Fiction: Amnésique (terminée)

Temari se fait agresser à quelques pas de Konoha, on l'a croit perdu mais elle fini par se réveiller. Seulement problème: elle ne se rappelle pas de sa vie passé et Gaara, pour sa sécurité, ne tient pas à ce qu'elle s'en souvienne. Notre paresseux préféré va devoir tricher, mentir et s'assurer que jamais elle ne redevienne Temari no Sabaku, celle qu'il aimait secrètement. Mais pourquoi un tel ordre de la part de Suna ?
Classé: -12D | Action/Aventure / Humour / Romance | Mots: 39982 | Comments: 410 | Favs: 270
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nana13 (Féminin), le 22/09/2008
Je vous laisse juger par le titre.



Chapitre 11: MENTEUR !!!



Aya s’avança doucement vers le ninja, presque calmement.

« Qu’est ce que… qu’est ce que vous avez dit ?
- J’ai dis que chaque ninja, ou presque, de ce village était au courant. Vous êtes Temari no Sabaku. Vous n’avez jamais été une ninja de l’Herbe, jamais une ninja du Feu. Vous êtes une ninja du Vent à part entière.
- Suffit, s’exclama Tsunade, cette comédie à assez durée, je…
- Vous allez me faire taire, ricana encore Dai, par peur que je vous dénonce ?
- Taisez-vous…
- LAISSEZ LE PARLEZ !!! »

Tous les regards se tournèrent vers Aya qui avait hurlé, elle ne quittait plus Dai des yeux, comme hypnotisée.

« Vous êtes la fille aînée du quatrième Kasekage, la sœur du cinquième, l’un de vos frères s’appelle Kankurô.
- L’autre c’est…c’est Gaara n’est ce pas ?
- Effectivement. »
Son visage était devenu cruel, il semblait prendre plaisir de la torturer mentalement.
« Le village s’est moqué de vous… et ce garçon (il désigna Shikamaru) chaque mot qu’il disait était un mensonge. »
Il éclata de rire :
« Je suis sûr que ce rôle a dû vous plaire au fond… Aya… La beauté sauvage… »

Le poing de Shikamaru partit tout seul, Dai en heurta le sol mais il se releva, prêt à se défendre. Tsunade observa Shikamaru, c’était la première fois qu’il perdait le contrôle de lui-même. Elle s’interposa avant qu’il ne se jette sur le captif.

« Iruka, emmène cette vermine en cellule surveillé.
- Bien. »
Il ligota Dai fermement et l’emporta. L’Hokage soupira et se rassit à son bureau. Shikamaru chercha à croiser le regard d’Aya mais elle s’obstinait à fixer le sol.
« Ecoute Aya…
- C’est faux n’est ce pas ? Shikamaru… C’est faux. »
Son ton avait quelque chose de suppliant, de perdu.
« Je suis désolé. »
Ça en disait plus que n’importe quelle réponse. Le regard de la jeune fille le croisa enfin : dur, froid, haineux. Elle se sauva dans le couloir.

« AYA ATTENDS !!! »

Il l’attrapa par le poignet, elle ne pouvait pas s’enfuir comme ça, il fallait qu’il s’explique.
« LÂCHE MOI !!! LÂCHE MOI ESPÈCE DE MENTEUR !!! »
L’insulte lui déchira le cœur, jamais il ne l’avait vu dans un tel état de rage.
« Aya, supplia t’il, Aya écoute moi…
- FOUS MOI LA PAIX !!!
- C’était une mission… Donnée par le Kasekage… Je n’avais pas le choix…
- TU AS DÛ T’AMUSER TOUS LES JOURS !!! INVENTER DE BELLES HISTOIRES SUR AYA LA PETITE ORPHELINE VENANT DU PAYS DE L’HERBE !!!
- Jamais je n’ai…
- ET MOI JE TE CROYAIS !!! COMME UNE IDIOTE JE GOBAIS TES MENSONGES !!!
- Shikamaru qu’est ce qui se passe ? »

Ino, Choji, Lee et l’équipe 7 venaient d’arriver, Aya se retourna, au bord des larmes :
« Vous aussi vous saviez… Tous vous étiez au courant… tous…
- Ben heu…
- Vous avez tous gardé le secret, elle éclata d’un rire sans joie, félicitations ! La palme du comédien pour chacun !!! Et un oscar pour le Nara !!! »

Après ce sursaut de folie furieuse elle sembla se calmer brusquement et les larmes se mirent à couler. Shikamaru tenta de l’approcher mais elle le rejeta :
« Espèce… espèce de m-menteur.
- Je te jure, chuchota t’il comme pour lui, je te jure qu’il ne s’est pas passé un jour sans que je regrette… Sans que je ne sois torturé à l’idée de te mentir. »

Elle leva la tête :
« Tu ne sais pas ce que c’est… le fait d’être vidé… de ne rien savoir…de se regarder dans un miroir en se demandant pourquoi l’image que l’on voit est celle d’une inconnue.
- Je ne voulais pas te rendre malheureuse.
- Tu sais ce qui me blesse le plus ? Ce n’est pas le fait que tu m’ais mentit… C’est le fait que tu as profité de ta position de sauveur, tu l’as dis toi-même : Temari ne t’aimait pas. Alors tu t’es rabattu sur Aya… et c’est aussi pour ça que tu ne m’as jamais avoué qui j’étais. »

Chaque personne présente semblait figée, collés contre le mur les amis de Shikamaru attendaient la suite. Celui-ci caressa la joue de la blonde de Suna et lui releva la tête :
« Tout ce que je peux dire pour ma défense… c’est que je t’aime. »
Elle cessa de pleurer, ses yeux verts le foudroyèrent.
« Et si cet homme n’avait pas parlé… tu m’aurais dit la vérité un jour ? »

Son silence fut la pire des réponses, la gifle partit à une vitesse folle, Shikamaru valsa contre le mur, sa lèvre saigna mais il ne s’en préoccupa pas. La colère de la jeune fille était remontée :
« TU VOIS !!! TU AS PROFITÉ DE MOI !!! TU AS CHOISI AYA PARCE QU’ELLE RÉPONDAIT À TES AVANCES !!! TU N’ES QU’UN LÂCHE, UN MENTEUR !!! »

Elle écarta les ninjas qui se trouvaient sur son passage et s’enfuie en hurlant :
« JE TE DÉTESTE !!! TU ENTENDS SHIKAMARU NARA ?!! JE TE DÉTESTE !!! »

Il voulut encore la rattraper mais cette fois elle fut trop rapide et disparue rapidement. Il resta dans le couloir, muet, tous les regards posés sur lui. Shizune baissait la tête, Tsunade avait l’air désolée ainsi que Sakura et Lee, Naruto et Sai étaient encore embarrassés, Ino et Choji s’approchèrent de Shikamaru et lui attrapèrent chacun une épaule.

« Shika… » Commença Ino.

Mais il la repoussa, s’élançant lui aussi dans le couloir. Il fallait qu’il la retrouve, il fallait qu’il lui explique.
Tsunade soupira avant de s’adresser à son assistante:

« Faites savoir au Kasekage que les ninjas d’Oto vont bientôt passer à l’action. »

* * * * * * *


Temari courut jusqu’aux terrains d’entraînement, les traversa, sans prendre garde au froid qui lui déchirait les membres ou aux branches qui lui griffaient le visage. Elle ne s’arrêta que lorsqu’elle s’aperçut à quel endroit elle se trouvait : elle était dans la forêt Nara, le lac devant elle avait gelé, une biche et un cerf au loin partageaient un fourrage sans doute déposé par Shikaku.

Alors elle s’assit au bord du lac et pleura, pleura pour se vider de cette haine, pour se noyer dans cette eau salée qui coulait le long de ses joues brûlantes. La neige ne la gênait pas, elle aurait voulu s’y coucher et s’endormir.

Mourir pour bon.

Oublier leurs mensonges.

Oublier ce Nara de malheur.

Sur le lac elle remarqua une ouverture dans la glace assez large, elle aurait facilement pu y pénétrer.

C’était tellement facile, se laisser couler dans l’eau froide, sentir son corps s’engourdir et mourir avant même d’avoir manqué d’air.

Doucement, comme une somnambule, elle s’avança vers cette faille.

* * * * * * *


Ino, Kiba, Hinata se chargeaient de la partie ouest du village, malheureusement l’Inuzuka n’était pas d’une grande utilité à cause de la neige qui agissait sur son flair. Choji, Shino et Sakura s’occupaient de la partie Est. Naruto, Neji et Sai fouinaient le Nord. Les clones de l’Uzumaki fouillaient vers le Sud de Konoha. Lee et Tenten passaient chaque terrain d’entraînement au peigne fin. Tsunade ayant fait fermer les portes du village Temari se trouvait forcément encore à l’intérieur.

Shikamaru avait d’abord eu le réflexe de se rendre chez lui, comme elle n’y était pas il ne voyait encore qu’un endroit. Un endroit où Aya adorait se rendre : la forêt Nara.

* * * * * * *


Temari s’avançait toujours, elle s’arrêta au bord de l’eau dont la brillance l’attirait irrésistiblement. Elle prit une inspiration et se pencha.

* * * * * * *


Shikamaru courait toujours, un horrible pressentiment venait de lui saisir la gorge, quelque chose de grâve était arrivée, il le sentait. Lorsqu’il fut enfin dans la forêt il aperçut des traces de pas, trop petites pour être celles de son père.

« Elles se dirigent vers le lac. »

Il sentit des sueurs froides dans son dos.
Il courut jusqu’à la rive, les pas s’arrêtaient devant une faille dans la glace.
« Mon Dieu, pensa t’il, faites qu’elle n’est pas… »

Il se rendit compte alors que les pas continuaient plus loin. Il poussa un soupir de soulagement, elle n’était pas entrée dans l’eau.
Mais le vent se leva, la neige allait effacer les traces. Shikamaru comprit qu’il ne la rattraperait pas.
Il rentra.

Lorsqu’il arriva chez lui ses parents l’attendaient sur le palier, son père avait l’air compatissant et sa mère furieuse.
« Aya… » Commença t’il.
Son père hocha la tête :
« Elle est rentrée, elle s’est enfermée dans sa chambre. »

Shikamaru bondit littéralement dans l’escalier et s’arrêta devant la porte fermée à clé. Il colla son oreille contre le bois mais n’entendit que de faibles sanglots.

« Ouvre moi, supplia t’il, il faut que je te parle.
- FOUS LE CAMP !!!
- S’il te plait… je ne vais quand même pas te parler à travers une porte.
- VAS-T’EN !!! »

Il s’affala dos contre la porte et s’assit par terre.
« J’ai cru… j’ai vu tes pas jusqu’à la rivière… j’ai eu peur que tu…
- …
- Je m’en veux tellement… je t’assure que je regrette…
- MENTEUR !!! »

Encore cette insulte, Shikamaru resta ainsi pendant deux heures, tentant de s’expliquer, de s’excuser. La jeune fille ne lui parla plus, parfois il entendait un pleur discret mais rien de plus. Finalement il rentra lui aussi dans sa chambre et s’assit sur son lit, la tête entre ses mains.

Dans la cuisine une dispute à voix basse se déroulait entre Yoshino et Shikaku :
« Et moi j’avais la princesse Temari no Sabaku dans la maison, celle qui a sauvé la vie de mon fils et bien sur on ne m’a rien dit.
- Mais tu n’aurais pas été si merveilleusement convaincante ma chérie.
- Quand je pense qu’il a osé accepter cette mission… mentir ainsi… c’est scandaleux.
- C’était lui ou un autre, je crois que tu ne te rends pas compte du poids qu’il s’est mit sur les épaules.
- Je me demande bien pourquoi. Lui qui évite tellement les ennuis d’habitude.
- Mais ouvres un peu les yeux, nom de nom ! Il l’aime cette fille !!! Il en est dingue !!! Alors quand il a vu qu’elle partageait ses sentiments il n’a pas résisté.
- Il aime vraiment cette fille ?
- Il me l’a dit.
- Alors il n’a pas fini d’en baver. »

* * * * * * *


« Il faut leur dire la vérité ! Tôt ou tard les ninjas d’Oto vont passer à l’acte. Mieux vaut que Konoha soit alerté. »
Kankurô avait tapé du poing sur la table du conseil, perdant patience devant les têtes brûlées qui y siégeaient.
« Kyoujaku va mettre la main sur Temari, il trouvera le moyen de lui rendre la mémoire et la tuera. Ensuite il sera surpuissant et pourra de nouveau s’en prendre à Suna et aussi à Konoha. Il a déjà réunit une armée d’élite, il ne lui manque plus que son souvenir. »

Des murmures fusèrent, les avis étaient partagés. L’un deux, un shinobi gras et chauve s’exclama :

« Si nous avions expliqué la vraie raison de la mission à Konoha ils n’auraient jamais accepté. Mais tant que Temari est dans les murs du village de la feuille elle ne risque rien.
- ILS SONT PLUS PUISSANTS QU’ON NE LE PENSE !!! Hurla Kankuro. ILS ONT SÛREMENT DÉJÀ UN PLAN !!!
- Le seigneur Kankurô se moque de la survie de Suna, tout ce qu’il veut c’est sa sœur en sécurité. Temari est la ninja la plus forte de Suna après le Kazekage, elle est en mesure de se défendre.
- TEMARI EST AMNÉSIQUE !!!
- Ce qui a été une sacrée chance pour nous je dois dire, sans ça je me demande comment nous nous serions débarrasser de son « souvenir ».
- MAIS JE VAIS LE TUER CE GROS LARD !!!
- Suffit Kankuro, ordonna Gaara, perdre ton sang froid n’arrangera rien. »

Tous les visages se tournèrent vers lui, c’était au Kazekage de prendre une décision.

« Nous avons caché la vérité à Konoha trop longtemps, je vais envoyer sur-le-champ un message à leur Hokage. Kankurô, est ce que ta troupe a repéré le repaire de Kyoujaku ?
- Je dirai qu’il se trouve dans le désert, à quelques kilomètres d’ici. Sûrement protégé par un sort de Genjutsu très puissant.
- Baki formera des ninjas d’élites, qu’ils se tiennent prêts à n’importe quelle mission : sauvetage, poursuite ou attaque. C’est tout ce que j’ai à dire. »

* * * * * * *


La lune ronde dans le ciel indiqua à Temari que la nuit devait déjà être bien avancée. Tout était d’ailleurs enfin silencieux dans la maison Nara.

La jeune fille observa la chambre où elle se trouvait, des photos partout constituaient sa décoration : Ino, Lee, Choji, Sakura, Naruto, Sai, Kiba, Hinata, Shino, Tenten, Neji, Shikaku, Yoshino et Shikamaru. Tous elle les avait tant estimé, elle s’était sentit aimée, protégée. Maintenant tout ceci la dégoûtait au plus haut point. Elle déposa sur son lit sa robe bleue soigneusement pliée, ses lames et son bandeau. Doucement elle ouvrit la fenêtre, sauta et s’accrocha au mur avec son chakra. La fenêtre d’à coté donnait sur la chambre de Shikamaru, elle ne pu résister à l’envie d’y jeter un œil.

Il dormait tout habillé, sa fenêtre était ouverte, elle entra.Temari s’assit sur le bord du lit et le contempla un moment. Elle décrocha son collier et attrapa doucement la main de Shikamaru, fit glisser le bijou à l’intérieur et la referma dessus. Puis, par peur qu’il ne s’éveille ou par peur de faiblir, elle sauta par la fenêtre et atterrit dans la cour. Elle quitta la demeure Nara pour se diriger vers le palais de l’Hokage.

Plusieurs personnes y vaquaient encore, la jeune fille très discrète réussit pourtant à y pénétrer. Durant la période où elle avait travaillé avec Shizune elle avait appris à reconnaître les pièces de cet endroit. Orelle, elle n’en cherchait qu’une : la réserve secrète.

Elle la trouva rapidement, même pas gardée. Elle se munit d’une épingle à cheveux et crocheta la serrure (remercions Ino qui lui avait montré le truc). Une fois à l’intérieur elle referma la porte sur elle et commença sa fouille discrète.

Au bout d’un quart d’heure elle trouva un casier marqué : les missions S de Suna. « Bingo ! »

Plusieurs dossiers et une boite en carton, elle s’en saisie et l’ouvrit. Quelle ne fut pas sa surprise en découvrant juste une robe noire fendue sur le coté, un long ruban rouge et un parchemin d’invocation. Et bien sur aussi un bandeau de Suna. Sur la robe était attaché une étiquette : propriété de Temari no Sabaku.

La jeune fille se déshabilla rapidement, enfila la robe, noua le ruban d’une main sûre, comme un réflexe. Attacha le bandeau à son front et se mira dans un miroir brisé : son reflet ne lui disait toujours rien. Un peu découragé elle voulut tromper sa déception en lisant le parchemin d’invocation, mais rien n’était écrit dessus. Alors elle se mordit le doigt et laissa le sang couler, savait on jamais…

Il y eût un nuage de fumée blanche.

Un objet assez long apparut aux yeux de la jeune fille.

Un éventail géant.

La jeune fille le caressa doucement, comme il était beau. C’était donc de cette arme dont se servait Temari, ressemblant exactement à celui de son rêve. Après de longues minutes de contemplation elle se décida à l’accrocher derrière elle avec son ruban rouge. Au fond de la boite elle trouva quatre élastiques pour les cheveux, ne sachant pas comment s’en coiffer elle les emporta, à tout hasard.

Puis elle quitta la réserve et le palais.

* * * * * * *


Elle marcha jusqu’aux portes de Konoha, avant de se cacher dans un buisson pour évaluer la situation. Les portes étaient fermées bien sûr, mais elle pouvait facilement escalader les murs. Seulement il aurait fallu éviter les deux gardiens qui étaient postés devant.

Elle s’approcha doucement, cherchant une faille quelque part. Une branche craqua, elle sursauta, les ninjas avaient dû l’entendre. Mais rien ne se produisit. Intriguée elle se dirigea vers eux avant de se rendre compte…qu’ils dormaient profondément.

« C’est ÇA la fine fleur des ninjas de Konoha ? »

D’une certaine manière ça l’arrangeait, elle escalada rapidement les hautes murailles et se laissa glisser de l’autre coté. Ensuite, sans aucune hésitation, s’élança dans la neige.

Shino sortit de l’ombre et ricana en voyant les deux ninjas endormis. « Un petit somnifère dans le thé, y’a rien de tel. » La première partie du plan avait brillamment réussie, Temari était sortit de la protection de Konoha. Le reste c’était aux autres de s’en charger.

« Il est temps pour moi d’aller libérer ce mollasson de Dai. »
Il éclata tout seul de rire et repartie tranquillement vers les habitations.

Temari se retourna une dernière fois, les lumières de Konoha étaient déjà lointaines, la neige s’était remise à tomber. Pour s’éviter de pleurer elle respira l’air vif de l’hiver, puis fit volte-face et s’éloigna rapidement. Les cerfs sortis de la forêt contemplèrent longuement cette ombre qui disparaissait dans l’aube naissante.



Je vous informe que j'ai terminé d'écrire cette fic et que j'envoie mes derniers chapitres (rassurez vous il y'en a encore pas mal^^)




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