Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Everything to save her (hina/naru)

La plus grande partie est un flash back. C 'est du Hina/Naru, et...Euh...c'est très bizarre. Bon, je suis pas douée pour les résumés, donc, presque tous les persos ont 17 ans (sauf les "senseis").En faite on commence au présent, on part en flash back pour comprendre ce qui ce passe au début (ouin...Ca veut rien dire!!)
Spoil | Humour / Romance | Mots: 17920 | Comments: 44 | Favs: 66
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poky4 (Masculin), le 23/01/2009
gaara vient déballer son sac aujourd'hui ( quelle bonne nouvelle)! Bien...bonne lecture!



Chapitre 8: Une vie est précieuse, je viens de m'en rendre compte...alors pourquoi je la détruit?



Quelques heures plus tard (quand tu subis un choc le temps passe plus ou moins vite, mais tu n’as pas la même notion, c’est sûr !), le jeune couple se releva. Naruto prit la main de sa petite amie, à présent fiancée, et ils se dirigèrent paresseusement vers le campement.

Le Hic, c’est que lorsqu’ils débouchèrent sur la clairière, ce n’était plus un campement qu’ils avaient devant eux, mais un champ de bataille. On pouvait voir des ninjas se défendant vaillamment, mais bien que plus nombreux que l’ennemi, ils étaient bien moins puissant.
En effet, aller savoir pourquoi, l’Akatsuki et l’équipe d’Orochimaru avaient eu la bonne idée d’attaquer en même temps *entre méchants, on se comprend, on ne rate pas une occaz pareille !*.

Naruto saisit très vite l’ampleur du problème et bondit vers la « résistance », formée par tous les ninjas du village.
Il ne s’étonna pas de voir Gaara et Kankuro qui étaient censés arriver le matin pour récupérer leur sœur des bras du flemmard.
Soudainement, tous ses sens étaient en éveils. Il ne s’inquiétait pas d’Hinata, à côté de lui. Il savait qu’elle saurait se débrouiller toute seule. Il se focalisa sur les menaces immédiates. C’est-à-dire Pain, et Sasuke. Il chercha des yeux Gaara, et se matérialisa devant lui.

Point de vue Gaara

Naruto apparut devant moi. Il me hurlait quelque chose dans les oreilles. Il paraissait tellement paniqué ! On allait tous mourir, et alors ? Je me décidais néanmoins à l’écouter.
Ah ! Il voulait que je protège le groupe pendant qu’il combattait, la bonne blague ! Qu’il soit le seul à s’amuser, il était fou !

-Non.

Ma réponse eut l’effet escompté.
Il flancha. Mais pas par ma réponse, contrairement à ce que je crus sur le moment. Il venait d’être foudroyé par un chidori. Tiens ! Voila donc où se cachait notre cher déserteur.
Sasuke était là, devant Naruto, lui hurlant de se lever pour combattre. Pfff… leur manie de hurler constamment, cela me fatiguait. Naruto récupéra doucement et se leva. Il lui faisait face, désormais, près à engager la bataille.

Il comptait sur moi, je le compris, pour faire ce qu’il ne pouvait pas : protéger les autres. Me transformer, former un dôme de sable au-dessus des ninjas rescapés qui luttaient pour leur vie.

Je me décidais enfin à sortir de ma bulle de silence et le sentiment de terreur qui me frappa de plein fouet fini de me faire paniquer. Paniqué ? Moi ? Du jamais vu. Cependant, je venais de comprendre qu’on allait VRAIMENT mourir si je ne faisais rien. Merde.

Merde.

Merde. Mourir. Je comprenais seulement maintenant ce que cela signifiait. Cela signifiait que vous disparaitriez des esprits. Cela signifiait que plus jamais on ne verra le soleil. On ne savait pas ce qu’il y avait après. Et moi j’aimais cela. Tuer.

Tuer.

Tuer. Je venais de comprendre. Et cela me faisait terriblement peur. Cependant, je gardais mes pensée pour moi et commençait à puiser dans le terre, la broyer, et à récupérer du sable afin de former un toit sur nos pauvres têtes envahit de partout.
Durant le processus, je m’ « amusais » à broyer les ennemis qui s’approchait trop de moi. De Nous. Je n’étais plus seul.

Naruto avait engagé le combat et se battait vaillamment, mais se fatiguait vite. Sasuke finit par se lasser et disparut, laissant Naruto en plan.
Mais 2 secondes après, il fut de nouveau envahi de toutes sortes de projectiles.

De l’autre coté, tous le monde étaient atteints. Mais je n’arrivais pas à me concentrer suffisamment avec tous ces sons, tous ces cris.

Je m’enveloppai de nouveau dans ma bulle*factice, la bulle*. Je tournai la tête, une expression indéchiffrable sur le visage. Je constatai que ma sœur était évanouie, que mon frère résistait toujours, que Shikamaru était plutôt pas trop mal en point.

Ce qui m’étonna, ce fut Hinata. Elle n’avait jamais été forte et pourtant, elle combattait bien. Elle virevoltait. Puis soudainement, elle s’écroula. Je n’eus pas besoin de regarder pour savoir ce qui allait se passer. Pain se planta devant elle, trouvant manifestement qu’il avait assez joué avec elle, et la malmena. Vite fait, elle se mit à cracher du sang, à hurler. Elle souffrait, c’était sûr, mais obligatoire. Elle n’aurait jamais du combattre cet homme.

Trop faible ! Il la propulsa violemment vers ses proches, et je vis Sakura se précipiter vers elle. Naruto ne la vit pas, et continua ses attaques.

Je me retournai et me re-concentrai.
Que m’importait la mort de cette fille ? Cependant, je ne savais pas mentir, même pas à moi-même *c’est ptetre un point commun entre les jinchurriki* et je compris que je ne pouvais pas rester seul plus longtemps, qu’il fallait que je trouve des sentiments humains, des sentiments trop souvent refoulés en moi.

Mais pas encore, sinon j’allais me mettre à pleurer comme une madeleine, déconseillé en plein bataille.

De loin, je vis ma sœur en mauvaise posture, près de Shikamaru (il pensa d’ailleurs que s’il devait sauver les autres, Shikamaru pouvait bien mourir, pour avoir seulement pensé à sortir avec ma sœur). Les deux la se complétaient, ce qui me déplaisait.

Shikamaru immobilisait les cibles, puis Temari lançait sa technique de décapitation (nouvelle, la technique) et juste avant que la cible ne face ce pour quoi elle était destinée, c’est-à-dire les zigouiller, Shikamaru abandonnait sa manipulation.

Toute cette histoire marchait très bien jusqu'à ce qu’un inconnu arrive et balance un coup de vent, ressemblant étrangement à la technique de Temari sur Shikarmaru.

Temari plongea en avant et fut repoussée en arrière par le souffle, emportant dans son sillage Shikamaru. Ils finirent leur voyage sur un arbre, la tête de Temari partant en arrière se cogner contre le tronc, alors que Shikamaru vit avec horreur son bras partir dans un angle inquiétant.
Puis il ressentit la douleur et hurla un bon coup *ça fait toujours du bien quand on a mal, même si ça sert a rien* avant de s’évanouir.

Le ninja se demanda comment deux personnes s’évanouissant au moindre coup pouvaient avoir reçu le titre de shinobi ; puis il se désintéressa d’eux, ne les jugeant pas dignes de son talent. C’est ainsi que les deux amoureux furent lâchement abandonnées dans les bois, puis retrouvés à la fin de la bataille *au moins ils sont sauvés*.

Plus loin encore, Lee était inconscient, transporté par Tenten, sa meilleure amie près de Sakura, sa petite amie (il a du succès, maintenant ?).Tenten se confondait en éloges, annoncant a qui voulait l’entendre qu’il l’avait sauvée d’une mort problable.

Les autres semblaient bien portant, si on excluait Neji, mal en point mais toujours combattant, Naruto, qui avait fini par s’apercevoir qu’Hinata, était à moitié morte et qui criaient des choses à Sakura qui lui répondait de la même façon.

Je tuais et plus je le faisais, plus mes membres étaient douloureux. Des sueurs froides me parcouraient, j’étais à bout, le monstre voulait sortir définitivement, et je ne voulais pas. J’apostrophais donc Naruto :

-Yosh ! Naruto ! Je ne tiens plus, la ! Il va me submerger ! Je t’aiderai sous ma forme humaine le temps de me reposer un peu. BONNE CHANCE !!! Et sans attendre de réponse, je me lâchais tout. Le dôme écroula et je tombais à genoux, essayant tant bien que mal de reprendre le dessus et d’ignorer la douleur, de garder les attaquants à distance. La douleur était lancinante, j’avais mal, si mal…




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