Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: A Naruto Fantasy

Se déroulant dans un monde où nos ninjas préférés sont des chevaliers et nos kunoichi de jolies princesses, règne une paix inébranlable depuis la fin de la dernière Grande Guerre, qui s'est passée il y a plus de 20 ans. Nos valeureux soldats apprennent une terrible nouvelle: le Royaume de Kumo veut enter en guerre avec leur pays. Mais pourquoi?
Classé: -12D | Spoil | Fantasie | Mots: 10810 | Comments: 19 | Favs: 18
Version imprimable
Aller au
SuperGohan (Féminin), le 31/01/2009
Moi qui adore le Heroïc Fantasy depuis toujours, je vous présente ma fic de ce genre: "A Naruto Fantasy"! Comme mes goûts sont aussi inchangeable que le cour du temps, il y aura des dragons (si vous ne les aimez pas, je suis navrée, moi je les adore autant que vous les détester! J'adore trop ces créatures!), des loup-garous (tout le monde devine qui c'est...), des sorciers ect.

Les couples seront: Sasuke x Sakura (mes plus plates excuses au fans de SasuNaru et NaruSaku), Naruto x Hinata, Kiba x Ino, Kankurô x Tenten (bizarre, je sais, mais j'ai toujours pas pardonné à Neji, désolée), Shikamaru x Temari et le reste, je verrais plus tard si l'occasion se présente.

Je vous souhaite une excelente lecture, et pour ceux qui n'aiment pas...
Je vous prie de laisser vos épées dans leurs fourreaux, car je ne suis point sur ce merveilleux site pour encaisser vos coups de lames.

PS: Je ne lit pas la publication française de Kana, j'écoute les épisodes en vosta, donc je vais me baser sur les épisode traduits pour dire si oui ou non le personnage est paru ou pas. Je m'excuse d'avance pour les problèmes que cela peut encourir, mais je ramène presque toujours mes livres en retard à la biblio et ma merveilleuse maman ne veut pas m'acheter les mangas, donc soyez compréhensifs... et ouverts d'esprit!!




Chapitre 6: Mission au pays du Sanglier...!!



Quelques jours avaient passé depuis l’incident de la réunion. Les relations entre Saï et Naruto étaient plus tendues que jamais. Par contre, l’artiste avait cessé de faire des remarques désobligeantes à l’égard du blond, et les deux garçons s’ignoraient admirablement bien l’un l’autre.
Shikamaru et Asuma, le supérieur du stratège et capitaine, avaient bien essayé de les mettre en équipe lors des épreuves de survies en forêt, dans la montagne ou autre, mais il n’avait résulté qu’une scène de Naruto, réclamant quiconque sauf ce « triple con de baka dattebayo » (NDA : trip de mot.).

Outre ces petits accrochages, les Chevaliers Kiba, Naruto et Sasuke avaient été convoqués pour une toute autre raison que de surveiller Naruto, qui avait de bien vilaines idées sur la manière de faire en sorte que Saï ne respire plus le même air que lui. Asuma était derrière son bureau, sa pipe (NDA : les cigarettes n’existent pas depuis longtemps, alors j’ai choisis de le laisser fumeur, mais en excluant la cigarette.) entre les dents, à faire des cercles de fumées.

Les Écuyers, qui avaient été convoqués aussi, s’émerveillaient devant ce spectacle. Konohamaru était bien content de revoir son oncle.
- Tu es bien sage au moins? demanda le commandant, tout en rechargeant sa pipe avec de l’herbe elfique.
- Bien sûr!
L’homme ébouriffa les cheveux du gamin, puis se tourna vers les chevaliers, impatients de recevoir leur toute première mission importante.
- Bon, on ne veux pas que Kiba tombe d’épuisement, alors vous deux, veillez à ce qu’il n’en fasse pas trop.
Le chevalier visé rougit un peu, sachant qu’il en faisant souvent trop, comme le disait Asuma. La rougeur sur ses joues attira les moqueries de Naruto, toutefois gentilles :
- Not’ Kib’ est gêné? Faut pas!
- Parle pour toi, baka, dit Sasuke. Toi, dès qu’on te parle de devenir chef des armées (NDA : j’ai pas trouvé mieux dans l’immédiat) ou devenir roi au cas où il arriverait malheur à la princesse et la reine...
Ce furent les joues de Naruto qui rosirent, et Kiba put l’énerver à son goût, en compagnie de Sasuke (NDA : Vive Kokia-san et Hamasaki Ayumi-san!).
- Suffit, dit Asuma, agacé par tout ces enfantillages. La mission est d’aller au pays du Sanglier et de remettre cette lettre de Sakura-hime à la princesse magicienne de ce pays.
Il lança un cylindre scellé par un sort à Kiba, qui l’attrapa de justesse.
- Et en passant, fit le sous commandant en chef des armées, vous pourrez lui demander d’examiner Kiba... même si je doute qu’il y ait quelque chose à faire pour... vous-savez-quoi. Vous pouvez disposez...

***

Les trois garçons étaient sur la route, avec leurs écuyers. Ils chevauchaient depuis bientôt quatre jours, et pas le moindre panneau annonçant le pays du Sanglier! Ils en avaient marre, et le maître chien dépérissait à nouveau. Selon les calculs de Sasuke, la prochaine transformation de leur compagnon de route serait peu avant, ou même à leur arrivé, à la ville de Yagami, ce qui était plutôt problématique.

La journée tirant à sa fin, ils montèrent leur bivouac tandis que les enfant pansait les bêtes. Naruto essayait d’allumer un feu avec le peu de bois qu’il avait trouvé, Kiba ramassait des bouts de bois plus prometteurs et Sasuke préparait le repas à la cuisson.

La nuit tombait et la Lune, demeure de la déesse Tsuki, était accrochée dans le ciel tel un crochet. Les gosses dormaient comme des bienheureux. Naruto, lui, allait bientôt les rejoindre au pays des rêves. Pour Sasuke, il était parfaitement éveillé et Kiba ramassait d’autres branches, car les flammes du feu s’éteignaient vite. Alors qu’il se penchait pour ramasser une branche, il entendit un petit grognement.

- Ah, désolé, Akamaru, je sais que tu n’aimes pas être dérangé quand tu fais te besoins... J’en ai pas pour longtemps, et je te laisse tranquille, dit-il.

Il continua à ramasser des branches tombées puis, quelques secondes plus tard, il vit une patte, ou peut-être un pied couvert de poils gris hirsutes. Le maître chien leva la tête.
- Merde... souffla-t-il, effrayé. Un Loup-garou (NDA : inspiré de la mythologie québécoise. Lisez donc un livre dessus et vous comprendrez.)...
Sans plus attendre, il laissa son petit bois là et couru vers les autres. La bête le griffa dans le dos, lui arrachant un cri de douleur. Ce même cri alerta Sasuke et les autres, qui se levèrent tous d’un bond, voyant la créature tenter de se faire un casse-croûte avec le maître chien.

- Konohamaru, Udon, Kozara, restez ici, nous on va aider Kiba! cria Naruto en sortant son épée.
Sasuke suivit son meilleur ami et se jetèrent sur le Loup-garou, épée levée.
Mais c’était trop tard. Il avait déjà attrapé le chevalier et le mordait sans ménagement au bras gauche. « Kuso... encore des années à parcourir les bois » pensa-t-il, en essayant de ne pas pleurer.
- YAAAAAAHH!! fit la voix de Naruto, en coupant la tête du Loup-garou.
Les gamins arrivèrent tout essoufflés, alertés par tout ce boucan. Voyant le cadavre du Loup-garou, le bras salement amoché de Kiba et l’air grave des deux autres chevaliers, Kozara demanda :
- Maître... vous allez bien?

Soudainement, le maître chien explosa :
- Parce que tu crois que j’irai bien après ça?! Non, je vais pas bien, je perds du sang, j’ai mal, bordel!
En disant ça, il bougeait les bras dans tout les sens, accentuant sa douleur au bras gauche, qui, heureusement, n’était pas son bras d’épée.
- On ne s’attardera pas ici, en tout cas, fit remarquer Sasuke. Il y en a peut-être d’autre dans le coin...
Suivant le conseil du brun, Naruto aida le maître chien à se relever et à marcher vers son le feu. Il perdait beaucoup de sang. Le blond fit un bandage au Garou, puis ramassa ses affaires, laissant Kiba ramasser les siennes. Après quinze minutes, tout était rangé. Ils mirent donc le cap vers la ville de Yagami, au quadruple galop.

(((¤)))


Après trois heures éreintantes de galop intensif, ils aboutirent dans un petit village. À la vue de toutes les décorations et les gens en beaux habits, Sasuke s’exclama :
- Eh merde! Le festival de Yagami! On l’avait oublié celui-là!

Après plusieurs villages, la troupe arriva enfin à Yagami. La ville s’était faite toute belle pour le festival. Il y avait des fleurs partout, une bonne odeur de viande ragoûtante emplissait l’air et des centaines de lanternes étaient accrochées à des cordes.

(((¤)))

Dans un cachot sombre et humide, non loin de là...

Toutes les cellules – excepté une – étaient complètement vide (NDA : comme la tête d’un certain Uchiha...). Dans cette salle crottée, se trouvait une fille aux longs cheveux blonds, vêtues de haillons, avec un boulet et une chaîne à sa frêle cheville droite. De profonds yeux turquoise terminaient le tout. Elle semblait accepter son sort. Un gros bonhomme joufflu arriva et déposa un plateau de nourriture par une petite trappe en disant :
- Allez, viens bouffer, truie...

La prisonnière se jeta aussi vite que le lui permettait le boulet sur la nourriture et l’avala goulûment en ronchonant :
- D’abord, chuis pas une truie, OK, gros porc?
L’homme s’éloigna joyeusement en faisant tournoyer son trousseau de clé, tout en disant :
- J’ai du mal à la croire noble...

Soudain, un plus petit, tout maigre et décharné, accompagné d’un autre joufflu, apportèrent un chevalier à moitié transformé en Loup-garou (NDA : subtilité... subtilité...). Dehors, on entendait des chocs de métal, peut-être des épées?
- Tiens, foutons c’mec là, ça f’ra une bouche de moins à nourrir! dit le petit.
Ils le jetèrent avec cruauté, sans ménagement, alors que la pauvre créature n’avait même plus la force de résister! Puis, ils refermèrent la porte et repartirent en riant grassement.
La prisonnière regarda le jeune homme étendu par terre, une plaie béante à l’abdomen et quelques autres blessures superficielles (NDA : petit indice : à chaque transformation, le Garou retrouve toutes ses plaies qu’il a eue lors des sept précédentes!!). Il avait complètement retrouvé sa forme humaine.
- Wah, lui, il est pas laid... même très beau gosse.
Ne sachant que faire, elle demanda innocemment :
- C’est quoi ton nom?
Le chevalier blessé parvint à murmurer tout bas :
- Kiba... toi?
Toute fière, la blonde bomba le torse et dit :
- Je suis...

Sa « balloune » venait de péter.
- Bah je sais plus... ce que je sais, moi, c’est de soigner les gens! C’est pour ça que je suis ici...
« Ça, t’aurais pu le dire plus tôt! » pensa Kiba, au bord de l’évanouissement. Ou plutôt, il était à l’agonie. Ce que la blonde remarqua. Elle se mit alors à pleurer, se sachant, sans le savoir pourquoi, amoureuse de ce garçon, c’était son destin, elle le savait, puis déposa un baiser sur les lèvres du chevalier, tout en pleurant, sans savoir pourquoi, sans savoir en quoi cela aiderait. Dans sa complète ignorance, elle eut raison : la vie du chevalier fut sauvée, mais elle ne détacha pas ses lèvres pour autant de celles de celui qu’elle aimait!

Ignorant pourquoi aussi, le chevalier, une fois qu’il eut retrouvé conscience, mut par une soudaine envie, répondit au baiser de la blonde, tout en s’asseyant. Une fois l’échange de microbe finit, l’amnésique dit :
- Salut, Kiba... c’est bien ça?
- Ouais, et toi... disons, Uminari, car ta voix me rappel le bruit des vagues... dit ce dernier.
(NDA : il est vite en affaire, le Kiba!) Fougueux dans ses relations, Kiba ne sait pourquoi, mais il savait que cette fille... enfin, quoi... bah ça se voyait!! Toute joyeuse, la blonde... pardon, Uminari, s’exclama joyeusement :
- Comme c’est joli! C’est vrai que ma voix te rappel le son des vagues?
- Bien sûr, répondit avidement en souriant le maître chien, ma chérie.
Kiba décida de les sortir de là, puisque, c’était son boulot, quoi! Il s’apprêtait à dégainer son épée quand Uminari l’arrêta.
- Je peux nous faire sortir sans que t’abîmes ton épée.
Sur ce, elle leva la main et les barreaux volèrent en éclats.
- Pourquoi tu l’as pas fait avant? demanda-t-il, éberlué.
- Je t’attendais.
Le Garou trouvait cela de plus en plus étrange... mais bon! Il la prit par la main, et commença à courir dans le dédale de couloirs de ces cachots humides.

(((¤)))

Quelques heures plus tôt...


Alors qu’ils étaient encore en plein centre du village, la première transformation de Kiba, survenant cinq heures après la morsure, se produisit au milieu de la foule. Des gardes avaient donc prit le maître chien et l’avait mit en tôle. Naruto et Sasuke avait demandé aux gamins de les attendre à la sortie avec leur chevaux, tandis qu’ils allaient trouver Kiba (NDA : pas envie de faire la grosse description de tout. Ne jamais écrire quand on est en panne d’idées. Toujours aller au Manoir [vous comprendrez plus tard, au prochain chapitre...].).

(((¤)))

Tout le monde s’était retrouvé aux portes du village, plutôt essoufflés. Les deux compagnons de route de Kiba lui en firent passer un mauvais quart d’heure, l’énervant sur le sujet de Uminari.
- Alors, Kiba, fit Naruto, lorsqu’il le vit faire monter la blonde à l’avant d’Akamaru (NDA : dans ma fic, c’est le gros Akamaru), c’est pour quand le bébé?
Voyant qu’il ne répondait pas, il s’exclama :
- Fais pas comme notre Sas’ke national, le plus grand cachottier au monde!
J’avais oublier de te dire, que moi et lui on s’est heurté quand tu dormais, dit le brun, sachant ce que ressentait le maître chien. Mais, ne l’énerve pas trop Naruto...

Soudain, une voix de femme retentit du milieu de la route, juste devant eux :
- ARRÊTEZ-VOUS!
Kiba la reconnut tout de suite.
- Shukumei? C’est vous?!




Eh oui!!! Chapitre 6!!Vous m'en direz des nouvelles, puisque j'ai un peu honte de ce chapitre-là!! Le KibaIno, surtout ça...



Chapitres: 1 2 3 4 5 [ 6 ] Chapitre Suivante »



Veuillez vous identifier ou vous inscrire:
Pseudo: Mot de Passe: