Attention, cette fanfiction de Naruto est catégoriée spoil, c'est à dire qu'elle peut évoquer des passages du manga qui ont été publié au Japon mais pas encore en France. Sa lecture est donc susceptible de vous gacher le plaisir proccuré par le manga. Pour enlever ce message et voir toutes sections Spoil du site, rendez vous dans vos options membres.


Fiction: Le prix des responsabilitées

Vous connaissez tous ce personnage aux long cheveux gris et ébourrifés, son visage à demi-caché par un masque noir mettant en valeur l'éclat de ses yeux... Imaginez qu'après une mission étrange, celui-ci ne répond plus de lui même, venant même à devenir effronter avec ses amis, distant avec ses élèves... Afin de savoir le pourquoi de ce changement, je vous propose de suivre ses aventures ^^
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Spydidi57 (Féminin), le 24/04/2008
Bonjour les Woniens ^^
Voici une fanfic que j'ai écrite il y a environ un mois, après avoir fait un rêve qui m'a marquer...
Le fait d'avoir cette image ( que vous allez découvrir dans ma fanfic ) de notre bon vieux épouvantail adoré, celà m'a fait vraiment sourrire.... Voir l'innocence liée à la force de caractère..
Jespère du moins que celà va vous plaire. Sur ceux, je vous souhaite une bonne lecture ^^
J'en fait une dédicasse à mes amis, particulièrement ceux de mon clan, qui m'ont presque supplier, surtout un ;), de la mettre ^^




Chapitre 2: La conscience de mes actes



Chapitre 1 : La conscience de mes actes

Peu à peu, je reprends le contrôle de moi-même. Sur mon front brûlant, je sens encore les quelques gouttes de sueur qui perlaient peu à peu le bout de mes cheveux humides.
Le bruit de mon cœur dans ma poitrine m'embrouille, je n'ai plus aucune idée de ce qui se passe autour de moi, je n'ai plus aucune sensation dans mes membres engourdis de ce que j'ai vécu, il me semble même sentir la puissance que ce maudit combat de la veille m'a prodigué, bien qu'après cette nuit de sommeil, j'aurai dû être de nouveau d'aplomb pour repartir sur de bonnes bases en ce début de journée qui venait juste de commencer...

Sur les quelques rayons de soleil qui réussissent à filtrer à travers le mince rideau me séparant de la vie extérieure, seuls quelques-uns uns d'entre eux vinrent se blottirent contre ma peau horriblement pâle, même le tissu qui me recouvrait de toute part ne jouait plus son rôle, à travers mes pupilles closes, je pouvais distinguer la lumière du jour qui prenait peu à peu le dessus sur le noir manteau que la nuit avait revêtue.

D'une main recouverte de bleus et de plaies en pleine voie de guérison, d'une seule étreinte, je rabattais ce qui me tomba sur la main afin de recouvrir mon seul oeil qui avait encore réussit à s'ouvrir malgré la douleur qui compressait mon visage. Jamais je n'ai ressentit une telle souffrance, jamais je n'ai vécu un tel combat, qui avait faillit me coûter la vie, moi qui rêvais tant d'une vie simple sans embûches, on peut dire que la vie m'a gâtée depuis mon enfance, je n'ai cessé de vivre dans la misère, mais très vite, j'ai appris à me surpasser physiquement, laissant de côté toutes les gamineries qui me passaient par la tête, j'avais même cesser de me dévoiler complètement aux yeux de tout le monde, avant de finir cacher derrière un des bout d'étoffes sombres que mon père m'avait fourni avant de partir bien loin...

Dorénavant, je pouvais compter sur mes trois élèves qui commençaient vraiment m'apprécier à ma juste valeur, mais non seulement m'apprécier, malgré le début de mauvaise image que je leur avais donné lorsque nous nous sommes rencontrés pour la première fois après le premier examen d'entrée, pour les bons conseils que je leur donne, ainsi des faire-part des situations que j'ai moi-même vécues, bien sûr, je ne leur révélais jamais rien de trop précis, bien que chacune des astuces puissent fournir quelques-uns unes des erreurs de jeunesse.

Ahahaha. Quel drôle de matinée vais-je subir aujourd'hui après tout ce que j'ai déjà vécu jusqu'à maintenant ? Une humiliation, des blâmes lancés à tort et à travers, ou bien au contraire, devrais-je subir une des ces tortures mentales que me fait subir mon vieil adversaire de toujours, ce drôle d'homme-grenouille aux sourcils aussi gros que des chenilles... Bien que nous nous connaissons depuis des années, je ressent toujours la même chose lorsque nos chemins se croisent, toujours cette même nostalgie qui me fait repenser au jour où j'ai eu la " chance " de le rencontrer par un bel après-midi d'automne, couché parmis ce tas de feuille morte aux douce couleur doré, complètement évanouit après un grand entraînement selon ses dires...

Même aujourd'hui, je ne sais encore si j'ai fait juste de stopper volontairement mon échauffement matinal afin de venir au secours de ce garçonnet pas plus haut que trois pommes vautré à terre, mais pour me consoler, encore aujourd'hui, je me dis que si je n'aurai rien fait, sa mort pèserait sur ma pauvre conscience, jeune enfant délaissé de tout le monde, sauf de l'amour d'un père qui avait finit par payer chèr la carte de sûreté qu'il avait jouer avant de rendre l'âme, ah si seulement ce monde rempli de blanc bècs n'était pas aussi obsédé par la victoire, il serait toujours parmis nous, lui, ce grand homme qui avait eu l'honneur de porter ce surnom qui en avait fait pâlir plus d'un, le grand Croc Blanc de Konoha, qui avait finit par voir son arme se retourner contre lui... N'ayant pas assisté à la scène, je ne peux point dire s'il n'avait pas ressentit aucune tristesse de laisser son jeune fils de 13 ans à l'abandon, voué à prendre sa vie en pleine poire si jeune, et encore si inexpérimenté...

Rien qu'avec cette pensée du passé, je sentais une vague de nostalgie m'envahir, comme si le passé refaisait un jour surface en moi pour me hanter à tout jamais, c'est vrai que si j'avais mit mon air trop sûr de moi de côté, j'aurai pu contrer de multiples situations dans la passé, dont ce soir où Konoha avait vu s'éteindre un de ses héros légendaire et robuste, mais aussi ce pleurnichard de jeune Uchiha qui avait finit aplatit comme une crêpe sous une multitude de rochers par ma faute, mais aussi si j'avais réussi à faire plaisir à tout le monde, une présence qui m'avait fait mauvaise route jusqu'à maintenant serait encore présente dans le village...

Vous que j'admire du haut de cette armoire parée de ce cadre qui met de l'éclat au souvenir
Toi que j'étreins dans la paume de ma main, de ton éclat brun qui fait tout ton charme,
Toi mon cher bandeau qui m'a permis de me faire une place parmis ces traîtres,
Vous mes chers élèves qui avez réussi à dompter ma mauvaise facette que vous aviez eu la chance d'apercevoir le premier jour où nous nous somme rencontrés,
Toi, ce souvenir qui ne cesse de trottiner au fond de ma pensée,
Et surtout eux, qui m'ont finalement donné tout ce que je souhaitais, des amis à qui me confier, mais aussi des ennemis et des adversaires,
Toi l'hermite aux crapauds qui n'a de cesse d'offrir à tout ses " Fans " incontestable l'œuvre qu'il n'a cessé de concevoir durant ces années,
Vous sensei qui m'avez apprit tout ce que je sais,
Vous aurez toujours une place au fond de moi, malgré le fait que ces longues années n'ont de cesse de me rappeler mes souvenirs vécus que j'aurai voulu oublier...

Dehors, j'entends déjà les multiples bruits qui me sont familier, le brouhaha de la ville qui s'engouffre par la fenêtre entrouverte, cette atmosphère presque familiale que je connais, me paraisse de plus en plus proche de moi, au point de sentir à travers mon masque, l'onctueuse odeur que la ville m'apporte... M'accoudant à la fenêtre, je sens l'éclat des rayons du soleil réchauffer peu à peu mon corps engourdi, mon regard se posa sur l'horloge qui n'a point quitter sa place depuis l'enfance, elle qui m'a vu grandir, m'offre la surprise de savoir que ma réputation de retardataire s'est encore dégradée... Mais malgré le temps qui court derrière moi, je pris le temps de me dégourdir les jambes à travers mon appartement, avant de quitter silencieusement cette haute bâtisse familière...

Non loin, les trois silhouettes préférées me couvrent déjà d'un regard approbateur et lassé... Les mains dans les poches comme à mes habitudes, je les rejoints, un sourire au lèvre, bien que je savais pertinemment qu'ils n'allaient pas l'entendre de cette oreille... Qu'elle est belle, la nouvelle génération de Konoha... impatient, quelques peu dissipée, mais tellement formidable à regarder... Mon regard se posa pour l'avant dernière fois sur ma petite bâtisse, avant de se reposer sur mes trois vilains petits canetons qui me lançaient déjà quelques petits cris incompréhensibles dans ma direction.

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Sasuke : Je rêve, ou sont s'est fait appeler les trois vilains petit canard
Naruto : Sa t'en bouge un coin ? [jeu de mot]
Sasuke : Dis-moi quand tu auras finit avec tes mots que toi seul comprend...
Sakura : Sa suffit les garçons... Quand même, se faire appeler canne, sa m'en renverse 0_o
Kakashi : Vous n'allez pas vous chiffonner pour une pointe d'humour dans ce monde de brut... n'oubliez pas que j'aurai pu vous attribuer un autre animal...
Naruto : Pfeu, il y en a des meilleurs
Sasuke : Pour une fois, je suis d'accord avec lui !
Kakashi : Insatisfait ? Très bien, je re-for-mule... Voyons l'animal qui serait le mieux attribuer à Sasuke... Quelques chose de têtu et d'obstiné
Naruto : L' Ane... * murmure*
Sasuke : A ta place, je me la fermerai, idiot
Kakashi : On ne peut vraiment pas se détendre avec vous deux ! Allons, je continue, pour Sakura, je verrai bien... Hum... *se concentre sans quitter son livre des yeux* Guh Guh * approche son livre de ses yeux, quelques chose "l'intéresse"*
Naruto : Yoï, Kakashi-sensei, auriez vous l'ama-bi-li-tée de bien vouloir continuer ce jeu, qui commence sérieusement à me plaire ^^
Kakashi : Tiens donc, c'est nouveau ça, mes jeux t'interresse maintenant ?
Naruto : Faut dire qu'ils sont marrant, assez goutteux... mais moins que mes ramens !
Kakashi : Que je m'en serai douter
Sakura : Hey! Dites les garçons, qu'est ce que vous pensez de l'effigie du chien pour notre sensei...
Kakashi : Le chien ? Ah bon, d'après toi, j'aurai le même caractère que les chiens... Mais dit moi Sakura, Pakkun m'a parler de quelques chose, ne serait-ce pas toi qui aurais le même shampoing que lui ? Hum ?
Sakura : 0_o Sensei, sa doit être un malentendu
Kakashi : ce n'est pas ce qu'il m'a dit, et croit moi, il n'a pratiquement jamais tort
Pakkun : * apparait par un nuage de fumée et tombe sur l'épaule de Kakashi* Qu'est ce que sa veut dire, pratiquement... <.<
Kakashi : Allons Pakkun...
Pakkun : Les chiens ne seraient pas assez inteligent pour combattre les humains, c'est ça ?
Kakashi : Non... Non, bien au contraire, en tout cas, tu es déjà plus perspicace que ce têtu de Naruto
Naruto : C'est moi maintenant le têtu !
Pakkun : * saute et attrape le nez de Naruto* On ne t'a jamais dit que dans une bouche fermé il n'entre pas de mouche ? Laisse parlez les anciens !
Kakashi : Pakkun, cesse d'attraper tout ce qui bouge, souviens-toi, c'est ce qui nous a donnez bien des soucis dans le passé...
Pakkun : Humph, c'est aussi ton "bon-sensé" qui nous a sortit de nos soucis *rire ironique*
Kakashi : Allons Pakkun *l'attrape et le tiens* cesse de me faire du mal, tu sais que je deteste ça
Pakkun : Sa me rappelle quelqu'un en y repensant
Kakashi : La ferme Pakkun



Bien, voici le second chapitre. Jespère du moins m'être améliorer en ce qui concerne les quelques fautes qu'on m'ai signaler, et je remercie également ceux qui ont prit le temps de me poster un commentaire ^^.

Sur ceux, à bientôt pour le prochain chapitre. Je ne donne pas de date précise, étant donner que le chapitre 3 n'a même pas encore écrit, afin de prendre le temps de poffiner tout celà avant de vous le proposer, chèrs lecteurs et lectrices ^^.

Les remarques, les avis, les jugements sont acceptés, afin de rendre chacun d'entre vous satisfait de mon travail ^^

Ja ne, tout le monde et @ bientôt pour le troisième chapitre <3




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