Fiction: Gossip in Paris

"Contrairement à ce que beaucoups croient, tout n'est pas rose dans notre superbe academie du centre de Paris. Chacun d'entre nous à ses petits secrets, et mieux vaut ne pas les reveler si on ne veut pas se retrouver engloutit dans un tourbillon d'embrouilles... Mais voyez vous, je suis curieuse, moi, et je n'ai pas peur de me retrouver face à la verité. Et vous ?" Blg "Gossip Girl", serveur de l'academie Hashirama Senju
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Coco-Hyuga (Féminin), le 08/02/2009
"Contrairement à ce que beaucoups croient, tout n'est pas rose dans notre superbe academie du centre de Paris. Chacun d'entre nous à ses petits secrets, et mieux vaut ne pas les reveler si on ne veut pas se retrouver engloutit dans un tourbillon d'embrouilles...
Mais voyez vous, je suis curieuse, moi, et j'aime gouté à la saveur sauvage mais agreable de ce que l'on apelle communement la verité... Quand à vous, je le sais, vous êtes affamés de ragots. C'est pourquoi je me propose de repondre à toutes vos questions : pourquoi H.H ne reste que deux jours de suite avec le même garçon ? Qui est reellemnt S.H ? Ou I.Y achete-t-elle ses chaussures ? Que fabrique T.S debout jusqu'a 5 heure du matin sans participer aux fiestas ? Que cache T. derriere sa bonne humeur ambiante ?
Tant de points qu'il me reste à elaircir pour vous... Alors avec moi, venez decouvrir la verité sur les rejetons des dirigeants les plus importants de l'economie mondiale.




Chapitre 3: Arrivee de S.U., la nouvelle vedette de l'ecole !!!



Lundi, 6 heures du matin. A cette heure ci, d'habitude, la plupart des étudiants dormaient encore. Pourtant, ce matin là, tout le Lycée était en effervescence, et ce pour une seule raison :
L'arrivée de Sasuke Uchiwa.

Le jeune et prometteur acteur de 17 ans, dont la carrière avait décollé deux ans plus tôt lorsqu'il avait obtenu le rôle-clé d'un teen-soap américain, et sur lequel les contrats pleuvaient depuis, avait été un des élèves « normaux » du Lycée. Malgré la richesse de ses parents, on ne l'avait jamais étiqueté que comme « un mec super beau mais trop renfermé », et la plupart des filles avaient passé leur chemin.

Jusqu'à ce qu'il ne disparaisse un beau jour, sans prevenir personne, pour s'envoler vers les Etats-Unis, et qu'il apparaisse à la télé quelques jours plus tard... Pour devenir le fantasme vivant de toutes femelles entre 15 et 45 ans. Bref, c'est dire à quel point son retour était attendu de tous, ou plutôt de toutes.

Sakura Haruno n'avait pas échappé à la règle. Elle connaissait bien Sasuke, du moins aurait aimé bien le connaître et avait été très très amoureuse de lui, même avant son départ. Elle l'avait harcelé, heu, pardon, souvent invité à sortir, et espérait bien qu'il s'en souvienne.

Ce matin là, elle avait mis le réveil TRES tôt pour pouvoir avoir le temps de se préparer à l'arrivée de son futur copain. Elle avait réquisitionné l'une de ses compagnes de dortoir, Tayuya, qui n'était certes pas sa meilleure amie mais dont la mère était styliste capillaire, afin qu'elle l'aide à se préparer, et était maintenant fin prête. Du moins, en ce qui avait trait au maquillage et à la coiffure.

Même si elle avait pas mal renâclé, Tayuya avait fait du bon travail, songeait la jeune fille en s'observant dans le miroir de sa coiffeuse. Le chignon compliqué et élaboré qu'elle avait monté sur son crane était tout simplement grandiose, et les barrettes et pinces roses à diams qu'elle avait clipé ça et là rehaussait la teinture bonbon de la jeune fille. Quand au maquillage...
Rouge à lèvre rose cerise, far à paupière fuchsia, fond de temps rosé et far à joue framboise, elle ressemblait à une vraie Barbie. Quant à ses vêtements, elle avait profité du fait que ce soit le week-end pour faire une grosse entorse au dress-code et revêtir une chemise « à la japonaise » (elle avait entendu dire qu'Uchiwa raffolait des asiatiques) immaculée et une mini-jupe plissé, je vous le donne en cent, rose.

Maintenant, elle patientait dans le salon de son dortoir tout en croquant des « cerises glacés » (son hors d'œuvre préféré, commandé chez le traiteur et qu'elle gardait toujours dans son congélateur) et en discutant avec Kin, l'une de ses nombreuses amies, des mérites respectifs des méthodes de régimes « manger-un-fruit-toutes-les-trois-heures » ou « n'ingurgiter-qu'un-repas-par-jour ».

Sakura était la fille d'un célèbre romancier britannique et d'une actrice française toute aussi fameuse, et avait passé toute sa scolarité à Hashirama Senju. Si elle s'était avérée, dans son enfance, élève sérieuse, appliquée et avide d'apprendre, ces qualités louables s'étaient effacés avec le temps, et la petite fille modèle était devenue une adolescente frivole, superficielle, qui avait du fric et du charme et le savait. Elle traquait tous les « beaux partis » de l'école, et était sortie avec tous les jeunes hommes les plus riches de l'Institution, et visaient maintenant le nouvel arrivant. Même si beaucoup de filles chuchotaient dans son dos à propos de celle qu'elles appelaient « La Pute » ou la « Poupée Barbie », c'était un privilège et une assurance de popularité que d'être amie avec la Belle Haruno. Tout le monde le savait, et elle la première....



Toutes les filles de l’Académie, sans exception, s’étaient soigneusement préparées pour l’arrivée du jeune Uchiwa depuis que la new était parue sur le blog de Gossip Girl. Mais le principal intéressé, pourtant habitué à être adulée et acclamé par la gente féminine, était loin de se douter de l’accueil qu’on lui réservait…

Introvertie et froid de nature, Sasuke aurait put continuer à passer pour un gros geek si il n’avait pas été, en plus des charmants traits de caractère cités ci-dessus, doté d’un physique particulièrement avantageux et de contacts influents. Lorsque sa mère lui avait propose ce contrat d’une demi-année pour le premier rôle d’une série télé prometteuse, il ne s’était pas du tout attendu à ce succès… Et pourtant. Il était passé du statut de jeune héritier presque insignifiant à celui de star internationale du petit écran et sex symbole moderne en a peine six mois, et son mode de vie en était passablement changé.

Il avait rapidement commencé à enchainer les petites amies, d’abord internes au tournage : maquilleuses, habilleuses, assistantes de production… Et puis il s’était engagé dans une romance avec sa partenaire à l’écran, idylle qui avait fait couler beaucoup d’encre et avait braqué encore plus les projecteurs sur lui. Il s’était ensuite engagé dans des histoires encore plus rocambolesques, était sorti avec de jeunes stars de la chanson à peine pubère, des mannequins en pleine ascensions, des jetsetteuse ambitieuse ; il avait changé sa façon de voir et de penser, et il considérait d’un œil neuf et méprisant sa vie d’avant. Et lorsque ses parents avait exprimé leur vœux de le voir reprendre le chemin de l’école, après la fin du tournage de la seconde saison, il avait difficilement consentit à suivre leurs décisions.

Ce premier jour d’école était donc loin d’être considéré comme un « big deal » par la jeune starlette qu’il était devenu. Il s’était négligemment revêtu, étant donne que c’était le week end, d’une chemise rayée à demi entrouverte sur son torse pale dépourvu de poil et d’un jean noir délavé, plus sexy que jamais d’après les tabloïds du lendemain. Bien entendu, une horde de photographe avait suivi sa limousine sur le chemin de l’école. Bien entendu, de nombreux journalistes l’avaient interpelé, aussi bien en français qu’en américain, lorsqu’il était sorti de sa voiture toute neuve pour pénétrer dans l’établissement.

Ce à quoi il ne s’était pas attendu, en revanche, c’était à l’accueil plus que… Chaleureux de la quasi totalité des filles de l’académie qui s’était réunie à l’entrée du lycée pour avoir une chance d’apercevoir LE beau gosse de ce nouveau semestre avec qui elles auraient le plaisir de partager leurs cours.

En effet, quiconque aurait pénétré dans le Hall à ce moment là se serait sans doute cru dans la salle de concert du nouveau Boys Band hype du moment, mais, bien que Sasuke ait facilement pu faire figure de chanteur dans l’un de ces groupes à la mode et dont la soupe pop pour ado sera oubliée deux ans plus tard, c’était simplement une crise d’hystérie collective a la vue d’un beaux mâle très convoite et élevé au rang d’icône moderne. En tout cas, toutes les pensionnaires faisaient facilement office de groupies déchainées.

« On ne s’entend plus penser… » bougonna Tsunade, pas très fière de la conduite de ses élèves, en tentant avec effort de se frayer un passage dans la foule. Mais c’était peine perdue. Énervée, la directrice au décolleté bien rempli activa le micro du casque Wireless connecté aux hauts parleurs de l’académie et s’écria, sans aucune considération pour les pauvres oreilles de ses élèves qui risquaient fort d’être salement écorchées par la voix amplifiée de la jeune femme, et encore moins pour les quelques étudiants (de sexe masculin, pour la plupart) qui profitaient de ce samedi matin pour faire la grasse matinée : « Bon, c’est fini oui ??? Mesdemoiselles, faites moi je vous prie le plaisir de vous écarter afin de me laisser passer ! Quant à vous, Uchiwa, dans mon bureau tout de suite ! Action ! »


Comme on pouvait s’y attendre, le bureau de la directrice était plus fait pour en mettre plein la vue à ses visiteurs qu’autre chose. C’était une grande pièce aux meubles de chêne polis, dont les murs étaient couverts de diplôme et de photographie, chacun de ces documents attestant, bien entendu, de la prestigiosité de l’établissement. Un grand bureau particulièrement bien range trônait au milieu de la salle, bureau sur lequel était dispose avec soin un porte crayon remplie de stylos plume dores, un sous main en cuir noir et une petite, toute petit pile de feuilles volantes histoire de montrer qu’eux aussi travaillaient au bien être de leurs élèves. Pour compléter ce décor par une touche cosy et chaleureuse, deux grand fauteuils qui, même à l’œil nu, semblaient outrageusement moelleux étaient disposes en face de la table de travail.

Tsunade invita d’un geste le jeune élève à s’asseoir, puis pris place derrière le bureau et, pour finir, posa ses coudes sur le sous main et fixa le jeune homme dans les yeux, appréciant le calme et le luxe de ce qu’on appelait pompeusement le « Cabinet particulier de Mme la Directrice. »

En réalité, la jeune femme étant une GROSSE bordélique, sa vraie salle de travail se trouvait au bout du couloir. Elle ne pouvait cependant s’en servir pour accueillir ses invités, bien que la pièce soit, à la base, aussi grande et bien décorée que le cabinet « officiel » : des dossiers s’amoncelaient du sol au plafond dans un bazar indescriptible, et il était plus que dangereux de s’y aventurer si on ne connaissait pas bien les méthodes de rangement plus qu’ originales de la jeune Directrice. Le conseil d’administration lui avait donc demandé expressément de changer de bureau en présence d’invités, et elle avait obéi presque sans faire d’histoire. Elle devait reconnaitre que tous ces petits vieux avaient au moins eu raison sur ce point là.

Se laissant aller confortablement sur son fauteuil, la jeune femme reporta finalement son attention sur le jeune Uchiwa, qui s’était confortablement affalé sur l’un des fauteuils comme il le ferait en entrant dans un Night Club. Bien entendu, tous les nouveaux étudiants n’étaient pas aussi bien traités, la plupart du temps ; ils avaient en tout cas rarement droit à un entretien privé avec la Directrice, et étaient souvent directement redirigé vers la Vie Scolaire. Mais étant donné la fortune de sa famille et son nouveau statut bien particulier, Tsunade avait décidé de réserver un traitement de faveur au jeune homme.

-Bien, commença-t-elle en farfouillant dans la petite pile de feuille volante dont nous avons parlé plus tôt, étant donne ta courte absence, nous avons décidé de te mettre dans la même classe que l’année dernière. Voici l’emploi du temps, indiqua-t-elle en lui tendant une fiche cartonnée, tu as les mêmes professeurs. Quant aux activités… La fin du premier semestre arrive à grands pas, et je ne pense pas qu’il soit utile de t’inscrire maintenant. Je ne te retiendrais pas pour les petits topos de début d’année, tu dois les connaitre par cœur… Je te souhaite donc bonne chance, finis-t-elle en se levant. Si tu as le moindre problème, n’hésites pas a passer me voir. Fais aussi un tour au sixième étage, Shizune te donnera le règlement. Je crois que c’est tout… Tu es libre, mon garçon.

Le jeune homme s’empara des papiers, murmura un « hn » bien senti puis se dirigea vers la porte sans un mot de plus. Alors qu’il s’apprêtait à sortir, la directrice l’interpela de nouveau :

-Oh, une dernière chose… Nous n’avons pas pu te remettre dans le même dortoir, occupé par quelqu’un d’autre, donc tu es transféré dans le numéro 7. S’il y a le moindre problème avec tes compagnons de chambre fais le moi savoir. Et transmets mes amitiés à ta mère, lui ordonna-t-elle finalement, en l’observant partir de nouveau vers le hall de l’académie, dans lequel son chauffeur avait disposé ses bagages, provoquant des murmures et des gloussements sur son passage.

« Espérons que le Uchiwa ne fasses pas trop de grabuge, songea-t-elle en retournant vers son vrai bureau… »



Oui, je sais, je suis impardonnable... Un an depuis le dernier chapitre. Vous avez le droit de me lancer la pierre.
Enfin, l'occasion de voir l'evolution de mon style ! (en relisant les premier chapitres, j'ai faillit m'etouffer de mes propres fautes... Une corrections bientot, donc)
Je me suis remis a la fanfic, donc la siute ne devrait pas tarder (je pars en vacance - en france... Ca fait bizarre a dire^^ - mais mon cher nouveau laptop m'accompagne !!!). Dans le prochain chapitre, on aura droit a la fete de Neji (ca y est, j'ai mon inspiration... Une fille de ma classe a organise une "white night party" pour son depart, et ca se passait au Consulat de France... Cherchez l'erreur), et a d'autres p[etites choses, que je ne vais pas reveler pour ne pas tuer le suspense. Bonne vacance a tous, laissez moi vos impressions qu'elles soit bonnes ou mauvaises !




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