Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: C'est si difficile de dire adieu..

C'est si dur parfois, de rester quand ceux qu'on aime partent. C'est si dur de continuer à vivre. On aimerait souffrir toujours pour ne pas les trahir ; on aimerait ne vivre que dans le passé pour ne pas les oublier. Mais ce n'est pas vivre, cela. C'est se laisser dépérir peu à peu...
Classé: -12I | Spoil | Romance / Suspens | Mots: 5587 | Comments: 38 | Favs: 20
Version imprimable
Aller au
~ Ookami ~ (Masculin), le 13/01/2009
ouhlà, c'est un peu tard pour ça mais...
je ne suis pas médecin.
toutes les informations sur le cancer, la façon de le traiter et autres blablasseries médicales présentes dans cette fic sont garanties totalement pas fiables !
bien sûr, pour plus de réalisme, les symptômes de notre pauvre shika ont été recherchés sur le Net, mais ça s'arrête là... '^^

bon, fermons la parenthèse.
je voulais juste dire merci à tous ceux qui ont posté un commentaire, ceux qui n'ont pas posté de commentaire mais suivent quand même, ceux qui ont mis ma fic en suivi ou même en favoris... c'est ces petites choses qui me motivent =D
alors, merci beaucoup, chers lecteurs =')
(dédicace spéciale à nana13 qui m'envahit et, rien qu'avec ses coms hilarants, me pousse à écrire rien que pour pouvoir en lire d'autres x'D)

Now... Enjoy, my friends !!!




Chapitre 3: Euh... chapitre 3 ?



_____________________
Terrain d’entraînement de l’équipe 10, le surlendemain à 9 heures passées de quelques lancers de shuriken.

Privés de leur ami pour lequel toute visite était interdite, Chôji et Ino avaient entamé sans grand enthousiasme un duel dont l’enjeu était le lieu de leur repas de midi : resto végétarien, ou fast-food.

-Chôji… tu crois que ça va aller ? demanda Ino, hésitante, tout en évitant le poing de son coéquipier au moyen d’un salto arrière.

- Quoi donc ? demanda le jeune ninja en bondissant dans l’arbre le plus proche afin de préparer une offensive kunaïesque.

-Pour Shikamaru, idiot ! grogna la blonde en esquissant le début d’une course vers son adversaire.
- Mais oui, ne t’en fais pas. Tu sais à quel point il est intelligent ; si quelque chose clochait, ce serait le premier à s’en être rendu compte, répondit-il en tentant d’assurer sa prise plutôt instable sur la branche.

- Ca, c’est toi qui le dis… Il se laisse aveugler par ses sentiments et ça m’inquiète…

Volée de shuriken qui ne l’atteignent pas.

- Fais gaffe, Ino, on pourrait presque croire que tu es amoureuse…

- Fais gaffe, Chôji, on pourrait presque croire que tu es jaloux…

D’un bond, Ino est sur la branche voisine, et Chôji beaucoup moins en sécurité. Elle lance son poing en direction de la tête de son ami, lequel bloque avec son pied puis exécute un magnifique croche-pied qui fait choir son amie. Parade, riposte.

-Puisqu’on en était au chapitre sentiments, amour et jalousie, parle-moi donc de Shika et Temari…, ironise le garçon, sûr de son avantage.

Assis à califourchon sur son adversaire, enserrant ses poignets d’une seule de ses deux mains musclées, sa victoire semble en effet indiscutable. Il approche lentement son visage de celui d’Ino.

-Alors, mademoiselle Je-Refuse-D’Assumer-Mes-Sentiments ? Ose dire que tu n’es pas amoureuse…
- Mais j’ai toujours assumé…

Bon. Malheureusement, il y avait des regards auxquels Yamanaka Ino ne pouvait pas mentir.

-D’accord, murmura-t-elle. Tu as gagné. Pourrais-tu envisager de te relever et de me laisser me draper dans le peu de dignité qu’il me reste ?

C’était décidé, on mangerait américain ce midi-là. Mais ça n’était pas forcément pour cette raison que l’ambiance serait morose…



_________________________
Bureau de Godaime Hokage, 3 papiers classés et un nombre incalculables de verres de sake bus depuis le lever du soleil.

Tsunade plissa le front. Vraiment, il fallait que ça tombe sur Shikamaru ! Si c’avait été Naruto, encore…bon, évidemment, elle se serait tout autant fait un sang d’encre, mais… Comment dire ? Toutes les études s’accordaient là-dessus, et Tsunade elle-même l’avait souvent remarqué dans sa carrière de med-nin : la capacité de guérison de quelqu’un, passée la gravité de la blessure, dépendait à 20% de sa constitution physique et 80 % de sa volonté à guérir. Quelqu’un comme Jirayia ou son jeune blondinet préféré, par exemple, disposant d’une santé de fer et d’une phénoménale détermination, aurait bien plus de chances de s’en sortir que le jeune Nara, déjà exceptionnellement peu motivé en temps normal, miné par la mort de son sensei, et affaibli par le manque d’attention qu’il portait à son corps depuis quelques temps…

- Bon, reprenons tout. Comment réagit-il ?
- Il est suffisamment lucide pour avoir sauté l’étape « déni », suffisamment intelligent pour ne pas être passé par la phase « agressivité et besoin de reporter la faute de son malheur sur quelqu’un », il est donc en plein dans la phase « apathie et rejet de toute source de bonheur possible ». Et je pense qu’il y restera.
- Comme on pouvait s’y attendre… ça signifie qu’il ne se battra pas une seule seconde, il est déjà résigné… KUSO ! Shizune ! Trouve-moi immédiatement LA chose qui pourrait motiver ce flemmard !

La dernière fois que Tsunade avait lu ce regard dans les yeux de son assistante, c’était quand elle lui avait annoncé qu’elle avait l’intention d’arrêter l’alcool.
Découragée, l’Hokage laissa son regard errer parmi la paperasse qui s’entassait sur son bureau.

-Tiens… qu’est ce que c’est que ça, Shizune ?
-Eh bien, la lettre officielle de Gaara-sama, Godaime Kazekagekage, certifiant qu’il s’était bien amu… qu’il avait rempli tous ses devoirs, objectifs, etc., de sa venue à Konoha et devait traîner ses… repartir au plus tôt dans son village avec les ambassadeurs Kankurô-sama et Temari-sama.
-Mais… mais… Temari est repartie en laissant son meilleur ennemi avec un cancer sur les bras ?
- Les poumons, Tsunade-sama, les poumons. En fait, Shikamaru m’a « demandé » de ne prévenir personne de son… état.
- Et toi, tu te laisse marcher sur les pieds comme ça ? Tssss…
- Je ne peux pas dire que ça me plaise, mais je vous rappelle que je suis liée par le secret professionnel, Tsunade-sama. Le serment d’Hippocrate, tout ça…

Tsunade fronça les sourcils.

- Oui, bon, je suis sûre que ce vieil Hypocrite ne nous en voudra pas si un pigeon nous entend accidentellement parler de tout ça, et décide qu’il lui faut immédiatement avertir Temari au moyen d’un mot accroché à sa patte, parce que c’est un pigeon très intelligent qui sait écrire et faire des nœuds…
-Tsunade-sama, je parle sérieusement !
-Mais moi aussi, Shizune, moi aussi. Si tu es tenue de respecter la volonté de Shikamaru, moi en revanche il ne m’a rien dit, que je sache ! Bon, maintenant laisse-moi donc travailler au lieu de me déranger à tout va.

Shizune sortit de la pièce en se sentant particulièrement inutile. Et puis… faire venir Temari, c’était bien beau, mais en ce moment les paris à Konoha donnaient Ino gagnante à 60% contre 40 pour la blonde de Suna. Et les commères du village avaient un pouvoir effrayant pour deviner ces choses-là…

Bon. Finalement, autoriser ses amis à voir Shikamaru. Questionner Ino, de femme à femme, sur ses sentiments. Demander à Chôji de motiver son ami à manger. Piquer l’orgueil de Neji au vif pour le pousser à défier Shikamaru au go. Le pauvre n’avait plus aucun adversaire. Réquisitionner Naruto et Kiba, les remonteurs de moral ambulants. S’ils ne réussissaient pas à réconforter Shikamaru, au moins le pousseraient-ils à guérir pour pouvoir s’enfuir de l’hôpital. Ordonner à Sai d’aller lui rendre visite. L’exaspération et le sentiment de ne plus pouvoir voir quelqu’un en peinture, c’est déjà mieux que l’indifférence.
Oui, finalement on pouvait peut-être aider Shikamaru. Ca n'était pas grand-chose, mais après tout n'était-ce pas ça, la vie, ces petits évènements quotidiens ?
Et puis, n'en déplaise aux concierges de Konoha, elle connaissait suffisamment Temari pour savoir que celle-ci trouverait nombre d'arguments... percutants pour ramener son cher ananas à la vie.
Vivement son retour...



_______________________
Bureau de Godaime Kazekage, Suna, quelques jours plus tard.

Gaara soupira d’aise ; il était bientôt tiré d’affaire. De la montagne de dossiers qu’il avait trouvée à son retour, ne restaient que les affaires les plus récentes, et…
Oups. Que faisait un message aérien en provenance de Konoha et estampillé « très urgent » parmi sa paperasserie ? Il attrapa le petit rouleau et constata qu’il était scellé. « A l’intention strictement personnelle de Sabaku no Temari-san », indiquait une inscription signée de l’Hokage.
Dilemme. Ce message était urgent et destiné à sa sœur. Or, il l’avait envoyée en mission… regard sur le planning des jounin… 3 jours après leur retour. La veille, en fait. Bon. Après tout, ça n’était qu’une petite mission tranquille de diplomatie avec le chef d’un clan de ninja nomades ; elle serait bientôt revenue.
Enfin, cela ne lui donnait pas le contenu de ce message… Gaara l’aurait bien lu, mais il craignait la réaction de sa sœur lorsqu’elle s’apercevrait qu’il avait ouvert son courrier personnel… Oui, la curiosité est une vilaine qualité, et alors ?
Soudain, un doute s’empara de lui. Il examina soigneusement le rouleau : l’écriture personnelle de Tsunade au lieu de l’habituel tampon qu’apposait son assistante, le sceau témoignant de la nécessité de garder ceci sous silence, et ce que Temari lui avait raconté durant leur séjour à Konoha…Finalement, tout ceci était très clair. Il comprenait à présent pourquoi l’Hokage s’adressait à Temari et non à lui, et surtout le caractère aussi urgent que secret de sa demande…

Tout de même, il n’aurait jamais cru que Temari fasse commerce de sake avec l’Hokage.




Voilààààààà !
désolée, j'ai pas pu résister à fini de façon (sensée être) comique.
ça na colle pas vraiment avec le thème de l'histoire...
en fait, à la base j'étais partie en délire, avec le pauvre Shika traîné de force à la fête, et quand je m'en suis aperçue j'ai décidé de continuer en me disant que ça permettrait de pas verser dans le mélo... mais du coup j'ai peur que ça fasse genre "-Ino ! shika va mouriiiiiiiiiiir T_T ! -Nooon ! *crise de larme* -Au fait, tu connais la dernière ? -Oh non, vas-y raconte ! =D"
'-_-
donc, si vous trouvez que j'en rajoute, n'hésitez surtout pas ^^


sinon, euh...
j'ai fini ce chapitre en deux jours. *fière*
(euh... si ça se trouve, il est très mauvais... -_- m'enfin, ce n'est de toute façon qu'une transition dans l'histoire ^^)
ce qui veut dire que vous auriez pu l'avoir bien avant, mais... beh, comme d'hab, j'ai commencé à l'écrire qu'après la validation du deuxième ^^
je sais, c'est bête, mais je tiens absolument à voir les coms de sgens avant de poursuivre XD

ouah mais qu'est-ce que je suis bavarde moi... bon, vous vous êtes sûrement tous déja enfuis, mais j'aimerais bien que vous reveniez pour un minuscule petit com, n'importe quoi, ce qui vous passe par la tête ^^





Chapitres: 1 2 [ 3 ] 4 Chapitre Suivante »



Veuillez vous identifier ou vous inscrire:
Pseudo: Mot de Passe: