Fiction: Tolérance : l'apprentissage de la vie (terminée)

Sakura, Ino, Tenten, Hinata et Temari sont des lycéennes très douées en gymnastique. Elles vont toutes à La Feuille, école réservée aux filles. Leur point commun ? Une peur mêlée de haine envers le sexe opposé, pour des raisons que peu de gens connaissent... Mais quand le lycée devient mixte, les cinq gymnastes n'ont pas le choix : pour avancer dans la vie, elles vont devoir oublier ce qui leur est arrivé... Avec l'aide, peut-être, de nouveaux amis. School-fic
Classé: -12D | Général / Romance | Mots: 42267 | Comments: 215 | Favs: 184
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Ari05 (Masculin), le 07/03/2009
Quand la mixité s'impose, cela ne fait pas la joie de tous...

Crédits : les personnages sont bien sûr à Kishimoto-sensei, merci à lui !




Chapitre 6: Chapitre VI



Ino marchait vers son collège, habillée d'un haut bleu assorti à ses yeux et d'un pantalon blanc. Le froid qui faisait frissonner les passants ne semblait pas l'atteindre. Sa mèche blonde bougeait au rythme de ses pas rapides et un nuage de vapeur l'entourait à chaque expiration. Les arbres et les rues passaient sans qu'elle les voit, trop occupée à réviser mentalement son enchaînement. La compétition du mois prochain aurait pu leur permettre de gravir un échelon et d'accéder aux nationaux, mais vu la somme qui leur manquait... c'était sans espoir.
La porte du gymnase apparut soudain. Perdue dans ses pensées, la lycéenne la poussa et continua d'avancer. A son grand soulagement, la première salle était vide. Elle arriva jusqu'à celle de gym dans un état second, et il fallut que les lèvres de Sakura touchent les siennes pour qu'elle réalise qu'elle était arrivée. Avec un sourire, elle pénétra dans les vestiaires et se déshabilla avant d'enfiler son justaucorps, puis revint dans la salle aux tapis où, en plus de la rose, Tenten s'échauffait. Celle-ci vint l'embrasser mais Ino remarqua qu'elle manquait de conviction. Sans chercher à comprendre, elle commença les exercices.
Hinata et Temari arrivèrent ensemble puis allèrent se changer. Quand elles réapparurent, Sakura et la blonde aux yeux bleus se dirigèrent vers elles. La Hyuuga et son amie de Suna avançaient vers la brune aux macarons quand elle annonça avec un sourire gêné :
"Je dois vous dire quelque chose.
Ses amies attendirent un instant, un air interrogateur sur leurs visages, et elle reprit :
- On va pouvoir participer à cette compétition.
- Mais... on n'a pas l'argent ! répliqua Temari.
- Maintenant si.
La brune marcha vers les vestiaires, sans voir les regards étonnés des autres gymnastes, et ramena une liasse de billets. Sakura hoqueta :
- Où as-tu trouvé ça ?
- C'est un cadeau.
- Mais de qui ? s'exclama Ino.
Tenten se mordit la lèvre inférieure et jeta à Hinata un regard d'excuse.
- De... Neji.
Les quatre gymnastes se turent pendant quelques secondes puis Temari lâcha un "Quoi ?" étouffé. La brune aux macarons répéta :
- Cet argent vient de Neji.
- Mais... comment a-t-il su qu'il nous en manquait ?
- Il a regardé les listes d'inscrits et il a demandé à Okajyu-san pourquoi on n'y était pas, expliqua Tenten qui se sentait de plus en plus anxieuse.
- Et pourquoi te l'a-t-il donné ?
La question d'Hinata, prononcée d'une voix faible mais stupéfaite, déclencha des regards accusateurs sur la fille aux yeux marrons.
- Parce qu'il a confiance en moi, je crois.
Les yeux de Temari brillèrent d'un éclat féroce.
- Mais quand a-t-il pu te le donner ?
- Hier... hier soir, chez moi.
- Tu l'as laissé entrer !
- Vous savez... je pense qu'il est vraiment désolé de ce qu'il a fait à Hinata, et qu'il a changé. Il attend juste que tu l'admettes, Hinat...
La gifle que lui asséna la Hyuuga l'empêcha de poursuivre. Celle-ci s'était levée et des larmes de colère coulaient sur ses joues. Le regard qu'elle posa sur Tenten était empreint de peur, de souffrance et d'une haine qui blessa la brune aux macarons.
- Tu... tu... Il n'a pas changé ! Neji est resté un salaud !
L'insulte fit frémir Tenten, tout comme le hochement de tête de Sakura, montrant qu'elle était d'accord avec la fille aux yeux blancs.
- Je refuse d'utiliser l'argent de ce sale type ! Et toi, tu n'es qu'une traîtresse ! Comment as-tu pu... Je...
Ses iris de nacre avaient un éclat un peu fou.
- Je te hais, Tenten !
En silence, les trois autres gymnastes se rangèrent derrière la Hyuuga. Ino finit par cracher :
- Sors d'ici. On ne veut plus te voir, c'est clair ? Va jouer avec ton Neji !
Voyant que son ancienne amie hésitait, elle asséna :
- Vire !
Lentement, la brune marcha vers les vestiaires, laissant ses larmes couler sur les tapis qui prenaient une teinte sombre. Elle rangea ses affaires sans croire à la scène qui venait de se passer. Ce ne fut que quand, pendant qu'elle se dirigeait vers la sortie, Temari cracha à ses pieds qu'elle comprit.
* * *


"Génial, il y a des ramens aujourd'hui !
- Naruto, calme-toi un peu, tu me fatigues...
- Ramens, ramens, ramens !
- Je te donne ma part pour que tu te taises…
- C'est vrai, Kiba ?
- Mais non, idiot ! Maintenant la ferme !
Cinq garçons faisaient la queue pour accéder au self. L'un d'eux, un blond, sautillait partout depuis qu'il avait vu sur le menu : "Ramens". Un brun à la coiffure en forme d'ananas soupirait pendant que le dénommé Kiba tentait de garder son calme. Les deux seuls qui n'avaient pas dit un mot avaient les cheveux sombres mais les yeux du premier était noir charbon alors que ceux du deuxième semblaient faits de nacre.
Les gens avançaient vite et le groupe ne tarda pas à se retrouver devant les plats. Naruto bavait littéralement face aux pâtes, les quatre autres le regardaient avec un peu d'énervement. Sasuke finit par lancer :
- Bon, tu te sers ou on attend qu'il neige ?
- Fais attention, il risque de te prendre au mot. Galère...
L'Uzumaki prit un bol en grommelant et partit vers la salle. Ses amis le suivirent.
La plupart des tables étaient prises mais ils purent trouver cinq chaises libres. Pendant qu'ils s'asseyaient, Neji regardait autour de lui. Soudain, il fronça les sourcils : les célèbres gymnastes de La Feuille étaient installées un peu plus loin.
Installées à une table de quatre. Le Hyuuga remarqua que Tenten n'était pas parmi elles. Il la chercha et finit par l'apercevoir, mangeant ses ramens sans entrain. Elle était seule. Ses yeux marrons balayèrent la salle et croisèrent ceux de Neji. Un instant, ils se fixèrent, puis la fille détourna le regard. L'héritier resta là à l'observer pendant qu'il réfléchissait à ce qui avait pu se passer. Il sursauta en entendant la voix de Sasuke :
- Tu regardes Tenten ?
- Ah... oui.
- Je n'ai jamais vu une des gymnastes manger sans les autres.
- Moi non plus.
- Va lui demander ce qui ne va pas si tu t'inquiètes autant pour elle.
- Qu'est-ce qui te fait croire que je suis inquiet ?
- Regarde-toi dans une glace, ça se voit tellement que même Naruto le remarquerait.
Les deux héritiers se tournèrent vers le blond qui dévorait ses ramens et soupirèrent de concert.
- Sasuke a raison. Je crois que Tenten s'est fait exclure par les autres.
Neji se tourna vers le Nara. Pensant à son intelligence redoutable, il demanda :
- Tu pourrais essayer de comprendre pourquoi ?
Shikamaru prit la position qu'il adoptait toujours quand il se concentrait. Lorsqu'il ouvrit les yeux, il hocha légèrement la tête.
- Il y a plusieurs possibilités mais une d'entre elles est beaucoup plus probable que les autres.
Kiba, qui jusqu'ici s'était tenu à l'écart de la conversation, releva les yeux et se mit à écouter.
- Ces filles détestent les garçons. Je pense que Tenten a parlé avec l'un d'entre eux et qu'elles ont considéré ça comme une trahison.
Neji sentit la culpabilité l'envahir, en même temps que la honte : c'était de sa faute. Il aurait dû deviner que sa cousine allait mal réagir, et que les autres allaient suivre ! Du coin de l’œil, il vit la brune aux macarons se lever et aller poser son plateau avant de sortir. Il attrapa son bol à moitié plein et le mit sur le plateau de Naruto puis posa lui aussi son plateau et marcha dans les couloirs jusqu'à la cour de La Feuille. Ses amis ne le suivirent pas : Shikamaru leur avait sans doute expliqué qu'il tenait à être seul.
Tenten était bien là, assise contre l'un des arbres qui sortaient du sol. Elle caressait le carrelage d'une main, l'autre posée sur sa joue. Le Hyuuga s'approcha : il n'y avait que quelques personnes. Il arriva au niveau de la jeune fille qui releva le yeux et eut un sourire contrit en le voyant. Elle fouilla dans sa poche et lui tendit les cent yens. Neji secoua la tête et s'assit à côté d'elle en lui faisant signe de remettre l'argent dans sa poche.
- Tu peux le garder. Elles ont refusé.
- Excuse-moi.
- T'excuser ? Mais c'est plutôt à moi de te demander ça ! Je n'ai même pas été capable de les convaincre...
- Les convaincre de quoi ? Elles sont complètement bornées. J'aurais dû comprendre qu'elles allaient réagir comme ça...
Tenten eut un rire amer.
- Et moi donc ! Ce sont mes amies et ça fait plusieurs années que je suis avec elles, mais je n'ai même pas été fichue de deviner ce qu'elles allaient faire.
- Je viendrai chez toi, ce soir.
- Mais... tu n'es pas obligé !
- Je veux que tu me dises ce qui s'est passé.
- Hinata risque de t'en vouloir encore plus, si tu t'en mêles.
- Je m'en fiche !
La jeune fille, surprise par cet éclat, garda le silence. L'héritier aux yeux blancs poursuivit :
- Tu as oublié ce qui est arrivé avant-hier ?
Elle rougit légèrement en se rappelant leur étreinte. Sans s'occuper de son trouble, le brun continua :
- Hinata peut penser ce qu'elle veut, je vais m'en mêler. Désolé mais tu ne mangeras pas toute seule le reste de l'année. Au pire, tu viendras avec nous.
Brusquement, la gymnaste éclata en sanglots. Elle murmura :
- J'ai quelque chose à t'avouer... je te le dirai ce soir, d'accord ? Mais il faut...
Elle reprit son souffle.
- Il faut qu'elles me pardonnent...
Le bruit de la sonnerie coupa leur discussion.
* * *


Allongée sur son lit, Tenten regardait le plafond blanc. Elle était rentrée une demi-heure plus tôt et venait de terminer ses devoirs, essentiellement de l'ancien grec. Ses pensées se bousculaient dans son esprit sans qu'elle parvienne à y remettre un peu de clarté. Aimait-elle vraiment les autres gymnastes ? Celles-ci lui pardonneraient-elles d'avoir parlé à Neji ? Devait-elle pour cela rompre toute relation avec le Hyuuga ? Elle n'en avait pas envie...
Et le plus important : qu'éprouvait-elle, justement, envers l'héritier aux yeux blancs ?
Trois coups frappés à la porte la ramenèrent à la réalité : elle se rassit et lança "Entre !"
Neji pénétra dans la pièce. Au lieu de s'installer sur la chaise que la brune avait préparée, il alla s'asseoir à côté d'elle et ordonna directement :
"Raconte-moi ce qui s'est passé.
Tenten lui jeta un coup d’œil et fut surprise par son regard sévère. Elle commença à parler ; ses yeux restèrent fixés sur la porte pendant tout le récit. Quand elle parla de la gifle, le garçon la coupa :
- C'est Hinata qui a fait ça ?
La lycéenne hocha la tête et le Hyuuga lui fit signe de poursuivre. Quand elle eut terminé, il déclara :
- J'irai parler à ma cousine.
- Ne fais pas ça ! Elle va être furieuse contre toi...
- Elle habite peut-être chez Temari, mais je reste l'héritier du clan et elle, la fille de Hiashi-sama. Qu'elle le veuille ou non, je vais lui dire mon point de vue. Et à cette fille de Suna en même temps !
Les yeux marrons de Tenten étaient brillants : les larmes ne tardèrent pas à couler sur ses joues, mais elle fit l'effort de ne pas éclater en sanglots. Un filet de voix s'échappa de sa bouche entrouverte :
- Je crois que tu vas changer d'avis... Je t'ai prévenu ce midi que j'avais quelque chose à te révéler. Après l'avoir entendu, je ne pense pas que tu seras aussi décidé.
- Vas-y.
- Je... je ne sais plus si ça vaut pour moi mais... pendant deux ans...
Elle n'arrivait pas à trouver les mots. Un regard d'encouragement de la part de Neji lui suffit.
- Nous sommes homosexuelles. Toutes les cinq, depuis la troisième.
Le Hyuuga s'attendait à beaucoup de choses, mais certainement pas à ça : sa bouche ouverte rappela à Tenten un poisson hors de l'eau, une métaphore qui la fit sourire. Mais il se reprit vite et demanda :
- Tu l'es toujours ?
- Je ne peux pas le dire. Je ne m'y retrouve plus. Mais je crois quand même que... non.
D'un geste vif, le garçon passa ses bras autour des épaules de la lycéenne stupéfaite et murmura :
- ça me rassure.
- Tu n'es pas furieux qu'Hinata soit comme ça ? Ou... dégoûté ?
- Je suppose que trois ans loin des Hyuuga et de leur bourrage de crâne sur l'infériorité féminine m'ont appris la tolérance. Non, je ne suis pas dégoûté, ni furieux. Mais il ne faut surtout pas que Hiashi-sama ou un autre homme du clan l'apprenne : pour eux, les femmes ne sont faites que pour la reproduction, et si l'homosexualité entre hommes ne leur plaît pas trop, entre femmes... Hiashi-sama réagirait très violemment.
Tenten ne pleurait plus, mais son visage était rouge vif. Le lycéen aux yeux blancs se rendit compte qu'il l'enlaçait toujours. Pourtant, au lieu de reculer comme l'aurait fait l'héritier Hyuuga, il posa sa tête sur l'épaule de la jeune fille qui passa à l'écarlate.
- Tu n'aimes pas que je te prenne dans mes bras ?
- Je... n'y suis pas habituée, on va dire.
- Réponds-moi. Tu n'aimes pas ça ?
- Euh...
En y réfléchissant, la brune aux macarons s'aperçut que c'était loin d'être désagréable, au contraire. Si elle se sentait mal à l'aise, c'était plutôt parce que...
- Je me demande pourquoi tu fais ça. Je n'ai pas envie de me faire de faux espoirs.
- De faux espoirs, vraiment ? A propos de quoi ?
"Piégée", pensa la jeune fille. Le ton malicieux du Hyuuga laissait entendre qu'il avait déjà compris.
Tenten arrêta de respirer pendant quelques secondes. Elle l'avait, la réponse à sa grande question !Qu'éprouvait-elle envers Neji ? C'était simple : elle l'aimait. Simple et très compliqué. Au moins, avec ses amies, il n'y avait pas de doutes comme ceux qui la tiraillaient.
Oui mais comme elle venait de s'en rendre compte, avec ses amies, les sentiments n'étaient pas aussi forts.
- Tu réfléchis ?
- Je suis obligée de répondre à tes questions ?
Neji se dégagea et la fixa d'un regard insondable.
- Oui.
La lycéenne aux macarons trouva une parade :
- Pourquoi ça t'intéresse autant ?
Ce fut au tour du brun aux yeux blancs de rougir. Mais il était moins timide que Tenten et lâcha enfin :
- Parce que je crois que... je... t'aime."
Des souvenirs se rappelèrent à Tenten, les souvenirs de tous les moments passés avec ses amies, de leur amour commun. Elle se souvint qu'on racontait que lors de la mort d'une personne, celle-ci voyait toute sa vie défiler. Peut-être était-ce pareil lors de la fin d'un amour. Et le commencement d'un autre...
- Moi, je ne crois pas que je t'aime : j'en suis sûre.
Elle se pencha doucement vers Neji. Si son visage paraissait calme, elle sentait son cœur battre à toute allure.
Le Hyuuga ressentait la même chose, en plus d'une impatience grandissante. Lui aussi se pencha, rapprochant ses lèvres de celles de Tenten. Elles finirent par se trouver, d'abord timidement, puis de moins en moins au fur et à mesure que leur gêne disparaissait. Le lycéen, les yeux fermés, passa ses bras autour de la taille de la gymnaste qui se laissa aller, profitant pleinement du baiser. Enfin...
* * *


Hinata porta la main à sa joue humide. Cela faisait quelques minutes qu'elle pleurait, en silence pour ne pas réveiller Temari. Ses pensées étaient concentrées sur une brune mangeant seule ses ramens, dans le self de La Feuille. Elle se sentait si coupable...
Pourtant, la Hyuuga savait qu'elle ne devait pas accepter Neji, ni aucun de ses amis. Et ce que Tenten avait fait la plaçait parmi les amis du neveu de Hiashi. Mais la rejeter ainsi... Ses regrets étaient de plus en plus grands. Et si les gymnastes pardonnaient à la brune aux macarons ?
Lentement, la peur se glissa dans son cœur. Insidieuse, elle effaça progressivement tous les regrets d'Hinata. Celle-ci ne sentit pas son esprit changer, se plier à cette terreur qui s'était introduite en elle le jour où Neji avait tenté de la violer. Elle ne sentit pas son avis changer.
Tout était tellement plus simple en laissant la peur la guider, choisissant pour elle. Il n'y avait qu'à continuer de rejeter Tenten et haïr encore plus son cousin ! Tellement plus simple...
Peu à peu, Hinata glissa dans le sommeil.




Le sixième chapitre de cette fiction... Rassurez-vous, vous qui aimez ; prenez crainte, vous qui lisez avec une grimace (et qu'est-ce que vous faites là, d'abord, dans ce cas ?) : nous n'en sommes pas encore à la moitié ! Mais ça ne va pas tarder.

Merci pour tous vos commentaires ! Je rentre de voyage alors je n'ai pas le temps d'y répondre : les devoirs, les suites de fictions, les corrections, c'est un peu lourd à gérer ! Toutes mes excuses.

N'hésitez pas à me donner votre avis, quel qu'il soit !

PS : tant que cet avis est constructif et utile, bien entendu. La personne qui a laissé un commentaire totalement stupide se reconnaîtra puisque j'ai pris contact avec elle... De toute façon, en allant voir les commentaires laissés, vous la reconnaîtrez aussi.




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