Fiction: Journal d'une invisible

UA Schoolfic shonenaï Hina/Naru et d'autres couples. Dans tous les lycées, y a ceux qui sont populaires, les gens normaux et les autres: les renfermés, les marginaux, les rejetés. Hinata fait partie de cette dernière catégorie...Mais est elle aussi banale qu'elle en a l'air?
Drame | Mots: 65719 | Comments: 289 | Favs: 233
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Fougy-kun (Féminin), le 23/12/2010
Ma véritable première fic! ^^

Je l'ai revue et corrigée pour la publier ici! C'est une UA, mais l'histoire est intéressante et comme j'ai eu de bons retours sur un autre site je me décide à me lancer ici!

Bonne lecture!




Chapitre 17: dilemme



Journal d’une invisible (suite : reprise de la fic par la tueuse!!)
 
 
 
Hinata était lasse. Décidément, ses soirées à l’A.N.B.U devenaient de plus en plus machinales, et une routine ennuyeuse s’y était instaurée. Et elle semblait de plus en plus fatiguée. Non pas qu’il y ait plus de travail que d’habitude, mais c'était surtout dû aussi à tout ce qui se passait à l’école, tout ce qu’on racontait. Bien que la rumeur selon laquelle elle se prostituait s’était avérée fausse -étant donné qu’Ino avait pris soin à ce que cela se divulgue aux quatre coins du lycée par une Sakura très bavarde, cela n’avait en rien amenuisé les interrogations que l’on se faisait sur elle. Elle ne se prostituait pas, c’était un fait. Mais que faisait-elle alors, pour avoir autant changé ?
 
Elle laissa tomber ses habits et partit se réfugier sous le jet chaud de la douche, espérant vaguement que l’eau emmènerait tous ses problèmes avec. En sortant que la pièce emplie de vapeurs, elle soupira, avant de choisir des vêtements confortables. C’est alors qu’elle croisa son reflet dans la glace. Ino avait raison : quel changement ! Dire qu’il y a quelques mois, jamais elle n’aurait cru qu’elle aurait pu avoir changé à ce point. Machinalement, elle tira son journal de sa cachette.
 
[i] Cher Journal,
 
Les rumeurs sur moi au lycée continuent. A un moment, on a même cru que je me prostituais. Ino a dit qu’elle s’inquiétait pour moi et qu’elle était là pour moi. Si seulement elle savait à quel point elle est impuissante face à mon problème. [/i]
 
Oui, enfin, c’était plutôt le problème d’une bande de personnes, dont elle faisait partie. Mais elle aimait Naruto, si elle pouvait le rendre heureux, alors elle pourrait surmonter cela, avec lui. Par contre…
 
Un dénommé Itachi, le frère de Sasuke, est venu me voir aujourd’hui à l’A.N.B.U. Il m’a dit de tout abandonner, et a même ajouté des informations qu’il avait  sur moi et Hanabi. Si je suis prête à aider Naruto…

Elle s’interrompit, la plume en l’air, et pousse un énième soupir. Ce combat, encore et toujours ce combat qui faisait rage dans sa tête depuis des jours. Satané Itachi ! S’il n’avait pas été là, tout aurait été plus simple. Mais en s’engageant dans ce problème, elle n’avait pas songé aux conséquences que cela pourrait avoir sur sa famille. A contre cœur, elle dut admettre que malgré le fait qu’il l’ait désorienté, le grand frère de Sasuke lui avait ouvert les yeux sur la situation, chose que son amour pour Naruto avait quelque peu effacé de ses pensées.
 
- Hinata ?
 
La petite voix fit sursauter la jeune Hyûuga qui fit volte-face. A l’encadrement de la porte, Hanabi la regardait, la main sur la poignée. Aussitôt, Hinata cacha son journal dans un tiroir qu’elle referma avec violence avant de se lever brusquement. Hanabi regarda avec inquiétude, la même que celle d’Ino lorsqu’elles s’étaient rencontrées dans les toilettes.
 
- Je ne te prêterai pas mon collier en perles, dit-elle d’un ton entendu. La dernière fois, tu as cassé mon bracelet en nacre…
- Hinata, qu’est ce qui ne va pas ?
 
La grande sœur leva un sourcil et sentit son cœur faire un bond. Hanabi la regardait avec un air si innocent. Si seulement elle savait !
 
- Ces temps-ci, tu rentres tard, et tu sembles ailleurs à chaque fois. Qu’est ce qui se passe ?
- Rien du tout Hanabi, répondit évasivement la jeune fille, Il ne se passe rien.
- S’il y avait quelque chose, tu me le dirais, n’est ce pas ? s’enquit Hanabi.
 
Pas de réponse. La jeune lycéenne sentit sa gorge se serrer, et ne put que lui offrir un sourire, s’efforçant de refouler ses larmes. Sa petite sœur parut un peu rassurée, et se leva du lit d’où elle s’était assise avant de marcher lentement vers la porte. Puis, soudain, elle se ravisa, et avant même qu’Hinata ne put s’en rendre compte, Hanabi la serra dans ses bras. Cela dura à peine deux secondes mais ce fut assez pour chambouler le cœur de la demoiselle qui resta choquée par une telle marque d’affection.
 
- Oh, et je t’emprunte ça, ajouta la petite en s’emparant d’un serre-tête argenté avec un petit sourire.
 
Malgré la situation, Hinata ne put s’empêcher de sourire à son tour. Un sourire rêveur, un peu nostalgique, le même que lui lançait Naruto à chaque fois qu’ils se voyaient dans la cour du lycée. Soupirant, elle laissa son regard errer sur son couvre-lit couleur bleu… comme les yeux de Naruto dans lesquels elle adorait se noyer, parce qu’elle se sentait tout à coup si légère, et heureuse. Ses yeux se laissèrent également aller sur la petite coiffeuse où Hanabi avait pris l’accessoire. Quel ennui ! Dire qu’il y a quelques mois, jamais elle n’aurait cru se trouver dans une telle situation. Sa respiration s’accéléra, et elle pensa avec horreur tout ce que Kabuto pourrait faire à Hanabi. Et que dirait son père, si sa petite fille adorée venait à se faire enlever, agressée, ou pire…
« Je veux t’aider, Naruto ! » avait-elle dit avec véhémence lorsqu’ils s’étaient retrouvés dans le bus.
L’aider, oui, mais à quel prix ? Les yeux froids d’Itachi Uchiha lui revinrent en mémoire, et elle respira avec force  avant de se saisir de son téléphone portable. Ses doigts cavalèrent sur le clavier, puis elle se ravisa avant de reprendre son journal. Elle avait encore une chose à ajouter.
 
Hanabi est ma petite sœur, et même si j’en suis jalouse, même si nous n’avons jamais réellement partagé nos pensées, nos peines, ou même nos secrets… C’est ma petite sœur, ma seule petite sœur, et je l’aime. Je suis son aînée, et il est de mon devoir de faire ce qu’il faut… Je ne veux pas que quelque chose lui arrive par ma faute.
 
Tout en replaçant le journal dans sa cachette, elle colla le portable à son oreille et attendit qu’on décroche. Après quelques secondes qui lui parurent durer une éternité, la voix ennuyée et habituelle de Shikamaru se fit entendre.
 
- Allô ?
- Sh-Shikamaru ? C’est… C’est Hinata.
- Hinata ? Qu’est ce qui se passe ? Ta voix est bizarre ?
- Je… J’ai quelque chose à…à…te dire.
 
Elle prit une grande inspiration, et s’efforça de ne pas bégayer. Mais avec son souffle haletant et son cœur qui tambourinait dans sa poitrine, elle n’arrivait pas à garder une voix assurée. Il fallait que cela sorte une bonne fois pour toute.
 
- Je…Je refuse.
-  Tu refuses ?
-  O…Oui, je ne veux plus…faire partie de… de cette affaire.
- … Tu as fait le bon choix Hinata. C’est la meilleure chose à faire, pour toi et pour tout le monde. Il ne te reste plus qu’à avertir les autres.
 
La jeune fille s’apprêtait à répondre quand elle entendit un petit bip. Elle constata avec un soupir qu’elle n’avait plus de batterie.
 
- Je dois… te laisser, je n’ai plus d-de batterie, dit-elle. J’avertirais le-les autres de-demain matin.
- Très bien, Hinata. On se voit demain alors.
- O-Oui…
 
Son téléphone la lâcha avant même qu’elle n’ait eu le temps de lui dire au revoir. Elle craignit tout à coup d’avoir paru impolie, mais Shikamaru comprendrait. En ce moment, les bonnes manières semblaient presque secondaires. Étouffant un bâillement, elle fit l’impasse sur son dîner, comme d’habitude depuis maintenant quelques jours et préféra monter se coucher.
 
********************
 
Le lendemain, alors qu’elle partait pour l’école, Hinata sentit qu’elle tremblait. A ses côtés, Shikamaru marchait avec nonchalance, les mains dans les poches. Remarquant son trouble, il lâcha :
 
- Ne t’inquiète pas, ils ne pourront pas te forcer si tu ne veux pas.
- M..Mais…
- Ohé !
 
Tous deux s’arrêtèrent net. Adossée à l’entrée du portail, Temari les dévisageait. Une grimace passa sur son visage lorsqu’elle vit Shikamaru, mais elle préféra ne faire aucun commentaire et se tourna face à eux. Les mains sur les hanches, elle arborait une pose aussi provocante que l’était sa mini-jupe noire. Sans accorder un seul regard à Shikamaru, elle dit :
 
- Hey Hinata ! Gaara m’a dit qu'il avait réussit à obtenir un délai de Kabuto. On a trois semaines avant la livraison pour réunir l’argent….
- Euh…, commença Hinata.
- Ça va être un peu juste, mais je pense qu’en faisant des heures supplémentaires… Ou alors on pourrait trouver un autre job à mi-temps…
- Temari je… je laisse tomber…
- Tu laisses quoi ?
-  Je…je…
-  Elle laisse tomber, lâcha Shikamaru en fusillant Temari du regard.
-  Quoi ? s’écria la jeune blonde. Hinata, tu peux pas nous laisser tomber à un moment pareil ! Pense à Naruto…
- Laisse tomber, elle fait ce qu’elle veut, compris ?
- Toi, ne te mêle pas de ça ! coupa Temari en levant fièrement le menton.
 
La cloche sonna, et ils se turent. Hinata rougit et baissa la tête de honte, sous le regard glacial de la jeune blonde, mais Shikamaru l’entraîna dans le lycée, avant de dire :
 
- Ne te sens pas coupable. Tu as fait le bon choix. Cette histoire galère est allée trop loin de toute façon.
 
La jeune Hyûuga ne répondit pas, et lui emboîta le pas jusqu’à la salle de cours. Elle se laissa tomber sur sa chaise, et ses yeux blancs se dirigèrent presque automatiquement sur la chaise vide de Naruto. Sentant les larmes monter, elle s’empressa de fermer les yeux avant de murmurer d’une voix étranglée :
 
- Pardonne-moi…Naruto…
 
Le cours passa pour elle avec une lenteur extrême pour la jeune fille, qui passa toute l’heure plongée dans ses réflexions. Temari avait sûrement déjà dû avertir Naruto qu’elle se retirait de l’affaire. Elle se demanda comment le jeune homme réagirait à cette nouvelle. Le connaissant, elle savait qu’il n’allait pas piquer une crise de colère. Elle l’imagina soudain, ses yeux bleus se voilant de tristesse… avant de secouer la tête. Non ! Non ! Non ! C’était trop difficile !
 
- Vous n’êtes pas d’accord avec moi, mademoiselle Hyûuga ? demanda Asuma, le professeur d’Histoire en la regardant un sourcil haussé.
- Ah…Euh… Si si, bien sur.
- Alors qu’est ce que vous fabriquez ? s’enquit l’adulte.
 
Tous les regards étaient dirigés vers la jeune fille qui rougit. Elle bégaya la première excuse qui lui passa par la tête :
 
- Je…ne me sens pas bien.
 
Une excuse complètement minable, donnée et redonnée des milliers de fois par tous les élèves cherchant une excuse pour se défiler. Mais Asuma dit, à son plus grand soulagement :
 
- Très bien, dans ce cas, mieux vaut aller à l’infirmerie… Exceptionnellement, comme c’est bientôt la fin de l’heure, je vous autorise à prendre vos affaires. Vous voulez que quelqu’un vous accompagne ?
 
- N…non merci. Ça…Ça va aller.
 
Elle sortit précipitamment, non sans sentir le regard appuyé de Shikamaru sur sa nuque. Dans le couloir, elle se plaqua contre le casier et posa une main sur son front. Ça allait être une sacrée journée, et elle avait l’impression qu’elle ne pourrait pas continuer ainsi. Son portable vibra dans sa poche, et la tira de ses pensées. Jetant un coup d’œil à l’écran, elle sentit son cœur s’arrêter. C’était Naruto qui l’appelait. Il devait certainement être au courant. Elle éteignit son téléphone, et se laissa aller contre les casiers. Qu’aurait-elle pu lui dire de toute façon ? Comment aurait-elle pu le regarder en face après l’avoir laissé tomber ?
 
- Hinata Hyûuga.
 
Au bout du couloir, elle s’attendait à voir le jeune homme qui occupait toutes ses pensées. Mais il ne s’agissait que de son meilleur ami. Le regard de Sasuke était aussi insoutenable que celui de Temari, et elle voulait l’éviter à tout prix. Que faisait-il là ? N’était-il pas censé être absent ? Fuyant son regard, elle eut d’abord dans l’idée de tourner les talons et éviter tout ce qui a trait à Naruto le plus possible. Mais il sembla que le jeune Uchiha lisait dans ses pensées, et en deux secondes, il fut à ses côtés.
 
- Temari nous a appelé pour nous prévenir.
 
Hinata ne répondit pas, se contentant de fuir son regard.
 
- Tu comptes nous laisser tomber comme ça ? Et tu penses réellement s’en tirer comme ça ? Ça ne te fait donc rien ce qu’il peut lui arriver ?
- Tu te trompes ! s’écria Hinata avec véhémence sans même bégayer.
- Alors pourquoi tu nous laisses en plan ? répliqua-t-il en la fusillant du regard.
 
Il ressemblait comme deux gouttes d’eau à son frère, Itachi. Hinata se demanda s’il était au courant de ce que son grand frère avait fait. Inspirant longuement, elle répondit :
 
- Je…Je refuse de faire ça si ce sont mes proches qui en subiront les conséquences !
- En faisant ça, tu signes l’arrêt de mort à Naruto et à tout le monde ! Ce n’est pas en te réfugiant dans ta grande maison que tu seras à l’abri des problèmes, et surtout de tes promesses que tu ne tiens pas.
 
Le ton tout à coup autoritaire la fit se figer, et elle ouvrit des grands yeux. Son cœur battait avec force tandis que, malgré elle, elle se disait que les propos de Sasuke. Le jeune homme la sonda de ses yeux noirs, et dit d’une voix calme :
 
- Fais comme tu veux. Mais demande-toi si Kabuto te laissera vraiment tranquille après ça. Et surtout, pense à tous ceux qui subiront les conséquences de ton choix.
 
Tournant les talons, il la planta dans le couloir. Hinata le regarda disparaître à un tournant du couloir, et elle se retourna avec nonchalance. Naruto la dévisageait, avec ce regard triste qui la bouleversa jusqu’au plus profond de son être. Que faisait-il là, lui qui était censé être absent, comme toujours ? Elle se détourna lentement de lui, et se cacha dans les toilettes. Et tandis que la cloche sonnait, Hinata laissa les larmes couler longuement sur ses joues.
 
« Pense à tous ceux qui subiront les conséquences de ton choix ». Les paroles de Sasuke lui firent froid dans le dos. Mais ce qui pourrait arriver à Hanabi lui firent le même effet. Il est vrai que Kabuto avait tout à fait le pouvoir de se procurer toutes les informations qu’il voulait. Mais…
 
- T’aurais vu sa tête quand je lui ai dit d’aller se faire voir !
 
La voix aigue de Sakura surgit derrière Hinata qui s’empressa de sécher ses larmes avant de sortir en trombe des toilettes. S’efforçant de reprendre une respiration normale, elle se hâta vers le petit muret où elle avait rencontré Gaara et Temari pour la première fois.
 
- Bah alors, qu’est ce que tu fais ? demanda Shikamaru. Tu n’as pas déjeuné ?
 
Il devrait certainement être habitué depuis le temps, à ce qu’elle ne mange pas, ou alors très peu. Voyant qu’elle ne répondait pas, il la rejoignit, et s’adossa avec elle contre le mur.
 
- Ça te tourmente encore ? Galère !
- Shikamaru…, commença Hinata. Kabuto… il peut avoir toutes les informations qu’il veut...
- Et s’en servir comme moyen de pression contre toi, termina le jeune homme. Galère, on en a déjà discuté.
- Mais…s’il s’attaquait quand même aux autres ?
- Tu n’en sais rien.
- Toi…Toi non plus !
- Hinata, si tu continues comme ça, tu vas finir par…
- Et si je ne fais rien… Naruto…et tous les autres… et Hanabi…
 
C’était ça, se dit-elle. Si ça se trouve même si elle les laissait tomber, Kabuto serait capable de la retrouver. Après tout, un dealer ne laissait pas tomber aussi facilement. Dans les deux cas, la mesure était risquée. Mais dans le cas où elle était avec Naruto, elle savait qu’il ferait tout ce qui était en son pouvoir pour la protéger. Hanabi avait besoin d’elle, mais elle avait besoin de Naruto. C’était sa force. Son regard fit soupirer Shikamaru.
 
- Je te l’ai déjà dit…
 
Mais à quoi cela aurait-il servi d’essayer de la raisonner ? De toute façon, il était déjà trop tard. Sa décision était déjà prise. Hinata se dirigea vers la cour, cherchant  Naruto du regard. Mais il semblait être nulle part. D’un pas d’automate, elle chercha vainement dans les couloirs, et monta les escaliers tant et tant jusqu’à se retrouver sur le toit. Et là, elle y trouva la personne qu’elle cherchait. Avec ses cheveux en épis flottant au vent, ses mains dans ses poches, il avait l’air très classe. En entendant la porte s’ouvrir il se retourna avant de regarder l’arrivante d’un air surpris, et en même temps, avec un peu d’espoir. Ils se tinrent face à face, sans un mot. Juste un échange de regards, comme ils en avaient l’habitude. Il existait bel et bien un langage au-delà des mots. Un langage qui ne pouvait être compris que par des êtres liés par un appel qui résonnait en chœur dans leurs esprits, et dans leur cœur. Il y eut un long silence, puis Hinata dit à voix basse :
 
- Temari m’a…m’a déjà donné le…le délai ido-donné par K-Kabuto.
 
Naruto baissa la tête, et dit d’une voix basse :
 
- Pardonne-moi... Je sais que je n'avais pas à t'imposer une aussi grande responsabilité, je comprends que tu veuilles te retirer de l'affaire.
 
Hinata baissa les yeux, puis s’efforça de reprendre une respiration normale. Elle savait ce qu’elle encourrait comme danger. Mais… En croisant son regard, Naruto comprit. Lui-même avait une lourde responsabilité sur les épaules. Il devait la protéger, car elle lui faisait confiance. C’était un engagement qu’il se devait de prendre. Ils restèrent là, face à face, jusqu’à ce que la cloche leur annonce la reprise des cours. L’affaire recommençait. 





Salut les gens ! ^^

Voici le nouveau chapitre, il est un peu différent des autres : ce n'est pas moi (Fougy-kun) qui l'ai écrit mais la tueuse!!

Voilà, je n'ai plus la motivation et l'envie d'écrire la suite... Du coup, la tueuse!! m'a suggéré cette collaboration : ce sont toujours mes idées, celles que j'avais prévu pour la suite, et c'est elle qui les couche sur papier. En gros, comme elle me l'a fait remarqué : je suis le cerveau et elle les doigts de fée ! ^^ Le résultat est bien, n'est-ce pas ? (je parie que vous n'aviez même pas vu la différence ;) )

Bref, la suite est déjà en projet donc à bientôt ! =) Enjoy ! (et bonne fêtes !)




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