Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Une tranche de Vie... Le lycée.

Ils sont à la KS. La Konoha School, prestigieux lycée construit en quatre ans. Ils sont dix, ils ne se connaissent pas. Ils vivront là-bas, ils y feront tout... Et pourtant, ce n’est qu’une petite partie de leur vie... Une fine tranche. Elles, futures présidentes, mais elle le savent tôt. Eux, les Shinobi'S, concurrents encore en ligne pour nuire à l'Akatsuki. Rien ne les rapproche, rien ne les sépare. Pourtant, les liens vont se créer...
Spoil | Général | Mots: 3568 | Comments: 7 | Favs: 21
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fanaruto1996 (Féminin), le 08/09/2008
Voilà une deuxième fic, dans mon domaine - les S-fic-.

C'est tout ^-^

RAPPEL : Aucun plagiat, je suis missye89 sur fanfics-fr.net.




Chapitre 1: Parce qu'il y a toujours un premier contact.



Prologue
Parce qu’on a toujours un premier contact.

***
L’Etablissement de la Konoha School était vraiment grand. Etant un lycée qui donnait des cours normaux, mais aussi des cours d’arts, et en sachant que c’était aussi un internat avec un self, on ne s’étonnait plus vraiment de la grandeur des bâtiments.

Pourtant, il y avait de quoi s’extasier : de grands bâtiment de couleur beige, avec des fenêtres avec des vitraux, de grands portes en acajou menant à l’intérieur, des portes menant aux salles de cours avec du verre…
Tout ce décor avait été établi l’année précédente, et le lycée ouvrait demain.

Dans ce lycée, il n’y a que les élèves de riches, qui étaient intelligents qui étaient acceptés. Malheureusement, il y avait aussi des personnes qu’on appelait « poufs » qui étaient présentes, trop présentes. C’était les filles qui se plaignaient auprès de leur famille, et qui obtenaient tout ce qu’elles voulaient, malgré leur manque d’intelligence.
Heureusement, il restait encore des filles normales.

La directrice de cet établissement était Tsunade. Cette femme, d’une cinquantaine d’années, cinquante-deux pour être exacte, était une blonde normale, avec des cheveux qu’elle attachait très souvent en deux couettes basses qui lui revenaient sur les épaules. Ses yeux étaient d’une couleur noisette, et il y brillait toujours un éclat sévère.
Tsunade avait aussi une très forte poitrine ; elle s’habillait souvent d’un pantacourt noir ou vert foncé, avec par-dessus, une tunique de couleur d’une couleur grise, avec une large ceinture verte ou noire en dessous de ses seins.

Cette femme était, en fait, un ancien médecin reconnu sur toute la planète. Elle avait guéri les cas les plus durs ; elle inspirait le respect à tous les autres médecins, et à toutes les personnes connues.

Personne n’avait eu de réponse précise quand on lui avait demandé pourquoi elle avait décidé de construire cette école : en effet, elle restait muette comme une tombe. Même son assistante, Shizune, n’était pas au courrant.

Cette dernière était une femme sortant de l’adolescence, avec une coupe de cheveux assez courts, noirs, et des yeux aussi noirs. Elle se promenait souvent, et elle connaissait Tsunade depuis ses débuts.
Elle était aussi la seule personne en qui la blonde avait confiance.

Donc, cet établissement avait tout pour être parfait. Même le décor intérieur était magnifique ; des objets en verre, en cristal, des statuettes rares en bois sculpté, des objets entièrement constitués d’ambre pur, et autres, encore en pierres précieuses.
Les chambres seraient nettoyées le lendemain matin, à la première heures, ou les dames de ménage vérifieraient que tout était en place.
Ces chambres étaient on ne peut plus bizarre, et semblaient faîtes pour que tout soit parfait. Les adolescents se sentiraient à l’aise, car ils avaient tous leur propre confort.

Ainsi, sur les fiches d’inscription, il y en avait une spéciale pour les couleurs que la personne préférait, ses préférences, etc. Autant dire que tout avait été étudié scrupuleusement, en ne laissant aucun détail passer.

Une chambre normale était comme telle : quand on rentrait, on tombait sur une petite pièce. Il y avait un porte manteau accroché au mur, pouvant exactement avoir cinq manteaux, ou plus si on mettait un manteau sur un autre. Il y avait alors trois portes : l’une en face de nous, une a droite et une autre sur le côté gauche.

Sur celle tout droit, on tombait sur un salon, grand et bien aéré. A l’intérieur, c’était magnifique. Sur la gauche, il y avait deux ordinateurs, le dernier modèle sortit. Sur la droite, un peu plus au fond, une télé avec écran plasma cent sept centimètres, avec sur le côté du meuble, des DVD. Derrière une vitre en verre se fermant, il y avait plusieurs consoles : Wii, PS3… Et encore d’autres modèles.

Sinon, il y avait une grande bibliothèque, avec plein de livres classé par sujets, puis par auteur. Il y avait également un grand buffet ; à l’intérieur, des verres, des assiettes, et tout le nécessaire pour un repas. Et enfin, dans le milieu de la pièce, une grande table en acajou pouvant laisser cinq personnes s’asseoir autour.

De plus, à côté, il y avait une porte attenante : la cuisine. Une gazinière, un four, des casseroles, des poêles, un frigo avec de la nourriture pour le matin, un placard avec des éléments se conservant à température ambiante… Toute personne qui voyait ses détails comprenait que le matin, ils devaient manger ici.

Quand, dans le petit vestibule, on prenait la porte de droite, on tombait sur une salle de bain. Carrelée de noir et de blanc, de blanc et de bleu foncé, de noir et rose… A la volonté des occupants.
Il y avait tout d’abord une douche, et une baignoire entièrement faite d’ambre, dans laquelle on pouvait prendre un agréable bain. Un lavabo, en ambre, avec un robinet en fer. Après, il y avait un porte-serviette chauffé, avec dix serviettes. Les plus petites étaient pour se sécher les cheveux.
Puis, seul inconvénient : les toilettes étaient dans la salle de bain. Mais ce n’était pas très grave. Les pensionnaires s’en accommoderaient !

Enfin, quand on prenait la porte de gauche, on tombait sur une simple pièce avec un meuble pour mettre les chaussures. Après, il y avait cinq portes : les chambres. Chacune, pour les filles, contenaient un lit à baldaquin, avec des draps et des baldaquins de la couleur préférée de l’occupante ; une coiffeuse, avec un grand miroir ovale, et des tiroirs avec des brosses. Il y avait aussi, devant la coiffeuse, un tabouret avec un rembourrage en velours. Ensuite, on voyait en grande armoire en acajou : elle allait contenir tous les habits.
Il y avait un petit placard à plusieurs étagères, on pouvait mettre des produits de beauté ; en effet, le règlement disait d’apporter ses propres produits ; car personne n’était pareil, et tous avait besoin de produits différents.

Voilà. Les chambres étaient magnifiques ; le petit appartement, car on pouvait appeler ça comme ça était aussi réussi.

***
Le matin avant l’ouverture du lycée, Tsunade avait demandé qu’on appelle cinq filles pour qu’elles viennent la voir personnellement. Elle avait aidé Shizune à choisir, très tôt, pour que les jeunes filles aient le temps de venir.

Donc, l’après-midi même, juste après que Tsunade ait mangé, les cinq filles étaient arrivées. Elles n’avaient que deux points communs : elles habitaient Konoha, et elles étaient inscrites dans le lycée.

Elles étaient toutes les cinq assises sur les chaises en acajou du bureau de la blonde, sur des coussins en velours. Toutes étaient parfaitement assises, mais différemment : ainsi, l’une croisait les jambes, les mains sur les genoux, une autre avait les jambes bien parallèles et les mains sur les genoux, une autre croisait les bras et avait les jambes croisées, et encore une autre avait simplement les bras croisés. La dernière n’avait pas de position particulière : elle avait les bras légèrement posés sur les cuisses, le dos légèrement voûté.

Personne ne parlait : il n’y avait que leur souffle calme qui brisait ce silence pesant. Tsunade les examina tour à tour… Est-ce qu’elle avait eu raison de les choisir, elles, et pas d’autres personnes ?

On avait, tout d’abord, à l’extrême gauche, une jeune fille avec les cheveux noirs, avec beaucoup de reflets bleutés. Ils étaient longs, et lui arrivaient un peu avant le creux des reins. Deux mèches se détachaient du reste des cheveux, pour venir encadrer son visage. Ses yeux étaient d’une magnifique couleur laiteuse, opale ou crème. Son teint était très pâle : on aurait dit qu’elle passait son temps enfermée, jamais au soleil.
Elle portait une petite robe bleue nuit, qui lui arrivait aux genoux. Sans motifs particuliers, il y avait juste une ceinture, noire, qui lui enserrait la taille. Elle portait d’élégantes petites ballerines avec des talons de deux centimètres.
Sa couleur préférée constituait la plupart de son habit : le bleu nuit...
De près ou de loin, on dirait une jeune fille fragile et timide. Et ce n’était pas une impression : en effet, la jeune fille était très peu affirmée de caractère, et entre les cinq filles, c’était celle qui en avait le moins. Malgré tout, c’était une fille réfléchie et qui savait parfaitement se sortir de situation délicates.
Sa passion était le dessin. Elle dessinait quand elle était seule et qu’elle s’ennuyait, moments qui ne manquaient pas jusqu’à maintenant dans sa vie. Elle s’investissait à fond dans ses dessins. Quoi qu’il lui passe par la tête, elle le dessinait et c’était tout le temps réussi.

Elle, c’était Hyûuga Hinata. Jeune fille de 16 ans.

A côté de la timide Hinata, on avait une jeune fille magnifique. Elle avait les cheveux d’un blond platine, attachés en une hautes queue de cheval et épargnant une longue mèche de cheveux qui lui revenait devant les yeux. Ses yeux, justement, étaient grands et d’une magnifique couleur turquoise. A l’intérieur brillait un éclat joyeux. Son teint était couleur de pêche ; elle passait de longue heure au soleil, sans jamais beaucoup bronzer.
Elle avait un jean, la base de beaucoup de tenues, avec un petit top jaune et violet, ce qui donnait un étrange mélange de couleur, qui s’accordait pourtant parfaitement avec l’impression folle qu’elle donnait. En chaussures, elle s’était contentée de ballerines violettes.
Ses couleurs préférées étaient le jaune et le violet...
De près ou de loin, on voyait une jeune fille parfaite au caractère explosif, qui ne se laissait pas vraiment faire. Des cinq filles, c’était la deuxième au caractère le plus doux. Parce que, malgré son caractère explosif, elle ne pouvait rivaliser avec les trois autres. Malgré tout, elle était très intelligente, et ses amies pouvaient compter sur elles.
Elle avait deux passions, qui s’accordaient bien ensemble : le stylisme et le défilé. En effet, elle adorait habiller tous les mannequins qui reposaient chez elle, et elle aimait se vêtir de ses propres vêtements. La deuxième, le défilé, venait de sa mère. La mère de la blonde était mannequin, et avait appris les secrets d’un bon défilé à sa fille, qui voulait suivre les mêmes pas.

Elle, c’était Yamanaka Ino. 16 ans.

Sur la chaise du milieu, à côté de la blonde platine, il y avait une autre blonde. Ses cheveux étaient d’un magnifique blond cendré, et ils étaient attachés en quatre couettes courtes, ne laissant s’échapper aucune mèche rebelle. Ses yeux étaient verts sapin ; leur couleur foncée et envoûtante avait un éclat continuel de joie, contrastaient fortement avec son teint légèrement hâlé.
Elle avait un pantacourt noir, un débardeur de la même couleur, avec une tête de mort blanche dessus. Elle avait des bottes, ce qui lui donnait une touche d’originalité, qui se remarquait dès le premier petit coup d’œil.
Sa couleur préférée, très marquée, était le noir.
On voyait que cette blonde avait un caractère explosif ; elle ne semblait pas se laisser faire. Mais son caractère explosif ne l’était pas vraiment ; en effet, la blonde était surtout une féministe qui n’avait plus rien à prouver. Elle était donc la troisième au caractère le plus explosif, malgré son rôle de féministe – qu’elle prenait à coeur. Elle n’hésitait pas à foncer dans le tas quand quelqu’un qu’elle aimait – ou aimait bien – était en danger. La fille aux yeux sapins était trop insouciante…
La blonde avait, comme Ino, deux passions : la première était le sport, qui occupait quasiment tout son temps libre. Elle aimait tous les sports, sauf les sports zen. En effet, elle avait horreur de la tranquillité… Et de la zénitude. Mais depuis peu, elle s’était découvert une deuxième passion : la photographie. Elle adorait prendre un appareil photo et chercher le meilleur angle pour un cliché, surprendre les gens avec le flash…

Elle, c’était No Sabaku Temari. 17 ans.

La quatrième fille – ou l’avant-dernière, au choix – assise à côté de Temari, était une magnifique jeune fille aux cheveux… étonnamment roses. Ces derniers étaient très longs, et lui arrivaient aux fesses. Aucune mèche rebelle ne se détachait de la cascade rose. Ses yeux, d’une couleur émeraude, étaient grands, et plus rien ne semblait les étonner. Aucun éclat particulier n’y brillait. Quoique, à bien y regarder, si. L’éclat terne de la monotonie et celui de l’ennui. Son teint était pâle, ou plutôt laiteux.
Elle avait un haut à manches longues, blanc, ornée de dessins tribaux – très beaux – en noir. Sa minijupe, signe de son excentricité peu avouée lui donnait un style. Et ses bottes en cuir noir complétaient l’ensemble avec classe.
Bien qu’invisible sur elle, sa couleur préférée était le rose.
La jeune fille semblait, malgré tout, très agressive. Aucune lueur ne le signalait, mais à son regard un peu sauvage, on le voyait. La deuxième au caractère le plus explosif, semblait-il. La jeune fille semblait lassée de toutes les années, mais semblait aussi ne faire confiance à personne. Elle regardait avec méfiance les personnes qui l’entouraient, avec des regards très furtifs. Malgré tout, elle semblait capable de tout. Elle ne semblait pas insouciante, mais pas trop réfléchie non plus.
Elle aussi, et les deux blondes à sa droite, elle avait deux passions. Comme toutes filles de son âge, elle avait rêvé de pourvoir devenir célèbre, de devenir chanteuse. Mais ce que la jeune fille aux cheveux roses avait en plus, c’était une magnifique voix, qui lui promettait une magnifique carrière. De plus, avec son agilité, elle dansait. Elle prenait des cours de danse depuis ses six ans, et avait déjà fait partie d’une chorale. Tout le monde l’admirait, pour ses talents.

Elle, c’était Haruno Sakura. 16 ans.

Enfin, à l’extrême droite, la dernière fille, à côté de Sakura. De par sa coiffure, elle se détachait nettement des autres. Ses cheveux châtains foncés étaient rassemblés en deux gros chignons, bien symétriques, d’où s’échappaient quelques mèches pour former une petite frange. Ses yeux étaient un mélange de couleur ambre naturelle et de noisette. Le tout brillait d’un éclat… farceur et sauvage. Son teint était entre le pâle et le normal ; la jeune fille sortait régulièrement, mais pas pour bronzer.
Elle avait une jupe qui lui arrivait aux genoux, d’une couleur rouge. Son haut était un T-shirt rouge rayé de blanc, avec une couronne noire dessus. Elle avait opté pour des ballerines noires pailletées.
Sa couleur préférée, et ça se voyait, était le rouge.
Elle était sûrement la plus sauvage et colérique ici. Il n’était pas facile, dès le premier regard, de la trouver agressive. Pourtant elle l’était. Certes, un peu moins que Sakura, mais avait un caractère plus affirmé. Pas lassée de la vie pour deux sous, elle semblait vouloir croquer la vie à pleines dents, et ses cernes sous les yeux indiquaient qu’elle allait souvent en boîte. En gros, c’était une fille qui ne se laissait pas abattre.
Comme Hinata, et contrairement aux trois autres, elle n’avait, elle, qu’une passion : l’écriture. Elle adorait raconter l’imaginaire, ou alors tenir son journal intime en détaillant tous ce dont elle se rappelait d’une journée. Bien que cette passion était contraire à son caractère, elle aimait vraiment écrire. D’ailleurs, elle avait déjà fini un de ses nombreux livres, qui étaient toujours en vue sur son bureau, même si elle n’avait plus d’idée. Et quand elle s’ennuyait, elle écrivait également. Encore que personne n’avait eu la chance de lire ne serait-ce qu’une phrase de ses livres.

Elle, c’était Hitora Tenten. 17 ans.

Tsunade connaissait leurs dossiers par cœur, pour les avoir étudiés, bien que n’ayant que très peu de temps. Elle ne soupira pas, malgré son envie grandissante de le faire et prit la parole :

- Bonjour. Je suis Tsunade, la directrice de cet établissement. Je vous ai convoqué un jour avant la rentrée, et ce, pour une raison particulière.
- Laquelle ? Demanda l’inépuisable macaronée.
- J’y viens. Tout d’abord, vous ne connaissez pas encore le système. Mais vous savez que vous avez une passion, qui vous a été « étrangement » demandée.
- Bon… Pourquoi sommes nous là ? Demanda Temari.
- Eh bien… D’habitude, les élections des présidents des élèves et vice-président des élèves se font assez tard pendant le premier trimestre, dans les lycée et collège.
- Nous sommes présidente et vice-présidente ? Demanda Ino.
- Oui. Dans ce lycée, je préfère choisir les présidentes et les vice-présidentes moi-même. Donc, je vous aie convoquées pour vous informer de votre nouveau poste.
- Je… On… Peut… Re… Refuser ? Demanda timidement la brunette.
- Bien sûr. Mais… Bien sûr, Répondit Tsunade, sans approfondir.
- Ah ! Parce que tu veux refuser ? Demanda Tenten.
- Moi, j’n’refuse pas ! Affirma Ino.
- Moi non plus… Dit simplement la rose.
- Bon. Et vous, Temari et Hinata ? Demanda la directrice.
- J’a… J’accepte… Hésita la brunette.
- Ben moi, c’est tout vu ! S’Exclama Temari.
- Très bien, Fit simplement Tsunade.
- Tsunade-sama… Lâcha Shizune.
- Oui ?
- Il serait temps de les faire visiter, et de leur dire ce que leur incombe leur tâche, s’expliqua Shizune.
- Bien, tu as raison Shizune. Alors, ce rôle de présidente vous donne d’abord l’accès à une chambre – collective – plus grande. Ce privilège est peut-être injuste, mais il est donné comme récompense. Le travail de présidente n’est pas de tout repos, contrairement à ce que l’on croit. Après, pendant deux heures le samedi, vous serez convoquées ici, pour les changements nécessaires, les besoins de matériel, etc. Vous ferez la correspondance entre moi et les classes, après une réunion que vous dirigerez le vendredi soir, au réfectoire - sauf pendant les annonces officielles. Enfin, j’ai appris que le gang des Shinobi’s et le gang d’Akatsuki sont inscrits. Ils se détestent comme chiens et chats, et je vous demanderais de les surveiller de très près.

La directrice avait bien évidemment vu le hoquet de surprise de toutes les jeunes filles à l’annonce du gang de l’Akatsuki. Etait-il aussi connu qu’il en avait l’air ? Se posant mille questions, elle continua :

- Vous pouvez toujours vous défiler maintenant, surtout si vous avez peur du gang d’Akatsuki.

Un rire cristallin empli la pièce. On aurait dit que plusieurs personnes riaient, mais non. C’était Sakura qui rigolait comme une petite folle. De la part de cette fille, c’était plutôt étonnant…

- Hum… Se reprit-elle. Je suis la sœur de Sasori.
- Ah bon ? Demanda alors Tenten. Moi ; Itachi Uchiwa est un de mes amis proches…
- Bien… D’autres connaissances, tant qu’on y est ? Interrogea, ennuyée, Tsunade.
- Oui… Marmonna Ino. Deidara est mon cousin...
- Konan… ma… sœur… Bégaya Hinata.
- Et, ben, moi, je traîne souvent avec Hidan et Kakuzu… Marmonna Temari. Et Pein.
- Super, lâcha, sarcastique, la blonde. Bien, soyons sérieuses. D’un côté…
- C’est avantageux qu’on les connaisse, non ? L’Interrompit Ino.
- Oui, j’y venais, Fit Tsunade, commençant à s’impatienter. Donc, ça nous avantage. Vous pourrez sûrement les empêcher de créer des violences – verbales et physiques. Savez-vous ce qui vous attend, demain ?
- Non, fit simplement Sakura.
- Demain matin, à sept heures et demi ici. Nous préparerons les discours…

Avant que la directrice ne puisse poursuivre, Shizune soupira. « Elle ne veut pas avouer qu’elle a besoin d’aide pour ce discours ! » S’exaspérait-elle intérieurement.

- Vous serez sur l’estrade avec moi et Shizune. Ensuite… Je parlerai, je ferai mon discours. Je vous présenterai, bien sûr. Nous allons de suite définir vos rôles, qui seront très précis...
- Avouez que vous ne savez pas écrire un discours ! La contredit Tenten.
- Je n’ai pas…
- Elle à raison, Mickey ! Renchérit Temari.
- Nan mais oh ! Tu te prends pour qui, là, avec tes quatre arbres plantés dans la tête ! Répliqua acidement la macaronée.
- Mais calmez-vous ! S’énerva Sakura, qui perdait peu souvent son sang-froid.
- Et toi, Bubble-gum… Commencèrent les deux filles à l’unisson.
- TAISEZ-VOUS !!!!!

La directrice était exaspérée, ennuyée, et très remontée.

- VOUS ALLEZ VOUS CALMEZ ? NON MAIS OH ! CE N’EST PAS LE CLUB MED ! Hurla Tsunade.

Les cinq jeunes filles reprirent leur calme, et la discussion continua :

- Donc, en tant que présidente, il me faudrait des personnes fortes de caractère qui ne se laissent pas facilement influencer... Commença Tsunade.

Aussitôt, Sakura – qui semblait soudainement intéressée - et Tenten crièrent :

- Moi !
- Et bien, c’est d’accord. Ensuite, de vice-présidentes... Et d’une personne joignable partout, si il y a une situation grave et qu’une président doivent rester sur place, une personne qui soit toujours dispo et qui a tout le temps son portable allumé...
- Jai... Tout... Le temps... Mon... Por... Portable... Allumé... Bégaya Hinata.
- Ok. Ino et Temari, vous êtes les vice-présidentes. Allez visiter vos appartements avec Shizune...

Plus rien d’intéressant, ce jour-là, mise à part que Shizune fit visiter leur petit appartement, dont la taille était plus grande que les autres.
Il était situé au rez-de-chaussée des bâtiments avec les dortoirs. Il avait été prévu qu’au début, Tsunade vienne avec son assistante pour la visite. Mais la blonde estimait qu’elle en avait assez vu le jour même, n’osant même pas imaginer ce qu’allait donner l’année entière.

Temari, Tenten et Sakura jurèrent que si, en période scolaire, quelqu’un les réveillait, elles leur passeraient un sacré savon.

***
Voilà mon prologue ! J’espère qu’il vous a plus… Le chapitre 1arrive bientôt !




Voilà, j'espère que ce prologue vous a plus ^-^

Le chap un sera mit ne ligne un peu après celui de "l'ombre des déserteurs".




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