Fiction: Ombres et Eclats

Un nouveau Shinobi débarque à Konoha, amenant avec lui ses forces et faiblesses, son histoire et ses objectifs..
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Asawari (Masculin), le 31/08/2008
La fin des explications de Sawari...




Chapitre 3: La Fin d'une Epoque




Flash-Back :

Quelque part dans les montagnes :

Il était tard, et le manteau noir de la nuit avait depuis longtemps recouvert la petite vallée où se trouvait une unique maison aux murs de brique, simple mais élégante. Les volutes de fumée d’une cheminée s’élevaient lentement au dessus de l’habitat. La pièce principale de l’édifice était allumée. Il s’agissait d’un large salon, décoré simplement mais avec goût. A l’intérieur de la pièce, trois personnes discutaient tranquillement. Il y avait là un homme d’un peu moins de quarante ans, aux cheveux blonds et aux yeux d’un noir de jais, un adolescent lui ressemblant énormément, à l’exception de ses yeux d’un bleu éblouissant, et une très belle femme sur qui le temps n’avait pas encore réussi à prendre prise, dotée d’une magnifique chevelure d’ébène, et des mêmes yeux que le jeune garçon. Il s’agissait respectivement de Kino, Sawari, et Emi Ashida. La pièce était très calme. On n’entendait aucun bruit venant de l’extérieur, et outre le torrent de la conversation, le seul bruit que l’on entendait était celui du crépitement des flammes dans la cheminée.

La tranquillité de la scène fut soudain troublée par le bruit d’une explosion. Un épais nuage d’une fumée noir remplit la pièce, empêchant momentanément toute visibilité. Les occupants du salon entendirent, après l’explosion, la chute des briques du mur de la maison.

Quand la fumée fut dissipée, Sawari et Emi purent voir Kino sur le tapis du salon, une légère balafre sur la joue droite. Un peu de sang coulait de cette blessure, mais elle ne semblait pas être un motif d’inquiétude en soi, au contraire des deux hommes qui se tenaient debout devant lui. Ils étaient vêtus de la même façon, avec une longue cape noire, sur lesquelles étaient brodés des motifs rouge, que les Ashida identifièrent comme étant des nuages.

Le premier des deux hommes étaient de forte stature. Il portait une sorte de cagoule ne laissant apparaître que la partie de son visage allant du bas de nez jusqu’au dessus de ses yeux. Le col de sa tenue était également fermé. Le signe rayé sur son bandeau frontal indiquait qu’il s’agissait d’un nukkenin du village de Taki no Kuni, tout comme Emi.

Le second était un peu moins grand, et semblait avoir un peu plus d’une vingtaine d’année. Il avait de longs cheveux, d’un blond tirant sur le gris, coiffés en arrière, ainsi qu’un regard froid et déterminé. Contrairement à son coéquipier, le col de sa tenue était ouvert, laissant apparaître un torse musclé. Il tenait à la main une faux reliée par une corde ; l’arme était munie de trois lames recourbées de tailles différentes. Il y avait un peu de sang sur la plus grande des lames, indiquant que c’était probablement le seul.
« Le genre d’arme destinée à blesser dans un large rayon d’action » pensa Sawari, avant de percevoir toute la problématique de la situation. Lui et sa mère avaient également été projetés par terre à cause du souffle de l’explosion, et avaient été assez rejetés assez loin de Kino et des deux agresseurs. Plus inquiétant, Kino semblait horrifié par l’arrivée des deux hommes.
« Je ne l’ai jamais vu dans cet état… Bordel, c’est qui ces types ? ». Sawari était comme paralysé, ne sachant quoi faire. Puis tout se passa très vite.

Celui qui avait blessé Kino approcha sa faux de sa bouche, et lécha le peu de sang qui se trouvait sur son arme. « C’est un vampire ou quoi ? », songea le jeune shinobi, perplexe devant ce qu’il venait de voir.
Mais il n’eut pas le temps de penser plus longtemps… Le visage et le corps de l’homme devinrent alors d’un noir de jais, à l’exception de lignes blanches représentant ses os. Il ressemblait ainsi à un squelette, et son visage, semblable à une tête de mort, était des plus effrayants. Il traça ensuite un étrange cercle sur le sol, autour de lui. Ce qui suivit fut encore plus incompréhensible. Le squelette sortit un pieu aiguisé de sous sa cape, et se l’enfonça violemment dans son propre cœur. Ce qui se passa fut tout aussi inconcevable. Le shinobi ne semblait nullement marqué par ce qu’il venait de faire, la seule marque visible était une espèce d’expression de jouissance peinte sur son visage squelettique. Cependant, Kino lui semblait durement touché, et sous les yeux horrifiés de sa femme et de son fils, il se mit à cracher du sang. Il palissait à vue d’œil, son regard devenait vitreux ; petit à petit, toutes ses forces le quittèrent, et il tomba, le nez dans le tapis. Devant ce spectacle, l’agresseur, son pieu toujours planté dans son cœur, prononça une simple phrase, d’un ton exalté :
« Jashin punit ceux qui se montrent trop curieux ! ».

Un cri rempli de douleur et de rage déchira l’atmosphère. C’était Emi, qui, devant l’agonie de son mari, s’était relevé, et formait quelques mudras :
« Suiton ! Kirigakure ! ».
A peine la brume avait-elle recouvert la pièce qu’une voix forte, celle de l’autre agresseur, retentit :
« Fûton ! Atsugaï ! ».
Une bourrasque d’une violence incroyable parcourut la pièce, dissipant la brume, et projetant tout ce qui se trouvait sur le passage du jutsu. Sawari et Emi furent eux aussi emportés comme de vulgaires fétus de paille, et s’écrasèrent lourdement contre l’épais mur de brique. Le jeune homme chancela sous l’impact et eut un instant la vision troublé, mais il n’avait pas de blessure majeure. Mais quand il reprit ses esprits, il se rendit compte que sa mère n’avait pas eu la même chance que lui. Quand il vit l’angle bizarroïde formé par la tête de sa mère et le reste de son corps, il vacilla. Il était passé par trop de combats pour ne pas savoir ce que cette posture signifiait. Il tomba à genoux et une larme coula, puis plusieurs, puis elles jaillirent à flot devant son père, toujours étendu sur le ventre, baignant dans son sang, et sa mère à la nuque brisée, gisant sans vie. Il savait qu’il devait reprendre ses esprits s’il voulait garder la moindre chance de ne pas subir le même sort, mais c’était peine perdue, il ne pouvait pas s’empêcher de sangloter devant un spectacle qu’il n’aurait jamais cru voir. Ses parents, deux des ninjas les plus forts qu’il n’avait jamais vus, avaient été assassinés sans pouvoir réagir. Il releva légèrement le visage lorsqu’il entendit la voix de celui qui avait tué son père, s’adresser à lui :
« Pour les disciples de Jashin, le carnage est sacré. Mais mon coéquipier et moi sommes pressés. Nous avons fait ce détour uniquement pour régler rapidement cette affaire. Je pourrais te tuer immédiatement, mais tu es trop faible pour m’apporter une quelconque satisfaction. Peut-être qu’en t’épargnant aujourd’hui, je pourrais éprouver ne serait-ce qu’une once de plaisir à t’ôter la vie dans quelques années… Cela dit, cela m’étonnerait. Tu es rempli de haine à notre égard, mais la peur te paralyse. Même si tu étais suffisamment fort pour nous opposer une quelconque opposition, tu ne pourrais pas le faire, tellement la terreur est en toi. »

Chacun de ces mots était pour Sawari comme un kunaï qu’on enfonçait dans son cœur. Il savait que l’homme disait vrai. Malgré lui, il voyait certains souvenirs ressurgir du plus profond de sa mémoire et de son cœur, et défiler devant ses yeux. Non, il ne devait surtout pas repenser à cette journée là...
Un grognement de l’autre agresseur le tira de ses pensées : « C’est bon, t’as finis ton discours ? ».
Son comparse esquissa un sourire :
« Oui, mais laisses-moi juste lui laisser un petit souvenir. ».

Après ces quelques mots, il prit un kunaï et le lança violemment dans la cuisse gauche de Sawari, qui hurla de douleur. Celui-ci venait à peine de l’ôter de sa jambe que les deux hommes à la cape rouge et noire commençaient à sortir. Au moment où ils allaient passer la porte, ils entendirent la voix, sous laquelle on sentait percé la haine, du jeune adolescent :
« Quels sont vos noms ?! »

C’était plus un ordre qu’une question. L’homme blond esquissa à nouveau un léger sourire, et lança un nouveau kunaï, cette fois-ci dans le ventre du jeune homme, qui hurla à nouveau avant d’enlever le poignard. Puis l’assassin de son père lui répondit :
« Je m’appelle Hidan, et mon partenaire ici présent s’appelle Kakuzu. Mais je doute que cela te serve à quelque chose un jour. ».
Ces mots prononcés, Hidan et Kakuzu sortirent de la pièce. L’adolescent n’entendit plus qu’une seule phrase, prononcer par le dernier nommé :
« Dommage qu’à la suite de sa disparition, on l’avait supprimé du Bingo Book, il aurait pu me valoir une somme immense. »

Sawari était seul désormais, et il restait là, à genoux, à sangloter tristement. Il jeta un coup d’œil au corps de sa mère, et ses sanglots redoublèrent ; Puis il regarda le corps de son père, et sentit son cœur bondir quand il vit que la tête de celui-ci le regardait, avant de s’exprimer d’une voix de plus en plus faible, presque inaudible :
« C’est trop tard… Tu ne peux rien pour nous… Tu n’as pas à t’en vouloir. Ils étaient trop forts, même pour nous. »
Kino s’arrêta, toussota, crachant un peu de sang, puis repris, de sa voix faible :
« C’est de ma faute. Je n’aurai pas du m’intéresser à ce qu’ils faisaient. Ils font partis d’une organisation appelée Akatsuki. Il y a dans mon bureau une enveloppe noire. Elle contient tout ce que j’ai pu rassembler sur cette organisation. Apportes-là à Konoha, à l’Hokage. Elle s’appelle Tsunade, je la connaît, c’est une kunoichi extraordinaire. Elle saura quoi faire. Dis-lui que tu es mon fils, racontes-lui ton histoire. Puis dis-lui que tu veux devenir un ninja de Konoha. ».
Il s’arrêta de nouveau, crachant encore un peu de sang, puis reprit, sa voix étant de moins en moins audible.
« Dis-lui que même si je suis parti, et que je peux donc être considéré comme un Nukkenin, j’aimerais que tu sois accepté comme ninja de Konoha. »

Sawari acquiesça d’un hochement de tête, les larmes coulant à flot sur son visage l’empêchant de répondre autrement.
« Une dernière chose… Promets-moi de ne pas chercher à te venger à tout prix. La vengeance fait perdre le sens des réalités. Un jour, tu surpasseras ces hommes, je n’en doute pas une seule seconde. Mon sang et celui de ta mère coule à flot dans tes veines, tu es talentueux et acharné à l’entraînement. Mais ne va pas à l’encontre de la vengeance. Si jamais l’occasion se présente à toi un jour, alors saisis-là ». Une fois encore, le shinobi s’arrêta, avant continuer.
« S’il te plaît, enterres ta mère et moi près du lieu de notre rencontre. C’est là bas que ma vie a changé… J’aurais aimé être enterré à Konoha, mais ce n’est pas possible pour elle, et je veux rester à ses côtés après la mort. »
« D’accord, Papa… » Répondit Sawari, un trémolo dans la voie, tentant de contenir ses larmes…

Fin du Flash-Back


Tout au long du récit, l’élocution de Sawari avait été de plus en plus difficile. Lorsqu’il arriva aux dernières paroles de son père, il se leva, tourna le dos à Tsunade, et tapa du poing sur le mur près de la porte. Il appuya sa tête contre le dos de sa main, et finit son récit.
- Après avoir été enterré mes parents, conformément à la volonté de mon père, j’ai rassemblé quelques affaires, puis j’ai entamé mon voyage jusqu’ici.

Sawari tendit une grande enveloppe noire à Tsunade, qui l’ouvrit, y jeta un œil, avant de la poser. Elle regarda le garçon un instant, puis prit la parole :
- Sawari, ton père est mort afin de pouvoir éviter que ces gens nuisent au monde ninja, et notamment au village de Konoha. De plus, malgré le fait qu’il ait déserté, je suis certaine qu’il est toujours resté loyal à son village natal. C’est pour ça que je t’accepte comme ninja de Konoha.
- Merci, Hokage-Sama.
- Malheureusement, l’appartement qu’occupait ton père avant son… départ a été reloué depuis. Il va donc falloir te trouver un autre logement.
-D’accord.
-J’ai quelques questions à te poser. Tout d’abord, j’ai cru comprendre que ton père enquêtait sur Akatsuki. Sais-tu pourquoi ?

Sawari réfléchit un instant, laissant son regard vagabonder sur l’ensemble de la pièce, avant de se fixer sur Tsunade et de répondre.
-Aucun de mes deux parents n’a pu se résoudre à arrêter toute activité ninja. Il était fréquent que nous entendions parler du trouble causé par d’autre shinobi dans la région. Il nous arrivait alors de faire quelques missions «en famille », si je puis dire. Je pense que nous avons bien contribué à maintenir le calme dans notre région. En général, nous agissions ensemble. Mais quand mon père entendait parler de faits trop inquiétant à son goût, il préférait agir seul, sans nous en parler. Il s’absentait parfois plusieurs jours sans nous dire à son retour ce qu’il avait vu, entendu, ou fait. Ces derniers temps, il est revenu à deux reprises chez nous avec plusieurs blessures, sans nous dire leurs origines.

Sawari marqua une pause, comme plongé dans ses pensées, avant de continuer :
-J’ai très rarement vu mon père se faire blesser, même dans nos missions les plus dangereuses. Je pense que les types qui l’ont combattu sont très dangereux… Sans doute cet Akatsuki. Vous en avez déjà entendu parler ?
-Oui, nous avons récemment eu affaire à eux. Les informations de ton père vont sans doute nous être très utiles, Sawari, répondit Tsunade, avant de réfléchir quelques instants. Je me doute de la réponse, mais tu as donc reçu une formation complète de shinobi.
-Bien sûr. Mon père et ma mère étaient deux shinobis très talentueux, et deux bons professeurs. Je pense être assez fort désormais… Je suis également habitué à travailler en équipe. Mais je garde quand même quelques faiblesses gênantes.

Le ton du garçon, comme son visage, s’était assombri lorsqu’il prononça cette dernière phrase. Tsunade décida de ne pas s’attarder sur cette dernière réflexion, et posa sa dernière question :
-Sawari, comptes-tu écouter ton père au sujet de la vengeance ? Et plus généralement, quels sont tes projets en tant que ninja ?

Une nouvelle fois, Sawari réfléchit un instant avant de répondre à l’Hokage.
-Je compte servir le mieux possible Konoha. C’est sans doute la meilleure façon pour moi de progresser le plus possible, et ainsi, si l’occasion s’en présente au cours d’une mission, de venger mes parents… Et puis, reprit-il en hésitant, Il y a quelque chose de vital pour moi, que je dois faire, et que mon père m’a demandé de faire, juste avant de mourir. Ce furent ses derniers mots.

L’adolescent ferma ses yeux puis répondit :
-J’ai une sœur, Seika, de deux ans mon aînée. Nous avons grandi ensemble, sans côtoyer d’autres enfants de notre âge, et nous sommes extrêmement proches. C’est une shinobi de génie, une médic-nin talentueuse, et une grande sœur formidable.

Une nouvelle fois, le jeune blond marqua une pause, puis continua :
-A deux reprises par le passé, le cours d’eau alimentant les villages des alentours est devenu toxique. Heureusement, ma mère, avec l’aide de ma sœur, a réussi à créer un antidote facilement réalisable, à base d’une plante assez rare, mais dont nous disposions d’un certain stock. Malheureusement, la même chose est arrivée il y a trois semaines environ, et notre stock s’est vite épuisé. Ma mère devait rester pour s’occuper des malades le mieux possible, et elle a donc demandé à ma sœur d’aller récolter certaines de ses végétaux, ainsi que quelques plants, là ou ils poussent, c'est-à-dire, un peu plus loin dans les montagnes. C’était un endroit situé à trois jours de marches environs, car le terrain n’était pas facile. Il fallait récolter ces plantes selon une certaine méthode, qui prenait un peu de temps, ce qui fait qu’en tout ma sœur aurait du avoir besoin d’une dizaine de jours pour accomplir son travail et revenir. Or, cela fait quinze jours qu’elle était absente, lorsque ces deux hommes sont venus… Ce n’était pas la première fois qu’elle mettait un peu plus de temps que prévu pour accomplir ce genre de mission, mais j’ai remarqué que mon père s’inquiétait plus qu’à l’accoutumée. De plus, elle avait l’habitude de nous envoyer régulièrement des messages grâce à son invocation, ce qu’elle n’a fait qu’une fois pendant les quinze jours, au début, nous disant que tout allait bien. Depuis, silence radio… Mon père m’a donc demandé de tout faire pour la retrouver, avec votre autorisation…

-Je vois… Je sais l’importance de la famille, et je comprends donc ton souhait. Mais je préfère te prévenir, tu ne peux pas partir à la recherche comme ça, il faudrait que cela soit dans le cadre d’une mission pour le village, avec un objectif différent, pour que les conseillers du village n’estime pas que cette mission soit inutile au village. J’espère que tu comprends, Sawari ?
-Oui, Tsunade-sama. Je comprends parfaitement…
-Je vais voir ce que je peux trouver, ne t’inquiète pas. Excuse-moi de n’y penser que maintenant, mais est-ce que les blessures faites par l’Akatsuki nécessitent des soins ?
-Je les ai soignés du mieux que j’ai pu, mais je suis loin d’avoir les aptitudes médicales de ma mère ou ma sœur. J’avoue que j’aimerai bien que quelqu’un y jette un œil, pour éviter tout risque d’infection, et que cela cicatrise au mieux…
-Très bien. Je pourrais te soigner, mais j’ai beaucoup à faire, notamment m’occuper de ton cas. Je vais envoyer un mot à mon élève, elle est presque aussi douée que moi.

Le cinquième Hokage saisit un petit rouleau, écrivit rapidement quelques mots dessus, invoqua un petit oiseau, lui attacha le rouleau à une patte, et l’envoya porter le parchemin.

Sawari regarda le minuscule oiseau s’envoler au loin, tandis que son esprit partait lui aussi loin, très loin, pensant au début de sa nouvelle vie et à ce qui l’attendait. Le visage de sa sœur, celui des assassins de ses parents, apparaissait clairement devant ses yeux. Il décida de chasser celui des deux criminels, et formula mentalement une promesse, à lui, à sa sœur, à ses parents. Il la retrouverait. Et ils seraient heureux ici, au village caché de la Feuille, tout les deux…




Voila, l’histoire se met petit à petit en place, je voulais en finir rapidement avec les explications. Dans le prochain chapitre, apparitions des fameux genins de Konoha, premier aperçu des aptitudes de Sawari… Si certaines choses vous paraissent incohérentes, ou incompréhensibles, n’hésitez pas à demander !
J’attends bien sûr vos réactions pour savoir ce qui vous plaît ou pas ! Merci !




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