque sous les yeux désabusés des soldats de l’Eau.


Deux.


- Hinaru, il ne faut pas trop jouer les héros ! dit-elle sans se retourner.
- Exactement ce que Papa a dit !


Hinata se retourna précipitamment sans se soucier de ses ennemis. Elle avait dit « Papa » et cette fois-ci, elle savait précisément de qui elle parlait, pas comme les autres fois où Naruto n’était encore qu’un sombre inconnu pour la blonde. Le temps semblait s’arrêter et le regard insistant de la fillette faisait tressaillir Hinata.


Un.


Allait-elle lui en vouloir ? Elle n’osait même pas imaginer. La blonde interrompit enfin le silence de mort qui régnait alors que les soldats commencèrent à lancer de nouveau leurs attaques sur les deux Hyuugas.


- Tu l’aimes toujours… Papa ?


Zéro.

…

…

…


« Oui… Il est ma vie »
Hyuuga Hinata

« Oui… Elle est ma vie »
Uzumaki Naruto


...

...

...




Dans le quartier général de Mizu, Nirui était en train de savourer sa victoire. La venue de Toa ainsi que celle d’Hitsuma avaient facilité les choses. Grâce au pouvoir de l’Ureegan, les lignes de Konoha s’étaient retranchées derrières leurs hautes murailles. La Mizukage n’attendait plus qu’une chose, rentrer dans la cité et restaurer, enfin, la grandeur du Pays des Vagues, longtemps remise en question.

Nirui était en train de lire des rapports de combats particulièrement enivrants. En effet, presque toutes les batailles, malgré leur infériorité numérique, s’étaient soldées par une victoire. Même les positions reprises par Konoha furent de nouveau sous contrôle de l’Eau. Elle esquissa un sourire malicieux avant de se servir un verre de Saké amplement mérité selon elle. Mais la venue d’un soldat qui avait débarqué en trombe dans la tente de la jeune femme la contraria dans ses plans…


- Mizukage-sama ! Nous avons un problème ! cria le soldat en s’agenouillant devant elle.
- Qu'y a-t-il ? demanda-t-elle en posant son verre pas encore vidé de son contenu.
- Le Général Yamoda ne répond pas à nos appels. Il est en retard d’une demi-heure sur le délai fixé !


Nirui resta un instant silencieuse. Ce n’était pas le genre d’Hashuro d’oublier les rapports. Elle plaqua ses mains devant elle avant de se concentrer, le soldat la regarda. Il savait parfaitement ce qu’elle faisait. En effet, une des capacités de Nirui était la possibilité de tout voir et tout entendre dans un rayon d’une dizaine de kilomètres. Elle se servait du Chakra de la Nature pour pouvoir se « déplacer ». Très utile en tant de guerre car elle avait un contrôle de tout, sur tout. Après quelques minutes de silence de cathédrale, elle ouvrit subitement les yeux. Elle était horrifiée et prit appui sur la table pour ne pas vaciller. Le soldat se leva précipitamment pour porter assistance à son Kage mais celle-ci fit un signe de la main, lui disant de ne pas bouger.


- Qu… Qu’est-ce qui se passe ? Godaime Mizukage ? demanda-t-il en craignant la réponse.


Nirui ne répondit pas et d’un pas déterminé, elle sortit de sa tente à la surprise générale de ses gardes. Elle manqua de peu de renverser un soldat qui faisait sa ronde. Puis, elle se désintégra, laissant pour seule preuve une flaque d’eau qui s’enfonçait petit à petit dans le sol terreux de la colline. Le soldat qui l’accompagnait sortit de la tente à son tour, plus calmement, et dit :


- Notre Mizukage entre en guerre. La victoire est proche, soldats de la Volonté de l’Eau !





Si près, et pourtant si loin. Elles n’étaient qu’à quelques centimètres de leurs épées et pourtant, ils ne bougeaient plus. Hinata regarda autour d’elle, un sourire sur le visage, le premier depuis des années. Elle était soulagée, libérée d’un poids qu’elle trainait derrière elle depuis plus de douze ans. Hinaru, quand à elle, était contente que ses parents soient encore sur la même longueur d’onde. Elle avait peur de les perdre à nouveau après avoir retrouver Naruto. Elle voulait une famille, heureuse, soudée et elle ne pouvait rêver mieux.


- Qu… C’est… Pourquoi j’arrive plus à bouger !! fit un soldat de l’Eau.
- J’aime pas être relégué comme personnage secondaire… répondit un homme derrière eux.


"Shikamaru" pensa l’Héritière, heureuse de voir le Nara encore apte à se battre.


- Et maintenant… Kage Kubi Shibari no jutsu. L'étreinte mortelle de l'ombre.


Les ombres se ruèrent sur les corps des soldats de Mizu, s’entrelacèrent puis, dans un craquement horrible, brisèrent la nuque de leurs captifs. L’armée entière tomba dans ce destin funeste ordonné par Shikamaru.


- Et ça, c’est pour mes soldats morts sous vos épées… enfoirés ! Ninpo ! Izanami no Hitsugi ! Technique du tombeau d’Izanami.


Les corps inertes de l’armée d’Hashuro furent engloutis par une masse noire sortie de la terre, broyant ce qu’il restait de leurs êtres avant de retomber à l’état de poussière. Hinata était quelque peu choquée par cette technique. Mais les circonstances l’expliquaient : perdre tous ces hommes, pour un général, c’était à vous démolir l’envie de vivre. Cependant, elle se demanda comment le Maître des Ombres pouvait avoir autant de pénombre.

Elle releva la tête et vit alors Chôji, dans sa taille la plus gargantuesque, cacher le soleil, donnant ainsi à son fidèle ami le pouvoir de faire ce qu’il lui chantait. Les deux compères se complétaient magistralement. Leur duo n’était pas à prendre à la légère et l’armée de Mizu en avait fait les frais. La brune aux yeux de perle sourit de gratitude avant de se retourner brusquement. On entendit une énorme explosion, encore, près des falaises qui entravaient la Zone de la Mort. En parlant de falaise, une partie s’écroula sur elle-même tellement le choc fut d’une intensité à raser un village entier. Hinaru voulait partir aider son père, mais Hinata l’en empêcha.


- Tu sais ma chérie, la seule chose que Naruto voudrait, ce que tu t’en mêles pas.
- Mais…
- Hinaru, laisse-le te protéger… Laisse-le nous protéger…

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