Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Shinobi un jour, Shinobi pour toujours...

" Lorsque l'on noue ce bandeau, on devient une arme nommée Shinobi". C'étaient les dernières paroles de Sakumo Hatake avant d'enfoncer son arme dans son ventre et de sceller son passé, son présent et son avenir. Mais malgré tout, le futur de Croc Blanc survit en son fils, même 22 ans plus tard... [Quatre chapitres en attente de validation ;) soyez patient ^^]
Classé: -12D | Spoil | Action/Aventure / Mystère / Romance | Mots: 15962 | Comments: 26 | Favs: 43
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Obernan (Féminin), le 14/07/2008
Cette fiction se passe juste après la dernière tentative de Naruto à ramener Sasuke qui poursuivait Kakashi dans la Next-Gen.



Chapitre 4: Une gueule de loup



Le loup blanc regarda d’un œil intrigué la kunoichi qui lui lançait le même regard avec une pointe de recul. C’était une « femelle » , d’après son argot, assez grande, mais tout de même plus petite que son coéquipier. Elle avait deux marques rectangulaires violettes sur chaque joue. Ses cheveux étaient bruns-roux et elle portait l’habit traditionnel des jounins de Konoha. Gyoku Hata lui sourit de tout ses crocs avant de se tourner vers son prétendu « neveu » qui le regardait d’un air mou.

- Ca y est ! Tu t’es trouvé une femelle Kakashi-kun ! s’écria le loup. Mais je t’avais dit que les femelles aux pattes robustes satisferaient mieux tes envies mon garçon !

Rin prit un teint pourpre tandis que Kakashi émergeait du pays des songes.
- Mhn ? Tu as dis quelque chose Gyoku ? Dit-il.
- Raah ! Tu m’écoutes oui ?! S’énerva l’animal.

Pakkun soupira un bon coup avant de sauter sur le dos de son ainé et de lui chuchoter à l’oreille :

- C’est juste sa coéquipière sempai, déclara le chien de l’air le plus indifférent que possible car en réalité il arrivait à peine à se retenir de rire.
- Aaaaaaaah ! Je comprends maintenant ! Désolé Kakashi !

Kakashi ne comprenait pas un mot à ce qu’ils disaient…

- Mais de quoi vous parlez tous les deux ?

Et Rin rougissait jusqu’à en devenir presque violette…

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- Bouge Gyoku ! grogna Croc Blanc en sautant par-dessus un arbre coupé en deux. On n’a pas de temps à perdre ! Où est Hyoku ?
- Pas loin, répondit Gyoku tout en sprintant à la vitesse maximum. Hélas je ne peux pas encore le localiser mais je peux flairer sa présence à environ… moins d’un kilomètre.

Sakumo laissa échapper un soupir d’agacement.

- Cela ne te ressemble pas, cette « imprécision » mon gars !
- Essaie d’abord de trouver un type qui sait parfaitement camoufler son chakra, son odeur et ses propres pulsions dans cette purée de pois !

Croc Blanc leva les yeux au ciel. C’était vraiment pas son jour. De un il pleuvait à en faire déborder les mers et les océans, de deux Gyoku ne pouvait pas localiser grand-chose, même en flairant une piste à des kilomètres de profondeur sous terre car les ninjas de Kumo s’étaient arrangés pour humidifier la terre pour faire en sorte qu’aucune odeur ne puisse passer. Et pour finir on y voyait rien. Voilà pourquoi Sakumo Hatake détestait tant la pluie.

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Kakashi déroula une carte et l’étala sur le sol rocheux de la grotte qui leur servait de base. Pakkun et Gyoku étaient d’un côté et les deux jounins de l’autre. Le ninja copieur posa un doigt sur une zone isolée du reste du monde représentée sur le document.

- C’est ici que Sasuke a été vu pour la dernière fois, déclara-t-il d’un ton neutre. C’est un avant poste occupé par des ninjas de Konoha, une vingtaine de chuunins et d’après mes renseignements, pas plus de cinq jounins. Une équipe de l’ANBU vient faire une inspection tous les mois pour évaluer la situation et en cas de guerre, toutes les semaines. Mais c’est un endroit plus adapté à la reconnaissance qu’en matière de défense. C’est une position stratégique qui donne une vue sur des kilomètres à la ronde notamment sur les petites îles qui sont contrôlé par Kiri et les frontières avec les petits pays environants.

Le loup regarda la carte plus en détail. C’était vrai que c’était une bonne idée de faire de cet endroit un avant-poste mais c’était trop voyant. Beaucoup trop voyant.

- Donc, le petit par colère s’est jeté sur le premier avant-poste de Konoha qui lui tombe sous le nez ? fit Gyoku. Non ça ne colle pas. Il a voulut priver Konoha de ses moyens.
- Exactement, affirma le shinobi. Kiri est toujours en désaccord avec Konoha sur tous les points de vue. Et récemment, le Mizukage a ordonné de surveiller étroitement les actions des hauts placés, Godaime et Danzô y compris.

Un coup de tonnerre retentit et Rin fronça les sourcils. Cela risquait d’être difficile d’atteindre le but de la mission à présent. Comme s’il avait lu dans ses pensées, Gyoku se leva et laissa échapper un grognement rauque et impatient.

- Bon, plus il pleut, moins c’est mieux ! Si on attend trop longtemps, je ne pourrai plus flairer la trace et vous pourrez dire adieu à la réussite de la mission ! Pakkun ! A quel endroit as-tu toi et tes frères, perdu la piste ?

Le chien indiqua un lac proche de la frontière avec le pays du vent qui occupait la place centrale d’une forêt au pied d’une chaine de montagnes.

- C’est ici, près du lac. Il y a au moins quatre personnes groupées et une qui rode autour… Elle a une drôle d’odeur. Ce n’est pas un humain.

Rin déglutit et Kakashi sentit une goutte de sueur descendre le long de sa nuque. Etait-il à la poursuite de Sasuke ? Ou est-ce qu’il préparait une embuscade ? Rien n’était sûr. Leur objectif était Sasuke mais s’ils se faisaient surprendre, ils seraient foutus. Le ninja copieur lâcha un soupir et se frotta la tête d’un air agacé.

- Bon et ben, je pense que nous n’avons pas le choix, comme d’habitude, dit-il presque ironique. Gyoku, tu ne mets pas beaucoup de temps pour retrouver une piste comme celle-ci donc, fais comme je t’ai dis. Suis-les et informe Pakkun toutes les six heures environs. Pakkun, dis aux autres de ne pas prendre de risques inutiles. Qu’ils surveillent cette « chose ».
- Compris, dit Pakkun avant de se volatiliser.

Gyoku ne partit pas tout de suite, quelque chose l’inquiétait, c’était réciproque. Il s’éclaircit la gorge et s’avança vers Kakashi pour lui chuchoter à sa seule oreille visible.

- Si jamais Pakkun ne me trouve pas c’est que j’aurai jugé bon de les leurrer pour qu’ils ne puissent pas quitter notre zone d’action. Au passage j’essaierai savoir ce qu’ils manigancent.
- N’en fait pas trop, Gyoku.

Ce dernier recula tout en souriant de tous ses crocs.

- Ce n’est pas à moi de te le faire rappeler Kakashi-kun !

Puis il se volatilisa dans un panache de fumée.

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Namiashi Raido toqua doucement à la porte de l’hokage. Cette dernière le somma d’entrer, ce qu’il fit. Raido n’était pas jounin depuis des décennies. Cela faisait six ans au moins. Ouais c’était sûr, en même temps que Genma grâce à un coup fourré comme il aimait le prétendre. Un truc du genre qui n’arrive qu’à vous parce que vous êtes malchanceux. Rien que d’y penser, ça lui donnait la chair de poule. Ce regard avide de puissance, ces yeux contenant des espèces de cercles concentriques. Puis, après, Genma et lui s’étaient barrés à la vitesse « grand V » pour prévenir que le Mizukage avait été tué et qu’un déserteur du village d’Ame no Kuni avait fait son irruption peu après le drame. Dire qu’avec Genma, ils s’en étaient toujours très bien sortis. Il avait été chanceux à l’examen chunin et chanceux d’être rentré au village vivant après avoir croisé ce « regard ». Si c’était un regard bien entendu. Raido leva légèrement la tête pour regarder Godaime qui le fixait d’un air qui ne signifiait rien de bon.

J’aime pas ça du tout…

Alors que le jounin s’apprêtait à parler Tsunade entama la conversation.

- Je sais que tu te demandes pourquoi tu es ici mais je ne peux rien te dire du moment que l’autre personne n’est pas là.
- Pardon ?

Une porte s’ouvrit et ce fut une Anko surexcitée qui entra dans le bureau en sautant au coup de Raido avec un kunai à la main.

- JE TE TIENS ! S’exclama Anko.
- Hey ! Lâche-moi ! Qu’est-ce que je t’ai fais bon sang ?! demanda Namiashi terrorisé.
- Je n’aime pas qu’on file à l’anglaise chéri !

Chéri ? Merde, je suis foutu ! Heureusement que Genma n’est pas…

- Ah ! Elle t’a retrouvé on dirait ! C’est vrai que hier c’était chaud pour vous deux mais…
- La ferme tronche de cake !
- Oh ca va, t’énerve pas ! Ca arrive d’avoir trop bu, dit le jounin qui mastiquait un long cure-dents.

Tandis que Tsunade allait pousser une gueulante, Shiranui Genma déposa le rapport aux mains de l’hokage.

- Voilà hokage-sama, le dirigeant est arrivé à bon port, dit-il en redressant son « bonnet » comme aimait le dire Raido.
- Très bien, tu peux partir, déclara godaime avant de se tourner vers les deux jounins. Hé ! Vous deux ! Ca suffit !

Anko Mitarashi lâcha Raido qui se massa la nuque en lançant des regards assassins à son collège qui était au bord du rire. Ce dernier sortit du bureau en vitesse.

Rira bien qui rira le dernier mon pote…

Anko rangea son kunai dans son étui avec lenteur. Non, Raido n’aimait pas ça du tout. C’était vrai que hier soir il avait un peu abusé avec l’alcool mais bon, Anko en faisait toujours des masses pour un rien.

- Bon, commença Tsunade. Vous partez tous les deux pour une mission de rang S. A Otonui, un petit village neutre près de Kiri plus précisément. Nous soupçonnons des mouvements militaires liés aux actions de l’Akatsuki et de Sasuke Uchiwa.

Ce nom n’était pas inconnu à Anko et Raido.

- Sasuke Uchiwa ? La marque maudite ? Déclara Mitarashi.
- Le retardataire de la dernière épreuve chunin ? Rajouta Raido.
- En effet oui. Il a récemment constitué un groupe dans le but de tuer son frère, ce qu’il a fait il y a peu et maintenant il attaque les avant-postes de Konoha. J’ai récemment envoyé Kakashi pour s’en occuper. Il n’y a rien à craindre de ce côté… Du moins pour l’instant. Votre objectif est simple, j’ai récemment envoyé une équipe qui a découvert un réseau d’espions de Kiri. L’un deux se trouve à l’instant même dans ce village. Je vous charge de le capturer. Ibiki fera le reste.

Le sadique va pouvoir s’amuser un peu.

- Vous pouvez partir, déclara Tsunade. Bonne chance.

Le shinobi lança un regard suppliant à son supérieur. Anko le prit par le bras et le traîna à la sortie.

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Kakashi découpait un bout de bois à l’aide d’un kunai pour tuer le temps. Plutôt le dire tout de suite, il était nerveux, trop même. Ses yeux noirs étaient froncés sur le bois qu’il tenait fermement. Il s’arrêta un instant, renifla l’air et lâcha un juron inaudible. L’humidité présent dans l’air l’empêchait de distinguer une seule odeur qui pourrait l’avertir de quoi que ce soit. Il n’aimait pas ça. En plus, ajoutez-y à l’habituelle humidité de la grotte qui leur servait d’abri. Le jounin jeta le morceau de bois et se leva rapidement tout en s’appuyant à la paroi rocheuse de la caverne. Le regard de Rin le suivit jusqu’à la sortie où il s’étira avant de se gratter la tête.

- Quelque chose ne va pas ? Demanda-t-elle.
- Mhn ?

Il la regarda d’un air bizarre avant de comprendre où elle venait en venir.

- Oh, ouais, pas si mal…

Pas si mal ? se demanda Rin qui se posait de plus en plus de questions.

Kakashi lui fit son fameux sourire avant de s’avancer vers elle et de mettre les mains dans les poches, comme si de rien n'était. Il s’agenouilla à ses côtés et lui dit d’une voix basse :

- Nous ne devrions pas tarder à voir Gyoku les mains pleines d’informations, déclara-t-il, souriant à nouveau.

Malgré les propos de son ami, elle n’en fut pas pour le moins rassurée. Les nuages faisaient maintenant place au soleil et les roches de leur « habitacle » avaient pris une couleur lumineuse. Cela faisait pas mal de temps qu’ils n’avaient pas dormi convenablement, surtout Kakashi. Il passait la nuit à lire son livre ou à être en train de penser ça oui, mais à dormir, jamais elle ne l’avait vu faire cela. Même à l’époque d’Obito il avait peine à s’endormir, mais c’est après sa mort que son état avait empiré. Et ça, la kunoichi n’avait jamais su pourquoi.

- Tu devrais de reposer Kakashi-kun.
- Oh, ne t’en fais pour moi, je connais mes limites. Et puis, ce n’est pas la première fois que j’évite de dormir pendant une mission. Tout d’abord, je suis beaucoup trop nerveux pour m’endormir dans ce type de situation.

Il fronça l’œil gauche sous l’insistance des rayons du soleil qui était à présent à son zénith tandis que sa coéquipière le regardait d’un air mal-assuré.

- Hey ! Kakashi-kun ! Arrête de rêver bordel ! Gueula une voix rauque.

Kakashi se retourna vivement, sur ses gardes pour apercevoir un loup sauter en plein dans la rivière qui bordait la grotte, l’eau mouillant sa fourrure mi-blanche mi-argentée. Lorsqu’il sortit de l’eau, il effectua un grand bond en avant pour atterrir finalement sur ses quatre pattes devant Kakashi qui le regardait d’un air interrogatif.

- Qu’as-tu trouvé ?
- Urgent.
- Précise.
- Quoi ?

Le jounin ferma un instant les yeux et se baissa légèrement pour croiser le regard de son soi-disant « oncle bien-aimé ». Le loup le toisa d’un regard gêné avant de s’éclaircir bruyamment la gorge tandis que Rin se levait pour s’approcher.

- Hé ben, c’est que ma femelle de louve elle m’a appelé pour le souper, dit-il en rougissant de plus en plus.

Kakashi et sa coéquipière crurent tomber de cent étages face au « sérieux » de leur émissaire. Le shinobi mit une main sur sa tête avant de soupirer :

- Ah oui, c’est vrai que chez vous les heures sont inversées…

C’est alors que Gyoku s’approcha un peu plus de son « neveu » pour lui chuchoter à l’oreille :

- Mais comme je suis gentil, alors je vais continuer à t’aider ta fem…

Il s’interrompit en voyant le teint qu’avait prit Rin et l’œil tueur du fils de son maître qui le pourfendait d’un simple regard. Le loup soupira d’un air las. C’était vrai qu’il était maladroit avec les mots, ce que son frère Hyoku lui reprochait. Ce dernier, était le portrait craché de Sakumo, du moins, en apparence mental, même si le côté sérieux de ce dernier était plus accentué. Lui, Gyoku, c’était tout le contraire. Il était l’esprit « fête » de son ex-maître. L’odeur ancrée de la roche moisie lui fit rappeler qu’il avait des informations plus pressantes que ses soucis familiers.

- Ha, hem.
- Déballe le tout Gyoku-san, dit d’un ton étrangement patient le jounin.
- Eh, ben ce n’est pour te mettre plus de pression sur le dos mon gars mais ton Sasuke, enfin, l’odeur. C’était un leur.
- Comment ? !

Kakashi n’en revenait pas, à voir sa tête on aurait dit qu’il venait d’être frappé par la foudre. Il fronça un sourcil et abaissa le regard, un signe de pression caractéristique du caractère de son père. Il se releva, et fouilla dans sa poche pour en sortir un drôle de kunai à trois pointes.

- Je t’écoute, dit-il simplement en enroulant l’arme d’un parchemin contenant le signe « Foudre ».
- Eh ben, commença Gyoku d’un ton gêné, ses yeux bleu-vert brillants et larges rivés sur l’étrange projectile. Il se trouve, que j’ai réussi à flairer une autre piste. Sauf que cette autre piste nous mène à Kumo. Enfin, aux alentours… J’ai réussi à avoir un visuel sur eux et…

Il s’interrompit, mal à l’aise. Le shinobi leva les yeux de son kunai et les posa sur la créature blanche qui se tenait devant lui.

- Et ?
- Et, j’ai vu clairement la cape de l’Akatsuki sur eux.
- Q…quoi ?

Kakashi serra les dents progressivement, ce qui les fit grincer. Quand à Rin, qui se trouvait un peu en retrait, elle se sentait de plus en plus mise à l’écart car elle ne comprenait pas un mot de ce qu’ils disaient. Mais cette nouvelle avait l’air de désarçonner son ex-compagnon d’équipe.

- « Akatsuki » ? Lune rouge ? Demanda-t-elle pour s’intégrer à la conversation. J’en ai vaguement entendu parler.

Au lieu que ce soit le ninja copieur qui lui réponde, elle en avait prit l’habitude, ce fut Gyoku qui lui répondit.

- Oui, c’est une organisation chargée de détruire le monde des shinobis, et par la même occasion le monde entier en s’accaparant les bijuus. Houkou-sama, le bijuu à cinq queues qui était notre dieu, a disparu il y a une quinzaine d’années pour des raisons inconnues. Fukaraki-sama, notre chef suspecte l’Akatsuki de genre de chose.

Kakashi soupira, histoire de reprendre ses esprits.

- C’est pour ça qu’ils sont à Kumo, pour trouver le bijuu non ?
- Hachibi le dieu serpent à huit queues.
- Hachibi ? S’interrogea Rin.

Le chien-loup acquiesça d’un signe affirmatif de la tête en fermant les yeux.

- On raconte qu’il fut un bijuu qui se transmit de génération en génération chez un clan datant de plusieurs centaines d’années. Cette famille l’a envoyé combattre Kyuubi et suite à cela, il perdit le combat et disparut des esprits jusqu’à aujourd’hui. Enfin, jusqu’au jour où Akatsuki s’est formée. C’est le dieu des serpents. Si Manda voit son dieu disparaître, il va nous soupçonner nous, les loups, d’avoir orchestrer tout cela et comme ils vont s’apercevoir que nous sommes déjà bien trop occupés pour causer leur mal, alors ils vont s’en prendre à ce satané Gamabunta et ses amphibiens de malheur… Ca va être la guerre. C’est chouette un peu d’action et…
- Oui, bon à part ça, d’autres bonnes nouvelles ?
- Ce sera tout, dit le chien d’un ton agacé.
Kakashi tendit le kunai spécial à Gyoku qui prit plus de temps pour l’examiner.
- Que me vaut cet honneur ? Dit-il d’un ton ironique.
- Quand tu auras trouvé la position de Sasuke, plante le à l’endroit le plus proche d’une source électrique. Le jinchuuriki, il va se battre avec Sasuke, il va certainement employer une technique raiton. Plante-le quand tu pourras sentir l’électricité statique de son chakra à proximité. Ainsi, je pourrais y aller.
- Ouais, tout de suite…

Le loup prit le kunai entre ses mâchoires et se volatilisa en un amas de fumée.




Héhé^^ Voilà le quatrième chapitre! Comme j'étais en vacances, j'ai eu plein d'idées, et voilà ce que ça a donné!



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