Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Obito Gaïden

Voici ma première fanfiction, elle met en scène mon personnage favori: oui c'est Obito qui vous l'a dit? Donc voici la suite du Kakashi Gaïden si mon Obito chéri avait survécu. (Je rajoute que à partir du deuxième chapitre l'histoire change... de manière radicale!! Si vous êtes curieux venez lire ma fic!!)
Version imprimable
Aller au
Juno-chan (Féminin), le 13/05/2008
Voila le premier chapitre En fait au début il était divisé en deux mais faute de trop peu de mots j'ai du l'allonger....Bonne lecture et merci pour Obito, Kakashi et Lin qui m'ont raconté cette histoire!



Chapitre 1: Chapitre 1: Où tout commence...



Voilà, c’est ici que commence mon histoire. Mon nom est Obito, Obito Uchiwa. Je suis un ninja de Konoha issu du clan d’élite Uchiwa. Lors d’une mission où j’ai cru mourir, j’ai donné mon sharingan gauche à mon meilleur ami Kakashi en désespoir de cause. Heureusement, mon maître Minato a pu me sauver à temps. Depuis, mon rival Kakashi Hatake est devenu mon ami (on nous appelle même les frères aux bandeaux) et nous menons des missions ensemble, avec notre coéquipière : Lin. Lin est une ninja-médecin, c’est aussi le membre le plus sensé de notre équipe, selon maître Minato… Je pense que Lin est un peu plus qu’une amie pour moi…

Mais revenons-en à cette histoire, c’est en mission que tout commence. L’équipe Kakashi (mais pourquoi doit-on s’appeler comme ça ?) avait reçu l’ordre d’infiltrer le repère d’un dangereux criminel, classé S dans le Bingo Book, et la mission commençait bien. Au départ de Konoha, notre maître nous a mis en garde (comme d’habitude) et nous a souhaité bonne chance (au mois trois fois), puis il a parlé avec Kakashi, et nous nous sommes mis en route.

- Vous ne trouvez pas que le prof radote ? M’écriai-je une fois parti, « faites attention », « Surtout, Obito, fie-toi à Kakashi », il ne pourrait pas nous dire des trucs nouveaux ? Des trucs qu’on sait pas déjà ?

Lin pouffa et approuva :

- Oui, qu’il arrête de me dire « Lin, surveille bien Obito, il est imprévisible… » !

Kakashi étouffa un sourire reconnaissant, apparemment, il était touché du fait que Lin et moi considérions que nous fier à lui était logique et normal. Mais il n’a pas pu s’empêcher de se moquer encore :

- Il te répète sûrement toujours les mêmes choses parce que ta tête est trop petite, Obito, pour retenir une phrase aussi longue que « N’oublie pas que l’on tient un kunaï par le manche, et pas par la lame… »

Lin éclata de rire. Je savais qu’il plaisantait mais je me suis quand même un peu énervé contre lui :

- Moi, au moins, le prof ne me prend pas à part pour me dire « Kakashi, tu n’as pas oublié ta brosse à dents, au moins ? Et tu as pensé à ton pyjama ?… »

Lin rit encore et demanda :

- Je suppose que l’on ne peut pas savoir ce que le maître t’a dit ?

Le visage de Kakashi s’assombrit et il accéléra pour ne pas répondre à Lin. Après tout c’était peut être important… (Je pensais vraiment que c’était des recommandations stupides… Pourquoi Kakashi aurait-il droit à un traitement de faveur ?)

Oh ! Je n’ai pas encore parlé de ma famille, mes parents sont morts pendant la guerre durant laquelle j’ai moi-même cru mourir, et depuis, je vis seul. Ce n’est pas si triste, finalement, mes parents me manquent mais j’habite tout près de chez Kakashi, et Lin et le Maître viennent souvent me voir… Enfin, comme je l’ai dit, cette histoire ne commençait pas si mal… Mais après avoir cavalé pendant deux jours, nous sommes arrivés à destination, et c’est là que tout a commencé à foirer…

- Nous voici arrivés, c’est pas trop tôt ! M’écriai-je de bonne humeur.
- Obi ! Ne fait pas tant de bruit, nous sommes en territoire ennemi, merde ! S’énerva Kakashi.

Je m’accroupis à coté de lui, derrière un buisson touffu, en rougissant.

- Co… comment m’as-tu appelé ? Bafouillai-je.

Lin pouffa et Kakashi répondit en riant :

- C’est comme ça que t’appelle ta voisine, Rina, non ? Je l’entends encore crier dans la rue « Obi ! mais pourquoi ne m’as-tu pas prévenue que tu partais en mission ? Je t’aurais préparé des onigiris ! Obiiiii, reeviens ! »
- Obito, t’es tout rouge ! Se moqua Lin en riant.
- C’est faux ! Rina n’a que sept ans, c’est-à-dire cinq ans de moins que moi ! Et même si elle est amoureuse de moi, c’est… Euh, c’est pas elle que j’aime…

Je rougis jusqu’aux oreilles et fit grimper ainsi ma température de plusieurs degrés, puis je repris une contenance.

- Kakashi, je me vengerai, je répèterai au maître que je t’ai surpris à lire un livre interdit aux mineurs (c’est vrai : « Le sortilège du batifolage », que ça s’appelait… Je me demande de quoi ça peut parler…), et tu auras droit à un sermon de plus de deux heures ! Lui chuchotai-je.

Il pâlit à cette idée et redevint sérieux au retour de Lin, qui était partie inspecter les environs pour pouvoir établir une stratégie. Nous sommes en mission, ne l’oublions pas !

- Bon, récapitulons, on est chargés, en tant qu’unité qualifiée et compétente, d’arrêter un criminel, déserteur du village des feuilles, qui est coupable de crime contre le Hokage et qui doit être capturé vivant.

Il écarta un peu les buissons et je pus apercevoir une cabane à l’aspect peu engageant, qui se dressait, adossée à une falaise calcaire. L’endroit ne semblait pas habité mais il y avait de la fumée qui sortait d’un conduit de cheminée délabré, la seule entrée visible était une porte encadrée de deux étroites fenêtres.

- Lin, tu as trouvé d’autres entrées ? Demandai-je.
- Non, répondit-elle, mais cela de me dit rien qui vaille, j’ai comme un mauvais pressentiment…
- Bon, je crois que j’ai un plan.

Lin et moi nous rapprochâmes du visage de Kakashi, et je souris en entendant son plan.

- Ça peut marcher, approuvai-je.
- Moi je pense que non ! S’écria une voix derrière moi.

Les buissons se déchirèrent derrière nous, et une femme entièrement drapée dans une couverture - robe - écharpe noire la dissimulant entièrement, et ne laissant sortir que quelques tresses d’un noir de jais, apparut.
Comment fait-elle pour voir ? Me demandai-je. Puis je remarquais que mes pieds étaient englués dans quelque chose de collant, de la colle ? Je remarquais également que Lin et Kakashi n’étaient plus à coté de moi, il semblait que, ayant remarqué l’attaque, ils aient bondi un mètre plus loin… Je suis vraiment nul…

- Oh oh ! S’écria Melle la gothique, je vois que je n’ai attrapé que le plus faiblard des trois… Ce sera un plaisir de le tuer à petit feu sans que vous ne puissiez rien y faire !

Elle rit, d’un rire bête et antipathique qui la rendait ridicule, et comme s’il attendait ce signal, le chakra, que je me préparais à lancer pour contrer « la colle » de mon adversaire, disparut subitement.

- Qu’est-ce qui se passe ? Que m’arrive t-il ?
- Je vois que tu ne comprends rien à rien, toi… Ma "substance ininflammable propre au endroits humides et résistante" absorbe le chakra.

Elle n’aurait pas un nom plus long ? Pensai-je bêtement.

- Et tu ne connais pas la meilleure, si tu restes trop longtemps en contact avec, tu ne pourras plus malaxer de chakra…

C’est alors que l’offensive commença ; par un accord tacite, Kakashi et Lin s’élancèrent en même temps, l’un armé des mille oiseaux, vers l’apparition morbide, et l’autre, mains nues, vers moi. Lin est une médecin-ninja extrêmement compétente et elle eut vite fait de me libérer. Le combat reprit, Kakashi au premier plan, pour les coups directs, moi à l’arrière, pour le couvrir, et Lin en retrait stratégique.
Après quelques coups bien placés par notre adversaire au mauvais caractère, Kakashi, blessé à l’avant bras, recula et je pris sa place. Je répliquai, pour contrer une salve de kunaïs, par une technique de Katon no jutsu, et le vêtement de miss "toute de noir vêtue" partit en flamme et nous laissa apercevoir son visage.
C’était une adulte, dans les vingt-cinq ans, pas spécialement jolie, bien que ce soit subjectif, mais ce qui me frappa plus que tout fut son regard brûlant de haine.
Ses sharingans brûlants de haine.



j'espère que ça vous a plu! Le chapitre 2 est en cours!!



Chapitres: [ 1 ] 2 3 4 Chapitre Suivante »



Veuillez vous identifier ou vous inscrire:
Pseudo: Mot de Passe: