Fiction: La légende de Naruto. (terminée)

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- Là, elle a cicatrisé, mais si je n’avais pas eu le pouvoir des neuf queues, je serais mort.

Il dit cela devant le regard horrifié de Tsunade et de Sakura, qui imaginèrent la douloureuse cicatrisation.

- Si tu le souhaites, je peux te l’effacer, fit Sakura après quelques minutes d'observation.
- Vraiment ? se réjouit Naruto.
L’effacer, non… Mais la réduire serait bienvenue. Elle me gène dans certains mouvements, dit-il pensif.
Et puis, on me l’a faite à cause d’une inattention, je ne souhaite donc pas l’effacer.

Sakura s’approcha de son torse, remarquant au passage qu'il était bien plus musclé qu'il ne le laissait paraître. Une idée lui traversa l'esprit, qu'elle chassa en secouant la tête. Elle fit une suite de sceaux compliqués, et lorsqu’elle voulut commencer, Naruto l’arrêta.

- C’est bon, je m’en occupe, dit-il, faisait apparaître une surprise non cachée sur le visage de Sakura, mais aussi de Tsunade.

Il refit les mêmes sceaux, sous l'oeil de Sakura, sa surprise augmentant encore lorsque celui commença à se soigner, d’ailleurs, Tsunade était encore plus surprise que Sakura, on voyait nettement les jointures de ses doigts blanchir avant qu’elle laisse tomber mollement ses mains sur son bureau.

Il laissa quelques marques qui formèrent des lettres, qui formèrent des mots, qui formèrent eux-mêmes une phrase : Ne jamais l'oublier . Et ensuite, il remit ses affaires sous le regard surpris et atterré des deux femmes, ce qu'il remarqua, le faisant sourire.

- Avez-vous encore quelques questions pour moi ? demanda-t-il.

Mais voyant le silence s’épaissir sans la moindre réaction, il décida de s’en aller.
Il sortit de la pièce, fermant la porte doucement, et dévala ensuite rapidement les escaliers.

- J’étais la seule à avoir maîtrisé cette technique… dit finalement Sakura après un long silence, continuant de scruter la porte par laquelle il était sorti.

- Jamais je ne l’aurais cru capable de ça, lui répondit simplement Tsunade.

Un silence tomba, avant d'être encore interrompu par Sakura.

- Que voulait-il dire par les neuf queues ?
- Rien de plus que ce qu'il a été dit.

Tsunade dit cette phrase sèchement, avant de retomber dans sa pile de paperasse, plantant, de façon magistrale, une Sakura non satisfaite de la réponse.

Naruto alla droit au terrain d’entraînement n°3, mais s'arrêta devant le magasin de fleurs des Yamanaka. Il observa longuement les plantes, et se décida finalement à acheter des fleurs pour Hinata. Il entra, faisant sonner les bouts de métaux au-dessus de la porte.

- J'arrive ! fit une voix.

Aussitôt, Ino arriva, s'attachant un tablier autour de la taille, surprise de voir un grand jeune homme, un rien ténébreux, dans son magasin.

C'est étrange, il me fait penser à Sasuke ... pensa-t-elle en le voyant.

- Bonjour, j'aimerais offrir un bouquet pour ... une personne chère à mon coeur ... mais, ce n'est pas mon fort, pourriez vous m'aidez ?

Il avait remarqué qu'Ino ne l'avait pas encore reconnu, il joua donc le jeu.

- Bien entendu ...
Elle dit cela en essayant de voir le visage de son interlocuteur. Qui essaya, lui, de ne pas rire.

- Oups ! Désolé, j'en oublie mes manières !

Il enleva sa capuche, révélant ainsi son visage, qu'Ino ne reconnut pas.

- Ce n'est rien ... lui répondit-elle, admirative devant le magnifique blond qui se trouvait devant elle.
A quoi ressemble ... l'heureuse élue ?
- Dire que c'est une Hyûga aidera nettement les choses je suppose… Du moins, je le suppose.
- En effet, leurs cheveux sont tous ...
- D'un noir profond.
- Plutôt d'un noir sinistre.

La correction d'Ino choqua Naruto, qui ne réagit pas.
- Leurs yeux sont...
- Blanc pur, fit il, rêveur.
- Cela se rapproche plus du délavé...

Cette fois-ci, il ne feignit même pas l'indifférence, mais elle ne le remarqua pas, car elle avait commencé à choisir les fleurs :

- Et leurs peaux pâles, c'est le pire je trouve. Pas la moindre marque de bronzage, et lorsqu'ils s"exposent, ils virent au rouge !

Elle dit la dernière phrase en pouffant, et cette fois-ci, Naruto répliqua :

- Je vais devoir chercher un autre fleuriste,je crois, car avec l'avis que vous vous faites d'eux, je ne pense pas que vos fleurs embellissent la beauté de ma compagne.

Cette phrase arrêta Ino dans sa recherche.

Merde ! C'est le seul client de la journée et je le fâche ! Quelle conne !
- Mais non voyons, l'une de mes amies est justement une magnifique Hyûga, vous connaissez sûrement Hinata, l'héritière ?
- Bien entendu, répondit-il dans un sourire. Donc, quelles sont les fleurs que vous me conseilliez ?
- Euh ... ah oui ! Evidemment les roses noires, elles s'accorderont parfaitement avec ses cheveux et feront ressortir la beauté de sa peau, ainsi que ces yeux, expliqua-t-elle, soulagée d'avoir sauvé son client.
Et la fleur blanche au milieu est leur fleur fétiche, ils la font pousser partout dans leur jardin. C'est une "rayonnante", car elle "brille", si je puis dire, à la lumière de la Lune.
- En effet. Combien cela me coûtera-t-il ?
- Vu que c'est pour une amie, je ferai un prix ! fit elle un sourire aux lèvres.
Cela fera 120 Ryos .
- Très bien, tenez, je crois que le compte est juste.
- Mais, il y a 150 Ryos! s'exclama celle-ci.
- Je sais, c'est pour le mot et les frais de port.
- Que ? Euh... oui ...
- Veuillez le lui remettre demain soir, vers vingt heures, merci.

Il tourna le dos pour sortir, mais avant de partir , Ino le rattrapa et lui demanda :

- C’est pour qui ? Et à quel nom ?
- C'est pour Hinata Hyûga.

Le nom surprit Ino, qui se raidit, avant de commencer à noter, de la part d' Uzumaki.
Rien que le nom arrêta la plume d'Ino, elle pensait ne pas avoir bien entendu.
- Naruto, termina-t-il.

Elle releva précipitamment la tête, mais il avait disparu, la laissant comme ça.
Elle resta immobile un long moment, le temps que l'information soit analysée et que le système cérébral redémarre.

- Maman ! hurla-t-elle.

Ca y est, ça redémarre.

- Je dois y aller, je reviens d'ici peu ! cria-t-elle en sortant, après avoir jeté son tablier.

Il arriva au terrain d'entraînement hilare, il lui fallut un bon quart d'heure avant de commencer à retrouver sa concentration, et bien plus avant de commencer à s'entraîner, mais il se rappela au cours d'une méditation qu’il avait omis de demander quelque chose à Tsunade, et qu'il jugeait, à présent, d'importance.

Il remit ses affaires et repartit en direction du bureau. Il arriva au bas du bâtiment vingt minutes plus tard, monta les quelques étages, et arriva devant le bureau, avant de frapper à la porte. Il entendit des voix, et en y prêtant attention, il reconnut la voix d'Hiashi, qui fut sans doute la plus difficile à entendre à cause du hurlement de Tsunade.

- Non, Hiashi ! Je ne chasserai pas Naruto !
- Dans ce cas, je m’en occuperai moi-même ! fit il énervé.
- Pour ça, il faudra me passer sur le corps ! Et si tu y arrives, il faudra encore réussir à LUI passer dessus, et cela, c'est une autre paire de manche ! hurla Tsunade en appuyant sur le "lui".

Naruto, qui avait entendu, composa alors toute une série de sceaux complexes, puis disparut sans se faire remarquer.

- Personne ne m’en empêchera ! Même pas vous , Hokage !

Il avait mis une note médisante sur le mot Hokage, blessant ainsi Tsunade.

- Et quant à ce démon, il ne faudra pas grand chose pour rallier tous les villageois à ma cause !

Le ton haineux qu’il avait placé sur la dernière phrase avait profondément blessé Tsunade, mais encore moins que les paroles qu'elle savait pourtant réalistes.

- Tout dépend de qui il s’agit... fit une voix longue et caverneuse, surprenant Hiashi, qui se tourna violemment, mais qui ne vit personne.

Tsunade le regardait bizarrement, se demandant pourquoi il s’était retourné.

- Qu’y a-t-il ? demanda-t-elle agacée.
- Vous n’avez pas entendu ? dit Hiashi en se retournant vers elle, surpris par la question de Tsunade.
- Bien entendu qu’elle n’a rien entendu ... Khu ! Khu! Khu ! fit à nouveau la voix, rigolant sinistrement. Tu es le seul qui puisse m’entendre.
- Byakugan ! s’écria Hiashi, ce qui surprit Tsunade qui se demanda ce qui se passait, elle craignait qu'Hiashi ne mette véritablement ses paroles en action.
- Que se passe-t-il ? s’écria Tsunade, essayant de ne pas laisser transparaître sa crainte.

-Là où le vent souffle ... Là où le monde s’étend ... Là où les neuf queues sont apparues ... Et où elles ont disparu ... C’est là que j’apparais... A toi de trouver la folie nécessaire pour me rejoindre.

Hiashi ne se le fit pas dire deux fois ,et partit sans attendre, plantant une Tsunade hors d’elle, qui se calma, un peu, en explosant la moitié du mobilier de son bureau.

- Shizune ! hurla la cinquième.

Shizune apparut aussitôt comprenant que c’était sa vie qui était en jeu.

- Qu’y a-t-il, Hokage-sama ?
- Envoie tout de suite deux équipes… Non, envoie tous les Anbus disponibles à la poursuite d’Hiashi !
- Très bien !

Et elle partit en courant, ne voulant pas risquer de froisser Tsunade pour le moment. Car celle-ci aurait pu lui froisser quelques os.

Quelques minutes plus tard, Hiashi se tenait face à Naruto, celui-ci lui tournait le dos et regardait, accroupi, la stèle des shinobis morts en mission.
Hiashi le reconnut car on voyait très bien ces cheveux blonds. Naruto se leva et Hiashi fut surpris de voir qu’il était plus grand que lui, mais aussi plus musclé.
Son manteau noir tombait jusqu'à ses pieds, un motif était tissé dans son dos, représentant neuf queues rouges se rejoignant au milieu de son dos.

- Pourquoi m’en voulez vous ?
- Je t’en veux car tu m’as volé ma fille ! Elle est l’héritière de son clan, elle n’a pas à traîner avec un démon ! Tu n’es qu’un monstre !

Dès qu’Hiashi eut fini, Naruto se tourna et lui fit face.

Hiashi, dés qu’il vit le regard, comprit qu’il ne saurait pas le battre.

- Pars ! hurla Hiashi. Et ne reviens jamais, monstre !
- Non.
- Dans ce cas là, je te tuerai et j’accrocherai ton cadavre aux murs de ma demeure !

Il dit cela d'une voix de fou, entre l'hystérie et la folie.

Il se lança aussitôt sur Naruto en activant son Byakugan. Naruto, quant à lui, fit tomber son manteau, laissant apparaître son armure. Il fit ensuite une série de sceaux et attendit calmement le premier coup d’Hiashi qui le frappa au cœur de plein fouet, déversant au passage tellement de chakra que le cœur de Naruto aurait du littéralement explosé.
Mais à sa surprise, aucune réaction ne se fit voir. Il en plaça un deuxième, puis un troisième et encore un quatrième, toujours aucune réaction.
Il se recula et regarda l’armure, il ne vit aucun changement avec du chakra, mais en observant plus précisément, il comprit que le chakra alimentait l’armure, et qu’elle se faisait une deuxième protection

- Je me dois de vous signaler que depuis mon combat contre Neji, lors de l’examen chuunin, il y a maintenant quelques années, je suis «immunisé contre le juken.

Et il se lança sur Hiashi.

- Bouclier Divin ! hurla Hiashi, inquiet, et ne voyant plus Naruto, il cru l’avoir touché, jusqu’au moment où il se trouva nez à nez avec lui.
- À moi.
Il sortit un rouleau sur lequel il écrivit rapidement, puis, posa le rouleau à terre et partit, sans bruit et sans nuage de fumée, mais à une telle vitesse qu'Hiashi ne put le suivre du regard, le laissant, pantois, ne comprenant rien à rien.

Ce n'est qu'après un certain temps qu'Hiashi remarqua le rouleau à terre. Celui-ci était enroulé autour d’un kunaï dont il ne reconnaissait pas la forme. Il ouvrit le rouleau et lu son contenu :

« J’accepte de partir, mais dites simplement que j’ai disparu suite à une bataille, laissez courir le bruit de ma mort. Vous êtes arrivé trop tard, mon corps a été emporté. La seule chose que vous ayez trouvée est ce kunaï. Vous verrez deux sceaux ci-dessous. Celui de gauche est celui de la technique : Doton ! Katon ! Raiton ! Terrain de l’apocalypse, il servira à recréer une zone de combat, digne de mes capacités. Le deuxième, c’est au cas où vous comprendriez votre erreur, ou si quelque chose arrivait à Hinata. »

Hiashi n’en cru pas ses yeux, il était fou de joie et s’empressa d’enclencher le premier sceau. Il s’éloigna, lorsqu’il comprit que la première explosion était faible car elle couvrait déjà une surface quasi égale à celle du bâtiment de l’Hokage, s’en suivit une série d’explosions toute plus puissantes que les précédentes. Puis un silence de mort s’installa.

Hiashi revint sur ses pas et resta tétanisé par la scène qui s'offrait à lui, sur plusieurs centaines de mètres, rien n’était intact, sauf la stèle, à sa surprise, qui avait été protégé par un mur de pierre.

Heureusement qu’il n’a pas riposté à mes attaques, se dit-il. Je serais sûrement mort à l’heure qu’il est !

Rapidement les Anbus, ordonnés par Tsunade, arrivèrent, et tout comme lui, restèrent bouche bée devant le spectacle qui s’offrait à eux.
Rapidement de nombreux ninjas alertés par les explosions arrivèrent, et tombèrent à genoux devant le cataclysme. Hiashi s’approcha de la stèle et vit qu’un nom y avait été gravé, on aurait dit, par l'ongle d'une créature : Uzumaki Naruto.
Il cligna de nombreuses fois des yeux, il n'y croyait pas.
Les Anbus arrivèrent et lorsqu’ils virent le nom, lâchèrent un petit cri de stupeur. Un des Anbus se tourna vers Hiashi et lui demanda ce qu’il s’était passé. Il lui répondit qu’il ne savait pas, qu’il était arrivé au début des explosions et n’avait pas pu approcher à cause de leur puissance.

Hiashi retourna ensuite chez lui, en réfléchissant à la manière d’annoncer la « mort » de Naruto. Il passa la porte et une Hanabi en pleurs se jeta dans ses bras

- J’ai eu si peur ! Sanglota-t-elle
- Peur de quoi ? demanda Hiashi ? se demandant ce qui se passait.
- Tu n’as pas entendu les explosions ? S’étonna Hanabi.
- Bien sûr que si, je me trouvais même sur les lieux. Mais en sécurité, ajouta-t-il lorsqu’il vit le visage de sa fille se décomposer.
- Tout le village a tremblé à cause des ondes de chocs, et a aussi était illuminé par la puissance des jutsus.
- Ah, je ne pensais pas que ça avait été aussi puissant … mais maintenant ça va., fit il en souriant.
- Que s’est-il passé ? demanda-t-elle, curieusement.
- Apparemment, Naruto s’est battu avec quelqu’un, sûrement un ancien ennemi.
- C’est lui qui a fait ça ? s’écria Hanabi.
- Je ne pense pas, lorsque je suis arrivé, il n’y avait plus la trace de personne.
- Tu veux dire qu’il est mort ?
- Je ne sais pas, mais probablement, vu la puissance et l’intensité du combat.

Hinata, qui était encore dans le couloir, n’en croyait pas ses oreilles. Elle en tremblait, de tristesse, de peur, de chagrin.

Naruto, non, il ne pouvait pas, non, il … il … nous devions nous entraîner, nous …

Des larmes coulèrent le long de ses joues, elle n’avait pas pu l’aider, elle ne pouvait plus l’aider, elle ne pourrait plus le voir, l’entendre, le sentir.

Il … tu … je suis perdue.

- N … non … ce n’est pas … possible … sanglota-t-elle. Pas lui … pas toi … pourquoi lui … non … ne t’en vas … pas … à nouveau …

Hiashi, ayant entendu, alla dans le couloir et vit sa fille à genoux, effondrée, pleurant toutes les larmes de son corps.

- Hinata ! Qu’est-ce qu’il y a ? demanda le père effrayé de voir sa fille ainsi.
- Il est mort … ? demanda Hinata, avec pour espoir de recevoir une réponse négative.
- Je ne sais pas, sûrement, pourquoi ?

Il dit cela d'un ton désinvolte, qui choqua et attrista Hinata au plus haut point.

- N … non … impossible … je ne vous crois … pas …, dit-elle en pleurant de plus belle.
- Voyons ! Ressaisis-toi ! Tu as la vie devant toi !
- Pas … sans lui … Naru … dit-elle entre deux sanglots.
- Il y a plein d’autres jeunes hommes aussi ... intéressants ... que lui, et même plus !
- Naru … to…
- Oublies-le, tu ne le reverras plus jamais.
- Non … NARUTO ! hurla-t-elle avant de s’effondrer, terrassé par la tristesse.

Hiashi n’en croyait pas ses yeux, il ne comprenait pas pourquoi elle tenait autant à lui, il la souleva et alla l’installer dans son lit. Il la veilla jusqu’à son réveil.

- Hinata ? Ca va ? insista Hiashi, passablement inquiet.
- Où est Naruto ?

Elle dit cela d'une petite voix, quasiment un murmure.

- …
- Où est Naruto ! dit Hinata plus insistante et plus angoissée.
-…
- Naru … to … recommença-t-elle à sangloter en collant ses genoux à son front.


Hiashi, après un long silence ponctué par les sanglots d’Hinata, et les murmures des domestiques, demanda péniblement.

- Pourquoi lui ?

Cela calma un peu Hinata, qui se tourna vers son père et dit dans un sourire triste :

- Pourquoi lui ? répéta-t-elle. Je ne sais pas, je l’aime et c’est tout, dire pourquoi m’est tout simplement impossible.
- Je ne comprends pas .
- Moi non plus, mais maintenant ça n’a plus d’importance, fit elle en recommençant à sangloter.

Ceci laissa Hiashi encore plus troublé qu’avant, il ne comprenait vraiment rien à ce qu’il se passait.

- Je vais te chercher à manger, fit il en voyant l’heure, et, en pensant au temps sans repas qu'elle avait passé.
- Non merci, je n’ai pas faim, dit-elle, inquiétant Hiashi.
- Très bien, appelle-moi si tu as besoin de quelque chose.
- Oui père, dit-elle tristement. Mais la seule dont j’ai besoin n’est pas à votre portée.

Il sortit et dés qu’il eut refermé la porte, il entendit les sanglots d’Hinata reprendre de plus belle.

Ça passera, pensa-t-il. À son âge, ce n’est qu’un amour d’adolescent. Ça passe toujours.



c'est come pour le premier, et les suivant, :p

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