Fiction: Journal d'une invisible

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Tout autour de la petite table basse, assis sur les canapés et les fauteuils, le pseudo club de lecture s'était de nouveau réuni.

Hinata était confuse de voir à nouveau tout ce monde chez elle. Fort heureusement, sa famille n'était pas là; elle n'aurait pas pu supporter le regard étonné, voire un peu suspicieux de sa petite sœur une fois de plus. Shikamaru et Temari étaient assis sur le canapé, mais chacun à un bout, comme si l'autre était atteint d'une maladie contagieuse. Ils se plaçaient d'ailleurs tellement aux extrémités qu'une troisième place était envisageable entre eux.

Pourtant, personne ne s'y risqua tant l'atmosphère électrique entre eux était effrayante. Au contraire, Sasuke, Gaara et Hinata s'étaient tous éparpillés sur les fauteuils libres. Une seule personne, celle qui se trouvait pourtant au cœur de l'affaire, manquait à l'appel... c'est la réflexion que se fit la jeune fille aux yeux nacrés en parcourant tout ce beau monde installé tranquillement chez elle.

- Il a dit qu'il avait un truc à faire, marmonna Temari en captant son regard.

Comme elle l'avait prédit, Hinata rougit et baissa la tête. Le silence retomba, et Sasuke finit par prendre la parole :

- Bon alors, on en est où ?

- Ça avance petit à petit, répondit la blonde.

- Ce qu'il cherche surtout à savoir, c'est si on respectera le délai, répondit Gaara à voix basse.

- C'est galère votre histoire, marmonna Shikamaru. Vous avez vu le montant de la dette ?

- Merci pour l'encouragement, répliqua Temari d'une voix aigre.

- Je suis réaliste, c'est tout.

- Non, t'es là juste pour nous mettre ta mauvaise humeur sur le dos !

- Quoiqu'il en soit, répondit Sasuke avant que Shikamaru n'ait pu répliquer. Il nous reste peu de temps avant que Kabuto ne vienne récupérer son fric. On a réussi à en amasser assez.

Chacun énonça la somme qu'il avait gagnée. Bien que le total de 5000 euros soit quand même un joli paquet d'argent, Hinata se rendit compte que, malheureusement, c'était encore loin des exigences de Kabuto, et du montant exorbitant qu'il avait énoncé, soit 13 000 euros. Découragée, elle regarda les autres qui ravalaient leur déception en silence. Shikamaru se pencha tout à coup vers elle.

- Tu es sûre de vouloir continuer à être mêlée à cette affaire ?

A vrai dire, elle n'en savait trop rien. Ce serait mentir si elle disait qu'elle n'avait pas peur des conséquences que cela pourrait avoir sur elle ou même sa famille, et pourtant, le fait qu'elle et Naruto soient conscients du danger et qu'ils se protégeaient mutuellement lui donnait la force de continuer. Qui sait, c'était peut être ça, la vraie amitié.

- Il va falloir se donner encore plus, soupira Temari en se levant.

- On s'en va, dit nonchalamment Sasuke en faisant de même. Ce fut bref... Il faudra qu'on reparle de cette histoire, avec cette Tayuya...

Hinata approuva leur décision. Après tout, Hanabi allait revenir très bientôt avec son père, et elle n'avait pas envie que ce dernier voit ce club de lecture un peu particulier.

Il estimait qu'en tant que fille portant le prestigieux nom des Hyûga, Hinata devait avoir des fréquentations exclusivement bonnes. La demoiselle se prit à penser comment il réagirait si un jour il venait à apprendre l'implication de sa fille dans une mystérieuse affaire de drogue... Certainement serait-elle la cible d'ennuis monstrueux, peut-être même un bannissement de sa famille.

Mais l'heure n'était pas aux drames.

Tandis que tout le monde sortait, Shikamaru la regarda, avant de dire :

-Même si apparemment Uzumaki n'est pas encore sorti d'affaire, ne te force pas pour lui, Hinata. Ménage-toi, et dis-toi que dans tous les cas, tu peux encore te tirer de la merde où tu te trouves.

- M-Merci, Shikamaru, dit-elle à voix basse avant de refermer la porte après qu'il ait disparu dans l'allée.

Soupirant, elle alla se réfugier dans sa chambre, et y prit son fidèle journal intime.

Malgré le fait qu'elle n'était pas très emballée au départ, elle dut reconnaître que ce petit cahier lui avait fait beaucoup de bien. La main tremblante, elle écrivit aussi rapidement que possible, tandis que s'affichait sous ses yeux las une écriture brouillonne. Ce qu'elle avait surtout envie, c'était se vider la tête une bonne fois pour toute.


Cher Journal,

Aujourd'hui a eu lieu un bilan entre moi, Shikamaru, Temari, Sasuke et Gaara. Naruto n'était pas là. Je me demande bien pourquoi. Peut être est-il malade… ? C'est vrai qu'il n'avait pas l'air dans son assiette ces derniers temps.

Pourtant, nota-t-elle, la plume en l'air. Elle n'avait pas eu l'occasion de le voir souvent, car c'était les vacances d'été. D'ailleurs, elle profitait de ses journées libres pour travailler à plein temps au bar mais comme ce n'était que le début d'un travail qui était devenu finalement une tâche qui occupait presque tout son temps libre. Bien-sûr, elle laissait une petite place pour les entraînements de volley-ball, un sport qui lui permettait de retrouver son amie Tenten et avoir des conversations où les mots « drogue » « Kabuto » ou encore « argent » n'apparaissaient pas. C'était là aussi une bonne façon de se vider la tête, et elle y attachait maintenant une grande importance. Mais elle gardait tout de même à l'esprit l'espoir de passer de bonnes vacances, où récupérer assez d'argent pour Naruto était son principal objectif. Soupirant, elle continua sa rédaction.


Nous sommes encore loin de la somme attendue, et l'affaire s'annonce de plus en plus dangereuse alors que la fin du délai approche. Shikamaru n'a pas manqué de me le rappeler. Mais je fais confiance à Naruto. Je sais que je peux compter sur lui.

C'était vrai, elle avait fini par nouer des liens forts avec le blond. Et puis, elle l'aimait assez pour faire des sacrifices. Sur cette pensée, elle se rendit compte que si elle faisait des sacrifices de son côté en exposant sa famille et la réputation qu'engendrait son nom de famille. Naruto, quant à lui, ne faisait rien pour arrêter la drogue, si on en croyait ce que disait Kabuto. Gênée d'avoir une pensée aussi négative envers celui qu'elle aimait, Hinata secoua la tête. Mais cette mauvaise opinion ne s'en alla pas pour autant… Sans doute parce qu'elle était véridique.

Se levant, Hinata décida d'aller prendre l'air en fermant brusquement son journal. La rédaction pour la journée, ce serait pour plus tard. Pour l'instant, elle voulait faire le vide dans sa tête et sentir un peu le soleil de l'été sur sa peau. Hormis ses journées qu'elle passait désormais à l'A.N.B.U ou les séances au club de volley, elle demeurait exclusivement cloîtrée dans sa chambre. Peut-être était-il temps de profiter de la chaleur pour sortir de son cafard.

Elle s'habilla avec des vêtements légers et sortit. Le soleil tapait fort, mais malgré ça, elle se mit à marcher dans les rues, sans vraiment savoir où elle allait. Tout en faisant un petit détour vers les aires de repos, elle réfléchit à l'endroit où elle pourrait aller. Malheureusement, elle n'avait pas beaucoup de choix. Alors qu'elle laissait le soleil chauffer doucement sa peau laiteuse, son regard nacré s'arrêta sur une tête blonde familière.

« Naruto ! » se dit-elle, joyeuse de le voir.

Elle traversa la rue pour venir à sa rencontre quand tout à coup, elle se rendit compte qu'il n'était pas seul. Au tournant de la rue, dans un coin sombre, comme ci il ne voulait pas être vu, se tenait un autre homme. Il avait de longs cheveux bruns, et malgré la distance qui les séparait que la demoiselle, celle-ci se figea en reconnaissant ces yeux rouges. C'était…

« C'est Itachi qui me fournit » avait dit Naruto, le jour où ils avaient déjeuné ensemble.

C'était bien le grand frère de Sasuke. Hinata réagit instinctivement, et se cacha derrière un grand panneau publicitaire tout près d'eux afin d'espionner leur conversation. Elle se maudit une fois qu'elle se fut plaquée contre l'affiche pour une marque de lessive, mais il était trop tard pour reculer. Priant pour que cette situation embarrassante cesse le plus vite possible, elle tendit l'oreille.

- Tu vas finir par être dans la merde, si tu continues avec les prêts, Uzumaki. On essaie de te sortir de la merde, tu sais.

- Tais-toi, et file moi ma marchandise, répliqua Naruto.

Sa voix rauque et dure choqua Hinata qui ouvrit de grands yeux. Jamais Naruto ne s'était adressé de cette façon à qui que ce soit. Elle sentit dans sa voix non seulement un mélange de dégoût et d'agacement, mais surtout, c'était la voix… de quelqu'un qui était en manque. C'était la voix de quelqu'un qui était pressé de se soulager avec cette drogue interdite. C'était la voix d'un toxicomane ! Hinata sentit ses jambes devenir toutes flageolantes, et dut lutter pour ne pas perdre l'équilibre, tant elle était choquée par ce qu'elle entendait. Risquant un œil vers les deux garçons, elle entrevit un éclair blanc qui disparut bien vite au creux de la main de Naruto.

- A la prochaine Uzumaki.

- C'est ça…

Itachi disparut dans une ruelle de toute évidence aussi mal famée que son petit business. Tout à coup, la jeune fille se sentit… trahie. Elle risquait énormément dans cette affaire, mais faisait des sacrifices pour lui. Rien que ce petit échange lui montrait qu'apparemment, ce n'était pas réciproque. Dégoûtée, elle inspira un grand coup, puis sortit de sa cachette, se mettant juste devant Naruto qui marchait, les yeux baissés vers le sol, de sorte qu'il ne la vit pas au premier abord.

Il leva finalement les yeux vers elle et se figea, les mains dans les poches de son blouson sans manches où il devait tenir serré, Hinata le savait, ce petit sachet contenant ce poison qu'il injecterait dans ses veines. Cette drogue qui lui causait tant de soucis, non seulement à elle, mais à tous.

- Hinata…, commença Naruto, plus embarrassé qu'autre chose.
- Na-Naruto…, coupa la jeune fille en serrant les poings pour se donner du courage. Je…

Mais elle n'arrivait pas à parler. C'était trop difficile. Lentement, se surprenant de sa propre audace, elle s'approcha de lui, et de sa petite main douce, elle fit sortir la main du jeune homme de la poche de son blouson. Son cœur fit un bond dans sa poitrine, et elle sentit les larmes brouiller sa vue tandis qu'elle voyait ce fameux petit sachet. Cette horreur qui leur causait tant de problèmes à tous !

-Co-Comment tu pe-peux faire ça, dit-elle d'une voix étranglée tandis que les larmes coulaient le long de ses joues.
- Hinata écoute, je… je ne veux pas te blesser, répondit Naruto. Mais ne me blâme pas, s'il te plaît.
- Je fais tant… tant de sacrifices, sanglota la demoiselle. Tu… Tu ne peux pas en… en faire autant ?
-Comprends-moi, ce n'est pas aussi facile. Je…Je ne peux pas me contrôler…

La main d'Hinata se referma lentement sur le petit sachet qui contenait la drogue, mais celle de Naruto fut plus rapide. Mû par un réflexe, il mit son bras hors de portée de son amie avec une telle brusquerie qu'il le regretta aussitôt lorsqu'il vit le regard profondément désespéré qu'elle lui lançait. Il se maudit d'être la cause d'une telle douleur, mais il n'arrivait pas à se séparer de ses doses quotidiennes. Pas encore.

- Alors…, tout… Tout ce que je fais…ne compte pas ? Tu… ne veux pas… arrêter.
- Hinata, je t'en prie, ce n'est pas vrai, tout ce que tu fais compte beaucoup pour moi. S'il te plaît, ne pleure pas ! Mais j'en ai besoin ! J'ai besoin de ma dose quotidienne de drogue !

Ce langage de toxicomane… le même qu'il avait tenu à Itachi quelques minutes plus tôt. Cela se voyait d'ailleurs dans ses yeux océans. De la colère, et du manque. Il n'y avait que ça. Il prenait peut être l'opinion de ses amis en compte, mais il ne faisait rien pour arrêter. Révulsée d'avoir affaire à un jeune homme qu'elle ne reconnaissait désormais plus, quelqu'un prêt à tout pour ce satané petit sachet, elle réagit sans réfléchir et le gifla. Il tressaillit et porta la main sur sa joue rouge, prêt à répliquer :

- Mais qu'est ce qui te prend, tout à coup ? Ce n'est pas si facile de…

Mais les larmes qui coulaient sans cesse et cette détresse qu'il voyait achevèrent de le déstabiliser, et les mots restèrent bloqués dans sa gorge. Il fut sur le point de dire à nouveau quelque chose quand Hinata lui lâcha brusquement le bras avant de s'enfuir à toute jambe, la main sur sa bouche afin d'éviter les sanglots.

- Attends ! Hinata ! appela Naruto.

Mais la jeune Hyûga ne se retourna pas, et disparut bien vite de sa vue. Il se maudit cent fois, et regarda avec haine le sachet qu'il tenait dans sa main. Ce poison lui faisait tout perdre, sa raison, ses amis. Et malgré cela, il n'arrivait même pas à s'en débarrasser ; comme une tâche qui collait à sa peau et qui ne voulait pas s'en aller. Furieux contre lui et contre le monde entier, il préféra rentrer chez lui. Une petite injection, et il oublierait toute cette petite scène. Ce n'était certainement pas la meilleure solution, mais il ne se sentait pas en état de réfléchir. Mieux valait remettre ça à plus tard s'il ne tombait pas malade avant. Il marcha dans les rues tout à coup sombres. Le soleil éclairait pourtant toute la ville, mais Naruto avait la désagréable impression qu'un nuage noir planait au dessus de sa tête, obscurcissant son monde. Il voyait à peine les patients qu'il bousculait, il ne sentait que le soleil sur sa peau qui lui donnait encore plus chaud, qui le faisait transpirer. Quelle journée pourrie…

Il retrouva l'ambiance morne et désordonnée de son appartement. Jetant son blouson dans un coin de la pièce, il se laissa tomber sur son lit, avant de prendre une petite boîte qui se trouvait en dessous. C'était là qu'il rangeait le matériel. Tout y était. Cela lui prit quelques minutes à préparer, tant il tremblait. Et alors qu'il commençait à partir dans les vapes, l'image d'Hinata était encore dans son esprit. Elle le perturbait, et il se demanda s'il ne devait pas augmenter la dose ou alors attendre que l'héroïne fasse encore plus effet. Mais comme rien ne semblait pouvoir faire disparaître cette image, la seconde perspective sembla plus alléchante. Se redressant, Naruto tâtonna jusqu'à sa table de chevet, à la recherche du petit sachet blanc dont il arriva à se saisir enfin.

Mais alors qu'il allait se faire une autre injection plus puissante que la première, une voix se fit entendre derrière lui :

- Elle a raison tu sais.

- Qu'est ce que tu fais ici, Sasuke ? répliqua brutalement le jeune blond en se retournant, prêt à le renvoyer.

- Hinata nous a téléphoné pour nous prévenir de votre petite...discussion. On a eu raison de venir ici, à ce que je vois.

- Barre-toi.

Mais le beau ténébreux n'était pas tout seul. Avec lui se trouvait sa moitié, Gaara, adossé à un mur, le regard dans l'ombre. Naruto n'ayant aucune envie de se lancer dans une discussion moralisatrice avec ses deux meilleurs amis, au risque de les perdre eux aussi. Il voulut s'enfermer dans la salle de bains, mais rien que le fait que Gaara se mette face à lui réussit à l'immobiliser. Le regard vert qu'il lui lança fut d'une telle froideur qu'il le paralysa sur place. Il eut l'impression d'avoir reçu un seau d'eau glacé sur la tête.

- Hinata se met en danger pour toi, reprit Sasuke, elle travaille, elle affronte Kabuto même si tu sais très bien qu'elle n'a aucune obligation envers toi. Elle risque gros, et pas seulement elle. Ses proches… Et même nous.

- Et tu crois que je l'ignore ? soupira Naruto en passant sa main dans ses cheveux, les ébouriffant encore plus, cherchant des yeux un échappatoire à ce dérangeant entretien.

- Je vais te débarrasser de cette merde, Uzumaki, dit Gaara à voix basse. Tu vas avoir affaire à une troisième cure.

- Je ne vois pas pourquoi une troisième cure me soulagerait si deux n'y sont pas arrivées. Tu sais très bien comment ça se passe.

- Pas cette fois, répliqua le roux. Il y a un autre moyen pour te sortir de là. Mais tu vas souffrir le jour et la nuit, jusqu'à vouloir te tuer. Nous allons devenir tes pires ennemis, et tu vas nous détester. Ton corps ne t'obéira plus. Puis un jour viendra où tout s'arrêtera. Ce sera la clé de ta réussite à cette épreuve

- C'est le seul moyen qu'il te reste, Naruto, ajouta Sasuke. Il faut vaincre ta dépendance.

Les yeux bleus de Naruto s'arrêtèrent sur le sachet. Cette poudre, elle était si tentante… Mais lorsqu'il fermait les yeux, il entendait encore les sanglots d'Hinata, toujours bien frais dans sa tête. Et il voyait son visage anéantie, ce visage qui avant était si tranquille, et qui par sa faute était devenu las, fatigué, terne. Non… rien que le fait de la voir ainsi lui serait insupportable. Il voulait la revoir telle qu'avant. Il voulait voir de l'espoir dans ses yeux, et il voulait qu'elle soit fière de lui.

Hochant brièvement la tête, il leva brusquement son bras. Il eut quelques longues minutes d'hésitation... C'était moins facile qu'il ne l'aurait pensé... Cette saloperie avait vraiment une forte emprise sur lui.

Finalement, dans un accès de courage, il jeta le sachet qui contenait la précieuse drogue dans une bouche d'égout. Quand il releva la tête, ses yeux jetaient des éclairs. De sa voix rauque, il lâcha.

-Je-je suis prêt.




(ce chapitre, ce n'est pas moi, Fougy-kun qui fait le commentaire final, mais la tueuse!)

Bonjour, chers lecteurs,

Je suis la tueuse! et celle qui a repris cette fic. Fougy-kun est le cerveau, et je suis la main. J'avoue que je me sens un peu gênée d'avoir à parler à tout ce monde meme indirectement, tous ces lecteurs qui ont un intérêt commun qu'est cette fic et qui n'ont pas été rassemblés de la sorte par moi, mais par le cerveau de cette histoire. Peut être que ce petit mot demeurera sans grand intérêt pour vous, mais en écrivant cette fic que je considère avant tout comme celle de Fougy-kun, j'ai réalisé que je la voyais aussi un peu comme la mienne.

Je m'excuse d'avance pour le style d'écriture que j'adopte, qui n'est peut être pas aussi léger que celui auquel vous avez été habitués, et j'espère que cela n'a pas fait baisser votre amour pour cette fic. Je ne viens pas souvent sur le site où vous lisez ce message, et je ne suis pas aussi proche de vous que l'est Fougy-kun, mais je tiens à vous remercier. D'une certaine façon, c'est vous qui m'aidez à avoir la volonté d'écrire. Cette fic vit grâce à vous, et je vous le dit avec sincérité: Merci.

Un grand merci aussi à ma bêta-lectrice, Fougy-kun: cette fic a beaucoup d'importance pour toi, et je ferais tout pour qu'elle plaise autant qu'avant. Merci de m'avoir ouvert les portes de cette fiction, et crois moi, je ferais tout pour qu'elle soit à la hauteur de ce que tu as commencé à construire.

Je vous souhaite une bonne lecture, en espérant que vous aimez cette fic autant qu'avant.

la tueuse!

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