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Fiction: Souvenir d'amitié (terminée)

Tobi ne sait que penser de son sempai. Celui-ci, en revanche, va aprendre à mieux connaître son élève ! XP [Fic humouristique].
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boblina27 (Féminin), le 23/08/2008
Voili, le dernier chap de ma pourri de fic ! ^^"
Mais j'en ferais une autre ! *0*




Chapitre 6: Pris la main dans le masque !



Il leva la tête vers moi, étonné.
- Hm ? Qui y a-t-il, hm ?
- Je… (sautillant sur place), Senpaï ? Tobi doit aller dans un endroit où vous ne pourrez pas aller à sa place ! dis-je enfin.

Il compris tout de suite, et me regarda un sourire au coin. Deidara me fit un signe de la tête, comme pour dire « C’est bon, vas-y ! ». Je parti en courant en direction de le maison, essayant de me retenir à tout prix ! Il me regarda partir en souriant. « Ah… Tobi. Lui alors…! ». Et il reporta son attention sur le livre. Il feuilletait les pages, une à une. Lisant de temps en temps et riant de temps à autre. Il arriva à la 23 ème page… Et son sourire s’effaça, se volatilisa. C’était ma page préférée… Le jour où j’ai rencontré Deidara.

*****

Il y avait un dessin, et un texte qui prenait 2 pages. Mon dessin me représentait, moi et Deidara. (>>illustration de ma fic en construction, sera mis prochainement : « Le journal de Tobi (suite)»). Deidara ne bougea pas. Il regardait le dessin, mais, cette fois, aucun sourire ne vint troubler son visage. Inexpressif. Et il se mit à lire : « Tobi, et la rencontre de son senpaï ». Il sourit enfin.

J’arrivai quelques minutes plus tard. Essoufflé. Il me regarda et me sourit.
- … Tu en as mis du temps, hm !
- Désolé senpaï, mais Tobi n’est pas arrivé tout de suite à ouvrir la porte des toilettes. Je la poussais, donnait des coups de pieds, fonçait dedans, mais elle ne s’ouvrait pas… Et je me suis rendu compte, que la clé était dans la serrure.

Il éclata de rire.
- Pff ! Quel idiot, hm !
- Ha ha ! je rigolais malgré mon imbécilité.

Deidara me sourit, et tourna le livre vers moi… Il en était à la page ‘23’ : « Tobi, et la rencontre de son senpaï ». Si je n’avais pas eu de masque à ce moment là, mon senpaï m’aurait sûrement confondu avec une tomate (et non avec une citrouille !). Il avait du comprendre ma gêne, car il changea vite de conversation, fermant le livre.
- Ahhh ! en s’étirant. J’ai faim, pas toi, hm ?

Mon ventre se mit à gargouiller, et je me souvins d’avoir faim.
- Il en fait du boucan ton bide, hm ! dit-il un sourire aux lèvres. Deidara sorti de sa poche un paquet qu’il s’empressa d’ouvrir.
- Ho ho ! Des boulettes de riz !! me suis-je écrié en sautant sur la nourriture.

Je saisis la plus grosse boulette, (qui devait avoir la taille d’une balle de tennis ! Et encore, je suis gentil !) et retira mon masque. Puis j’ouvris grand la bouche et j’y enfonça la boule. Bon, j’ai peu être un peu abusé… Quoi que…

Pendant que je m’empiffrais, Deidara dégustait lentement sa boulette, toujours assit contre le tronc.
- Ben dis donc ! T’avais faim toi, hm ? dit-il en tournant la tête vers moi.

J’ouvris la bouche pour parler. Mais la quantité étonnante de nourriture, déformait mes joues et mes phrases.
- Ouif’ ! Doby afait crès faim ! la moitié de riz tombant par terre (>> Traduction : « Oui ! Tobi avait très faim ! »)

Il regarda, avec un léger dégoût, la nourriture étalée à mes pieds. Puis il sourit, et continua à manger. J’en avais tellement dans la bouche, que j’arrivais à peine à mâcher correctement. Puis soudain :
- Enfin, on vous a retrouvé… dit une voix étrangement calme.

Je fus si surpris, que je m’étouffai avec les grains de riz coincés dans ma gorge. Je suffoquais en me donnant de grandes tapes sur la poitrine. C’est alors que Deidara vint à mon secours…
Il me donna un grand coup dans le dos, du plat de sa main. Tout le riz me sorti par la bouche ; je ne m’étouffais plus, mais le choque de la frappe était sur fort, que j’en tombai par terre. Et j’entendis senpaï crier de colère :
- Vous ne pouvez pas prévenir, hm !?! C’est trop vous demandez !? On vous a jamais appris à frapper avant d’entrer chez les gens, hm ?!?
- Bah on a frappé à la porte figure-toi ! Dit une autre voix grave. Ce n’est pas de notre faute si vous ne répondez pas quand on sonne !
- C’était un ordre du chef. dit la première voix qui avait failli me tuer. (par étouffement, bien sûr !)

Je me relevai péniblement, toujours sonné par la frappe de Dei-senpaï. Et en me retournant, je vit Itachi assis sur une branche du cerisier, c’était sa voix qui m’avait fait peur la première fois. Quand à l’autre, sa fidèle morue toute bleue, se tenait debout devant Deidara. « Mais qu’est qu’il est moche ! ». Tout à fait d’accord !
Itachi sourit. « Pourquoi il sourit ? Il lit dans mon esprit ou quoi ? ».

Mais Kisame me regardait lui aussi. Avec un de ses regards qui signifient : « Tu as quelques choses à dire ? ». Puis son attention s’est portée sur un objet qui se trouvait derrière senpaï : mon journal. Mais je compris trop tard, il avait déjà pointé le doigt dessus.
- C’est quoi ce truc ?

Je me levais en courant, me mettant devant le livre.
- C’est rien, c’est rien !! en agitant les bras.

Il me poussa avec un coup de coude dans le ventre (le coup qui tue). Sur le moment, je tombai à la renverse. Mais juste quand il allait tendre la main pour le prendre, Deidara l’attrapa avant lui.
- Ce n’est pas a toi, hm ? dit-il, en tenant le journal des deux mains.
- C’est quoi ? dit Itachi, toujours assis sur la branche.
- Allez, fait voir ! dit la morue.

Il essaya de prendre le livre des mains de Dei-senpaï, mais celui-ci, n’avait pas l’air décidé à le lui donner. Je me relevai, et au même moment, le blondin me lança le livre. Je l’attrapai en plein vol, et ayant compris le message de Dei… Je pris mes jambes à mon cou.

Quelle ne fut pas la surprise de Kisame et d’Itachi en me voyant me sauver. Mais Deidara me rejoint bientôt à la course. Quand il arriva à ma hauteur il dit :
- Au fait, une question que je voulais te poser tout à l’heure déjà, hm ! toujours en courant. Comment savais-tu que j’avais une boîte à souvenir, hm ?
- J’attendais que vous me le demandiez, senpaï ! en souriant. Je l’ai vu dans un rêve que j’ai fait hier soir.
- Ha ha ! toi alors, hm… dit-il en éclatant de rire.

On nous entendant rigoler à tout bout de champs, Kisame s’énerva, et se mit à nous courir après, bientôt suivit d’Itachi.
- Attendez un peu, vous deux !!! hurla-t-il.
- Et, pas si vite ! Bon sang ! lui dit Itachi.

Et puis Deidara me dit encore :
- Tu devrais m’être reconnaissant, tu sais, hm ? en souriant.
- Si vous voulez, Tobi peut vous acheter une glace à la vanille en retour…
- Non… J’en préfèrerais une à la fraise, hm ! dit-il en riant de plus belle, moi de même.

*****


Ho ho ! On avait l’air de parfaits idiots, là à se courir derrière. Itachi qui court derrière La Morue, qui court lui-même derrière Deidara qui court avec moi. Euh, c’est français ça ?
Enfin, on était bien heureux. Du moins, Deidara et moi, car les autres étaient plutôt furax, mais c’est ça qui est drôle, non ?

*****

‘Sinon c’est comme ça que je fini de vous conter cette passionnante histoire d’amitié.
Deidara me considérait réellement comme son ami. Et c’est ça, le plus important.’

‘C’est une belle morale, que tout le monde devrait comprendre :
« Ce n’est pas parce qu’on ne le montre pas, qu’on aime pas forcément. ».
Pas vrai ?’



Sur ce, je vous laisse à vos méditations.


Cordialement, Tobi


P.S. : Ah oui, j’ai failli oublier. Vous voulez savoir la suite ? Comment ça ‘non’ ? Bah je vous raconte quand même !... Kisame nous a rattrapé, tous les deux. Mais Deidara s’est fait prendre à ma place pour que je me sauve avec le livre. Kisame ne lui a rien fait bien sûr, vu que c’était le livre qu’il voulait ; mais il a ficelé senpaï à un arbre, en lui promettant de s’occuper de lui dès qu’il en aurait fini avec moi. Malheureusement pour lui (et heureusement pour moi !), Itachi lui a passé un de ces savons, dès qu’il l’a attrapé ! Bien fait pour ce poisson pourri, ça lui apprendra à accrocher mon senpaï à un arbre !
'Fin bref ! Deidara a réussi se détacher du tronc, et on a profité de la dispute pour se sauver en cachette. Et on est allé direct chez un marchand de glaces ! Assis à une table, on plaisantait sur le spectacle auquel on avait assisté : « La Morue passée au savon ! ». Et puis voilà ! Une belle journée et une belle fin d’histoire, non ?
Allez, ciao !

Tobi-sama




FINNNNNNNNNNNNNNNN !!! >O<
C'est mon chap' pref' ! ^3^
Commentaire~
PLEEEEEEEEEZ ! TTToTTT




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