Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.
Après la prose, la poésie... Petit recueil de poèmes qui porteront chacun sur un personnage...
Je sais pas ce que ça vaut, à vous de me le dire ! (traduction : venez lire s'il vous plaaaait ! xD)
~ Ookami ~ (Masculin), le 08/07/2008 Premier personnage à être réduit en charpie par mes talents de poète :
Itachi !
(Le grand, le beau, le génie, le ténébreux, le classe, le noir, l'Akatsukien, le mystérieux Iiiiiitachi !
Itachi et ses traumatismes, Itachi et son brother complex, Itachi et son inséparable ami Lapinou la peluche... nan, rassurez-vous, j'dec ^^)
Chapitre 1: Rien n'est tout noir, rien n'est tout blanc - Itachi
J'ai toujours été un petit génie
Aimé, félicité, envié aussi
Toujours le meilleur, celui qu'on admire
Ou bien que l'on a en ligne de mire
Très jeune choisi, trop jeune promu
Dans les prestigieux rangs d'ANBU
Parmi des masques dissimulant
Un monde dénué de sentiments
Rien n'est tout noir, rien n'est tout blanc
Je l'ai appris à mes dépens
Avalé, et puis modelé
A l'image de cette société
De mon clan l'immense soif de pouvoir
Où de ce village le bon vouloir
C'eût été le plus douloureux des choix
Il avait déja été pris pour moi
Et je devins un criminel
Le bel ange se brûla les ailes
Seul, au massacre survécut
Ce petit frère souvent déçu
Rien n'est tout noir, rien n'est tout blanc
Il me haïrait certainement
Mais toujours je le protégerais
Et il ignorerait mon secret
Aujourd'hui enfin, jour des retrouvailles
Se couchera, je le sais, sur une bataille
Que je quitte cette vie où la haine régna !
Qu'enfin je sois délivré de mes choix...
En partant, je veux te léguer
Le pouvoir que j'ai, Sasuke
Il te protégera, tu sais
Sers-t'en mieux que je ne l'ai fait
Rien n'est-il tout noir ou tout blanc ?
Je le saurai bientôt, sûrement
Car la mort, souriant, m'apparait
Je me rends à elle sans regret.