Fiction: Gossip in Paris

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-"Sabaku Temari ? "

-"Here."

-"Mitori Tenten ?"

-"Here…"

Shizune Aratoshi, professeur de lettres anglaises à l’Académie Hashirama Senju (ainsi nommée en l’honneur de son créateur) détacha ses yeux de la feuille d’appel et promena son regard satisfait sur la vingtaine d’étudiants amassée devant elle. Tous les élèves de Terminale option anglais renforcé étaient là, ce qui, en soit, s’apparentait au miracle.
Cette soudaine absence d’absentéisme ne s’expliquait pas par une passion particulière des élèves pour la littérature anglophone, mais plutôt par la crainte que leur inspirait leur professeur, à l’attitude pourtant SI inoffensive.

D’abord journaliste puis critique littéraire, le monde des Medias n’avait aucun secret pour Mlle Aratochi, et c’était ce qui terrifiait nos fils de stars.

Après tout, de quoi a peur un VIP, sinon de ne plus être un VIP ? Or, l’opinion publique avait une fâcheuse tendance à influer là-dessus. Et chacun sait que les idées du « peuple » étaient dictées par leurs lectures. Et c’est ce qui nous ramène à Shizune, qui, malgré sont changement de carrière, gardait toujours d’étroit contacts avec le monde de la presse et n’hésitait pas à faire part à ses « amis » des petits scandales qui survenaient dans la vie quotidienne des pensionnaires.

Une « légende de couloirs », de celle que l’on narraient aux petits nouveaux histoires de leurs foutre la honte, racontait qu’elle avait à elle seule, fait sombrer un premier ministre arabe en révélant les orientations sexuelles de son fils, qui avait pour seul tort d’avoir sécher le cours de littératures anglaise trois fois dans l’année. De nombreuses autres rumeurs couraient mais l’on n’aurait pas la place de toutes les écrires ici…

Revenons donc à nos moutons. La prof fixait donc ses élèves d’un air satisfait et un peu sadique, heureuse de constater que tout le monde était là, puis reprit son sérieux et ordonna :

-"Ok, everybody. Take the new book now, please. I hope you read it…" (Ok, tout le monde. Prenez le nouveau livre maintenant, s’il vous plait. J’espère que vous l’avez lu….)

La moitié de la classe déglutit devant le regard de tueuse qu’elle avait adoptée pour prononcer cette dernière phrase et ils plongèrent tous vers leurs sacs. Aucune envie de se faire repérez par miss Aratochi, la psychopathe.

-"So, humm… Mister Hyuga ?" (Alors, hummm… Monsieur Hyuga ?) Reprit cette dernière en fixant un jeune homme brun, aux traits fin et au visage stoïque assis au fond de la classe.

Ledit jeune homme leva vers elle ses yeux sans pupille et attendit la question, toujours aussi stoïque.

-"Who is the principal character ?" (Qui est le personage principal ?) Finit par articuler Shizune, un peu déconcertée par le regard du garçon .

Celui-ci finit par répondre, d’une voix grave et chaude qui fit frissoner une certaine fille brune du premier rang (et pas qu’elle d’ailleurs) :

-"This is Elisabeth Bennet, a young english woman who has four sisters. One day, a new neighbour…" (C’est Elisabeth Bennet, une jeune femme anglaise qui a quatre soeur. Un jour, un nouveau voisin…)

-"Ok, ok, that’s good" (Ok, ok, c’est bien) Tempéra Shizune pour éviter qu’il réponde d’un seul coup à toutes les questions qu’elle avait préparées pour les élèves. "So, now, who wants to answer to the next question ?" (Alors, maintenant, qui veux répondre à la prochaine question?)

S’attendant, bien entendu, à ce que personne ne se propose, elle promena son regard sur les élèves… Et faillit faire un infarctus devant la brune du premier rang. Car, chose rarissime et digne d’être retranscrite dans les livres d’histoire, une main s’était levée.

Shizune fixa un instant la jeune fille sans comprendre puis se reprit. Après tout, si Tenten Mitori était suicidaire…

-"So, miss, can you…" (donc, mademoiselle, pouvez vous…)

-"Hum, madam, it’s not really for answer" (hum, madame, ce n’est pas vraiment pour répondre…), Coupa la jeune fille brune. Bronzée, élancée, les yeux pétillants, elle était vêtue d’un pantacourt gris et d’un débardeur blanc, conformément au « dress code » de l’école. Enfin, même si les couleurs étaient les bonnes, elle se démarquait des autres filles qui étaient pour la plupart en jupes et chemisier.
I"t’s just cause I think “Pride and Prejudice is not really good for learn English" Continua la jeune fille avec le léger accent du Tennessee.

Miss Aratochi la fixa un moment, une expression indéchiffrable sur le visage (qu’on pourrait qualifier de « surprise-étonnement-admiration-mécontentement-réflexion intense), puis lui sourit gentiment (autre fait rarissime à noter dans les livres d’histoire), et lui demanda, en français cette fois :

-"Eh bien, Mitori, tu as des tripes ! Et à ton avis, que pourrions nous étudier d’autres que les grands classiques du 18ème siècle ?"

-"Eh bien…"

-"On pourrait travailler sur des textes de chansons" Intervint la voisine de Tenten.

Tous les regards passèrent de la brune à la blonde qui avait parlé. Grande, formes bien développée et regard franc : tout le monde connaissant Temari Sabaku. Et quand je dis tout le monde… C’est tout le monde.
Le « New York Time » lui avait réservé un numéro. Sa photo (en compagnie de son père) était accrochée au mur de toutes les mairies américaines… Bref, c’était une célébritée dans son genre. Et même si elle parlait peu, il était impossible de l’oublier lorsqu’elle se tenait dans une pièce, grâce, sans doute, à l’incroyable charisme hérité de son père.
Coiffée de deux couettes basses et vêtue, elle aussi, d’un pantalon gris pattes d’eph’ et d’une tunique blanche à bretelles, elle détonait également sur ses congénères. Et elle attirait l’attention de la classe, et de la prof.

Tenten la remercia d’un sourire. Elle la connaissait de réputation et de vue, bien entendue, et savait qu’elle était dans le même dortoir. Mais elle n’avait jamais eu une vraie conversation avec elle. Maintenant, elle lui était vraiment sympathique : d’abord parce qu’elle n’avait pas hésité à la soutenir auprès de Miss Aratochi, et ensuite parce que, malgré sa classe et son charisme, Tenten avait remarqué que la fille du président des Etats-Unis… se rongeait les ongles.


Temari, allongée sur son lit, réfléchissait. Les murs de sa chambre étaient couverts de photos et de coupures de journal, et un grand drapeau des Etats Unis pendait derrière son lit. On ne pouvait pas reprocher à Temari de ne pas être patriote, mais ce n’était pas vers son pays que ses pensées étaient centrées à ce moment là.

Elle se remémorait la journée qu‘elle avait passé en compagnie de sa nouvelle amie. Elle avait déjeuné avec Tenten et pas mal discuté. En fait, elle aimait bien cette fille : elle lui ressemblait, sans être complètement semblable à elle. Mais, principale qualité, elle n’était pas comme ces filles vantardes et sans intérêt, qui s’occupaient plus de l’épaisseur de leur carnet d’adresse que d’avoir de vrais amis.
La jolie brune lui avait confiée que contrairement à la plupart des pensionnaires, elle n’était pas issue d’une famille richissime, et que ces parents avaient fait beaucoup de concession pour la voir intégrer l’école la plus chic du pays.
Elle avait réussi à obtenir une bourse, grâce à ses compétences en basket, et cela faisait deux ans qu’elle était capitaine de l’équipe féminine du lycée.
Ensuite, Temari lui avait raconté sa vie, à son tour. L’exigence de son père, la peur de le décevoir. Ses frères, avec qui elle avait si peu de contact. Sa mère, pour qui elle était une étrangère.
Et la jolie brune l’avait écoutée sans rien dire. C’était seulement à la fin, lorsqu’elle avait tourné vers elle ses grands yeux verts, que Tenten s'était exclamé : nous ne sommes pas si différente ! Mais je n’aimerais pas être toi…

A ce moment là, elle n’avait pu retenir un sourire, puis un éclat de rire. Et les deux jeunes filles étaient partie dans une crise de fou rire incontrôlable, s’attirant les regards de leurs camardes.

Oui, elle aimait vraiment discuter avec Tenten…

FLASH BACK :

-"Au fait,"Demanda Temari en remuant son yaourt d’un air distrait, "D’où te vient ton prénom ? "

La jolie blonde assise en face d’elle lui lança un regard surprit et lui répondit, étonné :

-"Qu’est ce que tu veut dire par là ? "

-"Eh bien… Tenten, c’est pas très courant, comme nom… Je me demandais si ça avait une signification particulière. "

-"Oh, d’accord ! Non, en fait, c’est simplement un surnom… Mon vrai nom, c’est TenesseeTenshi Mitori… Mais tout le monde m’appelle Tenten ! "

-"Tennessee Tenshi ? "

-"Tennessee parce que c’est l’Etat où je suis née et Tenshi… Ca veut dire ange, en japonais, et comme ma famille vient de là bas…"

-"Sérieux, t’es japonaise ? Qu’est ce que tu viens faire en France, alors ? "

- "Je ne suis pas vraiment japonaise, j’ai juste des origines par ma mère… Et il se trouve que mes parents ont des oursins dans les poches. Je suis née aux Etats-Unis, mais j’ai vécu au Canada, en Argentine, en Suisse, et maintenant en France. Mes parents ont des métiers très internationaux… Enfin, peut être pas autant que toi, finit elle en adressant à son vis-à-vis un sourire complice. "

Avec une mère au Pentagone et un père à la Maison Blanche, en effet, on pouvait dire que ces parents étaient internationaux…

-"Au fait, tu veux faire quoi, toi, plus tard ?" Reprit la brune à macaron.

-"Pour mon père, il faut bien entendu que j’entre en politique. Mais perso… J’aimerais bien faire autre chose. Genre… "

-"Genre ? "

La blonde piqua un fard puis articula d’une toute petite voix :

-"Entrer au FBI… "

Tenten ouvrit de grands yeux mais ferma sa bouche et laissa parler son amie.

-"J’en rêve depuis que je suis gosse… Mais mère m’avait emmenée, un jour, à l’International Spy Museum, à Washington, et ensuite on est allé voir le bâtiment du FBI. Vu qu’elle travaille au Pentagone, on a pu visiter les locaux, bureaux, salle d’écoute… C’était trop stylé. En plus, mon ex-copain avait fait un stage d’informatique là bas. Il m’a tout raconté, enfin pas les détails, il est pas très loquace, et il m’a montré les fichiers sur lesquels il travaillait, qu’il avait réussi à garder enregistrer sur son portable, et… "

Cette fois, Tenten était bouche bée mais, bizarrement, ce n’était pas les premières phrases de la blonde qui l’avait tant estomaqué. *

-"Attends," Interrompit-elle,"T’es sortit avec Neji Hyuga ? "

Temari lui lança un regard surprit puis lui répondit :

-"Et bien..Oui. Enfin plus maintenant mais…"

-"T’AS LAISSE FILER LE PLUS BEAU MEC DE TOUTE LA CREATION ? "

FIN du FLASH BACK

Temari sourit en se remémorant la réaction de son amie lorsqu’elle avait évoqué le génie Hyuga. Et puis, elle lui avait expliqué que Neji était plus un ami qu’autre chose, et qu’il sortaient ensemble simplement pour pouvoir s’exhiber pendant les soirées. Tenten lui avait révélé qu’elle éprouvait une admiration sans borne pour lui depuis qu’elle l’avait vu lors d’un séminaire informatique, mais qu’elle n’avait jamais osé l’approcher, encore moins lui parler…

Ca l’avait assez étonné, d’autant que Tenten était loin d’être laide, bien au contraire, et qu’en plus c’était 100% naturel. Si on la comparait à Ino Yamanaka, par exemple, l’une des filles considérée comme les plus canons de l’école, on concluait que Tenten était, finalement, bien plus jolie qu’elle.
Plus fine, plus bronzée (puisque c’était un hale naturel et non le résultat d’une bonne séance d’UV), La jolie brune avait décidément un corps digne d’une top model, alors que sa camarade blonde avait celui… D’une jolie New-yorkaise, peut être. Mais pas d’un mannequin puisque sa tendance à enfler au moindre écart d’alimentation et son derrière un peu proéminent ne faisait pas d’elle une égérie.
Par contre, s'il fallait reconnaître une qualité à Ino, c’était sa façon de s’habiller, toujours classe et à la dernière tendance, et de façon à se mettre en valeur au maximum. Tandis que Tenten, de son coté, avait avoué à son amie blonde à deux couettes qu’elle se contentait de pêcher quelques vêtements au hasard dans son dressing et de les enfiler à la hâte avant de se rendre en cours.

Sur ce point là, qui était peut être le plus important, donc, Ino et la plupart des filles de l’école en général surpassait de loin Tenten. Mais Temari avait l’intention de remédier à cela.


(Ici, je mets juste un petit bout du prochain chapitre, étant donné que je ne serais pas là pendant un moment) :

10 heures du soir. Tenten venait juste de se doucher, après s’être présentée à l’entraînement de basket et avoir mangé, une fois de plus en compagnie de Temari Sabaku.
Pour l’heure, elle se tenait devant l’écran de son ordinateur portable, les cheveux lachés et une serviette encore mouillé autour du corps. Elle rentrait tout juste de la douche lorsqu’elle avait (enfin) remarqué le message de mise à jour de Gossip Girl.

"Malgré cette introduction désastreuse (et j’en profite pour demander humblement à NH, récemment nommé à la tête du club d’informatique, de nous bidouiller gentiment le système, histoire d’améliorer les fenêtres de mises à jour), je vous rassure, mes chers congénères : mes potins seront aussi intéressants que d’habitude. Et pour ne pas vous faire languir plus longtemps, je commence tout de suite ! "

Tenten sourit à la mention du fameux « NH ». Inutile d’être un génie (comme ledit jeune homme) pour deviner qu’elle parlait du beau Neji, le prodige informatique et le chouchou de ces dames. Elle soupira doucement à cette dernière pensée puis reprit sa lecture :

"Une fois de plus, mes chers camarades, j’ai une nouvelle croustillante pour vos pauvres papilles en manque de ragots. HH, la chère cousine de notre bien aimé informaticien, m’informe à l’instant que ce cher Sasuke Uchiwa, autre célébrité s’il en est, aurait l’intention d’intégrer notre chère académie dans les prochains jours. Savoir que le fantasme vivant de la moitié des femmes de la planète va bientôt loger sous le même toit que nous tous devrait ravir ces demoiselles…"

Bof. Bien sûr, la jolie brune connaît Uchiwa de réputation, mais elle ne le trouvait pas si intéressant que ça. Sa tante, journaliste pour la presse people, lui avait un jour relaté une interview qu’elle avait eu avec lui, et il apparaissait maintenant à Tenten comme ce qu’il était vraiment, c'est-à-dire un personnage froid et hautain. Mais si toutes les chaudières du bahut avaient envi de se prosterner à ses pieds, hein… Elle n’allait pas les en dissuader. Et puis, ça pouvait être amusant de voir toutes ces filles se prendre vents sur vents.

"Repérées au réfectoire en train de rire et discuter bien bruyamment, TM et TS ont l’air de s’être bien rapproché en une petite journée. Merci, sans doute, à cette chère Mlle A. Ces deux jeunes filles sont-elles le nouveau couple de Best Friend mal assortis de l’année ? Il est vrai que la VIP et la Miséreuse, ça l’fait pas trop, comme le dirait notre bon vieux NU."

La brune resta bouche bée devant la dernière phrase. La VIP et la Miséreuse ? C’était quoi, ce délire ? Et d’où cette satanée Gossip Girl tenait elle ces informations ?

Elle n’eut pas le temps de pousser ses interrogations plus loin puisque une tornade blonde pénétra à toute allure dans sa chambre et lui sauta limite dessus.

-"Tennesseeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !!!!!!!!" S’écria la nouvelle venue. C’était, comme on pouvait s’en douter, Temari Sabaku. Ses cheveux courts étaient lâchés, eux aussi, et voletaient autour de son visage. Elle était vêtue d’une tunique en satin bleu nuit et d’un pantalon de pyjama plus clair, et son amie ne put s’empêchée de remarquer qu’elle était classe, même en vêtement de nuit. "Je t’es arrangé un rencard avec Neji Hyugaaaaaaaaaaaaaaaa !!", reprit-elle

-"Qu-quoi ? !" S’étrangla Tenten.

-"Nan, c’était une blague. J’ai simplement fait en sorte que tu sois invitée à une petite fête en l’honneur de sa cousine. Bien sûr, j’y vais aussi. Il faudra te trouver une robe, et je pense qu’on passera chez l’esthéticienne avant. J’appellerai mon maquilleur, et si tu pouvais te libérer deux ou trois heures avant… "

-"Attends, j’croyais que c’était une simple fête ! Et puis, c’est quand, déjà ? Et où ?"

-"Oh… Ca se passe demain, à l’Hôtel Crillon, tu sais, à Paris. Si je me souviens bien… Oui, Neji m’a dit que c’était dans le salon Marie-Antoinette. J’ai de très bon souvenir là-bas, ma cousine au second degré avait fait une conférence de presse à cet endroit là, si je me souvient bien. "

-"L’Ho-l’Hotel Crillon ?" S’étrangla de nouveau la brune.

Son amie lui sourit simplement puis sortit, laissant Tenten complètement estomaqué. L’Hôtel Crillon, pour une « petite fête » ?





De l’autre coté de la cloison, une scène un peu différentes se déroulaient. Deux jeune fille du même age que leurs voisines discutaient elles aussi à battons rompu, tout en se faisant les ongles.

-"Au fait Hinata", Interrogea la belle blonde aux cheveux longs à qui appartenait la chambre, "c’est toi qui a donné l’info à la GG, concernant Sasuke ?"

Ino, car c’était elle, était vêtue d’une chemise de nuit bleu ciel en satin et avait noué ses cheveux en deux longues nattes qui encadrait son visage. Hinata, face à elle, portait un pyjama blanc en coton et avait laissé ses cheveux noirs lâchés. Les deux jeunes filles alternaient les couche de vernis transparent et bleu pour l’une, mauve pour l’autre, tout en papotant de tout et rien… Mais Ino venait de ramener sur le tapis un sujet que la brune aurait préféré évité.

-"Eh bien… Oui, info de mon père…"

-"Oh !!! J’ai TROP hâte qu’il soit là ! T’imagines ? ZE Sasuke Uchiwa, ZE plus beau gosse de la création !" (Les avis divergent^^ Pour Tenten c’est Neji et pour Ino Sasuke… Je suis plutôt de l’avis de la première).

-"J’imagine, Ino… J’imagine très bien."

~NOIR~




Vala !
Je suis contente de l'avoir bouclé, celui là... Six pages word en deux jours, j'men serais pas cru capable.
J'ai mis le turbo pour le poster parce que comme j demenage bientot, je risque de pas avoir internet de deux à six moi (je sais pas si je vais survivre T_T) donc pour poster... Voila quoi. A priori ce sera bon (je demenage à New York donc pour la connection internet ça devrait passer) mais xcomme ils sont super pointilleu à la douane... Si ils decident de me prendre mon ordi, ça va pas le faire.

Bref, donc six pages Word... Moi qui d'habitude aie du mal à faire le minimum de 1500 mots, là j'avais du mal à m'arreter. Voila, je suis assez fière de moi, même si c'est pas non plus fameux vu que je l'ai écrit très spid, avec les demenageurs derrière moi qui emballaient les carton >_< Snif, ma chambre toute vide...

A ce propos, j'aimerais savoir si y'en as parmis vous qui ont deja vecu cette experience (changement de pays, et là même de continent) parce qu'en ce moment j'ai pas trop le moral...

Bref, s'pere que ça vous à plu, et n'hesitez pas à laisser votre avis !

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