Fiction: la recontre du bien

La rencontre de Falag et de Cérichan grace a un ami qu'il ont en communs leur premier baiser et le véritable amour de se couple changeras une grande page d'une certaine histoire. Ce sera une histoire écrite par wzke et sissiangel de amoureux dont l'histoire peu ressembler mais avec une autre fin. à lire pour ceux qui aime le fantastique, le romantique et le dramatique.
Drame / Fantasie / Romance | Mots: 1848 | Comments: 19
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wzke (Masculin), le 04/06/2008
c'est la rencontre d'une courte histoire d'amour qui sera la plus belle, cette idée me vient de ma création d'un livre que je n'est jamais malheuresement aboutis



Chapitre 1: le regard du futur



Falag, un jeune adolescent du village caché de Konoha, courait à travers le dédale de ruelles qui traversaient le village de part et d'autre. Ersan, un de ses amis lui avait donné rendez-vous en début de soirée et il se trouvait déjà en retard. De plus, cela devait être encore pour qu'il lui présente une de ses conquêtes de la semaine. A chaque fois c’était la même histoire.
Arrivant à une intersection il reconnu le rire de son ami et celui doux d'une voix féminine. S'arrêtant pour reprendre son souffle, il écouta avec attention mais ne compris rien aux paroles prononcées …
Se redressant il marcha en direction des deux tourtereaux.
Ersan se redressa quand il l'aperçût. Il vînt à la rencontre de son ami.
-Eh bien tu as pris ton temps, on dirait. Tu t’es fait beau ou quoi !
- Non désolé j'ai eu....un empêchement.
-Bah, t'inquiètes c'est pas grave j'ai pris du bon temps.
-Eh Eh ! Encore une nouvelle non ?
-Chut parle moins fort. Je te dis, avec celle là c'est du sérieux
Ersan l'amena prés du banc, où se trouvait sa copine. Elle était d'une beauté telle que Falag n'avait jamais vue. Elle avait la peau mate, les cheveux noirs de jais, les yeux brun et des formes généreuse.
Ersan l'amena devant elle et commença les présentations :
- Falag, je te présente Céri-chan. Une beauté tu as vu ? Céri-chan je te présente Falag.
Falag ne pouvais décrocher sont regard de celui de la fille. Un jour son maître, qui l'avait élevé, lui avait parlé de l'amour. Mais jusqu’à présent il n'avait jamais vraiment compris ce que cela faisait ou même voulait dire.
Céri-chan sourit devant l'air ébahi de Falag, ceci lui fit reprendre ses esprits et lui dénoua la gorge.
-Bon...Bonjour, dit il en lui t'entend une main tremblante.
Elle hésita quelques secondes avant de lui prendre la main dans la sienne qui était toute douce et rempli de compréhension.
- Salut ça va ?
-Euh oui ça va très bien juste un peu ...Un peu fatigué.
Ersan prit Falag par les épaule et le força a s'asseoir a l'autre bout du banc, lui au milieu.
- Alors comment vas tu ? Les amours vont bien ? Eh ! Eh !
Falag embarrassé :
- Ne te moques pas de moi. Tu sait mieux que quiconque ma situation. Moi je ne suis pas un don juan comme toi… une par semaine.
- De quoi ? fit Céri-chan d'un air amusé mais réprobateur.
- Non non rien, il rigolait. Eh ! Eh ! Tu sais entre amis....
Ersan se leva et embrassa sa copine puis la pris par la main.
- Tu viens ? Je sens beaucoup d'onde négative par là.
- Oui, j'arrive. Attend un peu, je te rejoins.
Ersan partis en laissant seul Céri-chan et Falag.
- Tu as un bon coup on dirait, fit Falag en regardant ses pieds.
- Ouais on dirait.
Elle lui posa un baiser sur la joue et partit. Falag se caressa la joue à l'emplacement du baiser et la regarda partir son corps se dessinant à travers les rayons du soleil.

Falag revint sans aucune hâte chez lui. C’était une petite maison a l'extrémité nord de Konoha. Cela faisait longtemps qu'il ne vivait plus avec ses chers parents. Ils avaient étaient obligés de travailler dans plusieurs petits marchés, se déplaçant, sans cesse, de village en village. Chaque mois, Falag recevait, de leur part, une lettre et de l'argent, bien sûr il n'y en avait pas beaucoup, mais il faisait avec ce qu'il avait.
Tout le long du chemin, Falag ne faisait que de repenser à la nouvelle copine d'Ersan. Elle était bien belle, elle procurait en lui cette émotion nouvelle, qui vous noue l'estomac. Mais qu'il ne se fasse pas trop d’idées, une fois qu'elle sera passé dans les bras d'Ersan, même si cela ne durera pas longtemps, sa sera fichu pour lui, car elle va, sans aucun doute, vivre le meilleur en sa compagnie. Cela le désespérait, comment faire pour un jour connaître et profiter de l'amour, si il n'avait aucune chance de faire ses preuves. Voilà la triste vie qu'il vivait depuis sa tendre et pénible enfance.
Falag arriva devant sa maison, qu'il qualifié plutôt de vieille battisse. Il enclencha la porte, la referma, jeta sa veste sur le porte manteau et s'allongea à même le sol, fixant d'un regard terne le plafond blanc cassé avant de s'endormir.

Céri-chan était assise sur le lit d’Ersan l’attendant. Elle réfléchissait au garçon de tout à l’heure…Il l’intriguait…Quand elle l’avait vu elle avait frissonné alors qu’il faisait une chaleur épouvantable dehors.
Au moment où Ersan arriva pour l’embrasser elle détourna la tête…
- Ben, qu’est qui se passe ? Demanda-t-il
- Rien, répond-t-elle
- Si, il y a quelque chose qui ne va pas ! Insista Ersan
- Ersan, es tu déjà tombé amoureux ?
- Euh….c’est quoi cette question ? Bien sur que je suis déjà tombé amoureux !
- Vraiment amoureux…Je veux dire le coup de foudre
- Qu’es que tu essaye de me dire…
- …Je crois que j’ai eu le coup de foudre….
- Pour moi ?!! Normal
- Non, pour …Falag
Ersan s’allongea sur le lit et regarda le plafond…
- Dis. Tu m’en veux ? Lui demanda-t-elle
- Nan, pas du tout ! Dit-il en rigolant
- Pourquoi tu ris ?
- J’aurai dû m’en douter…J’ai vu comment il te regardait tout a l’heure. Il avait les yeux qui pétillaient…
- Ah…
- Lui aussi t’aime…Tu serais mieux avec lui ça c’est sûr…Car moi à un moment ou à un autre je te ferais souffrir…Tu devrais aller le rejoindre. Il habite à la maison blanche a l’extrémité nord du village…
Elle l’embrassa une dernière fois et lui murmura qu’il restera à jamais dans son cœur.

En se réveillant, Falag sentit une odeur de ramen et remarqua qu’il était dans son lit. Il se dirigea vers la cuisine et vit en chemin que quelqu’un avait nettoyé la maison. Lui qui avait abandonné le ménage. Quand il arriva dans la cuisine il remarqua la propreté de la pièce et il vit aussi que la table avait été mise pour deux. Céri-chan arriva. Elle le regarda et lui sourit.
- Coucou la marmotte alors bien dormi ?
- Ben euhhh ouais…
- C’est moi qui t’es réveillée ? Pardon
- Non non je me suis réveillé de moi-même…Mais euh…Qu’est-ce que tu fais là ?
- Ben euh comme tu as sûrement pu le constater je nettoie. Cette maison en avait bien besoin. Il ne me reste plus que ta chambre…mais euh…Tu veux ptête’ la faire tout seule
- Oui je préfèrerai…Euhh tu as aussi fais à manger !
- Ben oui il y avait tout ce qu’il fallait alors je me suis dis pourquoi pas…Enfin désolé….Je suis rentrée chez toi comme ça …Mais Ersan m’a dit que je pouvais…..
- Nan nan ne t’excuse pas ça ne me dérange pas du tout au contraire !
- Bon ben c’est prêt assieds toi
- Merci
- Itada kimasu

Debout dans la pénombre de la pièce, Ersan, la tête baissé, pensait avec nostalgie, à ce qu'il venait de se passer. Ainsi donc, il était de nouveau seul, comment faisait-il pour être de cette façon. D'un certain coté il se devait d'être content, Falag allait connaître l'amour, mais lui, il venait de perdre une personne qu'il croyait comme tant d’autres mais qui ne l'était pas. Elle était magnifique et se moquait bien de la beauté, elle désirait juste de l'amour... le vrai amour. Ersan releva la tête et dit dans un murmure indiscernable :
-Ainsi donc j'ai eu l'honneur de côtoyer un ange ... ?
Ersan se dirigea d'un pas franc vers le tiroir d'une commode, l'ouvrit, passa sa main sous une pile de vêtements et en ressortit une petite boite qu'il ouvrit pour révéler au grand monde son contenu : une petite bague simple en argent. Une pierre y était incrusté. Une pierre de couleur ambre dont l'intérieur renfermé une lumière vive.
- Toi, Céri-chan tu aurais humblement mérité cette bague, et tu l'auras ...

Pendant ce temps Céri-chan et Falag était en train de manger, parlant de tout et de rien, rigolant…
- T’es sérieux ? Une fille par semaine ? rigola Céri-chan
- Oui oui, je n’invente rien ! répondis Falag, lui aussi mort de rire.
Ils débarrassèrent, et allèrent sur le petit canapé de Falag. A un moment Falag dû se lever pour aller chercher à boire mais il trébucha et se retrouva sur Céri-chan… Ils n’étaient plus qu’à cinq centimètres l’un de l’autre. Falag ferma les yeux et se rapprocha, Céri-chan en fit de même…Leurs lèvres s’unirent d’un baiser doux et sucré. Falag se retira rougissant
- Désolé, dit-il en baissant la tête
- Tu n’as rien à excuser, lui murmura Céri-chan en lui relevant la tête, rien du tout, et elle l’embrassa.
Ils s’embrassèrent pendant longtemps. Au bout d’un moment Falag passa sa main sous son chemisier. Elle frissonna. Il le sentit et remonta sa main le long de son dos.

Un bras sous la tête de Céri-chan, Falag ne pouvait se résigner à s'endormir. Céri-chan, elle, s'était endormie contre lui, un sourire au lèvre. Qu'elle était belle. Falag remit d'une main une mèche qui pendait devant le visage de son aimée. Il prit soin de ne pas la réveiller dans la paix de son sommeil qui le remplissait de joie. Au bout d'une heure il fut contraint de se lever pour prendre un peu l'air. Il était couvert de sueur et ne voulait pas empester le lit de cette odeur.
Enlevant délicatement le bras de sous la tête de Céri-chan, il retroussa un peu les couvertures et sortit ainsi de la chambre pour aller dans le léger froid de la nuit devant sa maison.
La légère brise lui faisait du bien le faisant frissonner. Au bout d'un certains temps sa sueur disparut. Falag leva la tête et regarda les étoiles dans leur clarté crépusculaire de l'infini.
Une douce chaleur sur son ventre vint déranger sa méditation. Retournant sa tête il vit que c'était Céri-chan, qui était aussi nue que lui. Elle passa ces bras autour du torse de Falag et posa sa tête sur son épaule.
- Que se passe-t-il ? demanda Falag.
- Il se passe que le lit est bien vide sans ta chaleur et sans mon amour pour le réchauffer et m'y accompagner.
Falag se retourna lentement et dit, en regardant Céri-chan dans les yeux :
- Pourquoi m'aimes-tu ? Pourquoi m'avoir choisi ?
- Parce que mon coeur me l'a dit et je l'écoute toujours...
- Je t'aime mon amour, dès le premier jour où mes yeux se sont posés sur les tiens...
Céri-chan posa sa main sur la nuque de Falag et l'attira vers elle en lui murmurant « viens la que je t'embrasse » et elle lui posa un baiser.
Une fois terminé, les deux amants rentrèrent dans la maison, bras dessus bras dessous, et revinrent se coucher dans le lit.



ceci n'est que le début d'une belle histoire....



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