Fiction: Les petites pensées mesquines de sannins

La vie quotidienne des trois sannins, racontée par eux-mêmes, tout simplement. HUMOUR
Humour | Mots: 10971 | Comments: 30 | Favs: 42
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OroTsu (Féminin), le 21/08/2008
Deuxième chapitre, pour le meilleur et pour le rire ! (je sais, c'est minable T__T)



Chapitre 2: Mission



Pensée de Jiraya.

Il y a des jours où on a pas envie de rire.

C’est vrai. On est super en rogne, et tout.

Mais parfois, la matinée commence mal, mais quelque chose vous redonne le sourire.

Or, là, c’est exactement mon cas.

Non, sérieusement, de loin il commençait déjà à m’exaspérer, mais de près…

Vous avez déjà regardé E.T ?
Si oui, imaginez l’extraterrestre… avec des cheveux longs et ondulés.

Voilà. Et bien c’est Orochimaru.

Je me demande comment il a réussi à se rendre aussi ridicule.

C’est un sketch. On se paye ma tête.

Mais vu la tronche qu’il tire… ça m’étonnerait.
Je crois que si quelqu’un l’avait torturé, ça aurait fait pareil.

Imaginez donc un extraterrestre à tignasse ondulée et qui fait une grimace contrariée.

Vous comprenez, maintenant, pourquoi je me roule par terre ?

Si vous ne comprenez pas, j’en déduirai que vous connaissez des E.T à tignasse ondulée et à grimace contrariée.

Vous avez du soucis à vous faire.

Vous habitez sur Mars ?

Bon, on s’en fout.

Sarutobi-sensei vient à peine d’arriver, et j’ai vu un sourire amusé au coin de ses lèvres.
Il ne m’a même pas engueulé quand il m’a vu écroulé par terre en hurlant de rire.
Heureusement qu’il est arrivé deux secondes après nous, sinon Orochimaru m’aurait étranglé.

Ou ébouillanté.

Ou égorgé.

Enfin, je sais pas, moi. En tout cas il m’aurait tué.

Et si possible, dans le plus de souffrances qu’il aurait pu.

C’est Oro, quoi.
Faut pas s’attendre à un attendrissant petit enfant…

Aux cheveux ondulés.

Arrêtez, je vais mourir d’une crise cardiaque.

Quand notre senseï lui a demandé ce qui lui était arrivé, il a grogné un espèce de truc ou j’ai compris « mgngngngngcafémgngmngnalabourregngngngmalréveillégngngnpanne ».

Ah, parce qu’il se lisse les cheveux le matin ???

Pour la première fois de toute mon existence…

Oro vient d’égayer ma journée.



Ah, quand même.

Sarutobi-sensei vient de me demander d’arrêter de ricaner comme un veau.

Ça ricane, un veau ?

Ah bon.

Enfin bref, j’ai essayé de me calmer (donc j’ai évité de regarder Orochimaru, sinon j’aurais encore craqué), je me suis levé, tremblant, encore, et j’ai essuyé mes larmes de rire.

Orochimaru, lui, semblait avoir honte, mais à un point que vous n’imaginez pas.

En même temps je le comprends.

Moi aussi, à sa place, j’aurais envie d’aller me cacher.

En plus, ça a dû coller une de ces tartes à son ego…
Lui qui tient tellement à sa petite face de mijaurée…

Mais, en parlant de mijaurée… où est Tsunade ?
D’habitude, elle arrive à peu près en même temps que moi.
Sauf quand elle croit qu’elle est en retard alors qu’elle a une heure d’avance.

Rigolez pas. C’est déjà arrivé.

Sarutobi-sensei consulte nerveusement sa montre.
- Tsunade ne s’est pas réveillée ?

Orochimaru ne répond pas. Moi, je lui répond que j’en sais rien, que je ne vis pas avec elle.

D’ailleurs, il ne manquerait plus que ça.

Je crois que la seule personne qui peut supporter cette prétentieuse, c’est son petit frère.
Et un espèce de mec aux cheveux bleus qui la regarde souvent, de loin.

Je sais pas qui c’est, lui.

Mais il a vraiment une tête d’attardé.
Je lui la casserait bien, sa tête.

Ne croyez pas que je suis jaloux, mais il a une bonne trombine de souffre-douleur.
Comme je suis celui d’Orochimaru, ce mollusque sera le mien.

Tiens… la voilà.

Tsunade est hyper discrète. Elle court vers nous en hurlant « DESOLEEEEEE JE SUIS EN RETAAAARD !!!! ».

Orochimaru se tient la tête et grogne. Avec ses cheveux devant les yeux, on dirait une version brune et ondulée du cousin Machin.

Ondulée…

Non, j’arrête.

Tsunade bugue, elle aussi, sur la coupe de cheveux d’Oro. Il faut dire que pour elle, c’est pas glorieux non plus. Elle n’a pas eu le temps de se sécher les cheveux, du coup elle les a collés sur sa tête. On dirait un peu une momie.

Là, par contre, je ne dis rien. Parce que Sarutobi-sensei ou pas Sarutobi-sensei, Tsunade m’aurait collé ni une ni deux un bon coup de poing en pleine gueule.

Ça fait MAL, les coups de poings de Tsunade.

Oro a dû se retenir de lui coller une tarte, quand elle lui a demandé si il avait été chez le coiffeur. En même temps, c’est la troisième fois qu’il entend ça.

Il boude.

Ou bien il dort sur place.

Tsunade bafouille quelques excuses à propos de sa mère, de douche et de KonohaTella.

Je sais pas comment elle fait pour bouffer ça. C’est tout simplement immonde.

En plus, c’est cher.

Bon, Sarutobi-sensei a avalé ça. Peut-être qu’il va nous dire quelle mission il nous confie…
Si c’est pas trop lui demander !

Oh putain.

Encore une mission de rang D ???



Pensée de Tsunade.



Vous n’allez pas croire ce que j’ai vu, en arrivant au point de rendez-vous.

Oui, exactement. Une fille aux cheveux ondulés.


Je me demande comment vous faites pour deviner aussi vite.

Pour lire mes pensées aussi, d’ailleurs.

J’ai réalisé en voyant un espèce d’œil de serpent plein de frustration derrière les cheveux que c’était Orochimaru.

Wahou. S’il voulait se donner un nouveau style, c’est réussi.

Par contre, on dirait que cet abruti de Jiraya est tout rouge.
Moi aussi, d’ailleurs, je me retiens de rire.

Je ne sais pas ce qu’Oro serait capable de me faire.

C’est un psychopathe ce mec.

Bref, j’ai fait mes excuses à Sarutobi-sensei. C’est la faute à ma mère.
Entièrement.
La matinée commence vraiment mal.

Mais par rapport à Oro, je ne suis pas à plaindre.

D’ailleurs, il s’est hyper vexé quand je lui ai demandé s’il était allé chez le coiffeur. Je me demande bien pourquoi, c’était juste une question comme ça…

Enfin bref, on dirait qu’il boude.

Sérieux, là, il a vraiment l’air d’un mollusque.

Qu’est-ce qu’il lui est arrivé ??

C’est vrai qu’il a toujours eu un style un peu space.

Mais les cheveux ondulés, c’est une première.

En plus, il a des énormes valises sous les yeux. On dirait qu’il dort éveillé.

Oh, et puis après tout, je m’en fous, moi, d’Orochimaru.

C’est qu’un pauvre type, et un mufle de première.

En plus, il paraît qu’il a jamais eu de copine.

La honte.

Mais pourquoi Jiraya me reluque comme ça ??
J’ai un truc sur le nez ??

Ah non, c’est ma coupe de cheveux.

Eh ben oui, je n’ai pas eu le temps de les sécher.

Sinon j’aurais été encore plus en retard.
Et ces crétins sont capables de partir sans moi.

Non, je ne déconne pas.

Tiens, Sarutobi-sensei nous annonce notre mission du jour.

Je vois une énorme grimace contrariée sur le visage du pervers.
Dois-je lui rappeler que la dernière fois que nous avons fait une mission plus haute que de rang D ou C, il a failli y laisser la peau ?

Non. Ça serait trop cruel.

Pauvre bête.

Je le menace du poing pour qu’il arrête ses conneries.

Bon, ok, c’est une mission de rang D, mais que voulez-vous qu’on y fasse ?
On est genins, après tout. Faut pas trop nous en demander.
Le regard d’Orochimaru est inexpressif.

Comme d’hab.

Il garde toujours tout pour lui, de toute façon.

Alors… la mission consiste apparemment à aller recrépir un mur…
Et à recarreler une salle de bain.

Sarutobi-sensei nous dit que nous ferons le crépi le matin, et le carrelage l’après midi.

Choueeette.

J’adore crépir les maisons.

Surtout que je ne sais pas faire.

J’échange un regard à Jiraya. Le pauvre, il est furibond.

Et moi, j’ai mal au ventre.

Je ne peux pas digérer un pain au lait sans KonohaTella.

C’est dans ma tête, ouais, ben c’est aussi dans mon estomac, parce qu’il se retourne à chaque pas que je fais.

Nous nous dirigeons vers la maison du mec qui nous a demandés de refaire le crépi.
Si ça continue, je vais le lui refaire toute seule, son crépi, tellement que je me tords de douleur.

Jiraya vient de me demander si j’avais mes règles.

Je fais quoi ? Je lui dégueule dessus ou je reste calme et lui réponds de la fermer ?
J’opte pour la deuxième proposition.

Parce qu’il risquerait de se venger, après.

Et quand il se venge, c’est méchant.

Il a pas le même style qu’Orochimaru, mais je déteste ses vengeances.

Il y a même des fois où il se venge quand je n’ai rien fait.

Mais bon, ça c’est une autre histoire.

Je lui réponds avec amabilité de fermer sa grande gueule, et puis je me tourne, tombant sur le visage une fois de plus inexpressif de notre cher et tendre coéquipier aux cheveux ondulés.

Je lui demande encore une fois pourquoi il est comme ça.

D’une voix GENTILLE.

Et lui, il ne prend même pas la peine de se tourner pour me répondre.

- Plus de Café… me marmonne celui-ci d’une voix endormie.

Je vois.

Moi c’est le KonohaTella, lui c’est le café.

Remarquez, quand je n’ai pas mon KonohaTella je ne me ramène quand même pas avec une gueule pareille…

Le manque de café peut nuire.

Vous ne me croyez pas ? Regardez Orochimaru.

S’il avait vraiment été frais, il n’aurait jamais accepté de se ramener avec des cheveux comme ça, au risque d’arriver en retard.

C’est pour ça que quand il pleut il se barre en courant jusqu’à un porche, ou un endroit abrité…

Aaaah.

Tout s’explique.

Je souris intérieurement.

Quand je pense que cet abruti de Jiraya a l’air de n’avoir aucun problème…
Lui, il ne mange pas de KonohaTella. Il n’aime pas ça.
Il ne boit pas de café. C’est son père qui le taxe.

Et il ne fait pas gaffe à son image.

Il a tout le temps une gueule d’abruti.

J’aimerais bien être comme lui.
Non, pas abrutie, mais je sais pas, pas complexée, quoi…
Tiens, en parlant du loup, ce débile a le ventre qui grogne.

Je râle. Il réplique que ça n’est pas lui qui contrôle les bruits de son corps.

Arrêtez, je vais craquer.

Je suis déjà d’assez mauvaise humeur.

S’il en rajoute une couche, Sarutobi-sensei devra déclarer sa mort.
Ou du moins l’emmener à l’hôpital.

C’est déjà arrivé.

Nous arrivons devant la maison du type qui nous a confié cette mission.
Bordel.

On en a pour la journée !!


Pensée d’Orochimaru



Je savais que ma journée allait être merdique.

Mais à ce point, je n’imaginais même pas.

Quand cet abruti de Jiraya s’est trouvé à ma hauteur, il a d’abord reculé d’un pas.
Puis il m’a examiné lennntement…
Puis il m’a dit :

« Oro… tu es allé… chez le coiffeur ? »

Oui, je sais, il se foutait de ma gueule.

Mais j’y peux quoi, moi ?

Je n’AVAIS PAS LE TEMPS.

En plus, j’ai les idées un peu embrouillées, ce matin.

Je n’ai pas répondu, alors il a éclaté de rire et il s’est affalé par terre.
Si seulement il avait pu s’étouffer de rire, ce pauvre crétin…

J’allais me faire une joie de l’aider à faire ceci, mais notre cher sensei est arrivé.
Alors je suis resté planté debout.

Heureusement que j’ai le visage caché derrière mes cheveux…

Si vous avez vu l’exorciste, je ressemble à la petite fille possédée.

Enfin, je crois. Je n’ai jamais vu le film.

Bref, quand il m’a vu, je l’ai vu sourire.

Sou-rire.

Heureusement que c’est mon maître, et que je suis fatigué, sinon je lui aurai cassé la figure.

Je déconne pas.

J’ai envie de le frapper.

« Dis-moi, mon petit Orochimaru… tu es allé chez le coiffeur, hier soir ? »

Je l’ai regardé d’un œil furieux.

Mais je sais pas s’il m’a vu.

Qu’est-ce que j’ai été con, aussi, d’avoir oublié le café.

Moi, je n’oublie rien d’habitude !

Pourquoi il a fallu que ça tombe AUJOURD’HUI ??

Je me lève en retard.

Je n’ai pas le temps de me lisser les cheveux.

Je n’ai pas de café.

En plus, ce verre de lait m’a endormi.

Si j’étais réveillé, Jiraya souffirait.

Vous me conseillez quoi, comme type de torture ?
Non, en fait j’ai pas besoin de votre aide.
Je peux très bien me débrouiller tout seul.

Cassez-vous, d’ailleurs. J’en ai marre qu’on lise ce que je pense.
Si vous êtes pas contents, allez lire les pensées de l’autre abruti.
Et venez me les dire, après.

Ku ku ku ku ku ku !

A la vue de mon petit regard terriblement suppliant, Sarutobi-sensei ordonne à Jiraya de se lever, et d’arrêter de ricaner comme un veau.

Je ne savais pas qu’un veau pouvait ricaner.

Remarquez, ce connard avait déjà la tête de l’emploi.

Alors s’il rigole pareil, avec l’autre dinde qui est dans la même équipe et notre vieux coq de sensei…

Je me retrouverai dans une ferme.

Ouaiiiis…

Super, Orochimaru à la basse-cour.

On pourrait presque faire une saga.

Les aventures d’Orochimaru et de la dinde.
Orochimaru et les veaux.
Orochimaru contre le coq.

Ça claque.

(Je déconne).

D’ailleurs, où est-elle, l’autre ?
Il nous manque une équipière.
C’est pas elle qui arrive en courant ?
Qu’est-ce qu’elle a fait à ses cheveux, elle aussi ?
Bah.

Je bugue trop pour lui demander.

Je vais m’endormir sur place, si ça continue.

Dieu du café, offre-moi ta merveilleuse drogue…

Et je délire, en plus.

J’ai BESOIN de café.
C’est physique.

Tsunade me regarde bizarrement.
Quoi ? J’ai un bouton ?
Qu’elle me dise où qu’on en finisse.

« Oro… tu es allé chez le coiffeur ? »

Se contenir.
Ne hurle pas, Oro, elle frappe fort.

Non pas que j’aie peur d’elle, mais je ne suis pas assez frais pour me venger après.

Si ça se trouve, j’aurais même oublié.

Ah non mais je vous l’avais dit que pas de café pour moi c’était égal à pas disponible pour la journée.

K.O.

Out.

H.S.

Notre dinde nationale fait ses excuses à Sandaime.

« Pardon, sensei, mais je me suis levée en retard, en plus ma mère a encore squatté la salle de bain avec sa saleté de sèche cheveux, alors j’ai coupé le courant mais le temps de prendre ma douche il était déjà tard, en plus elle n’avait pas racheté de KonohaTella, alors il a fallu que je cherche autre chose à manger d’à peu près potable, et puis ensuite… »

Mais ça a tout de suite saoulé notre sensei (moi ça me gavait rien qu’avant qu’elle ouvre la bouche, mais bon).

Bref, il lui a dit que c’était bon, mais qu’elle ne recommence pas.

Quand je pense que cette bêcheuse est accro au KonohaTella…

Il n’y a pas plus dégueulasse que cette pâte à tartiner maronnasse

J’ai déjà goûté, et je vous assure que si vous voulez vous purger il n’y a pas meilleur moyen.

Et puis quand même.

Elle peut très bien s’en passer, non ?

On n’est jamais accro à quelque chose, on peut très bien vivre sans.

Regardez, moi je vis très bien sans mon café.



Non, j’ai rien dit. Je ne peux pas critiquer ça.

Elle non plus n’a pas l’air très bien.
Elle est toute verte…
En plus, elle a les cheveux qui ruissèlent presque, tous collés sur la tête.

Comme une méduse.

Haha. Elle est ridicule.

Ah. Notre cher Saru nous annonce la mission du jour.


Et merde.
Encore une mission de rang D.

Non, sérieux, vous me voyez, MOI, Orochimaru, faire du CREPI ??

Je ne dis rien.

Parce que je n’en ai pas la force, et également parce que j’ai appris à être silencieux.
Tsunade aussi, a imprimé l’idée.
A moins que ça ne soit le fait qu’elle soit malade.

Par contre, le veau (j’adore. Je vais tout le temps le surnommer comme ça.) n’a toujours pas compris que le sensei, c’est Sarutobi.

Alors il râle.

De toute façon, il ne sait faire que ça.


Faire du crépi…
Et bien, en avant…

Sur le chemin, je traîne des pieds. Ça n’est vraiment pas mon jour, aujourd’hui.
Tsunade est jaune, maintenant.

Elle se tourne vers moi, et me demande pourquoi je fais cette tête.
Je ne tourne pas la tête vers elle, parce que de face, c’est encore pire.

« Plus de café… » je marmonne.
Je ne l’envoie pas balader parce qu’elle serait capable de me vomir dessus.

En plus, elle vint de hurler après Jiraya parce qu’il lui a demandé si elle avait ses règles.
Les veaux n’ont aucune délicatesse.

A noter.

Elle me regarde d’un air désolé.
Il y a une certaine solidarité entre nous.

Elle, c’est son KonohaTella, moi c’est le café.
Nous sommes deux âmes en peine dans un monde d’incompris.

Si a se trouve, Jiraya se drogue…

Mais il a des réserves alors il est toujours frais et dispo.

Il n’y a pas de justice.

Erf.

Nous voilà devant la maison du type qui nous a confié cette mission ridicule.



C’est une MAISON, ça ???


Vous avez déjà vu un hangar ?
Mais un bon gros hangar, quoi.

Ben c’est ça.

En trois fois plus grand.

Et le type, il est devant sa piscine à lire une revue porno.
Jiraya fait une drôle de tête…

Si c’est la revue porno, à ce moment là notre cher pervers est non plus un veau mais un taureau.

Il faudra que je le précise à Sarutobi-sensei.

Le type nous adresse un salut de la main, et se lève.

Il est petit, et il a un bermuda à rayures vertes.
« Bonjour ! Vous devez être les genins… »
« Ouais. » répond Jiraya avec dédain.

Tsunade serre le poing. Elle re vire au vert.

On pourra s’en servir comme feu de circulation, si elle se met à rougir.

C’est déjà une allumée de naissance, de toute façon. (vous avez saisi la blague pourrie ?)

Il nous indique ce qu’il y a à faire.
Le crépi est posé dans des énormes sacs, à droite de la maison.
Personne n’a jamais fait de crépi.

Pas non plus cet abrutie de narratrice qui ne sait pas comment elle va raconter comment on s’est vautrés.

Tsunade se tient le ventre.
Ça fait tant d’effet que ça, le KonohaTella ??
Eh ben…

Sarutobi-sensei vient de nous ouvrir un sac.

Putain.

J’espère que ça rendra mieux quand ça sera sec.

Le crépi est….

ROSE.

Mais rose pouf, quoi.

Bien… flashy, comme dirait l’autre dinde.

Sarutobi nous fait signe.


… au boulot, les gars.




J'espère que vous avez ri, au moins... ^^



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