Fiction: La Quête du Pouvoir - Les Chroniques d'Hyuuga Hinaru

Version imprimable




Dans la salle du Haut Conseil de Konoha, les shinobis discutaient longuement suite aux dépositions de leur captif. Neji, ainsi qu’Ibiki, étaient d’accord pour décréter l’état d’alerte, de rapatrier les soldats et interrompre les missions pour se concentrer sur cette possible attaque en masse de Kimare. Mais Neji n’y croyait pas. Shikamaru resta silencieux. Cependant Kakashi lui demanda son avis. Ce dernier avoua que la meilleure solution était de se préparer au pire. Il était donc d’accord avec la suggestion de l’Hyuuga et d’Ibiki. Hinata, quant à elle, approuva la décision. Nonda, aussi. Il ne restait plus qu’une personne.


- Alors, Kaora ! Es-tu d’accord avec ce qu’il vient de se dire ? Demanda Kakashi.
- Kimare n’a jamais organisé d’attaque contre un village. Je doute qu’ils en soient capables.
- Mais les dires de Naruto semblent sincères. Kimare veut Hinaru-san, c’est leur dernier obstacle avant d’atteindre leur objectif. Ils mettront tout en œuvre pour réussir ce coup-ci.
- Kakashi-sama. J’ai longtemps travaillé avec Mizu no Kuni, et… Enfin, je sais que Kimare n’a pas de force militaire, ils agissent par deux, voire par trois quelques fois, mais pas assez pour faire plier un village. Sans Iko et Naruto-kun, leur puissance militaire en a pris un sérieux coup…
- Tu travaillais avec la Mizukage ? Demanda Hinata.
- A vrai dire, j’étais un membre des YAKU, les ANBU de Konoha si vous préférez. J’étais un lieutenant dans la compagnie 52.
- La compagnie 52 ? Ce n’est pas celle qui s’est faite exterminer pendant le Massacre de Kiri ? Fit Ibiki.
- Mon unité était en reconnaissance. Nous étions tombés dans une embuscade. J’en suis la seule survivante. Après ça, j’ai été gradée à conseillère auprès de la Mizukage et puis…
- Et puis ?
- Et puis, nous avons eu un différent et je suis partie. Fit Kaora, visiblement pressée de terminer cette discussion.


Kakashi fronça les sourcils. La petite sœur de Sakura ne leur disait pas tout. Mais bon, après tout, ce n’était pas le sujet.


- Bien. Neji !
- Oui ? Kakashi-sama ?
- Je te charge d’organiser la défense de Konoha.
- Bien, Hokage-sama.
- La séance est levée.



La salle se vidait peu à peu. Hinata resta assise. Elle se tenait la tête haute, fatiguée. La journée fut longue. Elle regardait cette Kaora. Elle ne savait même pas pourquoi elle avait sa place ici, au Haut Conseil. Elle était arrivée quelques mois avant le retour de Naruto. Kakashi lui faisait confiance. A s’en demander pourquoi. Elle se leva. Elle récupéra les papiers posés sur la table avant de prendre le chemin de la sortie. Les deux gardes placés devant ouvrirent la grande porte en saluant l’Héritière. Alors qu’elle s’apprêtait à descendre les escaliers, une voix se fit entendre :


- Hinata-sama !
- Qu’y a-t-il ? Kaora-san ? Demanda Hinata.
- Vous êtes …
- Je suis ? Dit Hinata, pressée de vouloir rentrer chez elle.
- … Je dois vous parler ! Confia-t-elle.









Cellule A52-V56 – Konohagakure No Sato


Naruto rentra dans sa cellule. Iko était en train de dormir, son livre fétiche sur son visage, entrouvert à la page… 69. Il le regarda avant de donner un violent coup de pied sur le lit en porte-à-faux. Les chaines se brisèrent et Iko se retrouva par terre. Ce dernier se réveilla en gémissant, suivi de quelques jurons.


- On se réveille ! Copain de toujours. Cria Naruto.
- J’ai la vague impression de revivre cette scène.


Naruto enleva sa veste de prisonnier. Il était torse nu, il se mordit l’index gauche violemment, assez fort pour faire couler un petit filet de sang.


- Qu’est-ce tu fais ? Demanda Iko.
- On sort d’ici.
- Et comment ?


Naruto fit glisser son index le long de son bras gauche, couvert d’un étrange tatouage. Après cette manipulation, il fit quelques mudras. Un Kunai spécial apparu dans ses mains.


- Oh ! J’ai capté ! Fit Iko en souriant.


Naruto lança le Kunai de l’autre côté de la porte de la cellule. Il demanda à Iko de le tenir, ce qu’il fit. Et en quelques secondes, les deux individus se retrouvèrent de l’autre coté. Naruto ramassa le Kunai.


- Konoha n’est pas au courant de ta technique ?
- Une grossière erreur de leur part.
- Gauche ou droite ?
- Tout droit !
- Tout droit ? Demanda Iko.
- Oodama Rasengan !


Une énorme explosion se fit entendre. Les sirènes retentirent. Une brèche de repérée dans le sous-sol trois. Des escouades de shinobis se précipitèrent vers le lieu de l’incident. Ce qu’ils virent ? Un énorme trou qui allait directement vers les escaliers d’évacuation.


- Ils vont vers les toits ! Vite, bloquez-les ! Fit un soldat.


Pendant ce temps, Naruto et Iko couraient dans les escaliers. Au diable les caméras de surveillance.


- C’est pas très discret comme évasion ! Dit Iko.
- On n’a pas le temps de se la jouer à la Splinter Cell. Arrivé sur le toit, j’enverrai le Kunai le plus loin possible. Ça nous évitera de courir à travers Konoha.
- Bonne idée, surtout que monter une centaine de marches avant n’aide pas vraiment à l’endurance…
- T’en chies ? Demanda Naruto.
- J’te ferais dire qu’il y a à peine cinq minutes, je dormais profondément ! Y a mieux comme réveil !
- Fallait pas me chercher avant.


Plus que quelques marches avant l’accès au toit. Naruto ouvrit la porte. Une magnifique vue de Konoha les attendaient. Iko s’appuya contre le mur pour reprendre son souffle tandis que Naruto lançait son Kunai de téléportation aussi fort qu’il pouvait.


- Faut attendre que le Kunai se plante pour se téléporter ? demanda Iko.
- Malheureusement, oui. Pourquoi ?
- Parce qu’on est morts dans une petite dizaine de seconde.
- Uzumaki Naruto, Arame Iko ! Rendez-vous, vous êtes cernés ! Fit un ninja.


Naruto releva la tête. Une imposante armée venait d’apparaître comme par magie. Ils étaient encerclés. Aucun moyen de fuir et le Kunai n’était toujours pas arrivé à se fixer. Il fallait gagner du temps !


- J’essaie de sauver vos fesses alors laissez-moi passer ! Fit Naruto
- Nous avons l’ordre de vous arrêter. Vous auriez dû rester sagement dans votre cellule ! Vous compliquez votre cas !
- Je me contrefous de votre ordre ! Vous courez à votre perte, là !
- Et soi-dit en passant, j’ai pas très envie de me retaper les escaliers… Soupira Iko.
- Mettez les mains bien en évidence !

*Allez, putain, accélère !!* Pensa Naruto.

- Moi, j’y retourne pas tant qu’on n’a pas une télé !
- Quoi ?!
- On s’emmerde dans vos prisons ! Bordel, on est quand même des prisonniers de prestige non ? Fit Iko en essayant de gagner du temps.
- Votre requête, vous pouvez vous la garder là où je pense ! Escouades, saisissez-les !
- Bon… bah tant pis ! J’aurais essayé. Fit Iko en levant les bras.
- Iko ! Maintenant ! Cria Naruto.


Le mercenaire sauta en direction du blond. Il s’accrocha lamentablement sur le bras gauche de Naruto, ce dernier fit un seul et unique Mudra.


- Hiraishin no jutsu.


Un nuage de fumée. Disparus. Naruto et Iko s’étaient volatilisés alors que les escouades allaient les attraper. Le commandant en chef de l’opération entra dans une rage sans précédent. Il ordonna à toutes ses équipes de passer Konoha au peigne fin. Il allait encore se faire engueuler. La fuite de ces deux prisonniers allait être sa bête noire. Les escouades se divisèrent et partirent dans tous les sens. Il fallait les retrouver !


Pendant ce temps, à quelques kilomètres de là, perché sur le flanc abrupt d’une montagne, Naruto retenait Iko, les deux étaient suspendus au dessus du vide. Le Kunai s’était planté sur une sorte de falaise et évidemment, le plus proche sol se tenait à trois cents mètres en dessous.


- Iko, bordel, arrête de remuer ! Le Kunai ne va pas tenir !
- J’te l'ai jamais dit mais… j’ai le vertige, comme mon père ! Avoua Iko.
- Dans ce cas, ne regarde pas en... !


Trop tard. Iko venait de dégueuler toutes ses entrailles à la vue du précipice.


- Bon, voyons le bon coté des choses : je suis au dessus de lui… ! Marmonna Naruto.
- On fait quoi maintenant ?! On se fait un scrabble en altitude ? Dit Iko en essuyant sa bouche avec sa manche.
- On monte, le sommet n’est pas si loin…
- Je regrette mon misérable lit de fortune de ma misérable cellule.
- Et tu vas bientôt regretter ta misérable vie quand je vais te lâcher, alors on arrête de se plaindre et active ton cul.


Iko concentra son chakra sur ses pieds. Naruto fit de même. Ils commencèrent à escalader la paroi rocheuse. Arrivé en haut, Iko s’effondra sur le sol terreux.


- Ah ! La terre ferme !!!! Exulta Iko en embrassant le sol.


Naruto scruta Konoha. Quelques cris étaient encore perceptibles mais le danger était loin.


- Va falloir retourner à Kimare et on risque d’être mal accueillis !
- Pourquoi ?
- T’es toujours pas au courant ?
- Au courant de quoi ?
- Saitora nous a bannis. Nous sommes maintenant leurs ennemis.
- Mon père m’a banni ? J’ai loupé un épisode là.
- Bon, j’ai pas le temps de te raconter en détail alors je vais la faire courte. Kimare, c’est mort.
- C’est pas un épisode que j’ai loupé, c’est carrément une saison entière…
- On m’a trahi ! Expliqua Naruto.
- Et tu m’as entrainé avec ! Parce que c’est cool de se faire niquer quand on est deux… Rétorqua Iko.
- Oui, désolé. T’étais là au mauvais moment.
- Ouais ! Ouais… J’suis toujours là au mauvais moment.
- Tu peux te barrer ! J’te retiens pas. Fit Naruto.
- Tu rigoles ! On va enfin pouvoir jouer un peu.
- J’le savais.
- Au fait !
- Quoi encore ?
- Tu comptes mettre une veste avant ? Demanda Iko.


Naruto se regarda. Il était torse-nu. Son habit de prisonnier était resté sagement dans la cellule. Il soupira. Au diable la veste, il faisait assez chaud pour rester comme ça. Iko se releva. Il enleva la poussière qui s’était accumulée sur son manteau et les quelques résidus gastriques.


- Mon royaume pour des habits propres… Fit Iko.
- On passera à Mizu avant d’aller à Kimare, en espérant qu’il ne soit pas trop tard.
- Dans ce cas, en route pour Kirigakure ! Et les filles en bikini ! Fit-il.
- Ah ouais… J’avais oublié ça…








Dans un couloir, Kaora avait raconté toute la vérité la concernant. Hinata resta muette quelques instants. Elle se demandait si elle n’allait pas lui en mettre une, mais elle contrôla ses émotions avec difficultés. Kaora vit la déception dans les yeux de l’Héritière. Elle recula légèrement, sentant les représailles.


- Je suis sincèrement désolée !
- Épargne-moi tes excuses, veux-tu…
- Je ne savais pas qu’il…
- Je m’en fiche ! Tu as eu de la chance. Heureusement que Kakashi t’ait autorisée à rester à Konoha. S’il savait ce que tu viens de me dire…
- Je ne pensais pas que ça irait si loin ! Si Nirui-sama ne m’avait pas…
- J’ai dit : Stop.
- J’ai été manipulée !
- Stop !


Kaora se tut. Elle baissa la tête, la honte s’empara d’elle. Hinata commença à descendre les marches mais avant d’atteindre la dernière, elle se retourna vers la rose.


- Naruto est tombé dans le piège de Kimare, mais toi... ! Toi ! … Être l’instrument de ce complot… Je ne sais pas comment tu fais pour encore dormir la nuit. Tâche de le retrouver avant qu’il apprenne la vérité par quelqu’un d’autre.
- Et c’est vous qui dites ça ! Vous avez menti à votre fille pendant douze ans. Fit Kaora.
- Ne mélange pas tout ! C’était pour la protéger que j’ai fait ça ! Toi, c’était pour l’argent… C’est déjà beaucoup moins glorieux. Je me demande bien ce que dirait Sakura en te voyant. Expliqua Hinata.
- Vous avez raison. Sakura me détesterait, mais…
- Mais quoi ?
- … Non rien. Fit Kaora.


Hinata regarda la rose descendre à son tour.


- Je vais voir Saitora, régler deux trois petites choses. Adieu.
- C’est Naruto que tu devrais aller voir en priorité !
- Je vais d’abord voir Saitora.
- Et pourquoi ?
- C’est quelque chose que j’aurais dû faire il y a déjà bien longtemps.
- Si tu quittes Konoha sans autorisation, Kakashi risque d’être moins clément à ton retour.
- Je ne prévois pas un éventuel retour. Au revoir, Hinata-sama.


La rose sortit du bâtiment. Hinata ne bougea pas. Elle ne savait pas si il fallait qu’elle aille tout raconter à l’Hokage, ou non, mais une chose était sûre ! Le cas Kaora est loin d’être aussi clair. Une seule question trottait encore dans la tête de l’Héritière...


*Que mijotes-tu encore ?* Pensa-t-elle.









Quelque part dans Konoha.


Hinaru ainsi que son équipe attendaient patiemment leur senseï. Une mission spéciale, de dernière minute. Sasoya et Kykio discutaient de tout et de rien, tandis qu’Hinaru restait pensive. Ses pensées étaient rivées vers son père. Elle en avait toujours rêvé mais elle était assez frustrée de ne pas avoir passé plus de temps avec lui. Naruto était exactement la personne qu’Hinaru imaginait. Un shinobi fort, beau, grand avec des techniques de malade. Le parfait modèle. Elle n’avait toujours pas montré sa nouvelle technique à sa mère, ni à ses coéquipiers d’ailleurs. Elle pensait à lui, encore et encore. Pourquoi l’avoir enfermé ? Parce que c’est un Nukenin ? Pourquoi l’a-t-il sauvée ? Elle grinça des dents. La justice de ce monde faisait vraiment abstraction de la seconde chance… Soudain, un bruit se fit entendre. Anko était arrivée.


- Ah ! Voici ma petite équipe, au complet cette fois ! Fit-elle.
- Anko-senseï ! Crièrent les Genins. Vous êtes en retard !
- Un petit problème de serpent, j’vous montre ?
- Euh, non ! Sans façon ! Dit Sasoya en déglutinant.
- Pourquoi une mission si subitement ? Demanda Kykio.
- Nous devons aller à Suna. Le Kazekage demande une équipe de Genins de Konoha pour préparer les prochains examens !
- Et c’est nous qui avons été sélectionnés. C’est cool ! Enfin on va voir du paysage, et pas de la forêt et des marécages humides ! Fit Sasoya.
- Oui… enfin du nouveau paysage. Dit Anko en regardant Hinaru.






********************Flashback******************

Anko attendait dans le grand hall du bâtiment dans lequel se tenait le Haut Conseil. Elle attendait son mari, qui, finalement, était en train d’arriver. Elle l’embrassa en prenant soin d’enlever le masque. Mais les pensées de Kakashi étaient axées vers quelque chose de plus important.

- Il faut que tu partes avec ton équipe. Immédiatement !
- Pourquoi ? Qu’est-ce qui se passe ? Demanda-t-elle.
- Kimare va sans doute revenir très bientôt. Il faut protéger Hinaru. Prends ce message et va à Suna. Tu le donneras à Gaara. Je pense qu’il comprendra !
- Et je leur dis quoi aux gamins ? Fit-elle en prenant le document.
- Invente ! N’importe quoi. Il ne faut pas qu’ils se doutent de quelque chose, surtout Hinaru.
- Okay. Tu peux compter sur moi !

******************Fin Flashback******************








Salle du trône – Kirigakure no Sato.


La Rokudaime Mizukage, Nirui Onohama, avait convoqué tout ses généraux. Ils étaient une dizaine, rassemblés dans l’immense pièce. Hishirami, l’adjoint de Nirui, distribuait l’ordre de mission tandis que la Mizukage attendait leurs réactions.


- Vous êtes sûre de vous ? Demanda un général.
- C’est un mal nécessaire ! Répondit-elle.
- Nous ne sommes pas en mesure de nous affronter à Konoha ! Notre armée est moins importante. Nous ne gagnerons pas sur le nombre !
- J’envoie les YAKU et l’armée de réserve avec !
- Et qui surveillera les frontières ? Kiri ? Le pays ?
- Assez discuté ! Je suis la Mizukage ! J’ai décidé de déclarer la guerre à un pays, j’aimerais que l’armée me soutienne un tout petit peu ! Cria-t-elle.
- On court à notre perte ! Quels sont nos atouts ? Avez-vous un plan d’attaque ? Vous avez des réponses à ces questions ? Fit un deuxième.
- Moi, j’ai plein de réponses ! Surgit une voix cachée dans l’ombre.
- Saitora ! Tu tombes bien. Dit Nirui.
- Saitora-sama !
- Messieurs, allons, du calme. Où est passé votre fierté ?
- Morte et enterrée depuis le massacre ! Avoua l’un.
- Mizu est tombé bien bas. Arrêtez de pleurer sur votre sort ! Montrez au monde entier que les soldats du Pays des Vagues ne sont pas à prendre à la légère !
- Nos effectifs totaux atteignent difficilement deux mille soldats. On en rajoute cinq cents avec les YAKU et la réserve. On comble même pas les trois quarts de Konoha, et sans leurs ANBU.
- Et ils ont un Dôjutsu ! Rajouta un général.
- Mais, nous aussi, nous avons un Dôjutsu… Remarqua Saitora.
- Quoi ?! Depuis quand ?
- Vos efforts de protéger Kimare durant toutes ces années vont être récompensés, messieurs ! Je vous présente l’Ureegan ! Fit Saitora en présentant un bocal dans lequel était enfermé le Dôjutsu.
- Il est stable ? Demanda Nirui.
- Presque, mais les résultats sont prometteurs !
- Et alors ?! En quoi cela vous nous servir ? Vous voulez greffer des « Ureegan » à toute l’armée ?
- Grand dieu, non. Nous n’avons que cinq exemplaires potables.
- Quel est son pouvoir ?
- Le pouvoir de l’Ureegan ? Il est écrit dans votre tract que vous n’avez même pas osé lire…



Les généraux s’empressèrent de regarder. Ce qu’ils virent leurs coupés le souffle.



L’ Ureegan

Stabilitié -> 70%

Stade 1 : Œil de l’Infirmité à provoquer des dysfonctionnements au niveau articulaire, des ralentissements au niveau des nerfs.
Mouvement Lent
Baisse de la rapidité

Stade 2 : Œil de la Désolation à Provoquer le vieillissement des cellules humaines, animales et végétales. La personne visée vieillit à vitesse grand V et meurt de « mort naturelle ».
Vieillissement de la personne
Mort



Saitora afficha un sourire sadique.


- Je vois à vos yeux que l’espoir est finalement revenu. Dans ce cas, réunissez l’armée. Nous partons immédiatement.


Échec et Mat.

Veuillez vous identifier ou vous inscrire:
Pseudo: Mot de Passe: