Fiction: Le vendeur de tacos...

Si vous me connaissez, vous devez aussi connaître mon humour, et ma première fic'... Mixez les deux, vous avez la description de la 2ème de mes fictions... Si vous me connaissez pas, je ne peux que vous encouragez à essayer lol ;)
Classé: -12D | Humour | Mots: 3496 | Comments: 9 | Favs: 2
Version imprimable
Aller au
stromtrooper (Masculin), le 20/12/2007
Y'a des journées bien, et des journées chiantes. Dans les journées chiantes, on sait pas quoi faire. Ce chapitre est le fruit d'une de ces journées. Merci de votre compréhension. L'ennui fait des ravages couplé aux devoirs pas faits et à l'ordinateur.



Chapitre 2: La course de la mort (tavu comment tu flippes ta maman x3)



Après une longue aventure dans la ville du coin, Strom s’était mis en tête de partir à la recherche de son tacot et s’était enfin mis en route. Nous le retrouvons sur le chemin menant à son objectif…

-« Pam pam pam pidoum doum. », chantonnait Strom, tout joyeux dans la rue de la brouette dentelée du babouin bleu.
-« Toi, là, sur le varan à rayures… », lui cria un étranger affublé d’un masque de gâteau aux pommes, juste derrière lui.
-« Hmmm ? », répondit Strom, sans se retourner.
-« J’ai entendu dire que tu roxxais ta grand-mère. Je te défie donc pour une épreuve de force. Le perdant perdra tout… y compris… la vie… »
-« Moi aussi je t’aime, bisoux. »
-« Hein ? »
-« J’ai ma mère en ligne là. »
-« … »
-« Mais pourquoi tout le monde a une ligne sans texte dedans ? Fait chier aussi. »
-« Ahaaaa ! »
-« Quoi ? »

L’étranger sortit un pancake de son sac et, en un éclair, le lança sur le visage de Strom.

-« RAHHHHH ! », hurla Strom en tombant à terre.
-« Oups, me suis trompé d’arme, autant pour moi. »
-« Me disais que ça allait pas avec la situation le texte là. »
-« Assez parlé, l’épreuve qui décidera de notre destin à chacun de nous va bientôt commencer… prépare-toi ! »
-« J’ai pas envie. »
-« Okay à plus. »
-« Ciao. »

Après ce bref incident, Strom remonta sur son fidèle varan Varan, puis se remit en route. Un ou deux centimètres plus tard…

-« Toi là, sur le varan à rayures ! », répéta l’étranger.
-« Mais putain ! »
-« J’ai oublié de te révéler mon identité… »
-« J’en ai rien à foutre à plus. »
-« Okay ciao. »

Strom remonta une troisième fois sur Varan et, quatre centimètres et une poignée de baguettes au fromage plus tard,…

-« Toi là, sur le varan à rayures ! »
-« BORDEL DE PUTAIN DE PHACOCHERE DE BABOUIN FLEURI ROSE !!! »
-« Tu connais toujours pas mon identité ! »
-« Je t’ai dit que j’en avais rien à foutre. »
-« Ok à plus. »


……….




-« Bon vas-y dis-moi qui tu es qu’on en finisse… »
-« Es-tu sûr que tu veux connaître ma VERITABLE identité ? »
-« Ne tentes pas le diable. »
-« Certes. »
-« Quoi ‘certes’ ? »
-« Que les éléments se déchaînent ! »

Soudain, le ciel s’assombri, un éclair déchira le ciel puis vint s’écraser sur l’étranger. Un tsunami sorti de nulle part suivi d’un ouragan, d’une météorite et enfin d’un volcan vinrent compléter la scène.

-« ? », dit Strom.
-« Gnah. », répliqua l’étranger.
-« Ahaaaa j’ai aussi une ligne sans rien dire ! »
-« Gnah. »
-« Ta gueule. »
-« D’accord. »
-« Tu te fous de moi ? »
-« Ouais. »
-« J’ai eu peur, j’ai cru que tu te payais ma tête. Enfin bref, t’es qui pour finir que je puisse me barrer ? »
-« Ahaaaaa, content que tu poses la question ! », rétorqua l’étranger, se relevant immédiatement.
-« Tu m’as forcé la main en même temps… »
-« Ta gueule, regarde plutôt. »

Sur ces mots, notre inconnu retira son masque de gâteau aux pommes et fixa Strom le tout-puissant droit dans les yeux…

-« Mais c’est… »
-« NIGHTWOLF**CC POUR TE SERVIR ENFLURE !!! »
-« Mais tu fous quoi là ? »
-« Je viens parier, vu que la dernière fois t’as gagné 12-0 je veux me refaire. »
-« Tu proposes quoi ? »
-« Une course de kart ! »
-« C’est vrai que des ninjas qui font du karting c’est très courant, allons-y. »
-« Chameau sans pattes dans un bol de riz ! »
-« Hein ?! »
-« Je sais toujours pas ce qu’y disent dans Xiaolin Showdown, les lecteurs sont des enfoirés et ils le disent pas dans les commentaires. »

Sur ces mots, le vieux coin pourri dans lequel se trouvaient nos deux compères se transforma en piste de karting géante. Parés à débuter la course, ils échangèrent quelques mots…

-« Comment ça ‘échangèrent quelques mots’ ? Je proteste ! », hurla Strom au désespoir.
-« ! »
-« Je vais finir par péter un câble avec cette histoire. »

Soudain, une salade volante tenant un ciseau vint se poser devant eux, et commença le compte à rebours du début de la course.

-« 3 ! », cria Night.
-« 2. », répondit Strom.
-« 1… »
-« 18 !!!! C’EST PARTI ! »

C’est ainsi que Strom et Night commencèrent cette course qui s’annonçait endiablée en démarrant sur les chapeaux de roues (humour métaphysique, roue pendant une course de karting, vous comprenez ?).



-« Tada da dada da ! », cria la salade volante.
-« Qu’est-ce ? », rétorqua Strom.
-« Qu’entends-je ? », termina Night.
-« Tu tu tu tutututututu ! », enchaîna la salade.
-« Qu’ouïs-je ? », paracheva Strom.
-« Tu pues du cul ! », gâcha Night.

Après ce bref incident totalement indépendant de la volonté de l’auteur de cette fiction, la course put réellement démarrer.

-« Je vais t’écraser ! », hurla bestialement (par ‘bestial’, il faut comprendre un miaulement de chat par exemple) Night.
-« Je me permets de protester vivement. », répondit Strom.
-« Katon : la Friteuse Infernale ! »
-« ? »

Après un rapide enchaînement de signes incantatoires, une gigantesque friteuse sortit du sol en formant un cratère juste devant Night, puis commença à être agitée de pulsations vibratoires tout en se pointant vers Strom, lequel ne put que rester ébahi devant cette technique. Malheureusement pour Night, les deux pilotes avaient déjà commencé la course, ils étaient donc en mouvement. Et, étant donné qu’une friteuse géante sortie d’un cratère ne bouge pas, elle fut vite hors de vue pour nos deux comparses, laissant ainsi Strom hors de danger et Night dans une rage bestiale (là aussi, comprendre par ‘bestial’ un couinement de phacochère enragé).

-« Cette technique m’a coûté un ballon (référence ici <-) jaune, mais je ne me laisserai pas abattre ! », cria Night à l’attention de Strom le magnifique.
-« Pour le moment, tout ce que tu as fait c’est invoquer une friteuse géante sur la ligne de départ, moi je serais un peu abattu dans les bords quand même à ta place. »
-« Ahhh, donc tu le prends comme ça ? Et bien soit, voici justement les premiers blocs-qui-tournent-sur-eux-mêmes-et-qui-donnent-des-bonus-po ! «

En effet, deux blocs multicolores tournoyant sur eux-mêmes attendaient patiemment que deux pilotes avertis (ou pas) leur roulent dessus, libérant ainsi leur puissance magique et permettant au porteur de l’utiliser (la puissance magique hein) !

-« Je suis ton père ! », dit solennellement Strom en fixant Night.
-« Mon dieu… », rétorqua Night, ébahi devant cette révélation.

Puis Night sortit un sabre-laser de sa poche (oui, Night a des poches), le lança sur Strom, ce qui eut pour effet de l’écorcher vif.

-« Non mais t’as un truc qui va pas chez toi ? », haleta Strom, tout clignotant, un ballon rouge au-dessus de sa tête (référence ici <-).
-« What’s the problem ? », cria Night.

Contre toute attente, Night sortit une bombe de sa deuxième poche (oui, Night a une deuxième poche) et la jeta sur le kart de Strom.

-« NAN MAIS T’ES CON OU QUOI ?!!! », hurla ce dernier, ayant tout juste pu éviter le bob-omb de Night.
-« On fait du kart oui ou non ? »
-« Tu vois bien qu’on regarde un DVD, vieil imbécile. »
-« Ah bon ? A quoi sert le volant ? C’est un film de réalité virtuelle, c’est ça ? On peut influer sur le contenu du film ? AHAHAHAH la technologie de fou, sa race ! »
-« Non mais ta gueule, je vois pas le rapport entre faire du kart et me lancer un sabre-laser et une bombe vivante dessus… ? »
-« On regarde plus le DVD ? »
-« … », rétorqua fièrement Strom, qui venait d’obtenir une ligne de texte sans rien dire.
-« Bon d’accord, mais je vois pas non plus le rapport entre faire du kart et me révéler ta véritable identité paternelle ? »
-« Mais t’es con, c’était une manœuvre de déstabilisation mentale, afin de gagner la course ! »
-« Oui ben comment j’étais censé le savoir moi, hein ?! »
-« Ben, t’étais rien censé savoir du tout en fait, car… »
-« HAHAHAHAHA », rétorqua Night en sautant sous les roues du kart de Strom.
-« Les couloirs tortureux qui forment l’esprit de l’auteur de ce récit me dépassent… », chuchota Strom à l’adresse de Night, qui roulait avec le kart en marche.
-« C’était une manœuvre de déstabilisation ! », répliqua celui-ci, un sourire accroché aux lèvres quand il reparut sur son kart d’origine, tout clignotant lui aussi (référence ici <-).
-« En quoi c’était censé me déstabiliser ? »
-« Ca veut dire quoi déstabiliser ? »
-« … », dit Strom, un sourire collé sur la figure.


Après ce bref incident une nouvelle fois indépendant de la volonté de votre auteur adoré, Strom le magnifique et Night la madeleine reprirent la course dans des conditions (presque) normales, approchant à grandes roues (pas grand pas, roues, y sont sur des karts, humour haha) des premiers blocs rigolos qui tournaient sur eux même. Ce fut Strom (qui d’autre ?) qui touche le premier et appuya sur la touche R (référence ici <-) pour stopper le petit compteur qui venait de s’afficher au-dessus de sa tête. Celui-ci s’arrête sur une icône de tête de phacochère (pas de référence ici <-). Strom, surpris, décida de l’utiliser : seulement, le diabolique Night venait d’obtenir son propre bloc et était tombé sur une icône vide. Il l’utilisa, ce qui eut pour effet de friser le primordial en matière de stupidité. Abasourdi, Strom mit quelques instants à reprendre ses esprits et, quand il y parvint enfin, à utiliser son phacochère portable. C’est à ce moment qu’un évènement fantastique, incroyable, titanesque, impressionnant, envoûtant, enchanteur se produisit… Non, pas la fin de la fic’…




Si j'ai honte d'avoir écrit ça? Quelle question.

Je l'ai dit au début, y'a des jours avec et des jours sans, on peut sans problème classer cette fic' comme étant le résultat d'une journée placée dans une des deux catégories.

Promis, la prochaine sera sérieuse et rédigée comme un vrai écrivain de 40 ans qui assure trop, célèbre partout toussa.




Chapitres: 1 [ 2 ] Chapitre Suivante »



Veuillez vous identifier ou vous inscrire:
Pseudo: Mot de Passe: