Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: La Wonderful's School, ou l'école prodigieuse.

Cette fic est déjà sur fanfic.fr, mais ce ne sera pas le même résumé pour une question de taille. ______________________________ Sakura est nouvelle à la Wonderful's School. Elle rencontre là-bas des "ami(e)s". mais tous on un passé difficile, chacun très différent. Est-ce en se confiant qu'ils apprendront d'autres sentiments que la haine et la tristesse ? ______________________________ Très court, je sais. Elle est sur fanfic.fr sous le même nom. Cette fic n'est pas une "p
Spoil | Mystère | Mots: 3384 | Comments: 8 | Favs: 9
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LinLove (Féminin), le 25/06/2008
Voilà, une nouvelle fic…

Ceci n'est pas dans le même style de la fic de petit_elfe, et elle est déjà sur fanfic-fr !

Mais lisez avant de juger !




Chapitre 1: Prologue : Leurs passés, leurs calvaires.



Prologue
Leurs passés, leurs calvaires.

*
* *

Devons-nous souffrir pour les adultes ? Non. Pourtant, dès que l’un de nos proches meurt, on pleure. C’est la tristesse qui envahit notre cœur, et une petite place reste inoccupée, à la mémoire du défunt.

Les adultes doivent-ils nous incomber d’une tâche lourde ? Non. Pourtant, dans les familles riches, l’héritier a souvent peur de ne pas être à la hauteur, ou d’être sous-estimé. Il fait tout pour s’améliorer.

Les adultes doivent-ils se faire prier pour s’occuper de nous ? Non. Pas normalement. Mais certains n’en ont pas le temps, ce qui laisse le temps à leur enfant de faire ce qu’ils veulent…

*** Uchiwa *** Meurtre ***

Un petit garçon, aux cheveux noirs de jais, et aux yeux noir corbeau.

Il était sur la plage, en train de faire un château de sable. Il s’amusait énormément, il écoutait tout le temps ses parents, il était un enfant parfait. Il avait l’air intelligent et si vif d’esprit…

Son château était presque achevé ; mais il n’avait presque plus de sable autour de lui. Il alla alors en chercher vers sa mère, qui bronzait, à deux pas de là.

- Maman ! M’man ! Hurla le petit garçon.
- Oui, Sasuke ? Fit la belle femme en se redressant.
- Je viens prendre du sable près de toi… L’informa t-il.
- Dépêche toi de finir ton château, Sasuke, Lui ordonna t-elle. On va bientôt rentrer !
- D’accord ! Obéit t-il.

Il prit du sable, et finit bien vite son château. Il rejoignit sa mère, qui avait rangé, et qui l’attendait. Il regarda une dernière fois le soleil se coucher, et suivait sa mère.

A chaque fois qu’il voyait quelque chose d’intéressant, il s’arrêtait ; il le regardait, et soit il le prenait soit il le rejetait, déçu. C’était un enfant intéressé par la nature… Tout simplement.

Sa mère avait pris de l’avance. Elle était déjà dans la résidence, avec toute la famille Uchiwa. Sasuke, entendit soudain un cri strident ; un cri de peur. Il semblait figé, terrifié.

Un autre cri, puis plus rien. Cette fois, c’était un cri de douleur… Il vit son frère sortir ; Itachi. Il tenait un long sabre couvert de sang. Il semblait épuisé, mais semblait satisfait. Il s’éloigna de son frère, en lui disant :

- Papa voulait que tu reprennes le clan… Lâcha t-il.

L’affaire fit l’objet d’une longue enquête ; mais ils ne retrouvèrent pas Itachi. Sasuke en voulait à son frère. Il avait tué toute sa famille. La seule famille qui lui restait, c’était lui. Son frère ? Il ne le considérait plus comme son frère.
Il était déjà loin, Pensa Sasuke.

Le dernier soir, avant de repartir dans un nouveau foyer avec un garde de police, il retourna sur la plage. Il vit son château de sable détruit.

La vie se retournait-elle contre lui ?

*** Uzumaki *** Naissance ***

Le père de Naruto était un chef de police. Il était connu dans toute la région, pour être celui qui avait arrêté le plus de criminels en moins de temps.

Il avait une femme, Kushina Uzumaki. Elle était très belle. Elle-même était enceinte d’un bébé, et il ne lui restait que cinq jours avant l’accouchement.

Les jours semblaient passer plus lentement, car elle souffrait. Mais elle se dit qu’il fallait souffrir pour être heureux, ce qui lui redonnait du courage. Elle se demandait sérieusement si son mari serait là le jour de l’accouchement, car il était préoccupé par une affaire de meurtre importante.

Mais il lui avait promis d’être là, à moins d’être mort. Les deux se disaient qu’il serait là le jour de l’accouchement. Car Kushina croyait son mari incapable de mourir autrement que de vieillesse.

Son mari se disait qu’il ne mourrait pas aussi. Il devait avoir le temps d’être heureux…

Pourtant, Kushina commença à avoir des contractions. Comme son mari n’était pas là, elle appela l’ambulance. Bien que ce ne fut qu’une fausse alerte, son mari était à ses côtés. Il fut appelé car ses assistants étaient avec le criminel de son affaire.

Il se dépêcha de partir, et fut aux prises du criminel.

Sa femme l’appelait depuis un quart d’heure. Elle refusait de croire qu’il ne serait pas là, aussi essayait-elle de se retenir, quitte à souffrir. Mais elle fut bien obligée de commencer d’accoucher.

Au milieu de l’accouchement, on appela le médecin en chef. Il revint une minute plus tard, et dit :

- Votre mari est mort.

Kushina déjà épuisée, se mit à pleurer. Le bébé sortit, et elle mourut.

Le bébé fut recueilli par son parrain, qui s’occupa de lui comme il fallait.

*** Haruno *** Incendie ***

Les vacances… Quoi de plus beau que les vacances ? A peine Sakura avait-elle cinq ans, qu’elle savait déjà, le sens des vacances.
Il ne fallait pas lui dire deux fois de s’amuser ; il ne fallait pas la forcer. Elle était pleine de vie, et ses parents la laissait respirer. Ils la laissaient quelquefois en compagnie de sa nounou.

Elles allaient sur la plage ou ils allaient toujours pendant les vacances, et elles étaient à s’amuser.

Mais le jour du drame, c’était aussi comme ça. Sakura s’en souviendrais comme si c’était hier.

Elles étaient sur la plage. Sakura avait une très belle collection de coquillages, rose violet, bleu violet […], avec des reflets magnifiques. Sa nounou les avait pris, et Sakura les regardait de temps à autre, discrètement.

Elle souriait, mais elle ne rit plus quand elle vit de la fumée.

- Nounou, Nounou ! Cria t-elle.
- Oui, Saki ?
- Fumée, là-bas !

Lorsque la nounou vit la fumée, elle paniqua. Sakura ne savait pas ou le feu se situait, mais la nounou, elle le savait. C’était la maison de ses maîtres, ou les parents de Sakura.

Elle refusa de laisser Sakura aller plus loin. Elle la tenait dans ses bras.

- Nounou, on ne rentre plus ? demanda t-elle, l’air innocent.
- Non, non Saki.
- Mais pourquoi ! Papa et Maman ? Bouda t-elle.
- Saki, écoutes.
- Oui ?
- Cette maison est celle de tes pa… parents… Lui avoua t-elle.
- Qu… Quoi ?

La petite fille se mit à sangloter. Elle s’assit par terre, pleurant de plus belle. Décidément, la vie s’était retournée contre elle ! Les membres de sa famille étaient tous morts par incident…

Elle fut prise en charge par sa nounou…

Mais si plus tard, elle comprenait quelque chose ?

*** Yamanaka *** Pauvres ***

Avant, les Yamanaka étaient pauvres. Dans leur famille, seul l’oncle et la tante d’Ino coté maternel étaient riches.
Ino était une petite fille très belle et brillante. Parfaite, en somme. Ses parents l ‘aimaient malgré leur pauvreté. Ils auraient fait n’importe quoi pour elle, leur petite fille chérie, comme ils l’appelaient.

Ino avait cinq ans quand elle partie en vacances ; ses parents avaient fait le plus d’économie possible pour elle. C’était à la montagne. Ils étaient logés dans une chambre d’hôtel, moyennement luxueux.

Tous les jours, Ino allait faire du ski, avec son père ou sa mère. Elle adorait la neige blanche, et elle dit à ses parents :

- A chaque fois que j’irais en vacances, je viendrais ici !

Ils sourirent à cette remarque. Ils passèrent ce qui était pour Ino une bonne soirée. Ces parents ne se disputaient pas ; ils ne se lançait pas de piques…

Mais la conversation des adultes tourna sur l’argent, et Ino ne comprenait plus, elle se contentait de manger.

Le lendemain, elle allait faire du ski avec sa mère. Dans le télésiège, sa mère lui dit :

- Ino, j’ai fait quelque chose de très mal.
- Quoi, Maman ?
- J’ai tué ton père.

La petite manqua de s’étouffer. Elle se mit à doucement sangloter.

- Ton oncle et ta tante n’aimait ton père, tu le sais ; ils m’ont dit que soit je le quittait, soit je le tuait, et ils nous rendraient riches.

Plus tard, la petite fille demanda d’être sous la garde de son oncle et de sa tante, sa mère devant fuir pour meurtre. Oubliant la pauvreté, elle prit goût à la richesse…

*** Nara *** Eau ***

La famille Nara était une petite famille tranquille. Le père était un éleveur de cerf ; la mère était femme au foyer. Elle ne pouvait assurer pleinement son rôle, étant enceinte.

Ils avaient déjà un fils, Shikamaru. C’était un jeune homme assez actif… Il aidait sa mère, bien qu’il n’ait que sept ans.

Quelques mois plus tard

La mère de Shikamaru avait accouché. Ils avaient hérité d’une petite fille, qui semblait super active. A peine eut-elle fait ses premiers pas qu’elle était pressée de courir !

Lorsqu’elle eut quelques années, à quatre ans, la petite prenait son bain, elle éclaboussait et essayait de faire celle qui nageait. Et sa mère la lavait. Mais elle sentit une odeur de brûlé, et elle se rappela qu’elle avait oublié sa dinde au four. Aucun des hommes n’était là ; elle alla l’éteindre.

Le temps d’une minute. Le temps d’éteindre le four et de sortir la dinde. Elle retourna auprès de sa fille… Qui gisait, à la surface de la baignoire. Elle pleura toutes les larmes de son corps.

Elle avait tué sa fille. Elle avait essayé de la faire respirer, en vain.

Les ambulanciers lui avaient confirmé qu’elle était morte. Quand les deux hommes rentrèrent, ils apprirent l’histoire par les ambulanciers. Ils essayait de réconforter leur femme / mère, en lui disant que ce n’était pas sa faute.

Personne à par ces personnes là n’en n’ont entendu parler…

*** Inuzuka *** Loups ***

La famille Inuzuka. Une famille éleveuse de loups. Des loups magnifiques, au poil soyeux. Ils devenaient riches, avec ça. Les loups, de formidables créatures, au corps puissant…

Kiba avait une petite amie, sa sœur avait un petit ami. C’était un rêve, pensait parfois Kiba. On ne peut pas être aussi heureux !

Un jour, alors que sa petite amie dormait chez lui, sa mère ramena aux aurores un loup agressif à dresser. Il avait un poil noir et brillant, mais il avait un air très féroce.

Ils ne tardèrent pas à se mettre tous les trois au dressage, pendant que la petite amie de Kiba regardait. Cela se passa bien, à par que la sœur de Kiba avait été mordue.
Sa sœur affirmait qu’elle n’aurait pas dû le pousser trop.

Ils recommencèrent pendant plusieurs jours ; jusqu’à ce que le loup commence à se montrer docile. Tous pensaient à ce qu’il gagnerait si un loup aussi beau et compétent serait parfaitement dressé !

Mais tout bascula.

Un jour, alors qu’il l’entraînait, le loup regardait la petite amie de Kiba. Alors que la sœur, la mère et Kiba eurent le temps de réagir, le loup courait en direction de la fille.

Il sauta la barrière, et lui attrapa la gorge de ses crocs. Tous regardaient, mortifiés, sans pouvoir bouger.

Le loup la lâcha, et il s’enfuit en direction de la forêt… D’où on l’avait arraché… La famille comprit la leçon : ils relâchèrent les loups, et se mirent à l’élevage de chiens…

*** Hyûuga *** Héritier(e) ***

Neji et Hinata étaient cousin(e)s. Ils s’entendaient bien, mais ils jouaient déjà la comédie. En effet, dès que leur père / oncle était là, ils faisaient semblant de se détester !

Et dire qu’ils n’avaient que cinq et six ans !

Eux seuls savaient qu’ils « mentaient ».

Le père de Neji était mort, à la place de son oncle. Son oncle, qui voulait tout prévoir à l’avance, voulait savoir qui lui succèderait. Il utilisait : « Et si j’avais un accident de voiture ? » « Et si j’attrapais une maladie grave ? » « Et si la maison prenait feu ? » comme arguments.

Il devait choisir entre ses fil(le)s. Il n’avait qu’une fille, Hinata. Et c’était une fille maladivement timide.

- Je n’en veux pas ! Avait-il crié.

Finalement, son choix s’était porté sur… Neji. Bien que ce ne fût que son neveu, il se dit qu’il était plus compétent que tous les autres réunis !

Hinata se mit a détester Neji, qui finalement renonça à comprendre Hinata. « C’est une fille, après tout ! » Se dit-il. Ce qu’il ne savait pas, c’est que Hinata comptait bien briller aux yeux de son père…

Pas n’importe quel moyen.

*** Hitora *** Dojos ***

La famille Hitora était une famille heureuse. Un père, une mère, une fille. Ils étaient tous les trois plus ou moins expert dans l’art de combattre ; Tenten apprenait.

La famille avait un désir de richesse. Aussi investirent-ils dans des dojos, et dans des profs d’arts martiaux.

Les dojos devinrent connus dans tout le monde ; tous ceux qui pratiquaient les arts martiaux se référaient à la famille Hitora. C’était que cela semblait être la famille parfaite !

En réalité, le père et la mère de Tenten se disputaient souvent. Mais Tenten se disait : « Ce n’est souvent que très passager… Ca va leur passer au fil des années ! »

Mais, en réalité, elle se trompait sur toute la ligne.

Les disputes de ses parents devenaient plus fréquentes ; plus de cris, les deux semblaient chercher jours et nuits un sujet pour se disputer. Ils se détestaient maintenant.

Ils divorcèrent, et encore une dispute éclata, une grande question : « Qui garde les dojos ? »

Alors, le juge dit qu’ils devraient s’en occuper ensemble jusqu’à ce que Tenten puisse s’en occuper, à sa majorité, dans onze ans.

*** Akimichi *** Anorexie ***

La famille Akimichi. Une famille heureuse malgré les apparences.

C’était une famille recomposée, avec Chôza et Chôji, et la nouvelle femme de Chôza. La famille Akimichi avait un ventre normal.

Mais les femmes veulent plaire à tout le monde, même quand elles sont mariées. Ce fut le cas de la mère de Chôji.

Bien qu’elle soit ni trop grosse ni trop maigre, elle faisait un régime.

Cela commença à la salade et aux légumes tous les jours.
Puis une salade verte le midi, et une soupe le soir.

Ne perdant pas assez de poids assez vite, elle se mit à ne manger qu’un bout de pain et de l’eau sans bulles.
Puis elle fini par ne boire que de l’eau, et à ne plus manger du tout.

Elle alla à l’hôpital, car elle faisait de plus en plus fréquemment des malaises, en public et dans sa maison. Mais elle refusait toujours de manger, malgré les conseils des diététiciens.

Un lundi.
Chôji s’en rappelait, c’était le lundi 14 Mai. Sa belle-mère mourut d’anorexie.

Depuis, la famille Akimichi préfère avoir plus de graisse que pas assez… Comme la plupart des gens !

*** Rock *** Rasoir ***

La mère du petit Lee était morte à sa naissance. Il lui restait son père, qui avait la coupe au bol et de très gros sourcils.

Un jour, il prit la décision de trouver une nouvelle mère pour Lee. Pas qu’ils soient malheureux sans, mais même lui avait besoin d’une femme.

Il s’inscrit donc dans un club, pour rencontres. Cela lui coûtait de l’argent, et il n’avait les moyens de payer que pour un mois.

Mais il ne trouva pas son bonheur les trois premières semaines. La quatrième allait se finir, et il était désespéré. Ils avaient, certes, rencontrés pleins de femmes sympathiques, mais aucune ne voulait essayer avec lui.

Le dernier jour, à la dernière rencontre, il rencontra une femme avec du cran. Elle lui dit :

- Je voudrais essayer avec vous, mais je n’aime que les hommes chauves.
- Je me couperais les cheveux, Fit le père de Lee.
- Très bien ! Fit la jeune femme.
- Alors, demain à 18 heures à « Le Palais » ? Demanda le père de Lee.
- Oui ! Accepta la jeune fille.

Le soir même, l’homme se mit à se raser. Une tâche bien fastidieuse, pour homme qui ne s’est jamais rasé !

Quand il prit le rasoir électrique, pour sa tête, il le mit en route. Au début, tout se passait bien. Mais voyant qu’il n’enlevait pas tous les cheveux en une fois, il appuya. Ce qui eut pour effet…

De faire une énorme balafre sur son crâne, saignant abondamment. Il se soigna, du mieux qu’il put. Mais il eut tort. Car il prit de l’eau, pour de raser. Hors, le rasoir, il le tenait dans la main.

L’électrocution ne cria pas gare ! Il fut mort en quelques secondes à peine…

Lorsque Lee sut pour l’accident, il se promit de toujours garder les mêmes cheveux, et les mêmes sourcils…

*** No Sabaku *** Sable ***

Temari, Gaara, Kankurô étaient les fil(le)s du président du Japon. Tout le monde croit que c’est la belle vie, mais non. Ils avaient tous tort.

Les autres enfants vous regardent comme des fil(le)s à papa, ou vous protègent, même si vous leur faites de méchantes remarques. Comme les Soumis et les Insoumis…

Ils détestaient ça, car ils étaient en pensionnat, leurs parents ne pouvant s’occuper d’eux. Ca en devenait frustrant, et c’était toujours Temari qui devait s’occuper des deux autres… Avec un peu d’aide de la part de Kankuro - qui a 1 an de moins que Temari-, heureusement.

Ils éprouvaient de La Haine envers ses parents, qui ne leurs parlaient jamais, qui se contentaient de faire bonne figure devant les gens importants. Cela les agaçaient encore plus, et ils devinrent tous haineux contre eux.

Surtout Gaara. Lui, ses parents ne c’était jamais occupé de lui. Temari et Kankurô avait eut le droit à deux ans et un an pendant le temps où leur père n’était pas président.

Alors, Gaara, âgé de seulement 6 ans, décida de se venger, mais pas de son père. De la personne qui l’avait influencé pour devenir président. C’est-à-dire le meilleur ami de leur père, Ikumo Sishiku. Il savait pertinemment que si il se faisait prendre ou dénoncé, il serait sûrement condamné à mort. Mais, il était intelligent, Gaara !

Mais il s’aperçut vite qu’il ne pouvait pas tuer cet homme de mains propres ; en effet, Gaara était assez intelligent pour le tuer d’une autre façon. Ikumo se doutait de quelque chose ; il menaçait de tuer le président. Malgré les apparences, Gaara aimait son père… Et il n’avait que 6 ans. Mais le moment idéal se présenta rapidement.

La famille du président était invitée chez Ikumo ; pour un dîner. Au bout d’un moment qui lui paraissait une éternité, il demanda où se situaient les toilettes. Ikumo le lui indiquz ; il fit semblant de ne pas trouver. Donc, Ikumo, - qui avait renvoyé tous ses domestiques inutiles- se vit dans l’obligation de l’y emmener.
Et là, Gaara passa à l’action. Discrètement, il suivit Ikumo jusqu’au haut de l’escalier.
Alors qu’il descendait, Gaara le poussa. Ikumo poussa un cri, et Gaara alla aux toilettes, tira faussement la chasse d’eau, rapidement. Il revint vers l’escalier et Ikumo gisait en bas, tous les invités autour.

Il fut dit que c’était un accident.

Suite à ça, Gaara devint muet.

Mais Temari et Kankurô savaient.Ce meurtre était leur secret ultime : celui qui le dévoilait serait tué, et Temari et Kankurô savaient que Gaara en serait capable. Il n’avait pas envie de finir comme Ikumo : poussé quelque part, et se cogner fatalement.

*** Aburame *** Aveugle ***

Gen Aburame vivait sereinement avec sa femme, heureux. Ils n’étaient que plus heureux, d’autant qu’ils allaient avoir un fils ! Malheureusement, ce n’était que pour dans sept mois…

Mais être patient sert toujours…

Mais Gen se mit à avoir une baisse de l’acuité visuelle. Autrement dit, il devenait aveugle… Pourquoi ?
Les médecins firent des recherches : Gen, dès qu’ils voyait le soleil, cela lui brûlait un peu les yeux… Le malheureux dû porter des lunettes de vue solaires, partout où il était…

Mais l’enfant était là, et il se dit que ça ne l’affecterait pas.

Sept mois plus tard…

Le bébé était né. Les médecins le gardaient encore un peu, pour vérifier s’il n’avait pas de problème. Et là, ils virent qu’il avait la même maladie que son père.

Même tarif : il devait porter des lunettes de soleil vingt-quatre heures sur vingt-quatre.

Et le pire arriva : la femme de Gen devint aveugle. Il devait s’occuper d’elle, du bébé… C’était une tâche dure, jusqu’à ce que Shino puisse l’aider…




Et voilà ! Mon petit (serais-je trop modeste ?) prologue est fini, bouclé !
J’ai mis deux jours à le boucler… je vous le dit, l’inspiration m’a prise, je me suis mise sur mon ordi et hop ! Je me suis mise à taper comme une folle !

Sinon, j’espère que ça vous a plus, pour un prologue ! Vous me direz si je continue ou pas, s’il vous plaît ? Sachant que le chap 1 est en cours d’écriture au cas ou vous aimeriez…

Si quelque chose ne va pas dans mon histoire, dites le moi !

PS : Comme il est marqué dans le résumé, Kiba / Ino ou Saï / Ino ? Comme vous voulez !

Merci.


/! CECI N’EST PAS UNE SERIE DE ONE–SHOTS !
Cela explique soit là réalité dans le manga, (spoil !), soit des raisons pour une caractéristique physique, ou un trait de caractère… /!




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