Fiction: Lycée Konoha en Furie ! (terminée)

Sasuke, premier de la classe, assez solitaire malgré l'existence de quelques amis fidèles, plutôt beau gosse et ayant un réel succès auprès des filles voit débarquer en plein milieu d'année une tornade jaune. Bagarreur et au caractère un peu spécial, il dévoilera un passé triste et mystérieux... /!/ YAOI SasuNaru /!/ ---> Déconseillé aux -12 ans
Classé: -12D | Action/Aventure / Humour / Romance | Mots: 50560 | Comments: 115 | Favs: 182
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lowena (Féminin), le 21/03/2009
Whaaa le stress que cette fiction m'occasionne !
Rendez-vous compte, en un temps record trois chapitres ont été acceptés presque de suite et alors que le Chapter9 venait d'être accepté, je n'avais pas encore commencé celui-ci !!!
Brefouille, je n'ai absolument plus aucun chapitre d'avance et ça me stress à un point vous imaginez pas ><
Messire ma correctrice, j'avais les yeux explosé et j'ai eu du mal à me relire... Gomeeen --'




Chapitre 10: Temari les gros poings fait son show !



Heureusement pour elle que la porte est ouverte, sinon je l'aurais fracassée en sortant du resto. Le brouhaha autour de moi me colle aux oreilles, je capte presque toutes les conversations autour de moi et ça me donne mal à la tête. Je ne m'en préoccupe pas pourtant, j'ai trop l'habitude et d'autres chats à fouetter pour l'instant. Car il me suit, je suis sûr qu'il me suit, j'ai entendu sa chaise racler le sol et même si je m'éloigne à grand pas, je sens sa présence dans mon dos et sais qu'il fait de même. Il y a deux raisons pour ma rapidité :

La première, c'est que je suis en colère, rudement en colère même. Qu'est-ce qu'il a à s'occuper de ma vie comme ça, lui ? D'insister sur des sujets que je préfère éviter ? Ça ne le dérange pas plus que ça de fouiller dans les poches des gens quand l'envie lui en prend ?
La deuxième, c'est la peur et celle-ci me donne des ailes. Mon ventre se serre et la bête qui s'appelle adrénaline me griffe le ventre et gigote dans mon corps, sensation que je n'avais pas ressentit depuis longtemps. Depuis la dernière fois où quelqu'un avait abordé le sujet de manière aussi poussée. Avec tellement de conviction... C'était quand déjà ?
23 Janvier. Il y a trois ans à présent. Et si vous voulez savoir comment ça s'est terminé, allez demander à Tenten.

Je presse la pas, la bête en moi grondant de plus en plus fort. J'ai besoin d'air frais ou je vais éclater.

Je franchis l'entrée sans ralentir et bouscule au passage une grosse dame qui laisse tomber son sac avec un cri outré. Je m'en contrebalance et continue ma route en serrant mes bras sur mon corps, le froid pénétrant mes vêtements. Le soleil m'aveugle; il faisait gris quand on était rentré dans le restaurant. Je bats des paupières et décide de m'arrêter deux mètres plus loin en inspirant tout ce que mes poumons peuvent avaler comme air pour tenter d'oublier la douleur de mon ventre qui reste noué. Je ferme les yeux et lève la tête pour sentir la chaleur du soleil sur mon visage. Il faut que je me calme... Cette situation n'est vraiment plus possible, c'est devenu trop dur.
Vraiment trop dur à cacher.

Les passants marchent autour de moi, j'entends leurs pas qui vibrent et résonnent sur le sol, le mouvement de leurs bras qui frottent contre leur veste et même, parfois, leur respiration profonde ou rapide. Les vélo sont moins reconnaissables, à peine une vibration légère qui appuie sur le sol pour avancer, mais le mouvement de l'air qui s'écarte à leur passage est le meilleur signe de leur arrivée. Les voitures et les trains n'en parlons pas... Le bruit est infernal et fort comme pas possible. Ça devrait pas être permis, des engins aussi bruyant.
Tiens ?

Des pas qui étaient jusqu'à présent à vitesse constante et se fondaient avec les autres ralentissent de plus en plus à mesure qu'ils s'approchent de moi. Je perçois le mouvement de l'air de son corps contre mon dos et je sais que cette personne s'est arrêté derrière moi. Son souffle est rapide, elle a dû courir. Je dirais qu'elle doit être à... moins d'un mètre. Un demi-mètre disons. Cette personne reste là, elle attend, et moi, toujours les yeux fermés et le visage levé chauffé par le soleil, j'attends un mouvement de sa part.

Car qui voulez-vous que ce soit ?


__________



Sasuke sortit du restaurant en courant presque, suivant la masse de cheveux blonds qui ne se fondait absolument pas avec la tignasse des autres passants. Du noir. Du noir et du brun partout. Et lui, tout blond et tout clair, qui fendait le flot dans le sens contraire, marchant à pas pressés tandis que tout le monde s'écartait sur son passage. C'était tellement... tellement...
Le garçon s'arrêta un instant en regardant autour de lui en se frottant les avant-bras fouettés par le vent froid d'hiver.

Où est donc passé cet Usuratonkachi ?

Tache claire parmi les foncés, seul et incroyablement calme, bouche légèrement entrouverte, tête relevée et yeux fermés, Sasuke le voyait plus que jamais comme un ange. Un ange qui ne pouvait pas voler car on lui avait arraché les ailes.
S'arrachant à cette vision en se faisant violence, le garçon s'approcha jusqu'à arriver à moins d'un mètre de lui, incapable de parler. Il leva sa main d'un geste hésitant avant d'avancer celle-ci vers son épaule.
Au moment où Sasuke voulu poser son bras sur son épaule, Naruto effectua une rotation rapide sur lui-même ce qui fit que son bras retomba sans rien rencontrer et qu'ils se retrouvèrent face à face.
Œil noir contre œil bleu, mais tout les deux une lueur sanguine qui brillait à l'intérieur. Et le temps sembla ralentir et s'étirer à l'infini, tout les deux fixes, tendus à l'extrême et solidement campés sur leurs positions. Naruto agrippé à son fardeau tellement lourd, n'acceptant pas de le poser sur les épaules de son ami, se refusant de parler de lui et le suppliant en même temps d'abandonner l'idée de savoir.
Sasuke souhaitant plus que tout le comprendre sans accepter de le côtoyer s'il ne connaissait pas ce secret qui, il en était persuadé, le rongeait à chaque battement de cœur.

Ils se fixaient, se confrontaient du regard, seuls et immobiles parmi ces passants qui défilaient à leurs côté sans leur jeter un seul regard ni s'arrêter, perdus pendant cet instant unique qui leur sembla durer une éternité.



__________





- Naruto !

Cette voix presque irréelle tant elle semblait hors du temps de notre monde me fit reprendre conscience de la réalité et je tourne la tête, tout comme Sasuke vers celle qui vient de mettre fin à notre duel.

- Temari ! Qu'est-ce que tu fais là ?

La jeune fille repousse d'un geste désinvolte une mèche de ses cheveux aussi blonds que les miens avant de s'avancer vers moi à grands pas. Sans comprendre pourquoi car elle a l'air très calme, je ressens le besoin de me tailler en courant avant qu'elle ne m'atteigne. Allez savoir pourquoi, mais je ne le fais pas. Elle se plante devant moi et m'attrape par le col. Mes pieds battent dans le vide et un hurlement sort de ma bouche.

- Temari repose-moi immédiatement !

Sans se soucier des regards intrigués des passants, la jolie blonde me balance sur son épaule et devant la mine de drogué de Sasuke en mode "pause", elle revient sur ses pas en m'embarquant vers le restaurant. J'ai beau me débattre et hurler tout ce que j'ai dans les poumons elle ne lâche pas prise et je sens mes joues me brûler. Je n'ai jamais eu aussi honte de toute ma vie que durant les quelques secondes où elle me transporta ainsi jusqu'à ma place, entre Kiba et la chaise vide de Sasuke, sous les regards hallucinés de mes amis.
Après m'avoir fait asseoir, Temari se penche vers moi pour me murmurer des paroles qui me firent frémir tout le long de la colonne vertébrale.

- Déjà que Nara a de la chance d'être encore en vie -et cela uniquement grâce à l'intervention de mon petit frère- je te déconseille de retenter le coup de t'échapper alors que c'est par ta faute que je me retrouve dehors au lieu de suivre mes cours. Pigé ?

Je ne peut m'empêcher d'acquiescer en tremblant et elle a un léger sourire avant de se relever et de retourner en-dehors du restaurant. Le silence à table est respectueux et je n'ose pas lever les yeux, triturant nerveusement mon jean sous la table.
Un hurlement se fait entendre et je ne relève pas la tête quand Sasuke entre en courant pour venir se précipiter à sa place, essoufflé et les yeux baissés devant Temari qui revient à table sous les applaudissements, sifflements et éclats de rire de tous les traitres de la table et elle s'autorise même une courbette tandis que je serre les dents avant d'aller retrouver sa place près de Shikamaru qui a la tête entre les bras et dont les soubresauts de son dos trahissent l'hilarité.
Et les uns à la suite des autres, ils éclatent tous de rire, Sakura et Kiba dans les bras l'un de l'autre tellement ils en sont hilares, Chôji tape sur la table du poing et Hinata en a des larmes de rire.

A l'exception de Gaara, notre mutisme commun fait rire tout le monde et même si j'aimerais bien me barrer d'ici en courant, j'ai peur de la réaction de Temari-les-gros-poings. Je crois que je comprend mieux l'origine de son surnom à présent...
Je déglutis et jette un œil à Sasuke qui n'a pas l'air plus dans son assiette que moi (il ne s'est pas fait porter lui !!) et attrape ce qui reste de soda pour me rafraichir.
Qu'est-ce que j'ai chaud...



__________




Les deux garçons n'osant plus contester l'avis de Temari, la demi-heure suivante fut consacrée aux rires et aux blagues, malgré un énervement certain de nos deux amis. Aussi, quand Temari proposa de rentrer au lycée pour retourner suivre les cours, ils durent suivre leur nouvelle leader sans discuter et se retrouvèrent devant leur lycée plus vite qu'à l'allée.
Le blocus s'était assez bien organisé, au grand dam de la jeune fille qui ne trouvait pas d'autre moyen pour rentrer que de franchir les grilles à la barbare. Elle avait bien tenté de soudoyer Kareki, son camarade de classe, de lui laisser un petit passage mais il avait catégoriquement refusé de l'aider.

- Voyons, Temari, tu vois bien que c'est sans espoir ! Tu ne peux plus rentrer à l'intérieur, laisse tomber voyons !
- Ce serait gentil si le flemmard de première pouvait se taire et me laisser me concentrer.
- ... Tu ne vas pas oser.
- Qu'est-ce qui te le prouves ?
- La grille est beaucoup trop haute.
- Je la franchirais.
- Tu vas tomber de haut.
- Je suis très agile.
- Si tu te blesses, personne ne pourra t'aider vu qu'on sera tous bloqués de l'autre côté.
- Eh bien tant mieux, ça permettra d'ouvrir les portes pour les autres élèves qui veulent rentrer.
- Mais Temari, rends-toi à l'évidence, personne d'autre que toi ne veux suivre ses cours !
- Ça, t'en sais rien. Maintenant pousse-toi.
- ...
- C'est quoi cette tête de chien battu !
- Je ne te laisserais pas faire ça.
- Mais pourquoi ?
- C'est plus de l'inconscience c'est du suicide !

Au milieu de la route où plus aucune voiture ne passait, ses esclaves juste en-dessous de la grille et prêts à la balancer de l'autre côté quand elle arriverais en courant, la jeune fille tapa du pied, énervée de l'obstacle qui l'empêchais de prendre son élan.

- Shikamaru pousse-toi !
- Non.

La réponse fit trembler la colonne vertébrale de Sasuke et Naruto qui l'attendaient en bas des grilles. Eux non plus n'étaient pas très assurés de ce plan mais ne souhaitaient pas subir les foudres de la princesse. Un rugissement semblable à celui d'un hippopotame en colère se fit entendre et tous les élèves présents et élèves du blocus sursautèrent en tournant la tête, intrigués. Naruto eu même un murmure intéressé.

- Oh-oh, voilà les ennuis qui commencent...

En effet, ce son n'étais autre que les hurlements d'une des personnes les plus terrifiantes du lycée mais que Naruto connaissait très bien et qui arrivait en courant de l'intérieur du lycée.

- VIREZ-MOI CE BORDEL IMMMEDIATEMENNNNNNNT !!!

La plupart des 'bloqueurs' se reculèrent de l'entrée d'où arrivait en galopant et laissant une traînée de poussière cette fameuse personne. Kareki, qui avait perdu ses couleurs, fut poussé en avant pour arrêter cette tornade blonde mais la seule chose qu'il réussit à prononcer quand elle arriva en face de lui furent dit d'une petite voix.

- Heu... Bonjour madame la directrice...

La jeune femme s'arrêta à quelques centimètres des grilles, laissant les élèves reprendre leur souffle et repoussa une de ses mèche folles d'un geste vif en parcourant les personnes présentes d'un regard terrible. Elle inspira un grand coup dans un silence complet avant de gueuler et de faire reculer Kareki précipitamment.

- Dégagez-moi tout ça ! Illico !

Personne n'osant la contester mais aucun ne se mettant à bouger, le proviseur attrapa un barreau avant de se mettre à pousser la porte d'entrée de toute sa force. Devant les yeux écarquillés de tout ceux présents, l'amas de poubelles et de diverses choses empilées les unes sur les autres se mit à bouger, lentement mais sûrement, avant qu'un simple chapeau dégringole et entraine tout le reste à sa suite dans un boucan incroyable. Après que la terre ait cessé de trembler et que la poussière se fut un peu éparpillée, tous écarquillèrent grand les yeux en constatant que la porte avait été poussée et était maintenant complètement ouverte.

Devant le mutisme du reste de ses compagnons, Temari secoua la poussière sur ses bras, attrapa son sac et s'approcha tranquillement de la porte avant de rentrer en remerciant la directrice en s'inclinant respectueusement.

- Je vous remercie de m'avoir aidé à rentrer en cours. Que vos aïeux soient remerciés durant sept générations.
- Je t'en prie, Temari. Va rejoindre tes professeurs.

Elle eu un geste vers son front et gronda en constatant que le petit symbole violet qu'elle se dessinait tout les matin était presque effacé et serra les poings alors que Kareki détalait, suivi du reste des élèves.



__________




Quelle course, mes amis ! Je n'avais pas couru aussi vite depuis bien longtemps. Devant la taille des poings de notre directrice, c'était vraiment la débandade complète ! Et le pire c'est qu'il a suffit qu'elle fasse genre de nous poursuive durant trois bon mètre pour qu'on détale comme des lapins durant une centaine. Hallucinant je vous dis. Et du coup le lycée est débloqué. Tant que Temari reste à l'intérieur, ça me va, ça veut dire que je reste libre de mes mouvements et que je peux enfin éviter Sasuke autant que possible.
Depuis que Temari nous a ramené au restaurant, il n'a pas arrêté d'essayer d'engager la conversation avec moi ou de me jeter des regards... bizarres.
J'aime pas ça... s'il venait à découvrir... que... je.. Non ! Je dois arrêter de penser à ça. La réponse sera la même, comme celle des autres, comme celle de tout les autres. Leur regard... son regard servira de réponse. Terreur. Dégoût et terreur. Ce sont les seuls choses que je lis dans le regard des gens depuis dix-sept ans et à présent que j'ai enfin l'occasion de vivre à peu près normalement, je ne veux pas gâcher ma chance.
Sasuke, arrête ! Arrête de vouloir connaître la vérité, je t'en supplie !



__________




Et le soir arriva. Tout ceux ayant participé à ce rapide blocus furent obligés sous menace d'expulsion de remballer tous les débris amassés et de tout débloquer en rangeant les poubelles de la cantine du lycée -qui étaient pleines- à leurs place. Tous étaient fatigués, autant les élèves que les enseignants et Tsunade finit par laisser Monsieur Hatake s'occuper des derniers détails tandis qu'elle partait dans son bureau envoyer des lettres à tout les élèves pour expliquer la situation de déblocage.
Sasuke venait de terminer de ranger les ordures tombées de la poubelle qu'il transportait et qui lui étaient tombés dessus durant le transport et regardait avec dégoût sa veste en se pinçant le nez. Il se dirigea à pas lents vers l'entrée du lycée et eut un soupir de soulagement en constatant que tout avait finit par être déblayé et que le sol était à peu près propre. Il se dirigeait vers une des portes d'entrée pour filer à son dortoir quand quelque-chose d'étrange lui agrippa les entrailles et il chercha Naruto du regard en se donnant des baffes mentales. Qu'est-ce qui lui prenait de penser à quelqu'un d'autre que lui ? Il était vrai que depuis qu'il était apparu dans sa vie beaucoup de choses avaient changé, celle de s'intéresser à lui de très près était la première d'entre elles.
Il l'aperçut enfin et ces pensées disparurent aussi vite qu'elles étaient venues alors qu'il se dirigeait vers le garçon qui, assit par terre, se désolait de la puanteur de sa chemise.

Sasuke eu un mouvement de recul en constatant qu'il s'apprêtait à se mettre torse nu et se précipita vers lui en l'enserrant entre ses bras et l'arrêtant jute à temps. Naruto se tourna en sursautant, son regard surpris se posant dans celui de Sasuke et ses joues se colorant légèrement.

- Neh ? Qu'est-ce que tu fais Sasuke ?
- Baka ! Tu comptais te déshabiller devant tout le monde ?
- Mais... J'enlevais juste ma chemise ! D'ailleurs si tu pouvais me lâcher parce que je dois pas sentir très bon.
- T'es pas en France ici, siffla Sasuke, si tu enlève ta chemise c'est comme si tu nous faisais un streap-tease en direct... Et ne t'inquiètes pas pour moi j'ai la même odeur.

Il le relâcha malgré ces paroles, un peu gêné lui-même et secouant la tête avec un soupir.

- On te changera jamais, toi.
- Gnagnagna...
- Allez, viens.
- J'ai encore quelques trucs à faire.
- ...
- ...
- On se retrouve dans la chambre.
- C'est ça...



Ce commentaire de fin de chapitre servira de suite au précédent niveau remerciements j'ai quelques trucs à dire sachant que toute notre aventure se terminera dans un truc du genre cinq chapitres (voir plus sachant que quand j'écris je m'emporte)

Tout d'abord Ma Tenshi Akai qui est vraiment adorable et que j'apprécie beaucoup (et qui repère toujours ma fiction la première pour m'éviter de voir mon chapitre refusé pour cause de concentration de faute xD)
Ensuite pour ma Sundus qui m'encourage et qui a lu ma fiction même si elle n'aime pas le couple principal et me donne toujours de bon conseils !
Puis Super Genin et sakurauzumaki qui se sont toujours donnés la peine d'écrire un commentaire à chaque chapitre (les pauvres T-T)
Et enfin tout ceux qui ont posté ne serais-ce qu'un seul commentaire ! Je manque énormément de temps à cause de mes cours ces temps-ci, aussi je n'ai absolument pas le temps de répondre à chacun d'entre vous mais je les ai tous lus et je vous envoi plein de bizoux et encore plein plein plein de bizoux pour vous remercier !


Merci à tout ceux qui m'encouragent et... même si tout ceci s'arrête sur un chapitre principalement porté sur un délire en solo, attendez-vous à un chapter11... miam !!!

Edit RastaMilie > Mais de rien ma petite soeur de plume adorée ;) Promis je validerait moins rapidement !




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